• Amiral Gilles Pinon

     Mystères des ovnis


    Extraits du discours du Contre-Amiral Gilles PINON 

    Amiral Gilles Pinon

    La réalité du phénomène OVNI nous incite à nous poser une multitude de questions au sujet des civilisations extraterrestres qui visitent la planète depuis des millénaires. Les deux principales interrogations sont celles-ci :

    « Pourquoi ne se montrent-ils pas au grand jour ?...»

    et « Pourquoi n’interviennent-ils pas pour nous aider à résoudre nos problèmes ?... ». 

    Ces deux questions sont d’une extrême importance dans une période de l’histoire de l’humanité où une multitude de signaux, tous plus alarmants les uns que les autres, lèvent un doute sur notre capacité à nous développer sans détruire la Terre. 

    La réponse à ces deux questions ne peut être approchée que par une analyse rationnelle appelée « méthode hypothético-déductive », en cours dans les États-majors des armées, et destinées à évaluer la menace d’éventuels agresseurs ainsi que les parades à développer. 

     Amiral Gilles Pinon      

    22 mai 2009 : le contre-amiral  Gilles Pinon sur Direct 8

    EXTRAITS

    (Discours entier sur le site source)

     Pour que ces méthodes soient applicables à l’ufologie, encore faut-il vérifier qu’il est raisonnable de formuler des hypothèses sur l’intelligence extérieure qui gouverne le phénomène ovnien.

     Si nous rejetons a priori l’hypothèse peu plausible d’une civilisation intraterrestre, nous sommes face à une alternative : ou bien il s’agit d’une ou de plusieurs intelligences qui ne sont pas immanentes au monde sensible, qui nous transcendent, qui appartiennent en quelque sorte, pour employer la terminologie des sciences occultes, à une dimension inaccessible normalement à notre perception, qu’elle soit esprit, génie, ange, démon ou système de contrôle au sens de Jacques Vallée, ou bien nous avons affaire à une intrusion extraterrestre, c’est-à-dire à la visite non désirée d’êtres intelligents appartenant à une ou plusieurs planètes telluriques de la Voie Lactée ou d’une autre galaxie, ou bien même à des univers parallèles. 

    Dans le premier cas, sans préjuger de sa vraisemblance, nous sommes contraints d’admettre que nous serions totalement impuissants à découvrir les mobiles et les intentions de ces entités vaporeuses et irréelles, et qu’aucune méthode construite sur un raisonnement rationnel ne serait opérante. Nous serions, sans aucune insinuation péjorative, dans le domaine de compétence des médiums, des spirites, des mages et autres praticiens des sciences occultes. 

    Nous limiterons donc notre réflexion au second cas, celui de l’intrusion extraterrestre.  

    La difficulté réside ici dans les écarts des connaissances et des stades d’évolution entre notre civilisation et celle des intrus, écart certain pour ce qui est des sciences et des technologies, écart plausible des évolutions psychique et biologique, et des évolutions sociale et culturelle. 

    Tout revient finalement à la question de savoir si des êtres intelligents aux niveaux de connaissance inégaux et aux méthodes psychiques et biologiques éloignées seraient capables de se comprendre. A cette condition seulement, les présuppositions dont il a été question tout à l’heure auront un sens et pourront être admises comme hypothèses heuristiques. 

    Une position est aujourd’hui en faveur chez certains ufologues et sociologues qui prétendent, après Carl Sagan, que les différences de connaissances et d’évolution sont en réalité des fossés infranchissables rendant impossible notre compréhension, voire notre appréhension ou même notre perception d’une intrusion. Poussée jusqu’à ses limites, cette position conduit à la théorie dite du babouin ou du zoo, qui voudrait que des extraterrestres pourraient être à nous ce que nous sommes aux babouins et que nous serions donc dans l’impossibilité de comprendre quoi que ce soit des signes qu’ils nous abandonnent, qu’ils soient involontaires ou voulus.

    En effet, tous les êtres intelligents de l’univers sont dotés, selon toute logique, de capacités d’inférence et de gestion du temps, et leurs schémas mentaux sont, selon toute vraisemblance, analogues voire identiques. Des passerelles existent donc, soutenues par les acquis culturels et scientifiques déjà considérables de la société humaine. 

    Depuis des siècles, l’homme a appris connaître et à utiliser des langages universels comme la logique et les mathématiques qui rendent possibles des échanges d’informations avec tout être doué d’intelligence ne partageant pas la même langue. Il a développé des sciences avancées comme la cybernétique et l’intelligence artificielle, enfin il est parvenu à élaborer des concepts d’une haute abstraction, vérifiés par l’expérience, qui touchent aux fondements mêmes de notre univers. 

         

    L’espace-temps qui traite du mouvement relatif des corps macroscopiques et les quanta qui décrivent les propriétés dynamiques de la matière dans le monde microscopique où se tiennent les particules subatomiques. 

    L’homme n’est pas la mesure de toutes choses, contrairement à ce que les sophistes déclaraient avec Protagoras. On sait depuis Platon qu’il est permis de faire abstraction du sujet dans la connaissance. Les universaux, dont Bertrand Russel nous a rappelé avec force la réalité, sont des ensembles de concepts, de qualités, de formes et de relations de divers ordres qui existent dans toutes les langues du monde, ils sont les éléments simples à partir desquels l’univers est construit, ce sont les bribes d’un langage universel utilisable par tout être intelligent pour communiquer avec quelque autre être intelligent en dépit des différences psychiques et culturelles.

    Il vient qu’il est légitime d’émettre des présuppositions portant sur des êtres intelligents d’une autre planète, partant, les méthodes militaires d’évaluation des situations complexes avec immixtion d’une intelligence aux desseins incertains sont applicables à une intrusion extraterrestre. 

    De quelle sorte de raisonnement ces méthodes participent-elles ?  

    Elles sont de type HYPOTHÉTICO-DÉDUCTIF puisqu’elles consistent à formuler des hypothèses et des conjectures dont sont ensuite déduites des conséquences susceptibles d’être vérifiées empiriquement par l’observation. 

    Si elles trouvent une vérification expérimentale, elles sont validées ; si elles n’en trouvent pas, elles sont soit réfutées, soit rectifiées en un point ou en un autre afin de les rendre compatibles avec l’expérience. 

    Elles sont, par construction, itératives et adaptatives ; elles astreignent à une pensée formalisée et rigoureuse ; tout bien considéré, elles sont une application assez fidèle de la méthode scientifique élaborée par Karl Popper. 

    Elles s’opposent au processus inductif de la pensée, qui consiste à aller du particulier au général, à justifier un énoncé général à partir d’un nombre limité d’observations. S’agissant de l’ufologie, la méthode inductive a malheureusement conduit à deux écueils : d’une part au scepticisme car le visage polymorphe et absurde que revêtent les manifestations ovniennes depuis une vingtaine d’années ne permettent pas de justifier un énoncé général, d’autre part, par extrapolation abusive, à l’élaboration d’interprétations hasardeuses telles que l’hypothèse paranormale mettant en jeu des mondes parallèles et des êtres transcosmiques ou surnaturels. 

    Dès lors que l’on tient pour probable une intrusion extraterrestre, il convient de s’interroger sur son origine, son mobile et sa dangerosité. Sommes-nous en présence d’une seule civilisation, de plusieurs civilisations opérant de concert ou de plusieurs civilisations agissant en opposition ? S’agit-il d’une simple surveillance à distance, d’une intervention ponctuelle dans un but limité et précis, ou d’une tentative de prise de contrôle ? L’intrusion est-elle bienveillante, neutre ou délibérément hostile ? 

    Il est vain d’espérer que d’une démonstration ovnienne ostensible et non brouillée surgiront un jour les réponses à ces graves questions, pour la simple raison que le phénomène est discret et brouillé et le restera probablement jusqu’à un éventuel contact, qu’il soit amical ou hostile. 

    Faut-il se contenter des déclarations des témoins, des récits des supposés contactés ou abductés, des allégations des informateurs prétendument initiés et s’aventurer ainsi dans des extrapolations imprudentes ? 

    Ce serait à mon sens se fourvoyer, car les informations recueillies sont toujours susceptibles d’être altérées, falsifiées, voire fabriquées de toutes pièces. En effet, il est de mieux en mieux établi que le phénomène ovnien est depuis son origine l’objet d’opérations de travestissement de la vérité. D’une part la désinformation, mise en œuvre par des fabulateurs aux intérêts obscurs et par des agences gouvernementales motivées par l’enjeu stratégique comme l’ont clairement montré d’excellents auteurs, d’autre part le brouillage et le camouflage par les intrus eux-mêmes, comme certains ufologues l’ont déjà affirmé et comme le démontre clairement le cas de Fatima. 

    Lire le livre de cet auteur " Le miracle de Fatima"

    Amiral Gilles Pinon

    Fatima, cas extraordinaire à l’appui d’une hypothèse extraordinaire. C’est encore une petite réponse que j’apporte incidemment au brillant orateur précédent. 

    Désinformation et brouillage sont si présents qu’il devient impossible d’extraire le signal du bruit, de faire la part entre la réalité et la fiction, de séparer les données factuelles des chimères, de restituer une information fiable et crédible à partir des seuls récits des acteurs, qu’ils soient manipulés ou fabulateurs.

    Je me suis personnellement efforcé d’appliquer une MÉTHODE HYPOTHÉTICO-DÉDUCTIVE au cas extraordinaire des événements survenus à FATIMA au Portugal le 13 octobre 1917, en donnant à la danse du soleil l’importance stratégique qu’elle mérite, puisqu’elle est la plus grandiose des manifestations ovniennes jamais observées, et qu’elle est la seule qui ait été annoncée et donnée en spectacle, en contradiction avec la discrétion et la furtivité de la sémiologie ovnienne ordinaire. 

    ● Intrusion de la part d’une seule civilisation extraterrestre ou de plusieurs civilisations opérant de façon concertée ; 

    ● dotée d’une théorie unifiée de la physique et de technologies très avancées ; 

    ● pourvue d’une éthique de type humaniste sacralisant tout être biologique doué de conscience réfléchie ; 

    ● en mission d’observation neutre ou bienveillante ou en mission d’observation ponctuelle et limitée compatible avec cette éthique ; 

    ● intrusion remontant à plusieurs siècles, peut-être aux premiers âges de l’humanité ; 

    ● ayant recours à une stratégie reposant sur la discrétion, la furtivité et le brouillage ; 

    ● de façon plus soutenue depuis un siècle, c’est-à-dire depuis l’accélération de nos connaissances et le développement rapide de nos technologies ; 

    ● dans le but de notre apprentissage progressif de l’existence des civilisations extraterrestres sans provoquer d’ethnocide. 

    Ce travail mériterait bien sûr d’être repris largement, en l’étendant dans un premier temps à l’ensemble des observations ovniennes ayant un critère SVP (au sens de Jacques Vallée) important. Je vous rappelle le critère SVP de Jacques Vallée : S, c’est comme la Sûreté de la source, V comme la sûreté de l’enquêteur (V comme visite), et P c’est la probabilité que le phénomène ne soit pas naturel. 

    Il est manifeste que c’est à l’une de ces méthodes que l’association Cometa a fait appel pour mener son étude, les Ovnis et la défense, publiée en juillet 1999. Que les rédacteurs du rapport Cometa, qui ont ouvertement conclu à la nature extraterrestre des Ovnis, soient tous anciens auditeurs de l’Institut des Hautes Étude de Défense Nationale n’est pas donc pour nous surprendre. Il ne fait à mon sens aucun doute que de telles méthodes ont été largement utilisées aux États-Unis par les états-majors en charge de l’évaluation de la menace présentée par le phénomène ovnien. Que l’existence de ces études n’ait pas été révélée participe d’une politique normale de protection du secret. 

    Il s’agit donc d’évaluer la dangerosité et l’hostilité d’une intrusion de la part d’une civilisation extraterrestre. Dangerosité et hostilité n’étant évidemment pas la même chose, puisque si le phénomène est hostile il est vraisemblablement dangereux, mais vous conviendrez avec moi qu’il peut être dangereux sans être hostile. 

    J’évoque ici le risque ethnocidaire, bien sûr. 

    Alors comme je vous l’ai dit, ce sont des méthodes où il faut séparer les variables, parce que la pensée complexe est une pensée certainement très performante mai pas toujours utilisable, il faut séparer les variables, et dans un premier temps il faut, me semble-t-il, réduire l’étude en considérant uniquement les facteurs biologiques et éthiques et en se mettant dans l’hypothèse d’une seule civilisation coupable d’intrusion. Dans un deuxième temps, on oublie la biologie et l’éthique, et on s’installe dans l’hypothèse de plusieurs civilisations ; et dans un troisième temps seulement, on réunit les deux pré-études, en essayant d’intégrer à la fois la biologie, l’éthique et l’hypothèse de plusieurs civilisations. 

    D’autre part, cette civilisation est vraisemblablement très ancienne. 

    Pourquoi ? Parce qu’il lui a justement fallu le temps de construire ces technologies. La nôtre n’a que 2000 ans et elle n’a pas encore atteint les technologies lui permettant le voyage intersidéral. Il a donc fallu qu’elle mette en place une organisation sociale et politique qui lui permette de maîtriser son environnement et de réduire les risques d’autodestruction sur une très longue période. 

    Alors à quel type d’êtres avons-nous affaire ?

    Ce sont nécessairement des êtres intelligents. 

    Alors là, de deux choses l’une :

    ● ou bien on admet que pourrait s’appliquer un principe de convergence des formes vivantes, lui-même en application d’un principe de banalité ; si oui, on peut supposer que les êtres auxquels nous avons affaire, qui peuplent donc cette civilisation maîtrisant le voyage intersidéral, sont des êtres humanoïdes intelligents doués de libre arbitre, qui en quelque sorte nous ressembleraient, surtout sur le plan du libre arbitre. C’est le point le plus important. 

    ● Si en revanche le principe de convergence des formes vivantes n’existe pas ou ne s’applique pas en la circonstance, il faut admettre que nous avons affaire à des êtres biologiques intelligents, mais qui ne seraient pas dotés d’un libre arbitre identique au nôtre mais qui seraient doté d’un libre arbitre qui pourrait être restreint par un principe quelconque de développement déterministe. 

    Encore une fois, sur le fond, je conviens que tout ceci est certainement critiquable, et que chaque carré, chaque flèche mérite sa propre sous-étude. Ce que j’essaie de vous présenter brièvement, c’est la méthode, plus que les résultats que j’ai pu obtenir personnellement.

    Alors venons au premier cas, celui de gauche, où nous sommes en présence d’êtres doués de libre arbitre. Étant doués de libre arbitre, comment ont-ils pu mettre en place une organisation sociale et politique ? 

    Eh bien, de deux choses l’une : ou bien celle-ci a été imposée par une coercition consentie ou par l’oppression. Moi je rejette a priori l’oppression, mais on peut en discuter. Je la rejette parce que ça me semble improbable, car de mon point de vue un système totalitaire sur lequel repose une oppression, n’est pas longtemps, durablement, compatible avec le libre arbitre. Je vous indique au passage que l’exemple que l’on donne souvent pour dire que nos intrus pourraient être hostiles, c’est que sur Terre se sont développées des empires disons du mal – je pense au fascisme – et que celui-ci n’aura vécu que quatre ans. Et pour ceux qui considèrent que l’aventure communiste russe est également un système totalitaire et inacceptable, qui a opprimé l’homme, je vous rappelle qu’il n’aura vécu que 40 ans. 

    Or là, il s’agit de faire vivre une civilisation 10 000 ans, et je vois mal une organisation sociale et politique reposant sur l’oppression pouvoir conduire au développement technologique très avancé auquel nous avons affaire actuellement. 

    Alors il reste, pour ce qui est de la partie gauche du schéma, uniquement une organisation sociale et politique imposée par une coercition consentie qui repose donc sur une éthique, elle-même collective, affirmant la primauté de l’individu sur toute autre valeur. 

    Venons maintenant à la branche de droite où les êtres biologiques ne sont plus doués de libre arbitre au sens humain, comme nous le sommes, mais qui pourraient être doués d’un libre arbitre contraint ou restreint par un développement, par un principe de déterminisme. 

    Quel est ce principe ? J’en ai pris deux mais il y en a peut-être d’autres, et peut-être faut-il rejeter ceux-là. Encore une fois, ne jugez pas trop sur le fond. Eh bien, soit un principe d’acquisition de connaissances collective objective, soit plus gravement un principe de domination. 

    C’est maintenant et seulement maintenant que l’on va faire appel à nos banques de données, à notre savoir accumulé avec tant de patience et tant de savoir-faire par nos chercheurs et nos investigateurs, et que l’on va confronter, donc, les conséquences des hypothèses que nous avons émises avec l’observation, qui est donc la banque de données ufologique. 

    Bon, si on veut réduire la sémiologie ovnienne ordinaire à quelques grandes caractéristiques, on pourrait dire – mais là encore je comprendrais très bien que vous ne soyez pas d’accord sur le fond – qu’elle est essentiellement caractérisée précisément par LA DISCRÉTION, LA FURTIVITÉ ET LE BROUILLAGE, ET QU’ELLE N’EST PAS AGRESSIVE. Mis à part, peut-être, et c’est ce que j’ai indiqué en rouge en bas de la case, mis à part peut-être la fabrication des fœtus hybrides, selon les rencontres rapprochées du IVème type. 

    Bon, je pense que je vais m’en tenir là. Ensuite, comme je vous l’avais dit, il faudrait poursuivre dans l’hypothèse que nous avons affaire non pas à une seule civilisation mais à plusieurs civilisations, et ensuite rapprocher les deux premières études pour finalement essayer de voir si on peut conclure quant à l’hostilité et quant à la dangerosité d’une intrusion extraterrestre à laquelle certains d’entre vous croient et à laquelle je crois personnellement. 

    Voilà, j’en ai terminé, et je vous remercie de votre attention

    CONTRE-AMIRAL GILLES PINON 

     Transcription de Gérard Le Nerrant

    Source : euroclippers

    LA DIVULGATION A EU LIEU

     Le Colonel Retraité John Alexander, 74 ans, ancien Béret Vert commandant d’équipe et développeur d’armes à Los Alamos, N.M., déclare que la divulgation OVNI a déjà eu lieu,  et que la solution ultime aux ovnis est plus complexe que la plupart des gens ne  pensent . Alexander cite le président Harry Truman: «Je peux vous assurer que les soucoupes volantes, étant donné qu’elles existent, ne sont construites par aucune puissance sur Terre. » 

    « La divulgation a eu lieu, » a déclaré Alexander à AOL News «Ça commence avec les anciens présidents Truman, Carter, Reagan et Gorbatchev [de l'Union soviétique].

    J’ai des piles de généraux, y compris les généraux soviétiques, qui sont venus et ont dit les OVNIS sont réels. je veux dire, combien de fois les hauts fonctionnaires doivent-ils se présenter et dire que ceci est réel ?" 

    «A un moment, avant que beaucoup de ces informations n’aient été libérées, j'ai pu voir  les documents classés et non classifiés. Et je vais vous dire que 98 pour cent de l’information était déjà dans le domaine public. Parmi les seules choses qui ne l’étaient  pas il y avait des trucs comme la source  et la méthode, qui étaient   protégées, mais les informations sur l’incident étaient déjà là. " 

    Il y a quelques mois, un groupe d’ex-officiers s’est avancé pour discuter de leurs expériences lorsque les  OVNIS auraient trafiqué les  sites de missiles nucléaires américains. Tandis qu’Alexander reconnaît les événements, il montre pourquoi il n’y a  pas eu  d’enquête approfondie des services de  renseignements sur ces incidents. 

    Ça s’est absolument produit , mais quand il s’agit d’un événement ponctuel, l’attitude des enquêteurs est la suivante : Si cela se reproduit, nous serons nerveux, mais comme cela ne s’est pas reproduit, mettons le de côté. 

    « C’est en quelque sorte un acte d’accusation qui dit que, malgré les preuves accablantes de l’interaction avec les systèmes stratégiques, rien n’a été fait. Et à mon avis, c’est mis, comme un certain nombre de choses, dans la corbeille des choses  trop-difficiles à manipuler. » 

    Dans son nouveau livre, « OVNIS : Mythes, complots et réalités», Alexander écrit, « les OVNIS sont réels. En l’absence de prévarication ou de qualification des termes, il y a des objets physiques d’origine inconnue qui  transitent par notre univers. Les éléments de preuve qui appuient ces déclarations sont  tout simplement immenses !. » 

    La preuve dont  il parle  comprend les données concrètes de la technologie des détecteurs  qui ont  souvent confirmé la réalité d’engins physiques et la qualité des témoins très fiables qui ne sont «ni de fausses déclarations des faits, ni du délire. » 

    « Le problème est que , lorsque vous discutez ovnis, nous parlons de tout,  des  petites boules de lumière aux engins solides de un kilomètre de long ou plus, et tout ce qu’il y a entre les deux. Donc de quoi s’agit il ? Demande Alexander.  « Je soutiens que, non seulement nous n’avons pas encore résolu le problème, mais que nous ne nous posons même pas les bonnes questions, car nous avons une mauvaise approche. 

    Je pense que la conscience est un morceau du puzzle. Nous parlons au sujet des OVNIS, disant que c’est une technologie qui a mille ans d’avance, mais ce n’est pas vraiment le cas.  Si vous suivez l’histoire de ces choses, habituellement c’est quelque peu en avance, mais pas au delà de notre compréhension par un effort d’imagination. 

    « Le casse-tête que vous obtenez est, oui, ils ont été vu par les détecteurs ; mais à d’autres moments, ils ne sont pas vus par des capteurs qui devraient les avoir vus, et c’est à ça  que je ne peux pas répondre. » 

    Remerciements spéciaux à The Daily Galaxy via AOL News.

    Source : ufoetscience 

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