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Roswell - le témoignage du Colonel Corso
Roswell - Le témoignage du Colonel CORSO
Philip J. Corso (22 mai 1915 - Jupiter (Floride), 16 juillet 1998) est un officier de l'armée américaine. Il a servi dans l'armée des États-Unis du 23 février 1942 au 1er mars 1963 et obtenu le grade de lieutenant-colonel.
Il a participé de 1953 à 1957 au Conseil de sécurité nationale du président Eisenhower. En 1961, il devient directeur du bureau de technologie étrangère du Pentagone dans la recherche et le développement militaires, travaillant sous les ordres du lieutenant-général Arthur Trudeau
Corso a publié The Day After Roswell (coauteur William J. Birnes (en)) qui détaille son implication dans la recherche de technologie extraterrestre supposément récupérée lors de l'écrasement d'un OVNI à Roswell en juillet 1947 (Affaire de Roswell). Le 23 juillet 1997, il est l'invité de l'émission populaire de radio de fin de nuit, Coast to Coast AM avec Art Bell, où il raconte en direct son histoire sur Roswell. Cet entretien a été retransmis par Coast to Coast AM, le 3 juillet 2010.Corso affirme qu'un groupe gouvernemental secret a été constitué sous la direction du premier directeur de la CIA, l'amiral Roscoe H. Hillenkoetter (voir Majestic 12). Une des tâches de ce groupe aurait été de recueillir toutes les informations sur la technologie extra-terrestre, alors que, simultanément, l'administration américaine s'employait à dénier aux yeux du public toute existence de vaisseaux et de présence extraterrestres.
VOIR LES DOSSIERS déclassifiés DU FBI sur les ovnis :
https://vault.fbi.gov/UFO et ICI
Selon Corso, la rétro-ingénierie de ces artefacts a conduit indirectement à l'élaboration de nombreuses technologies de la fin du XXe siècle : appareils à faisceaux de particules, fibre optiques, laser, circuits intégrés, kevlar, etc.
Dans son livre, Corso prétend que l'Initiative de défense stratégique (SDI ou "Guerre des étoiles"), visait à atteindre une capacité de destruction des systèmes de guidage électroniques des ogives ennemies, ainsi que la neutralisation de vaisseaux ennemis, y compris d'origine extraterrestre.
Source : wikipedia
A lire absolument !
Passeport-pour-cosmos John Mack
/Enlevés-par-extraterrestres-John-Mack
Au lendemain de Roswell - Ph. Corso
Philip J. Corso (22 mai 1915 - 16 Juillet 1998) était un officier de l'armée américaine. Il a servi dans l'armée des États-Unis du 23 Février 1942 au 1er Mars 1963 et obtenu le grade de lieutenant-colonel. Dans son livre "The Day After Roswell", Corso raconte comment il s'est trouvé impliqué dans la recherche de technologies extraterrestres à la suite du crash de Roswell en 1947. l' interview réalisée par Paola Harris est diffusée avec des sous-titres français.
Le livre 'The Day after Roswell"
Quelques Extraits - Colonel Philippe Corso
Le texte qui suit est une traduction du livre "The day after " du colonel CORSO paru aujourd'hui en
Italien et en Anglais.Qui est Philip Corso ?
Philip Corso était un officier des Renseignements de l’Armée Américaine. Il a fait partie de l'équipe du Général Mac Arthur en Corée. Plus tard, il a travaillé comme Lieutenant Colonel au Bureau de Sécurité Nationale du Président Dwight. D. Eisenhower.
Pendant les 21 ans de sa carrière militaire, Corso a été décoré plus de 19 fois. Il est parti à la retraite en 1963 et s'est mis au service des Sénateurs James Eastland et Strom Thurmond comme membre d'une équipe spécialiséedans la sécurité Nationale.Pendant les 21 ans de sa carrière militaire, Corso a été
décoré plus de 19 fois. Il est parti à la retraite en 1963 et s'est mis au service des Sénateurs James Eastland et Strom Thurmond comme membre d'une équipe spécialisée dans la sécurité Nationale.
Depuis, il a travaillé dans le secteur privé comme consultant. Il est apparu récemment dans une émission
comme expert sur les vols de U2 au-dessus de la Russie pendant la Guerre Froide.
Source : Thierry Mallet — 1997En 1960 et pendant deux ans, le Lieutenant Colonel Philip Corso a mené une double vie. Il travaillait
au Bureau des Technologies Étrangères au Pentagone, service de l’Armée des R&D ( Recherche et
Développement ). Son travail habituel consistait à enquêter sur les technologies des autres pays,
comme par exemple l’hélicoptère développé par l'Armée Française pour les adapter à leurs propres
technologies afin de préserver des vies militaires sur le terrainCorso lisait des rapports techniques et rencontrait des Ingénieurs de l'Armée afin de budgéter les
projets à venir. Il envoyait des rapports à son patron, le Lieutenant Général Arthur Trudeau, chef de la
section des R&D de l’Armée Américaine. Celui-ci avait la responsabilité de 3000 personnes travaillant
sur différents projets plus ou moins avancés.Une partie du travail de Corso était celle d'un officier de renseignement et de conseiller pour le
Général Trudeau. C'était un travail qu'il connaissait bien pour l'avoir pratiqué pendant la Guerre de
Corée. Au Pentagone, il travaillait sur les sujets les plus secrets, il avait accès à tous les documents
classifiés et en faisait part au Général TrudeauMais en plus de toutes ces tâches, Corso eût la responsabilité du secret le mieux gardé : les Dossiers
sur Roswell qui traitent de la récupération de l’épave et des bris d’une soucoupe volante qui s’est
crashée à Roswell au Nouveau Mexique, ainsi que de toute la collecte d’informations par l'équipe du
509ème Groupe à Roswell.
Le dossier Roswell constitue tout l’héritage de ce qui s'est passé dans les heures et les jours qui
suivirent le crash ainsi que toute la censure (cover-up) mise en place ensuite par le Gouvernement.Corso lut différents rapports militaires sur différents crashs à différents endroits à proximité de la zone
militaire de Roswell, comme San-Augustin ou Corona ainsi que d'un site en ville.
Tous ces rapports étaient classifiés et donc Corso n’en fit aucune copie et ne conserva aucun de ces
rapports après son départ de l'Armée.En 1961, les informations top-secrètes sur Roswell arrivèrent en possession de Corso à son bureau
des R&D. Le Général Trudeau voulait que celui-ci incorpore la technologie de Roswell dans les
développements d'armes en cours. Aujourd'hui, les lasers, les circuits intégrés, la fibre optique, le
faisceau à particules accélérées et le Kevlar dans les gilets "pare-balles" en proviennent.(...)Le vaisseau de Roswell et les créatures E.T.
(...) Les militaires installèrent des projecteurs reliés à un générateur autour du site pour compléter
l'éclairage des lampes-tempête. Sous cette lumière, Arnold put voir que l'objet avait une forme d'aile
delta. Il était en un seul morceau même si l’avant était profondément enfoncé dans le sol et que sa
queue pointait en l’air. Avec toute cette lumière, le terrain ressemblait à un terrain de football avant
une nocturne.
Pour Arnold, ça ressemblait plutôt à un atterrissage forcé parce que l'appareil était intact même s’il
avait une fissure sur toute sa longueur et qu'il faisait un angle de 45° avec le sol. Il ressemblait plus à
une aile volante qu'à une soucoupe volante. Il était petit et avait deux ailerons de queue qui pointaient
vers le haut et vers le baces gens ?" entendit dire Arnold, alors que l'équipe médicale approchait, avec des brancards, près de
la lacération, du vaisseau, à travers laquelle les corps avaient, apparemment été, éjectés.
Arnold regarda autour du périmètre de lumière et vit une autre créature immobile et une autre encore
appuyée contre un petit monticule de sable. Il y avait cinq créatures à côté de la lacération dans
l'appareil. Les techniciens constatèrent l'absence de radiations et les médecins accoururent vers les
corps avec leurs brancards.
Arnold regarda à travers la déchirure du vaisseau et leva les yeux. De l’intérieur, c'est comme s'il
faisait jour à l’extérieur. Pour être sûr, Arnold jeta un oeil à l'extérieur et il faisait trop sombre pour
appeler cela l'aube, mais à travers l'appareil, Arnold pouvait voir de la lumière. Pas celle de l'aube ou
celle des projecteurs, mais néanmoins de la lumière.(...)"Hé ! il y en a un de vivant ! " entendit Arnold, et il se retourna pour voir une des petites créatures se
démener sur le sol. Avec le reste des médecins, il courut vers elle et la regarda frémir et pousser un
cri qui résonnait non pas dans l'air mais dans son cerveau. Il n'entendit rien avec ses oreilles mais
ressentit comme une onde de folie alors que la créature se convulsait par terre en tournant la tête d'un
côté à l'autre comme si elle étouffait.
C'est là qu'il entendit le cri d'une sentinelle, " Hé ! Toi !", il se retourna vers le côté opposé du site qui
se trouvait dans l'obscurité." Halte ! " hurla la sentinelle à la petite créature qui essayait de grimper
désespérément par-dessus la butte." Halte ! " hurla à nouveau la sentinelle tout en brandissant son
arme. D'autres soldats coururent vers la colline alors que la créature glissait dans le sable et
recommençait à grimper.
" Non ! ". Trop tard un des officiers avait tiré. Arnold ne put voir lequel avait tiré mais il était trop tard. Il
y eut une salve de coup de feux provenant des soldats nerveux et la petite créature roula sur le sol,
comme une poupée, sous l'impact des balles.(...)Dwyer, qui connaissait le personnel de Roswell, reconnut Jesse Marcel. Il vit aussi les débris à
l’arrière des camions. Dwyer descendit de son camion et contourna la ligne de soldats dans la zone
sombre. Il y avait tellement de remue-ménage que Dwyer se doutait que personne ne ferait attention à
lui pendant qu'il jetait un oeil.
Il alla derrière un camion et regarda directement dans les yeux de la Créature attachée sur le
brancard. Elle n'était pas plus grande qu'un enfant, pensa t'il, mais ce n'était pas un enfant. Une tête
en forme de ballon et disproportionnée. Elle ne ressemblait pas à un humain bien qu'elle ait des
caractéristiques humanoïdes. Ses yeux étaient larges, noirs et inclinés. Ses oreilles étaient juste des
petites rainures sur les côtés de la tête. Sa bouche et son nez étaient très petits. La couleur de la
créature était marron-gris et elle était complètement chauve.
Elle le regarda comme un animal pris au piège qui demande de l'aide. Elle ne produisait aucun son
mais Dwyer comprit qu'elle savait qu'elle était en train de mourir.(...)"Ce n'est jamais arrivé " décréta l'Armée.
Quelques-uns des témoins déclarèrent avoir eu des séances d'intimidations par des Militaires de
Roswell. Parmi eux, la fille de Dan Dwyer, se rappelle la visite d'un officier avec des lunettes noires,
dans sa cuisine, il lui dit que si elle racontait quelque chose, elle et sa famille disparaîtraient dans le
désert.(...)Corso posa sa lampe et commença à retirer les clous qui avaient visiblement déjà été retirés. Il fit
glisser le couvercle le long de la caisse, reprit sa lampe et jeta un coup d'oeil à l'intérieur.
Son estomac se retourna et Corso se figea. Cette caisse était une sorte de cercueil, mais un cercueil
comme il n'en avait jamais vu. L'intérieur était entouré d'une sorte de paroi en verre et était rempli d'un
liquide bleu lumineux, un peu comme un gel. La chose flottait et brillait comme la peau d'un poisson.
Au début, Corso pensa que c'était le cadavre d'un enfant qu'ils emmenaient quelque part, mais ce
n'était pas un enfant.
Cela avait une forme humaine, de 120 cm de haut, avec des bras, des jambes, des pieds, et une tête
énorme. Corso toucha la peau grise, mais cela ressemblait plus à une sorte de vêtement en une seule
pièce qu'à de la peau.
Ses yeux avaient dû rouler dans leurs orbites parce qu'il ne put voir de pupilles ou d'iris. Ces yeux
étaient démesurés et pointaient vers le bas, de chaque côté du très petit nez. Cela ressemblait à un
nez de bébé. La chose n'avait pas d'oreilles, pas de pommettes saillantes, pas de sourcils et aucuns
cheveux.
Elle avait une bouche très fine et fermée, ressemblant plus à un pli qu'à un orifice fonctionnel. Le
corps n'avait aucun dommage et aucune indication qu’il ait été impliqué dans un accident. Il n'y avait
pas de sang, pas de coupures. Dans le conteneur, Corso trouva un document des Services de
renseignement militaires qui décrivait la créature comme étant un occupant d'un vaisseau qui s'était
écrasé à Roswell, Nouveau Mexique, ce week-end, et envoyé à la base de Wright Field puis à la
morgue de Walter Reed. Corso remit le document dans la caisse. À cause du temps perdu à examiner
la chose, il avait raté certains points de contrôles de sa garde mais personne, apparemment, ne le
remarqua le lendemain.
Corso espérait avoir vu une sorte de mutation humaine due à la radioactivité. Il savait qu'il ne pouvait
parler de cela à personne et espérait ne jamais revoir ça. Il tenta d’imaginer l'origine de la ‘chose’ :
expérience génétique Nazie, monstre de cirque mort mais il savait que cela ne pouvait être qu'une
seule chose : un Extraterrestre.(...)OVNIs-généraux-pilotes-officiels-parlent - Leslie Kean
Les matériaux retrouvés sur le lieu du crash de Roswell
D'abord, il y avait un filament clair et flexible composé de fils, ressemblant à du verre, entortillés dans
une espèce de gaine grise comme s'ils c’étaient des câbles de jonction.
C'étaient des filaments étroits, plus fins que des fils de cuivre. Quand Corso tenait la gaine à la
lumière du bureau, il pouvait voir une lueur passer au travers comme s'ils la transportaient et la
cassaient en différentes couleurs.
Quand le personnel trouva ceci à côté de l'épave, ils ont dû penser que c’était un relais électrique.
Ensuite, il y avait le mince morceau gris mat, en forme d'ouvre huître de 5 cm de diamètre qui
ressemblait à du plastique mais qui révélait de minuscules empreintes de fils électriques, à peine en
relief à la manière d’un réseau routier sur sa surface.
Ces traces avaient la taille d'une pièce de 25 cents, mais la gravure qui en résultait rappelait à Corso
celle de corps d'insectes plaqués/écrasés à sa surface, en raison des centaines de pattes étalées qui
en partaient à angle droit. Quelques unes de ces formes étaient arrondies et d'autres elliptiques.
C'était un circuit, comme il était possible de le constater à travers une loupe, mais un circuit inconnu
de Corso. C'était un morceau de circuit qui provenait d'un grand tableau de bord du vaisseau.
Corso était aussi intéressé par un dossier descriptif qui accompagnait deux pièces d'une sorte de
peau noire. Comme une lentille d’oeil, de forme elliptique.
Les médecins pathologistes de Walter Reed prétendaient que ces lentilles adhéraient aux yeux des
Créatures extraterrestres et semblaient réfléchir la lumière existante. Même s'il faisait sombre, cela
illuminait et intensifiait les images afin de permettre aux porteurs de voir les objets. Les rapports
disaient que les médecins pathologistes de l'Hôpital de Walter Reed qui avaient pratiqué l'autopsie
d'une de ces créatures, avaient essayé de regarder au travers en pleine nuit pour voir les sentinelles
et les aides médicales marcher dans un corridor adjacent au laboratoire.
Les silhouettes étaient illuminées d'une lueur orange, selon la façon de tenir ces lentilles. Les
médecins pathologistes ne pouvaient voir que les silhouettes mais avec les lentilles, ils pouvaient voir
les rangées de fournitures accrochées aux murs et les objets sur les bureaux.
Corso pensa que peut-être les soldats pourraient porter une lunette de vision qui intensifierait les
images afin de permettre la navigation dans l'obscurité. Ces choses ne transformaient pas la nuit en
jour, elles illuminaient seulement les silhouettes des objets.
Il y avait une feuille argentée, terne, que l’on pouvait tordre, plier, comprimer et qui reprenait sa forme
originale, sans aucuns plis. C'était une fibre métallique qui avait les caractéristiques de ce qui
s’appellerait plus tard, "Super Résistant ". Quand Corso essayait de couper la feuille avec des
ciseaux, les lames glissaient dessus. Les fibres semblaient aller dans une même direction.
Pour Corso, c'était un vêtement avec des fibres métalliques, qui avait la douceur et la malléabilité d'un
tissu et la force et la résistance d'un métal.
Il y avait une description et un croquis d’un autre objet. Comme une sorte de lampe torche avec sa
propre source d'énergie qui n'était pas une pile.
Les Scientifiques à Wright Field qui l’avaient examiné disaient qu'ils ne pouvaient pas voir le rayon de
lumière sortir de l'objet mais que lorsqu'ils le tenaient face à un mur, ils pouvaient voir un petit rond
rouge de lumière sur celui-ci. Quand ils faisaient passer un objet entre le mur et la lampe, le rayon
était si intense que l'objet commençait à fumer. Ils jouèrent longtemps avec avant de comprendre que
c'était un couteau extraterrestre.
Lorsque de la fumée passait dans le rayon, celui-ci devenait tout à coup visible.
Pourquoi les occupants du vaisseau avaient un couteau de cette sorte ? C'est plus tard que Corso, en
lisant des rapports militaires sur les mutilations de bétail durant lesquelles des organes étaient retirés
sans traumatisme des tissus, réalisa que le rayon de lumière était un scalpel qui avait été utilisé par
les Extraterrestres lors d'expériences médicales sur les troupeaux.
Il y avait un objet étrange, une sorte de bandana qui avait des connexions électriques sur une face.
Peut-être récupérait-il les ondes cérébrales comme un encéphalogramme. Mais aucune expérience
ne prouva qu'il faisait quelque chose d'équivalent. Les Scientifiques ne savaient pas comment l'utiliser
et ne savaient pas qu'elle en était la source d'énergie.(...)8 – L'E.B.E.(Entité Biologique Extra-terrestre) - (p.31-32)
Les EBE sont décrites dans les rapports d'autopsies plutôt comme des robots humanoïdes que
comme une forme de vie. Vie fabriquée spécialement pour les voyages longue distance dans l'espace
et le temps.
En été, Corso fit son premier rapport pour le Général Trudeau. Et quel rapport ! Il donnait le ton pour
tous les autres ainsi que les recommandations que ferait Corso pour le Général pendant les deux
années suivantes. Ce rapport commença avec la plus grosse trouvaille : les Extraterrestres euxmêmes.
Les rapports médicaux et les photos, qui se trouvaient devant Corso, lui suggéraient que la Créature
était remarquablement adaptée à un long voyage spatial.
Par exemple, le temps biologique.
Les médecins de Walter Reed émettaient l’hypothèse que le temps devait passer très lentement pour
cette Entité parce qu'elle possédait un métabolisme très lent, mis en évidence, disaient-ils, par les
énormes capacités du coeur et des poumons. La physiologie de cette créature indiquait que ce n'était
pas une créature qui avait un corps devant travailler dur pour se sustenter. Un gros coeur impliquait
qu'il battait moins vite qu'un coeur humain pour conduire le fluide, comme du fluide lymphatique, à
travers un système circulatoire limité, primitif et de capacité réduite.
Le résultat devait être que l'horloge biologique battait moins vite que celle d'un humain et
probablement permettait à la créature de voyager sur de grandes distances dans un temps biologique
plus court que celui d'un humain.
Le coeur était en état de décomposition avancé au moment où les chercheurs de Walter Reed avaient
mis la main dessus. Ils pensaient que l’atmosphère Terrestre était légèrement toxique pour les
organes de la Créature. Le personnel médical du 509e Groupe avait rapidement mis dans un gel de
préservation une de ces créatures : ce que Corso avait vu des années auparavant.
Les médecins pathologistes de Walter Reed furent incapables de déterminer avec certitude la
structure du coeur de la créature excepté qu'il fonctionnait comme une réserve passive de sang ainsi
que comme une pompe qui ne travaillait pas de la même façon qu'un coeur humain. Ils disaient que le
coeur de l'Extraterrestre semblait avoir un diaphragme musculaire interne qui devait travailler plus dur
qu'un coeur humain parce que les créatures devaient survivre dans une zone de gravité réduite, en
tout cas, telle que la gravité est comprise actuellement.
Comme les chameaux stockent l'eau, la Créature stockait une atmosphère respirable dans ses
poumons de grande capacité. Ces poumons travaillaient comme un réservoir d'essence, envoyant
l’atmosphère, très lentement, dans le système de la Créature.
À cause de son gros coeur et de la capacité de ses poumons, les Chercheurs croyaient que ça
permettait de réduire le transport d'un volume important d’atmosphère pendant le voyage. Les
créatures ne faisaient que 120 cm de haut et les poumons occupaient une grande partie de la cage
thoracique. Cela indiquait aussi que peut-être la créature était spécialement conçue pour les voyages
de longues distances.
Ils pensaient que le coeur et les poumons étaient "Bio-fabriqués" et donc le squelette aussi.
Bien qu'elle soit en état de décomposition avancée, les os de la Créature ressemblaient à de la fibre.
Ils étaient comparables aux os humains tels que : côtes, sternum, clavicules et pelvis. Les
pathologistes spéculèrent sur les os qui étaient plus flexibles que ceux d'un humain et plus résistants.
Ceci pouvait avoir pour but d'absorber les chocs. Les créatures semblaient bien adaptées, avec ce
type de squelette, aux chocs et aux forces extrêmes.
L'équipe de récupération, à Roswell, avait signalé que deux Créatures vivantes après le crash avaient
des difficultés pour respirer notre atmosphère. Peut-être était-ce dû au fait qu'elles avaient été
éjectées de leur vaisseau, non protégées de notre gravité ou de notre atmosphère. Personne ne le
savait. Personne ne savait non plus si la créature morte peu après le crash était morte à causes des
blessures causées par les armes des sentinelles ou pour d'autres raisons. Les témoins militaires
racontèrent des histoires différentes à propos de la Créature qui survécut et qui essaya de s’échapper.
Certains disaient qu'elle luttait pour respirer, d'autres disaient qu'elle agonisait uniquement après avoir
été "flinguée" par les sentinelles. Corso pensa que c'était peut-être la forte gravité de la Terre qui
l’avait d'abord fait paniquer. Ça pouvait expliquer sa respiration laborieuse. Puis après avoir été
"flinguée", elle avait de la peine à respirer en raison de ses blessures. Le rapport médical ne
mentionnait rien à propos de gaz toxique ou d'une atmosphère quelconque que la Créature aurait pu
respirer.
Si le vaisseau de Roswell était un appareil de surveillance, comme le pensaient des Chercheurs à
Wright Field, alors il est probable que les Créatures n'avaient pas l'intention de quitter ce vaisseau.
C'était un vaisseau équipé avec un appareillage capable de percer la nuit en utilisant la différence de
température des objets pour créer une image visuelle permettant aux occupants du vaisseau de voir
dans l'obscurité. Et parce qu'il pouvait apparaître et disparaître des écrans radars, les chercheurs
pensaient que les Créatures restaient simplement à l'intérieur du vaisseau et observaient.
Peut être que d'autres types de vaisseaux de la même culture étaient équipés pour atterrir ou
effectuer des missions à l'extérieur ce qui permettaient à l'équipage de sortir sans conséquences
aucunes. Les médecins ne spéculèrent pas là-dessus.
Ce qui intrigua ceux qui inspectaient le vaisseau, une fois envoyé à Wright Field, c'était la totale
absence de nourriture et de moyens pour la préparer. Il n'y avait aucun garde-manger à bord. À
l'époque ou le voyage dans l'Espace était de la science-fiction, les analystes militaires étaient toujours
au travail pour formuler des idées sur la façon d’intégrer cette technologie. Ce n'était pas pour voyager
vers d’autres planètes mais pour naviguer autour de la Terre. Si vous voulez mettre des hommes en
orbite terrestre, comment allez-vous gérer leurs déchets, fournir l’oxygène adéquat et les nourrir
pendant des périodes prolongées ?
Après avoir développé un véhicule assez puissant pour mettre un vaisseau en orbite autour de la
Terre, le garder assez longtemps pour qu'il puisse effectuer sa mission était le problème suivant.
Le vaisseau de Roswell semblait avoir résolu ce problème, mais il n'y avait aucune indication sur la
façon de préparer la nourriture et comment gérer les déchets.
Il y avait beaucoup de spéculations de la part des Chercheurs à propos de la composition de ces
créatures et de ce qui pouvait les nourrir. D'abord, les médecins étaient plus intéressés par les
similitudes entre les Créatures et les humains que par les différences. Plutôt qu'une apparence
hideuse d'insecte ou de reptile mangeur d'homme comme dans "La Guerre des mondes", ces
Créatures ressemblaient à de petites versions d'hommes, différentes voilà tout. C'était sinistre.
Bien que les médecins n'aient pas pu définir les fonctions chimiques de leurs corps, ils avaient
déterminé qu'elles ne contenaient pas de nouveaux organes. Le rapport que Corso avait en sa
possession suggérait une nouvelle organisation des organes qui nécessitait une plus ample
évaluation avant de formuler une opinion. Un intérêt spécifique en était le fluide qui servait de sang à
la Créature mais qui servait aussi à réguler les sécrétions glandulaires de façon plus marquée que
dans un corps humain. Pour ces entités biologiques, les systèmes sanguins et lymphatiques
semblaient combinés. Si un échange nutritionnel se produisait entre ces deux systèmes, cet échange
pouvait seulement prendre place à travers la peau de la Créature parce qu'elle ne possédait ni
organes digestifs ou intestinaux.
Le rapport médical révélait que les créatures étaient recouvertes d'une pellicule protectrice, d’un seul
tenant, une autre peau dans laquelle les atomes étaient alignés afin de fournir une meilleure
résistance tissulaire et une grande flexibilité. Un examinateur décrivit que ceci lui rappelait une toile
d'araignée. Ça semblait très fragile mais était très résistant. La qualité unique de la toile d'araignée
provient de l'alignement de ses fibres qui permet de résister à une grande pression.
Le vêtement, ou seconde peau, de la créature avait été littéralement tissé autour de son corps, lui
fournissant une parfaite peau protectrice. Les médecins n'avaient jamais rien vu de tel.
L'alignement des fibres du vêtement suggérait aux médecins qu'il pouvait aussi protéger le porteur
des rayons cosmiques qui bombardent tout vaisseau évoluant dans l'espace. Les organes internes
semblaient si fragiles et si grands que les médecins de Walter Reed pensaient que sans ce vêtement,
la Créature aurait été trop vulnérable au constant bombardement de particules d'énergie. Tout
voyageur de l'espace subirait, sans protection, le même sort : il cuirait comme dans un four à microondes.
Le bombardement de particules à l'intérieur du vaisseau serait si intense qu'il accélérerait la
structure atomique de la Créature et la chaleur résultante l’aurait littéralement cuit.
Les médecins étaient fascinés aussi par la peau interne de cette Créature. Elle ressemblait à une
couche de peau de tissus gras comme ils n'en avaient jamais vu auparavant. Elle était, de plus,
complètement perméable comme si elle faisait constamment des échanges chimiques avec les
systèmes sanguin et lymphatique. Était-ce la façon dont la Créature se nourrissait et la façon dont les
déchets étaient gérés ?
La très petite bouche et l'absence de système digestif, troublèrent les Chercheurs, au début, parce
qu'ils ne savaient pas comment ces Créatures se nourrissaient. Mais leurs hypothèses selon
lesquelles les processus chimiques de la peau et peut-être même le « gaspillage chimique » lors de la
circulation, pouvaient peut-être expliquer l'absence de moyens pour la gestion de nourriture et
l’absence de déchets dans le vaisseau.
Corso pensait que ces Créatures n'avaient pas besoin de nourriture ou de toilettes parce qu'elles
n'étaient pas des formes de vies, juste une sorte de robot ou d'androïde. Une autre explication
suggérée par les ingénieurs de Wright Field était que ce vaisseau devait être juste un petit vaisseau
qui ne s'éloignait pas trop d'un plus gros. Le métabolisme démontrait qu'elles pouvaient survivre
pendant des périodes prolongées en se nourrissant d'une petite ration alimentaire jusqu'à leur retour à
la base. Ni les ingénieurs, ni les médecins n’avaient d’explication sur l'absence de toilettes à bord du
vaisseau.
Personne ne concevait le circuit des excréments. Corso pensait que la peau de la créature était plus
ressemblante à une écorce de plante qu'à de la peau humaine. Cela pouvait expliquer l'absence de
nourriture et de toilettes. Une attention toute particulière fut apportée, lors de l'autopsie, au cerveau de
ces Créatures, leurs tailles, nature et anatomie.
Des témoins lors de la récupération du vaisseau, avaient signalé l'impression de recevoir des
sensations de la Créature mourante. Sensations de douleurs et de souffrances. Personne n'entendit la
Créature produire un son, les sensations pouvaient être de la télépathie. Les témoins avaient déclaré
qu'ils n'avaient pas entendu de mots distincts dans leurs cerveaux, juste des sensations, plus simples
que des phrases mais aussi plus complexes parce que ces mêmes témoins étaient capables de
prendre part, non seulement à la souffrance de cette Créature, mais aussi à son désarroi, comme si
elle pleurait les autres qui avaient péri dans le vaisseau.
Les médecins pensaient que le cerveau extraterrestre, disproportionné en relation au cerveau humain
et à la taille de cette Créature, était constitué de quatre parties. Les Créatures étaient mortes et leurs
cerveaux avaient commencé à se décomposer. Même avec ces Créatures vivantes, la technologie
médicale de 1947 n'aurait rien fait de plus, faute des scanners à ultrasons des laboratoires
d'aujourd'hui. Les médecins n'avaient pas de moyens pour évaluer la nature des lobes ou des
"sphères" comme ils les appelaient dans un rapport. Excepté la grande interrogation sur la nature du
cerveau et de son pouvoir psycho-kinétique, les rapports étaient très légers en véritables données.
Une des preuves possibles de la manière de travailler des cerveaux extraterrestres était ce que Corso
appelait dans ses rapports : "Le bandana".
Cet objet ressemblait à un bandeau de tête sans aucun ornement ou décoration. Fabriqué dans une
sorte de plastique flexible avec des senseurs et des contacts électriques similaires à ceux d'un
électroencéphalogramme.
Cet élément était placé autour du crâne de l'Extraterrestre, juste au-dessus des oreilles, à l'endroit où
le crâne commençait à s'enfler pour contenir le gros cerveau. En ce temps-là, les rapports de Wright
Field indiquaient que les ingénieurs pensaient que ça pouvait être une sorte d'appareil de
communication, comme le micro des pilotes pendant la Deuxième Guerre Mondiale.
Inutile de dire que pendant les quelques heures durant lesquelles cet objet s'était trouvé à Walter
Reed, plus d'un officier du 509e Groupe l’avait mis autour de la tête pour voir ce que ça produisait. Au
début, ça ne faisait rien. Il n'y avait pas de boutons, pas d'interrupteurs, pas de fils électriques, rien qui
ne puisse suggérer que c’était un panneau de contrôle.
Personne ne savait comment l'allumer ou l'éteindre. Cette bande n'était pas vraiment ajustable bien
qu'elle soit assez élastique pour s'adapter à toutes les têtes. Toutefois, les rapports indiquaient que
quelques Officiers qui avaient un tour de tête assez large pour l’avoir en contact avec toute la surface
du crane avaient eu le choc de leur vie.
Les Officiers signalèrent comme une sensation de picotement dans le crâne et un impressionnant
ballet de couleurs changeantes et qui explosaient sous les paupières alors qu'ils le tournaient autour
de la tête et posaient les capteurs à différents endroits du crâne.
Ces rapports de témoins suggéraient à Corso que ces senseurs stimulaient différentes parties du
cerveau et en même temps échangeaient des informations avec le cerveau. Cet objet était un
système sophistiqué pour traduire les impulsions électriques, du cerveau des Extraterrestres en
ordres spécifiques de fonctionnement. Peut-être cela permettait-il de gérer les systèmes de propulsion
et de navigation du vaisseau.
C'est seulement lorsqu'ils développèrent le projet de recherche sur les ondes cérébrales que Corso
comprit ce qu'ils possédaient et comment il devait être développé. Cela prit très longtemps pour
récolter les fruits de cette technologie mais 50 ans après Roswell, des versions de ce système sont
devenues un composant du système de navigation de quelques uns des hélicoptères les plus
sophistiqués et plus tard une interface électronique pour les jeux sur ordinateurs individuels.
Les ingénieurs du 509e Groupe étaient aussi surpris par l'absence de contrôles traditionnels et de
système de propulsion dans le véhicule crashé. D'après ces rapports et les objets, Corso imagina que
les clefs pour comprendre ce qui faisait bouger et ce qui dirigeait le vol du vaisseau n'était pas dans le
vaisseau lui-même mais dans la relation entre les pilotes et le vaisseau. Avec l’hypothèse d'un
système de guidage par ondes cérébrales, cela démontrait un concept de guidage de vol
révolutionnaire dans lequel le pilote était le système. Corso pensait que c’était de cette façon que se
faisait la navigation du vaisseau, avec une relation directe entre les ondes cérébrales du cerveau des
pilotes et les systèmes de contrôles.
Les ondes cérébrales étaient interprétées par le ‘bandana’ qui servait d'interface. Corso ne reçut
jamais de copie de l'autopsie de l'extraterrestre que la Navy avait reçu du Général Twining. Il avait
seulement lu les rapports militaires. Initialement, les cadavres furent stockés à Wright Field, puis ils
furent envoyés dans d'autres services. Quand l'Air Force devint une branche à part de l'Armée, les
corps stockés à Wright Field, ainsi que le vaisseau, furent envoyés à la base de Norton, Californie où
l'Air Force commença ses expériences pour dupliquer la technologie du véhicule.
L'Air Force étudia les capacités de vol du vaisseau et comment s’en défendre.
Ces expériences eurent lieu à Norton, puis finalement, à Nellis, Nevada, au fameux site de Groom
Lake où la technologie Stealth fut développée. L'Armée n'était intéressée que par les systèmes
d'armements à bord du vaisseau et leur réutilisation possible dans ses propres installations.
Le vaisseau original de Roswell resta à Norton où l'Air Force et la CIA maintinrent une sorte de musée
extraterrestre. Mais les expériences sur la réplique du vaisseau extraterrestre continuèrent pendant
les années durant lesquelles les Ingénieurs cherchèrent à adapter les systèmes de navigation et de
propulsion à la technologie actuelle et ça continue encore..
Corso n'a jamais vu le vaisseau à Norton mais il vit assez de rapports passer dans son bureau pour
savoir quel en était le secret et comment il était mû. Il n'y avait pas de système de propulsion
conventionnel pour expliquer le vaisseau de Roswell. Il n'y avait pas de moteur nucléaire, pas de
fusées, pas de réacteurs. Certains du R&D cherchèrent à adapter le système de guidage du vaisseau
à la technologie actuelle. Mais des années 1960 aux années 1970, ils échouèrent pour le rendre
opérationnel. Le vaisseau de Roswell était capable de déplacer la gravité à travers la propagation
d'ondes magnétiques. Une fois ceci découvert, les Ingénieurs cherchèrent comment le vaisseau
pouvait contenir sa capacité électrique et comment les pilotes pouvaient vivre à l'intérieur d'un champ
magnétique.
Le résultat ne serait pas seulement une grande découverte, mais aussi des bénéfices chiffrés en
milliards de dollars au travers de contrats de développements pour une nouvelle génération
d'appareils militaires aériens et de sous-marins.
Les premières révélations sur la nature du vaisseau et son interface avec le pilote arrivèrent très
rapidement pendant les premières années de tests à Norton. L'Air Force découvrit que le véhicule
entier fonctionnait comme un conducteur géant. Le vaisseau stockait lui-même l'énergie nécessaire
pour propager la vague magnétique afin de le soulever afin qu'il puisse atteindre des vitesses
supérieures à 7000 km/h.
Les pilotes n'étaient pas affectés par la force G durant l'accélération parce qu'à l'intérieur du vaisseau,
tout se passait comme si la gravité était pliée autour de l'onde développée par le vaisseau. C'était
peut-être comme voyager à l'intérieur d'un ouragan. Mais comment l'interface travaillait-elle entre les
pilotes et l'onde générée ?
Corso écrivit dans son rapport à Trudeau que le secret de ce système pouvait se trouver dans le
vêtement que portait les créatures. Ces créatures n'étaient pas simplement les pilotes d'un véhicule,
elles étaient partie intégrante du circuit électrique de ce véhicule, le déplaçant de la même façon que
l'on bouge un muscle. Le vaisseau était simplement une extension de leurs propres corps parce qu'il
était lié à leurs systèmes neurologiques. Donc ces créatures étaient capables de survivre de manière
prolongée à l'intérieur d'un haut champ d’énergie en devenant le circuit primaire de contrôle de l'onde.
Elles étaient protégées par leurs vêtements qui les recouvraient de la tête aux pieds. Leurs vêtements
les rendaient capables de faire un avec le vaisseau, de faire partie de l'onde. En 1947, c'était une
technologie si nouvelle qu'elle était effrayante et frustrante. Si les Américains pouvaient reproduire
seulement la source d'énergie de l'appareil, ils obtiendraient une technologie qui dépasserait toutes
les formes de propulsions à réactions classiques.
C'est ce qu'ils essayent encore de faire aujourd'hui, 50 ans après le crash de Roswell.
Corso voulait commencer son propre rapport avec les rapports d'autopsies des Extraterrestres et
ensuite sur ce qu'ils pouvaient comprendre de la technologie du vaisseau spatial.
Corso entra dans le bureau du Général Trudeau et dit : "Voici le rapport que vous attendez, mon
Général".
Ce rapport contenait bien plus que Trudeau ne le pensait parce que le sujet était nouveau et
compliqué. Corso savait qu'il traitait de quelque chose qui pouvait changer le monde. Il était dans les
R&D et avait la responsabilité de ce matériel comme le Général Twining l’avait prédit, 50 ans plus tôt.
Corso avait trouvé des pièces d'un puzzle pour une nouvelle ère de technologie. Pendant des années,
les Scientifiques avaient imaginé ce que pourrait être un voyage dans l'espace, spécialement depuis
que les Russes avaient lancé Spoutnik. Les plans pour une base militaire lunaire étaient développés
par l'Armée dans les années 50 sous la responsabilité du Général Arthur Trudeau mais cela avait été
stoppé en raison de la création de la NASA. Ces plans avaient pour but de se confronter avec les
problèmes de voyage dans l'Espace. Mais le vaisseau montrait qu'une race extraterrestre s'était
adaptée elle-même au voyage dans l'espace, aux différentes gravités, aux rayons cosmiques et aux
ondes magnétiques.
Tout ce qu'avaient à faire les R&D, c'était utiliser les vastes ressources militaires et industrielles à leur
disposition pour récolter les fruits de cette technologie.(...)Le témoignage du fils du Colonel Philip J. CORSO (US Army) – Philip Corso Jr. 1
(Tome 2 – Steven Greer - Révélations)
Le Colonel Philip J. Corso avait été Officier du Renseignement Militaire, et 21 ans dans l'armée. Il a déclaré avoir vu les ETs décédés du crash de Roswell en 1947, et vu au radar des engins se déplacer à 7500 km/h. Son travail était « d'ensemencer » l'industrie avec les technologies récupérées sur les crashs d'engins ET, en disant qu'elles provenaient d'autres pays de la planète.
Le Colonel Corso raconta à son fils Philip Corso Jr. sa rencontre dans le Red Canyon avec un être Extranéen (ET), au Nouveau-Mexique, alors qu'il commandait un bataillon de missiles. Le Colonel en avait parlé avec le Pdt Eisenhower, S. Thurman et Edgart Hoover, le FBI, la CIA et des membres de l'Etat Major. Cela s'est passé en 1957, dans une grotte, dans le désert près de White Sands. Il se reposait au frais dans la grotte, quand il perçut une présence. Il braqua son revolver et demanda : « Ami ou ennemi ? ». L'être répondit : « Ni l'un ni l'autre ». Ce message lui arriva télépathiquement. L'être portait un casque et un bandeau avec un gemme (genre pierre précieuse) au milieu. Il demanda au Colonel de couper ses radars pendant 15 mn. Celui-ci lui demanda à son tour ce qu'il avait à y gagner, et le visiteur répondit : « Un nouveau monde si tu es capable de l'imaginer ».
Le Colonel sortit de la grotte et donné l'ordre de couper le radar. En sortant il vit le visiteur lui faire un signe de la main, geste amical qu'il lui rendit. Plus tard ses radars détectèrent un objet volant qui évoluait à 5500 km/h. Il alla enquêter tout seul dans le désert et trouva un engin, totalement lisse, de forme ovale (cigare), qui était fiché dans la paroi qui apparaissait et disparaissait tour à tour. Puis l'objet se mit à vibrer, le Colonel prit peur et partit à reculons. L'engin s'éleva alors à grande vitesse dans les airs, entouré d'une enveloppe vaporeuse, puis disparut. Il restait des traces de pas sur le sol, autour de l'engin.
Il avait déjà examiné des objets provenant de crash d'ovnis. Le métal ne pouvait ni être percé, ni plié, ni froissé, ni soudé. Et quand ils l'ont soumis à un courant électrique, il est devenu transparent, et l'on pouvait alors le découper et le détruire. Il déclare avoir eu en main bien plus tard, le premier circuit intégré . C'était une plaquette multicouches avec une sorte de fenêtre au milieu, et en se concentrant sur cet objet, on pouvait le faire luire, et il émettait alors une lumière bleue. L'objet comportait également des lumières faites de fibres optiques. Quand on les prenait dans la main, ces fibres se mettaient à luire. Ces matériaux peuvent apparemment s'aligner au point de vue atomique avec leur manipulateur et devenir opaques. Le Colonel disait que c'était en fait une guerre « extra-planétaire » qui se jouait et se joue toujours d'une façon cachée et opaque, sous le couvert de développements scientifiques courants.
Source du résumé : Steven Greer - Révélations, tomes 2, p. 247 et 237, Nouvelle Terre, 2010.
Colonel Philip J. CORSO
Dans cette vidéo, Mr Paul Hellyer (Ancien Ministre de la Défense du Canada),
parle du témoignage du Colonel CORSO
VOIR ICI LE FICHIER PDF DU LIVRE SUR L'ENTRETIEN DE Matilda O’Donnell MacElroy (infirmière)
avec l'un des Etres de Roswell nommé "Airl"
Des citations de personnages officiels
Harry S. Truman - Président des États-Unis d'Amérique 1945 / 1953
"Je peux vous assurer que les soucoupes volantes, si tant est qu'elles existent, ne sont construites par aucune puissance terrestre."
4 avril 1950 (lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche)
"Ces phénomènes inexpliqués ne sont ni une arme secrète, ni une fusée, ni un nouveau type d'avion d'essai."
12 mai 1962 dans un discours devant l'Académie Militaire des Etats-Unis.
Henry Kissinger - Secrétaire d'état US - Prix Nobel de la paix 1973
"Aujourd'hui, les américains seraient outrés si les troupes des Nations Unies entraient dans Los Angeles pour rétablir l'ordre. Demain, ils leur en seront reconnaissants! Ceci est spécialement vrai si on leur disait qu'il existe une menace extérieure, réelle ou fictive, mettant en péril notre existence même. Alors tous les peuples du monde supplieront leurs dirigeants de les délivrer de ce mal. Tout le monde craint l'inconnu. Quand les gens connaîtront ce scénario, ils abandonneront leurs droits individuels en échange de la protection de leur bien-être par les gouvernements. Il me semble évident que les gens ne sont pas prêts à entendre tout ce que savent certains de nos dirigeants(là encore, une preuve que l'on nous cache la vérité et que les Ovni ne sont pas un simple délire d'ado regardant trop X-files). Peut-être que nos visiteurs extraterrestres peuvent décider qui est prêt pour la vérité et qui ne l'est pas. Peut-être est-ce une question de choix individuel."
21 mai 1992 Evian
Sénateur Barry Goldwater - Général de Brigade de réserve de l'US Air Force - Candidat à la présidence
"Je crois vraiment qu'il y a des extraterrestres dans l'espace. Il ne nous ressemblent peut-être pas, mais j'ai le sentiment très fort qu'ils se sont développés bien au-delà de nos capacités mentales."
"Il est vrai que l'on m'a refusé l'accès d'un complexe sur la base de Wight-Patterson à Dayton dans l'Ohio, et je n'ai jamais pu y pénétrer. Je ne peux pas vous dire ce qu'il y avait à l'intérieur. Nous connaissons les rumeurs concernant un OVNI capturé avec son équipage. Je n'ai jamais vu ce que j'appellerais un OVNI, mais j'ai des amis intelligents qui en ont vus."
"Je pense que des enquêtes gouvernementales top-secrètes dont nous ne savons rien sont en cours sur les OVNI , et nous n'en saurons jamais rien sauf si l'Armée de l'Air ne les révèle."
"Je crois les rapports des pilotes civils, de l'Armée de l'Air et de la Marine qui ont raconté qu'un OVNI avait volé près d'eux, juste à côté de leur avion et se sont éloignés à des vitesses incroyables."
"Je me souviens du cas où, en Géorgie, dans les années 50, un avion de la Garde Nationale a poursuivi un OVNI et n'est jamais revenu. Et je me souviens du cas où, à Franklin, dans le Kentucky, 4 avions militaires étaient allés en reconnaissance sur un OVNI. L'un d'entre eux explosa en plein vol et personne ne sut pourquoi."
"Cette affaire est devenue si secrète... qu'il est impossible d'obtenir la moindre information".
1979 dans une lettre à Lee Graham
L'Amiral Roscoe H. Hillenkoetter - Premier directeur de la C.I.A.
"Il est grand temps que le Congrès fasse éclater la vérité grâce à des auditions publiques. Derrière la scène, discrètement, des officiers de haut-rang de l'Armée de l'Air s'occupent des OVNI. Mais, par le secret officiel et le ridicule, on a amené les citoyens à croire que les OVNI sont des absurdités( encore une preuve qu'on veut nous faire croire que les Ovni ne n'existe pas et que les dirigeant veulent marginaliser et ridiculiser ceux qui y croient et qui ont des preuves,vidéos ou photos). Pour cacher les faits, l'Armée de l'Air a réduit au silence son personnel."
27 février 1960
"Des objets inconnus sont dirigés par une force intelligente... Il est impératif que nous apprenions d'où ils viennent et quel est leur but."
1986 dans "l'International UFO Reporter"
Amiral Delmer S. Fahrney - Responsable des missiles de l'U.S. Navy
"Il y a des objets qui rentrent dans notre atmosphère à de très hautes vitesses. Aucune Agence américaine ou russe n'est capable pour l'instant de reproduire les vitesses et les accélérations que ces objets volants sont capables d'atteindre d'après les indications des radars et des observateurs... Une "intelligence" dirige le vol de ces objets. Ils ne sont pas entièrement automatisés. La manière dont ils changent de position en formation entre eux indique que leurs mouvements sont dirigés."
16 janvier 1957 à Washington, D.C. lors d'une conférence de presse
Albert M. Chop - Directeur adjoint des relations publiques de la NASA - Rapporteur de l'US Air Force au sein du "Projet Blue Book".
"Je suis convaincu depuis longtemps que les soucoupes volantes sont réelles et d'origine extraterrestre. De plus, nous sommes observés par des êtres venant de l'espace."
Colonel Philip Corso - Services secrets US
Une fois à la retraite, comme beaucoup d'autres, un homme a non seulement parlé mais il a écrit un livre en 1997 qui fit l'effet d'une bombe outre Atlantique. Le titre de ce livre est "The Day After Roswell", le jour après Roswell. Le Colonel Philip Corso, dans les services secrets américains depuis la seconde guerre mondiale, ne voulait pas mourir en emportant ses secrets sur l'événement le plus important du XXe siècle. Le Colonel Philip Corso affirme qu'un vaisseau extraterrestre a bien été récupéré à Roswell, Nouveau Mexique, en 1947, il a vu personnellement l'un des cadavres extraterrestres. De plus, au début des années 60, alors qu'il était en poste au Pentagone sous les ordres du Général Arthur Trudeau, on lui confia la mission top-secrète de diffuser des éléments de l'épave extraterrestre auprès de différentes firmes en relation avec la défense nationale susceptibles de récupérer et d'assimiler cette technologie. Le tout bien évidemment sous le couvert du plus grand secret, en laissant sous-entendre que ces éléments avaient été récupérés derrière le Rideau de Fer. Selon ses dires, ceci aurait été à l'origine du développement des circuits intégrés, des fibres optiques, des appareils de vision nocturne et du laser. (Là ce document prouve que Roswell n'est pas un canular et qu'en plus certaine de nos technologie sont extraterrestres !!!)
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