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Paul Hellyer et les Ufos
Mr PAUL HELLYER
(Ancien Ministre de la Défense du Canada) - Il nous parle des autres habitants de l'Univers
Paul Theodore Hellyer, (né le 6 août 1923 à Waterford en Ontario) est un politicien canadien. Dans une interview donnée le 24 novembre 2005, il déclare que "les OVNIs sont aussi réels que les avions qui volent au-dessus de nos têtes".
Le 28 février 2007, dans le quotidien Ottawa Citizen, il appelle les gouvernements mondiaux à révéler ce qu'ils savent sur la technologie des extra-terrestres afin d'enrayer les changements climatiques. De même, il déclare : « Il faut persuader les gouvernements de dire ce qu'ils savent. Certains d'entre nous pensent qu'ils en savent beaucoup, et cela pourrait suffire à sauver notre planète. »
Le 19 avril 2008, à l'occasion d'une conférence de presse donnée au National Press Club à Washington D.C., Paul Hellyer s'exprime de nouveau sur ce même sujet durant plusieurs minutes.
Source : wikipedia
VOIR LES DOSSIERS déclassifiés DU FBI sur les ovnis :
https://vault.fbi.gov/UFO et ICI
Une interview de Project Avalon
Le 20 juillet 2010
Bill Ryan (BR) : Je suis Bill Ryan, de Projet Avalon, et nous sommes le mardi 20 juillet 2010.
J’ai le grand honneur de parler à Paul Hellyer, que beaucoup de nos auditeurs reconnaîtront comme étant le très courageux ancien ministre du gouvernement canadien, ministre de la Défense de 1963 à 1967, qui s’est exprimé en 2005 sur la réalité de la présence extraterrestre. Par ses déclarations qui font autorité, et en tant que figure gouvernementale très haut placée et très respectée, Paul Hellyer a créé un important précédent. Et, comme d’habitude, je n’ai été que modérément surpris de constater que ses déclarations n’ont en fait pas été plus répercutées que cela dans les grands médias. C’est d’ailleurs là, bien sûr, un des sujets que j’aimerais aborder avec vous, Paul.Paul Hellyer (PH) : Je suis heureux de vous parler.
BR: Absolument. Et pour compléter ma petite introduction, j’aimerais ajouter que vous êtes un auteur prolifique et que vous avez récemment terminé et publié deux livres à mon avis extrêmement importants. L’un s’appelle Light at the End of the Tunnel (De la lumière au bout du tunnel) et l’autre [A] Miracle in Waiting (Miracle en attente), et je recommande à tous de se procurer et de lire ces ouvrages. Ils sont très agréables à lire. Ils couvrent une grande quantité de matière, et leur point commun est l’enjeu que constitue l’avenir de la race humaine. Trouvez-vous cette brève introduction fidèle à la réalité ?PH: On ne peut pas faire faire mieux en étant bref. Les deux livres ont été récemment publiés. L’un est tout récent et l’autre, le Miracle in Waiting, est en réalité la réimpression d’un ouvrage originellement publié en 1996, dans les deux premiers paragraphes duquel je prédisais la crise financière de 2008-2009, en disant qu’elle était absolument inévitable. Donc il a été republié avec seulement quelques altérations très mineures et [l’expression de] ma bienveillance envers le système bancaire.
L’autre est entièrement nouveau. Il s’agit en fait de mon treizième livre. Son sujet, comme vous l’avez suggéré, est De la lumière au bout du tunnel, avec pour sous-titre A Survival Plan for the Human Species (Un plan de survie pour le genre humain). Et j’y expose plusieurs choses que j’estime absolument essentielles si nous voulons continuer à faire de la planète Terre un habitat accueillant pour l’espèce humaine, pour nos petits-enfants et leurs enfants.
Premièrement, nous devons nous occuper du réchauffement climatique. Deuxièmement, il nous faut modifier le système bancaire qui contrôle actuellement le destin du monde et, troisièmement, que les gens de différentes religions, qui se combattent les uns les autres depuis des milliers d’années, cessent de le faire, qu’ils cessent de croire que la leur est la seule manière d’atteindre le ciel, qu’ils commencent à œuvrer ensemble à la construction d’une planète où chacun aurait suffisamment à manger, de l’eau potable, un toit pour s’abriter, des vêtements et la possibilité de s’instruire.
Tous ces éléments sont liés et je commence par traiter dans ce livre le problème du réchauffement climatique. C’est une question que j’ai trouvée très intéressante et j’ai fait, très récemment, partie d’un groupe qui a écrit au Président des Etats-Unis, au Premier Ministre du Canada et à celui, tout nouveau, de Grande-Bretagne, pour tenter de les convaincre de transformer radicalement et fondamentalement les systèmes bancaire et monétaire mondiaux, parce que c’est là une des choses absolument primordiales à faire si nous voulons sauver la planète pour qu’elle demeure l’écosystème dont nous bénéficions nous-mêmes.
Et au cours de cette campagne de rédaction de lettres, j’ai découvert à quel point l’industrie pétrolière avait brouillé les pistes au niveau scientifique. Il nous font maintenant le même coup que l’industrie du tabac avant eux. Ils nous affirment : « Eh bien, la science n’en est pas certaine. Il y a des gens qui disent que le tabac est cancérigène, et d’autres que non. Et, à moins d’en avoir la preuve formelle, pourquoi…, toutes nos activités sont légales et nous allons les poursuivre. »
Et bien sûr, comme nous le savons maintenant a posteriori, ils avaient dans leurs dossiers la preuve que c’était bien cancérigène, que le tabac était du poison et qu’ils fabriquaient en réalité un produit dangereux pour la santé humaine. Mais pendant des décennies ils ont réussi à brouiller les pistes en laissant se répandre certaines informations et en amenant des scientifiques à émettre des doutes et à remettre ceci en question, au point de pouvoir se permettre de poursuivre joyeusement leur chemin sans avoir à s’inquiéter de cette caractéristique dangereuse.
Nous voyons donc maintenant l’industrie pétrolière faire pareil avec le réchauffement climatique. J’ai été surpris du nombre d’annonceurs et d’e-mails, particulièrement en provenance des Etats-Unis, affirmant que le réchauffement climatique n’est qu’un canular et les gens que je rencontre au hasard ici, au Canada, sont à mon avis tout aussi manipulés.Mon premier chapitre parle donc de cela et j’aimerais ajouter que, depuis ma publication de ce livre, j’ai lu un ouvrage du Dr. James Hansen, un scientifique de la NASA, que je considère comme le meilleur de tous les auteurs que j’ai lus. Et quiconque doute encore du problème, devrait essayer de se procurer un exemplaire de ce livre, intitulé The Floods of my Grandchildren [Note : titre réel : Storms of my Grandchildren - Les tempêtes de mes petits-enfants.]
Bon, il n’est pas facile à lire, mais si, bien que prenant le sujet au sérieux, vous dites « Non, les scientifiques se trompent et il n’y a pas de quoi s’inquiéter », procurez-vous un exemplaire de cet ouvrage et parcourez-le. Je serais vraiment très surpris de constater qu’une fois le livre lu, vous n’êtes pas absolument convaincu que le Dr. Hansen dit vrai et qu’il nous reste très, très peu de temps pour agir.
Quand je dis « peu de temps », lui pense que nous pourrions déjà avoir franchi la limite. Mais je suis plutôt optimiste dans le domaine et affirme que nous disposons d’une dizaine d’années, à un ou deux ans près, pour inverser la vapeur. Bon, bien sûr, comme vous le savez, la plupart des politiques du monde nous parlent d’un délai de 30, 40 ou 50 ans avant qu’ils réduisent les émissions liées à la combustion des carburants fossiles, cause de l’augmentation si rapide de la température de la Terre. Donc il s’agit vraiment ici de convaincre les gens de prendre la situation au sérieux et d’agir en conséquence.
Le point suivant est bien évidemment : « Que peut-on faire ? » Nous avons cette gigantesque industrie pétrolière. Nous utilisons des autos, des camions, des tracteurs, des avions. Tous brûlent du pétrole en guise de carburant et les gens disent : « Eh bien, nous pouvons fabriquer de meilleurs moteurs, faire ci ou ça, construire des parcs éoliens pour produire de l’électricité ; avoir des panneaux solaires », etc. Mais rien de tout cela ne va changer la situation suffisamment rapidement pour inverser la donne en dix ans, ce qui devrait être à mon avis notre but, plutôt qu’un planning sur 30 ou 40 ans où, j’en suis convaincu, il serait déjà trop tard.
Bon, et là nous arrivons au sujet que vous avez soulevé au départ : l’existence de carburants « exotiques ». Dans mon livre, j’affirme qu’ils existent déjà. Les gens au courant de ce qui se passe dans les entrailles de la Terre, au Nevada, en Arizona ou au Nouveau-Mexique, savent que quelque part là-bas, des scientifiques étatsuniens aux côtés d’aliens originaires d’autres systèmes solaires, ont mis au point des carburants exotiques. Il y a, je dirais, une dizaine d’années, le Dr. Michael Wolf, un des plus célèbres scientifiques qui ont travaillé dans les [bases] souterraines de là-bas, affirmait qu’ils avaient développé à la fois la fusion à froid, très connue dans les cercles scientifiques, et l’énergie du point zéro, qui consiste à utiliser l’énergie présente partout dans le cosmos.
Il nous faut donc revenir en arrière de quelques années, je suppose, et nous demander : « Bon, comment en est-on arrivé là et comment se fait-il que personne ne soit au courant ? » Et vous avez soulevé le problème tout à l’heure. Quel est ce grand secret, et pourquoi nous le cache-t-on ? Eh bien, l’histoire remonte à des dizaines d’années et on dit généralement que tout a commencé avec le crash d’un OVNI à Roswell au début de juillet 1947. En fait, il y a eu d’autres crashes auparavant, mais il s’en est produit un là-bas et, à partir de ce moment-là, le gouvernement des Etats-Unis, par le biais de ses forces armées, a rétro-conçu la technologie découverte dans les engins des « visiteurs ». Cela nous a bien sûr, apporté toute une gamme de choses très précieuses dans notre vie, comme par exemple les microprocesseurs, les fibres optiques et bien d’autres objets encore.
Mais un des éléments qui intéressent le plus les gens est la question de l’énergie. Comment ces engins pourraient-ils franchir de telles distances pour venir sur Terre sans utiliser des formes d’énergie inconnues de nous ? Et sans entrer dans les détails, ils sont si en avance sur nous au niveau technologique que, lorsque certains d’entre eux ont été capturés, on les a encouragés ou obligés à travailler avec des scientifiques étatsuniens, afin de reproduire non seulement les engins utilisés pour se rendre sur Terre, mais aussi afin de recréer certaines des sources d’énergie manifestement en jeu ici.
Et ce domaine-là offre un immense potentiel, car je pense que ces carburants exotiques sont déjà prêts à être utilisés commercialement. Mais si ce n’est pas le cas, alors je sais, d’après ce que j’ai lu et étudié sur les extraterrestres, qu’ils nous feraient don de la technologie si l’US Air Force arrêtait de leur tirer dessus, puis ils coopéreraient et nous aideraient à acquérir cette technologie, parce qu’ils sont inquiets de ce que nous faisons à notre planète. Ils désirent que nous la sauvions et non que nous la détruisions. Et une des choses qui les inquiètent beaucoup, c’est le réchauffement climatique. Il y en a d’autres, mais c’est cela qui les inquiète plus particulièrement.
Donc nous disposons de ce potentiel, mais la plupart des gens en ignorent jusqu’à son existence. Beaucoup soupçonnent la présence de carburants exotiques, mais il leur est impossible de le prouver, et il va se révéler extrêmement difficile d’arracher ces informations à ceux qui les gardent si jalousement. « On peut y arriver ! » Comment pourrait-on y arriver ? Eh bien, il va falloir, en dernier recours, impliquer le Congrès des Etats-Unis.
BR : OK, Paul. Voici un excellent résumé. Une sorte de chapitre d’ouverture à cette interview-ci. Et j’ai tout un paquet de questions à vous envoyer…
Si nous prenons un peu de recul par rapport au scénario que vous venez de nous exposer très clairement, vous avez dit textuellement que ceux qui sont en possession de cette technologie la gardent jalousement. Et d’une part, c’est ce qu’ils font - et je suis entièrement d’accord, bien sûr, et beaucoup de ceux qui nous écoutent sont également au courant. Et d’autre part, nous regardons autour de nous et nous voyons le vaisseau Terre systématiquement vandalisé, alors que le temps presse, quel que soit le délai annoncé. S’il en est un qui adhérerait totalement à cette thèse, c’est bien James Lovelock, qui est à l’origine de l’hypothèse Gaïa. Lui aussi s’inquiète de voir que nous pourrions avoir atteint une sorte de point où tout va basculer.PH : Oui, je le cite dans mon livre.
BR : Oui, quel que soit le délai, nous somme de toute évidence dans le pétrin. Mais pourquoi est-ce que ceux qui se croient aux commandes de cette planète, pourquoi donc, à votre avis, permettent-ils que cela se produise ? Pourquoi gardent-ils tout ceci [jalousement] ? Même s’ils disposent pour eux-mêmes de l’énergie libre, et je suis convaincu que c’est le cas, il leur serait très facile de dire : « Hé, regardez ce que les scientifiques de notre gouvernement viennent de découvrir. C’est merveilleux, les gars. » Y a-t-il un lien entre tout ça et l’économie, ou bien existe-t-il ici un plan plus général, où une énorme crise est en train de servir de catalyseur, et pas par hasard ? Quel est votre point de vue là-dessus ? Vous avez dû beaucoup y réfléchir.
PH: J’y ai consacré pas mal de temps. Je ne pense pas que quelqu’un connaisse toute la réponse. Je sais que c’est secret depuis l’origine.
Au début des années 50, nous avions un scientifique au Canada qui était, pour ainsi dire, dans le secret des dieux et il prétendait que tout le programme lié à la technologie extraterrestre était classé comme encore plus secret que la bombe à hydrogène. Et je dirais que cela a toujours été le cas depuis. On prétend, et je le crois effectivement, qu’il y a à cette question de nombreux aspects, dont certains sont inconnus du Président des Etats-Unis, et qu’il n’est pas autorisé à savoir ce qui se passe.
Donc c’est une question extrêmement délicate et j’imagine qu’ils s’inquiètent un tantinet de la façon dont le public va réagir lorsqu’il sera finalement mis au courant, petit à petit, de ce qui se produit depuis 60 ans. Probablement plus important, je pense, pour les forces armées des Etats-Unis, c’était la peur que les Russes puissent procéder de la même manière, au même moment, avec le même succès que les Américains. Ils ont bien sûr découvert que ce n’était pas le cas et c’est sans doute là une des raisons de la fin de la guerre froide, du moins telle que nous la percevons.
Et puis, je pense qu’on s’est inquiété des communautés religieuses et de l’effet que produirait sur elles une diffusion trop précoce de ces informations. Vous avez probablement remarqué que l’Eglise Catholique en particulier, a publié au cours des deux ou trois dernières années des déclarations destinées en quelque sorte à préparer le public à cette éventualité. Elle dit maintenant que des enfants de Dieu existent dans d’autres parties du cosmos et que cela ne devrait pas nous surprendre. Vraiment une attitude très libérale dans ce domaine au cours des derniers mois ! Et cela fait peut-être partie des inquiétudes. De même que la peur des conséquences économiques. (...)
Source et suite : projectavalon
Déc 2013 - New-York
"Nous avons déjà les moyens de voyager parmi les étoiles, mais ces technologies sont verrouillées dans des projets classifiés, et seule une action divine pourrait faire qu'elles soient utilisées au bénéfice de l'humanité.... Tout ce que que vous pouvez imaginer, nous sommes en mesure de le réaliser. Nous avons ce qu'il faut pour ramener E.T. à la maison". Ben Rich, ancien patron de la branche "Recherches Avancées" de Lockheed, lors d'une conférence à l'UCLA le 23 mars 1993, deux ans avant sa mort.
Traduction française de la vidéo ci-dessus :
« J’aurais aimé être de bonne humeur, mais je ne le suis pas.
Nous nous dirigeons à un train d’enfer vers la destruction de notre planète, et il me semble que nous en fassions peu de cas .
Il y a des décennies des Visiteurs, venus d'autres planètes, nous ont mis en garde sur la direction que nous avions prise, et nous ont offert leur aide.
Mais, au lieu de cela, nous, ou du moins certains d'entre nous, avons interprété leur visite comme une menace et avons décidé de « tirer d'abord » et poser des questions ensuite.
Le résultat inévitable est que certains de nos avions ont été perdus. Mais savoir combien de ces pertes sont dues aux représailles, et combien sont, en fait, le résultat de notre propre bêtise, est un point de controverse.
Wilbert Smith, l'un des premiers Canadiens à avoir pris un intérêt actif dans l’étude des OVNI, a demandé aux Visiteurs les raisons de la destruction accidentelle d’un avion qui volait dans le voisinage d'une soucoupe volante.
La réponse a été que si quelques-uns de nos avions ont connu un sort malheureux qui était la conséquence d’une incroyable stupidité de la part de nos pilotes, ils prenaient des mesures correctives afin d'éviter nos appareils.
Je leur ai demandé ce qui s'était passé, et ils ont dit: "Eh bien, les champs qui entourent les soucoupes, et assurent ainsi la propulsion en produisant de la gravité différentielle, produit parfois, en raison du différentiel de champ temporel nécessaire au déplacement, des combinaisons de champs qui réduisent la résistance des matériaux jusqu’au point où ils ne sont plus assez résistants pour supporter les contraintes pour lesquelles ils sont calculés ".
Comme nous le savons maintenant, certains avions, en particulier de type militaire, étaient construits avec un facteur de résistance relativement faible et, aux endroits de l’assemblage de la structure, les matériaux n’étaient plus assez résistants pour supporter les contraintes mécaniques induites, et les avions, tout simplement, se disloquaient.
Ceci n'a pas satisfait nos chefs militaires qui ont du penser qu'il était plus important d’assurer la supériorité nucléaire américaine - même si en utilisant il pouvait en résulter notre propre anéantissement - que d’accepter la suggestion des Visiteurs et commencer à éloigner le risque pour la planète d'un holocauste global.
Décembre 2013 - N.York
Les militaires ont du être, et sont d’ailleurs, toujours tellement paranoïaques qu'ils estiment qu'il est préférable d'utiliser la technologie des Visiteurs pour les contraindre à se retirer plutôt que de les accueillir en tant que partenaires de développement - quoiqu’ils aient pu être aidés par quelques renégats qui les ont assistés dans ce qu’il est possible de percevoir comme des développements diaboliques.
Stephen Bassett a dit que parler d’OVNI est du passé, et que nous devrions parler maintenant d’Exopolitique. En théorie, je suis d'accord, mais, en réalité, nous avons un problème parce que la politique officielle des États-Unis maintient que les Ovnis n'existent pas.
Le voile du secret doit être levé maintenant, avant qu'il ne soit trop tard.
Il est paradoxal que les États-Unis aient commencé une guerre dévastatrice - prétendument à la recherche d’armes de destruction massive - alors que les développements les plus inquiétants dans ce domaine se produisent dans notre propre arrière-cour.
Il est paradoxal que les États-Unis puissent entreprendre des guerres monstrueusement chères en Iraq, et en Afghanistan, - soi-disant pour apporter la démocratie à ces deux pays - alors qu’elle-même ne peut légitimement prétendre à être appelée une démocratie quand des trillions de dollars sont consacrés à des projets sur lesquels le Congrès, et le commandant en chef, sont délibérément maintenus à l’écart.
Qu’est-ce qui a été accompli en soixante ans d'activité fébrile par certains des esprits les plus instruits des États-Unis?
Allemagne 2013
Est-ce que l’Amérique a développé des soucoupes volantes qui sont indiscernables de celles des Visiteurs,
comme certains le prétendent ?
Et si oui, que proposent-ils d’en faire ?
D’une façon encore plus critique, quels progrès ont été accomplis dans le développement des sources d'énergie non polluantes,
susceptibles de remplacer les combustibles fossiles et d’éviter, ainsi, à la planète de devenir impropre à la vie ?
Qui a les réponses? Quelques-uns, mais apparemment ils n’en ont rien dit, ni aux Secrétaires de la défense, ni aux Présidents, parce que ceux-ci n'ont pas besoin de savoir.
Dans un récit rapporté par le Dr Stephen Greer, le président Clinton, alors qu’il était questionné par Sarah Mc Clendon, reporter à la Maison Blanche, sur les raisons pour lesquelles il n'a rien fait au sujet de la divulgation sur le phénomène OVNI, avait répondu « Sarah, il y a un gouvernement dans le Gouvernement et je ne contrôle pas ».
Excusez-moi, mais est-ce que le commandant en chef, c'est-à-dire la personne qui a le doigt sur le feu nucléaire, n’a pas le droit de savoir ce que font ses subordonnés ?...
Les citoyens des Etats-Unis, qui ont payé les factures, ont le droit de savoir.
Les citoyens du Monde exigent de savoir parce que, pour nos descendants, pour eux aussi, le danger mortel est là.
Il est temps pour le peuple des États-Unis de lancer une nouvelle guerre contre le fléau du mensonge, de la tromperie, de l'obscurité, et que tous s’investissent afin de gagner la victoire de la vérité, de la transparence, et de la lumière ».
Paul Hellyer
Source : divulgation-extraterrestre
(Vue d'artiste : Sirien - Les émanants)
Australie - 2013
Voir ICI le texte du reportage traduit en français du Projet Camelot
sur le livre de Paul Hellyer "La lumière au bout du tunnel"
Son site : http://www.paulhellyerweb.com/
Tout d'abord, le livre affirme que les sources d'énergie exotiques existent déjà. Elles ont été développées par le «gouvernement de l'ombre" des États-Unis dans les Black Programs et les installations situées au Nevada et en Arizona en utilisant la technologie empruntée à des visiteurs d'autres planètes. Pourtant, elles restent secrètes pour le bénéfice de quelques privilégiés.Deuxièmement, l'argent doit être trouvé pour financer les pays pauvres et faciliter des changements majeurs. Ceci peut être accompli par un travail fondamental sur le système monétaire et bancaire.
Enfin, il sera nécessaire pour tous les pays, les races, les religions et les couleurs d'abandonner leurs antagonismes et de travailler ensemble dans un but commun pour sauver le patrimoine qu'ils ont en commun.
Livre de Charles James Hall
"Millenial Hospitality"
Tulum- Mexique - 2013
(Mr Paul Hellyer nous dit "que la Terre a été et est toujours visitée par des espèces extra-terrestres, Il mentionne des Etres de Zeta Reticuli, Les Pléiadiens, des ETs d'Orion, d'Andromède et d'Altaïr. Il ajoute que deux individus du type "Grands Blonds" et ressemblant beaucoup aux Humains, travaillent avec l'Armée Américaine sur une Base de l'Air Force pour échanger de la technologie.)
Japon - juillet 2013
L'ancien Ministre Canadien de la Défense et Député du temps de Pierre Trudeau a rejoint les rangs de trois organisations non gouvernementales pour demander au Parlement du Canada de tenir des audiences publiques sur les Exopolitiques, concernant les ETs.
OTTAWA, CANADA - Le 24 novembre 2005
M. Hellyer et ces organisations emploient le terme E.T. pour évoquer les civilisations extraterrestres avancées qui visitent probablement la Terre.
Le 25 septembre 2005, dans un discours surprenant à l'Université de Toronto qui a attiré l'attention des principaux médias, Paul Hellyer, Ministre National de la Défense du Canada de 1963-67 sous le Premier Ministre Lester Pearson, Lauréat du Prix Nobel de la Paix, a déclaré publiquement : "Les OVNIs sont aussi réels que les avions qui survolent votre tête".
M. Hellyer a poursuivi : "Je me sens tellement concerné par ce que pourraient être les conséquences, si l'on commençait une guerre intergalactique, et je pense qu'il était de mon devoir d'en parler." Paul Hellyer
L'ancien Ministre a révélé : "Le secret qui couvre toutes les questions se rapportant à l'incident de Roswell était sans précédent. La classification était, au départ, au-dessus du top-secret, ainsi la vaste majorité des officiels et des politiciens américains, sans parler d'un simple ministre de la défense allié, n'ont jamais été concernés."
Géorgie - août 2013
Paul Hellyer a averti : "Les militaires des Etats-Unis préparent des armes qui pourraient être utilisées contre les extraterrestres, et ils pourraient nous impliquer dans une guerre intergalactique sans aucun avertissement préalable." Il a ajouté, "L'administration Bush a consenti finalement à laisser les militaires construire une base avancée sur la lune, qui pourrait les mettre dans une meilleure position pour surveiller les allées et venues des visiteurs de l'espace, et tirer sur eux, s'ils le décident."
"Le temps est venu de lever le voile sur le secret, et de faire émerger la vérité, ainsi il pourra y avoir un vrai débat informé au sujet d'un des plus grands problèmes auquel fait face notre planète aujourd'hui."
Les trois organisations non gouvernementales ont relayé les paroles de Hellyer et ont tenté une approche en direction du Parlement, à Ottawa, la capitale du Canada, afin de les inciter à tenir des audiences publiques sur une possible présence extraterrestre, et définir ce que le Canada devrait faire. Le Sénat Canadien, dont les membres sont tous nommés par le gouvernement, a tenu des audiences objectives, bien considérées, et a déjà émis ses rapports concernant d'autres problèmes controversés, comme le mariage entre personnes du même sexe et l'usage médical de la marijuana.
Le 20 octobre 2005, l'Institut pour la Coopération Spatiale a demandé au Sénateur Canadien, Colin Kenny, directeur au Sénat du Comité sur la Sécurité et la Défense Nationale, de planifier des audiences publiques sur l'Initiative Canadienne en Exopolitique, afin que des témoins, tels que l'Honorable Paul Hellyer, et les militaires de haut rang de l'Intelligence canadienne, en rapport avec le NORAD, les scientifiques et les témoins gouvernementaux, puissent faciliter le Projet Divulgation et, par le Colloque Exopolitique de Toronto, puissent présenter des preuves irréfutables, des témoignages, et émettre des recommandations sur les Politiques Publiques.
Parmi les organisations non gouvernementales qui souhaitent des audiences du Parlement, il y a le Colloque des Exopolitiques de Toronto basé au Canada, qui a organisé la Réunion à l'Université de Toronto lors de laquelle s'est exprimé M. Hellyer.
Mexico - décembre 2013
Le Disclosure Project, une organisation basée aux Etats-Unis, qui regroupe des témoins du renseignement militaire de haut niveau au sujet d'une possible présence extraterrestre, est aussi une des organisations cherchant à convoquer des audiences publiques au Parlement Canadien.
L'Institut pour la Coopération Spatiale (ICIS), basé à Vancouver, dont le Directeur International a dirigé une proposition, en 1977, pour des Etudes en Communications Extraterrestres pour la Maison Blanche de l'ancien Président Américain, Jimmy Carter, (lequel a personnellement rapporté en 1969 une Rencontre Rapprochée du Premier Type avec un OVNI), est l'auteur de la demande originale pour des audiences publiques du Parlement Canadien.
L'Initiative Canadienne sur l'Exopolitique, présentée par les organisations au Comité Sénatorial sur les audiences publiques de Winnipeg, au Canada, le 10 mars 2005, propose que le Gouvernement du Canada entreprenne une Décennie de Contacts.
La Décennie de Contacts proposée est un programme de 10 ans pour une éducation publique formelle, subventionnée par l'Etat, des recherches scientifiques, des développements de projets éducatifs et d'implémentation, des planifications stratégiques, des activités communautaires et les intérêts publics concernant les pleines communications culturelles, politiques, sociales, légales et gouvernementales et les intérêts publics de la diplomatie de notre société terrestre avec des cultures extraterrestres avancées qui visitent actuellement la Terre.
New-York 2013
Le Canada a une longue histoire d'opposition à l'installation d'armes dans l'espace. Le 22 septembre 2004, le Premier Ministre Canadien, Paul Martin, avait déclaré à l'Assemblée Générale de l'O.N.U. :
"L'espace est notre dernière frontière. Il a toujours fasciné notre imagination. Ce serait une tragédie si l'espace devenait un vaste arsenal et la scène d'une nouvelle course aux armements."
Martin a aussi déclaré : "En 1967, les Nations-Unies ont reconnu que des armes de destruction massive ne doivent pas être basées dans l'espace. Le temps est venu d'étendre cette interdiction à toutes les armes...."
En mai 2003, s'exprimant devant le Comité sur la Défense Nationale et les Affaires des Anciens Combattants de la Chambre des Communes Canadienne, l'ancien Ministre des Affaires Etrangères du Canada, Lloyd Axworthy, a déclaré : "l'offre de Washington au Canada n'est pas une invitation pour joindre les Etats-Unis sous un écran protecteur, mais elle présente une doctrine globale de la sécurité qui viole les valeurs canadiennes à bien des niveaux."
Axworthy a conclu : "Il doit y avoir un engagement sans compromis pour empêcher l'installation d'armes dans l'espace."
Le 24 février 2005, le Premier Ministre Canadien, Paul Martin, a décidé officiellement que le Canada ne participerait pas au programme de Défense par Missiles Balistiques du gouvernement des Etats-Unis.
Paul Hellyer, qui sollicite depuis le 15 mai 2003 des audiences publiques du Parlement Canadien en relation avec les extraterrestres, a affirmé dans le journal Globe & Mail de Toronto : "Le Canada doit accepter l'invitation de longue date de Dennis Kucinich, Membre pour l'Ohio du Congrès Américain, de lancer une conférence pour rechercher des appuis concernant un traité international pour interdire les armes dans l'espace. Ceci serait une contribution canadienne positive vers un monde plus paisible."
Début novembre 2005, le Sénat Canadien a répondu à l'ICIS, en déclarant que le Comité Sénatorial ne pourrait tenir des audiences publiques sur les extraterrestres en 2005, pour des raisons d'agenda.
"Ca ne nous dérange pas", a déclaré un porte-parole pour les organisations non gouvernementales, "Nous poursuivrons maintenant notre démarche en direction du Premier Ministre Paul Martin et les dirigeants de l'opposition officielle de la Chambre des Communes, et nous nous représenterons au Sénat du Canada au début de l'année 2006."
"Le temps est venu de révéler publiquement que des civilisations extraterrestres avancées visitent la Terre", a affirmé le porte-parole. "Notre gouvernement canadien doit s'occuper ouvertement de ces problèmes importants du déploiement possible d'armes dans le but de guerres dans l'espace contre des sociétés extraterrestres avancées."
Initiative Canadienne d'Exopolitique peaceinspace
Source : exopolitics
Allemagne - mars 2013
Espace - avril 2013
Autre témoignage d'un OFFICIEL AMERICAIN, Fyfe Symington, Ancien Gouverneur de l'Arizona : Fyfe Symington et les OVNIS
Les "TALL WHITES" ou "Grands Blancs" par Charles Hall
Les Tall Whites représentent un phénomène assez récent dans le cadre des récits sur les extraterrestres dans la mesure où Charles Hall, ancien observateur météo pour l'Air Force, s'est livré à des confessions de façon très tardive. Il a préféré attendre que ses enfants soient indépendants mais également d'avoir la distance requise pour raconter l'incroyable expérience de ses interactions avec ces extraterrestres. Comme nous l'avons déjà mentionné dans l'article général sur le phénomène, c'est entre 1965 et 1967 que Hall, alors stationné dans une zone voisine de l'Aire 51 sur l'immense base de Nellis dans le Nevada (Aire 53 ou 54), a véritablement vécu une vie au quotidien avec des extraterrestres humanoïdes de grande taille, à la peau blanche et crayeuse et aux grands yeux bleus en amende. L'expérience fut pour le moins traumatique pour l'intéressé tant elle fut étrange et hors norme. Pour illustrer de façon plus vivante l'affaire des Tall Whites, nous vous proposons de prendre connaissance de la traduction française de l'entretien exclusif que Charles Hall nous a accordé en ce mi avril 2005. Ensuite, en contrepoint à cette entrevue, vous pourrez lire l'interview de “Sweeps Fox”, un ufologue et animateur radio américano-irlandais tout à fait atypique qui s'avère être l'un des premiers avec Paola Harris et Michael Salla à avoir interrogé Charlie. Une opinion fascinante. (...) Source : karmapolis
Livre de Charles James Hall
"Millenial Hospitality"
"La source de nos informations est indiquée pour chaque parution, mais au cas où l'auteur de vidéos, articles ou photos souhaiterait ne plus les voir figurer sur le site, qu'il nous en avertisse par mail, et nous les retirerons immédiatement"
Voir aussi :
nos vidéos traduites sur les ovnis
Témoignages Officiels sur la présence extra-terrestre
Les révélations de Clifford Stone
SIRIUS le film du Projet Révélation
Ces ovnis que la Nasa veut nous cacher
Jean Jacques Velasco et les Ovnis
Lettre pour le Président de la république
Yves Sillard : “civilisations extraterrestres”
Fairplane, Ovnis appels à témoignages
3AF Sigma (Le Commandant Jean Gabriel GRESLE)