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ALIEN PROJECT - Les Êtres de Nazca - page 7.
ALIEN PROJECT Page N°7 - Les "Êtres de Nazca" (2019)
LE 6 NOVEMBRE 2019 , une conférence Internationale a eu lieu à l'Université San Luiz Gonzaga d' ICA (Pérou) où sont conservées les "momies"pour l'étude approfondie de ces corps desséchés à trois doigts !
Une équipe italienne est allée filmer (le 5 février 2020) les momies à l'Université d'ICA
Voir leur PAGE FACEBOOK Mummie Extraterrestri di Nazca avec d'autres vidéos !
Les premiers résultats corroborent les premières analyses déjà entreprises par l'Institut Inkari Cusco depuis deux ans, et démontrent que les corps n'ont pas été modifiés ou créés artificiellement. Ils ont réellement appartenu à des êtres vivants !
Une autre momie de petite taille appelée "Luisa" est examinée par l'Université d'ICA, elle a aussi un implant pectoral et des "oeufs" comme la momie Josefina....à quoi pouvait bien servir cet "implant" ? (Crédit photos Face Book) - Voir aussi cette PAGE
Luisa et Josefina
La suite de cette découverte après la conférence à LIMA au Congrès de la République le 19 novembre 2018.
Tous les résultats en détails sur le site de ALIEN PROJECT
En 2020 : sortie des films concernant cette découverte !
LA PAGE DES VIDEOS SUR CETTE AFFAIRE !
Résumé des caractéristiques générales du Reptile Humanoïde
Type : Humanoïde
Espèce : Reptilienne
Taille : environ 60 cm taille adulte.Les spécimens étudiés présentent la même morphologie, excepté le nombre de côtes et Josefina qui présente des œufs en gestation.
Photos : Victoria, Alberto, Josefina
Datation C14 : de 791 ans ± 30 ans (années 1200 ap JC)
Corps harmonique dans toutes les parties.
• Structures à physionomie de compatibilité.
• Intégration anatomique de forme anthropomorphique.
• Intégrité structurelle compatible et continue.
• un spécimen biologique fonctionnel dans son anatomie et physionomie de forme naturelle
• crâne d'une seule pièce.
• avec des cavités pour organes spécifiques
Corps conservés dans la Terre de Diatomée (corps desséchés) avec peau apparente et porosité, couleur grise, avec des protubérances. Peau kératinisée (squamule)
Ces corps possèdent leurs organes internes
Présence d’articulationsLES MAINS ET LES PIEDS :
Main tridactyle : La main est formée d'un os carpien et de trois doigts comprenant 3 phalanges, terminés par des griffes plates. Pas d’os du métacarpe, pas de paume à la main.
Cette caractéristique tridactyle (3 doigts) de la main en pronation qui ne peut pas fonctionner en supination est une caractéristique des théropodes (dinosaures éteints).
L'ongle occupe 90 % de la longueur de la phalange distale (alors qu'elle n'est que de 45-50 % pour l'humain).
Corrélation anatomique - connexions d'interférence - structure carpienne - un seul os à l’avant bras - articulations carpiennes - articulations inter-phalangiennes - cartilage inter-articulaire phalangien - structure osseuse creuse - circuit vasculaire – articulations harmoniques - articulations (cartilage articulaire) - structure tendineuse palmaire.Pied tridactyle : Pieds de 3 orteils comprenant 3 phalanges terminées par des griffes plates.
L'épiphyse inférieure de l'os de la jambe est rétrécie dans sa partie médiane et sert de plante du pied à côté d'un os creux, on note l'absence d'os propre au pied. La morphologie du pied de ce spécimen rappelle celle de l'oiseau appelé Casuariidae (Casoar).
Le pied est formé d'un seul os avec une cavité en son centre (Dr. G Dmitriy Vladislàvovich)
LA TÊTE :
Crâne : Tête macrocéphale allongée en arrière de forme ovoïdale plus grosse à l’avant et se terminant presque en pointe à l’arrière, complétée par trois arêtes ou crêtes au-dessus de la tête.
Taille de la tête : Il y a une relation entre la longueur de la tête comparée au corps appelée "canon" pour les espèces de caractéristique reptilienne, dans le cas des reptiles humanoïdes, le canon est de 8,2/8,3 têtes.
Le condyle occipital est prononcé.
Pas de poils - Pas de septum nasal - Pas d’oreille - Cou possiblement rétractileLe crâne du reptile humanoïde dans son périmètre de la base est plus grand que celui de nombreuses espèces de mammifères.
La région buccale est composée de deux plaques osseuses articulées en charnières, il existe des trous de sortie des nerfs oculaires, le bassin orbital n’est pas profond.
Il a des sutures crâniennes
Les plus grandes lignes de suture se trouvent à l'arrière, et dans la partie avant uniquement sur la zone après le viscérocrâne.
À la base du crâne, nous identifions deux sutures situés entre le foramen magnum et l’atlas situé derrière.
Crane à morphologie unique (Yeux, nez) - La cavité nasale est très petite, c’est une cavité de 3mm de profondeur. (Dr. Galetskiy Dmitriy Vladislàvovich). On observe une paire de condyles occipitaux prononcés (Jose Rios)
Physionomie anthropomorphique : Cavité nasale et orale fonctionnelles - Grandes cavités orbitales avec champ de vision supérieur à 180 degrés - Fosses nasales - Pas de pavillon auriculaire - Cavité buccale sans dent plus petite en taille - Structures de la cavité orale avec fonction de charnière - Fonction de déglutition - Voie digestive d’avant en arrière vers le corps vertébral - Base du crâne avec support central - Cou et corps vertébraux cervicaux - Disques intervertébraux larges - Voie de déglutition entre les espaces.Support central du crâne : Paquet vasculaire et nerveux visible avec des voies différentes - Corrélation entre les orifices crâniens avec entrée et sortie neurovasculaires.
Base de crâne : orifices de trajet digestif - Corps vertébral de support avec condyles (atlas)
Orifices de paquets neurovasculaires - Orifice de foramen magnum - Os creux - Cavité crânienne avec contenu - cavité buccale avec trajetPneumatisation : Pneumatisation de l'occipital
Cela permet un crâne léger, car le cerveau est gros (tête macrocéphale).Le crâne du spécimen de tridactyle est pneumatisé car il comporte des trous et des espaces vides dans l'os et est composé de feuilles très minces qui en allègent le poids, ce qui favorise un cerveau énorme par rapport à sa petite taille de 60 cm. de cet être.
Ouvertures : Le crâne a des trous qui permettent l’entrée et la sortie des enveloppes vasculaires et des faisceaux nerveux, ce qui rend une anatomie fonctionnelle impossible à reproduire artificiellement.
On en dénombre 3 situées dans la partie postérieure de l'orbite oculaire, au quart de la partie antérieure du crâne, dans la région temporale, scientifiquement parlant, cela ne correspond à aucune identification connue.
Dans divers groupes d'animaux, cette caractéristique est présente, mais avec seulement jusqu'à deux ouvertures. Il n'y a pas de système de mastication.Bulle tympanique : "Au sujet de la partie interne de ces crânes, nous pouvons identifier ce qui pourrait être une possible bulle tympanique. Elle en présente une paire sur les côtés du crâne qui se situe dans le quart de la région antérieure et adjacente à la zone du viscérocrâne." (Dr. Jose de la Cruz Rios Lopez)
(La densité est telle qu'au début sur les scanners nous avions pensé à des implants temporaux.)Cerveau : Il est réduit de 15% par rapport à sa taille originale. Il est située dans l'occipital, en raison de la position couchée du corps.
Foramen Magnum de forme rectangulaire de 1 cm de largeur, alors que les espèces terrestres l'ont circulaire ou quasi-circulaire.
Sa localisation est située dans la deuxième fosse crânienne, c’est-à-dire au centre de la base du crâne et non sur le plancher arrière comme chez l’Homo Sapiens ou le gorille.Ouverture buccale : C'est une ouverture de 15 mm de longueur, sans lèvres, sans dents ni muscles pour la mastication. L’être se nourrit par aspiration de liquides.
Orifice alimentaire : Derrière l'ouverture buccale se trouve dans la partie inférieure, une structure semblable à un palais dur possédant un très petit orifice où la nourriture est avalée.
Il s’alimente par des liquides - Pas de dentitions - Mais un système évolué de déglutition
La déglutition passe par un canal derrière la colonne vertébraleLE CORPS :
Reproduction :
Pas de glande mammaire - Sexe gonochorique (mâle et femelle)
Dimorphisme sexuel - le mâle présente des membres légèrement plus longs et le tronc légèrement plus petit que la femelle et la partie centrale de la clavicule est protubérante chez le mâle.
Ouverture cloacale transversale entre les jambes pour les mâles et les femelles.
Reproduction qui semble être est de type ovipare. (L'embryon commence son développement après la ponte).Le Cas de Josefina – Les Œufs (voir JOSEFINA sur la page 6)
On note la présence de 3 œufs de taille variable (27, 34 et 25 mm) et dont la forme est symétrique, caractéristique des reptiles. Ainsi qu’un quatrième œufs en formation.
À l'intérieur, des conglomérats sont observés dans un état de calcification, possiblement des embryons..
Le système reproducteur clairement identifié est constitué d'un cloaque, d'un vagin et d'un col de l'utérus. Dans les corps vertébraux, il existe une séparation ou une angulation qui est une réponse physiologique au processus de gestation. Quelque chose qui se produit naturellement dans un processus de gestation. Le corps change et adapte sa structure pour recevoir ce processus de gestation et il est clair que les corps vertébraux changent de position et élargissent l'espace intervertébral. Il existe une relation harmonieuse et fonctionnelle dans ce processus de gestation.Furcula : L'union des clavicules s'appelle la furcula, cette caractéristique est présente dans ces spécimens.
Les théropodes (dinosaures disparus) et leurs descendants ont cette structure similaire, où les deux clavicules sont fusionnées pour former un seul os.
Un os comme l'omoplate forme la cage thoracique avec une clavicule soudée (furcula ou fourchette)
Certains spécimens ont la furcula proéminente et d’autres pas. Cela indique peut-être une différence de sexe, mais cela n’est pas certain car cette espèce est inconnue.Paquet neuro-vasculaire : Entre les vertèbres de la région scapulaire, 3 paquets neuro-vasculaires sont intercalés, l'un d'eux sortant derrière la vertèbre cervicale, puis s’entrelacent entre la 3e et la 4e vertèbre.
Tandis que deux d'entre eux à l'avant sont insérés dans le canal médullaire de la même région scapulaire.
Les corps vertébraux, au lieu d'être situés dans la partie postérieure, sont situés dans la partie médiane de l'organisme.Os creux : Les os ont une cavité creuse, ce qui donne une structure légère en même temps qu’une grande résistance. Cette caractéristique anatomique est la même que celle des théropodes (dinosaures éteints) et des oiseaux, leurs descendants.
Les os creux du squelette sont une caractéristique impossible à trouver chez aucun mammifère connu.
Les vertèbres sont également creuses et ne correspondent à aucune caractéristique d'un mammifère terrestre vivant.
C’est la même chose avec les mains, les pieds, les ligaments, les caractéristiques spécifiques du crâne (pneumatisation, etc.).Vertèbres creuses : Les vertèbres sont creuses, tout comme les os de ces spécimens. Un exemple similaire est trouvé avec le Mamenquisaurus (dinosaure), qui avait les vertèbres creuses dans le cou.
Colonne vertébrale : Elle se compose de 31 vertèbres :
1 atlas, 4 cervicales, 7 scapulaires, 14 côtes, 3 pelviennes et 2 sacrées.
Les individus analysés ont 11 paires de côtes : 9 circulaires et 2 flottantes (sauf Albert qui a 8 paires de côtes : 6 circulaires et 2 paires flottantes) - les côtes sont circulaires et creuses.Ces spécimens ont un nombre de paires de côtes différent :
JOSEFINA et VICTORIA : 11 paires de côtes dont 2 flottantes
LA FAMILLIA : 10 paires de côtes dont 2 flottantes
ALBERTO : 8 paires de côtes dont 2 flottantesOn note au moins 5 types différents de vertèbres.
Les os du bassin sont soutenus par les deux dernières vertèbres qui forment le sacrum.
Démarche plantigrade bipèdeAu sujet des côtes du reptile humanoïde, on peut identifier deux types :
1 - l'une en forme d'anneau, complètement fermé, et dont les côtes sont de forme rectangulaire, dans toute la région du tronc.
2 - de forme ouverte et flottantes localisées dans la zone abdominale.
Les vertèbres dorsales sont présentes sur tous les spécimens examinés.Pneumatisation thoracique - côtes horizontales et creuses - corrélation anatomique harmonique de l’amplitude gestationnelle.
Corps vertébraux centraux, colonne vertébrale positionnée au centre du corps (non pas à l’arrière du tronc comme chez l’humain), et grand espace dans l'apophyse supérieure - La Clavicule continue sans attache au sternum - Large espace thoracique avec 3 structures organiques - Thorax avec des structures de paquets vasculaires et digestifs retro et intra vertébraux - Graisse dorsale (platisma) musculaire - Côtes horizontales et espaces complets - Disques intervertébraux.
Cavité thoracique avec paquet vasculaire - côtes horizontales - Articulation de la hanche (os ilium) - Corrélation de l'union avec le membre inférieur - Surface articulaire à la tête du fémur -
Sac de Mesentery pour le confinement abdominal - articulation du coude .Pneumatisation vertébrale ( Crédit : J. de la Cruz Rios)
Sacrum : Il y a une structure à la fin de la colonne vertébrale formée par deux vertèbres sacrées, qui, par le biais du processus épineux, se joint derrière chaque os indépendant qui forme la hanche ou le pelvis.
On sait que les Herrerasauridae (dinosaures saurischiens) n’avaient que deux vertèbres sacrées.
Système squelettique : La structure osseuse est parfaitement articulée.
Il a un os large comme un omoplate, joint à 7 vertèbres qui forment la cage thoracique.
Les clavicules sont fusionnées pour former la furcula.
Il n'y a qu'un os à l’avant-bras, pareil pour la jambe.
3 doigts, 3 phalanges aux mains avec des griffes plates et 3 phalanges aux pieds.
Un os pour l’avant-bras et pareil pour la jambe. Pas de rotule, pas de genou, pas de radius ni cubitus, ni tibia ni péroné.
Le bassin est formé par des os séparés de forme semi-circulaire.
Pas d’os carpien mais un os en forme de demi-lune au poignet, qui fait office d’articulation pour la flexion et l’extension entre l’avant-bras et les doigts.
Le bassin est formé par des os séparés de forme semi-circulaire, sans structure pelvienne comme chez l'homme.
Les côtes ont une forme horizontale, elles sont creuses et complètes, c'est-à-dire qu'elles ne s'unissent pas au sternum, si ce n'est qu'elles vont d'un côté à l'autre.LES OS SONT CREUX (Voir page 6 les planches sur Josefina)
La peau : Biologie de type reptilienne identique sur tous les spécimens de 60 cm environ, ainsi que sur Maria.
Photos : Peau de Victoria
A gauche : peau de Maria la grande momie de 1m70 - (voir pages précédentes) - A droite : peau de Victoria
Conclusion
"CETTE ESPÈCE N'APPARTIENT PAS À LA FAMILLE DES HOMINIDÉS, À L'ORDRE DES PRIMATES NI À LA FAMILLE DES MAMMIFÈRES, SES CARACTÉRISTIQUES SONT CELLES D'UN REPTILE À FORME HUMAINE "
Les êtres de la Nazca de trois doigts de 60 cm., Pourraient être un descendant évolutif des théropodes (dinosaures éteints il y a environ 65 millions d'années). Jusqu'à présent, certains individus sont compatibles avec ce groupe :
FÚRCULA - Peau kératinisée - MAIN EN PRONATION - TRIDACTYLE (TROIS DOIGTS) -
ŒUFS - Traits reptiliens - OS CREUX ET PNEUMATISATIONS (José de la Cruz Rios)CONCLUSION (pour Josefina) :
1.- Les études des images ont permis d’identifier des structures osseuses qui ont une relation anatomique harmonieuse et fonctionnelle entre elles, ce qui permet de déterminer une mobilité de type organique dans le spécimen analysé.
2.- Grâce à l’étude des images, il a été possible d'identifier des structures similaires dans leur physionomie et les organes ainsi que leurs composants, qui ont une similitude avec les trajets vasculaires, le tube digestif, le système reproducteur, mais qui ont des particularités qui les différencient de ce qui a été décrit et connu dans l'anatomie humaine et ressemble à d'autres espèces qui à leur tour sont différentes entre elles.
3.- En étudiant les images et leur reconstruction en trois dimensions, on a pu identifier que l’anatomie osseuse ainsi que les structures ovoïdes (4 œufs) (pour l’individu Josefina) et l’anatomie légère (peau, graisse, muscles, organes, vaisseaux sang, cavité buccale, tube digestif, système reproducteur, oviducte) et les structures articulaires (muscles, tendons, ligaments et cartilages) ont une relation directe entre leur position et leurs trajet, ce qui démontre leur authenticité et leur fonctionnalité organique qui est unique et non répétitive entre individus. Ceci indique la viabilité et la faisabilité d'être une entité d'une nouvelle espèce ou bien encore inconnue avec une origine évolutive biologique unique et différente de ce qui est décrit ou connu dans l'espèce humaine ou dans tout autre espèce.
4.- Les résultats de l’ADN confirment qu’il n’a aucune relation directe avec aucun organisme de type animal connu ou décrit à ce jour. Une correspondance entre 30 % et 33 % d’ADN avec l’homo sapiens. Donc différent à 70 %. Cette distinction et différenciation de 70 % fait que cette espèce est unique, inestimable et non reproductible, et qu’elle mérite une étude et une analyse scientifique plus poussée.
5.- Les résultats du carbone 14 (C14) ont une période de datation approximative impliquant une origine taxonomique distincte de ce qui est connu ou décrit dans les espèces terrestres déjà étudiées et référencées par la science.
Datations
Résultats Adn et C14 (Maria, Victoria, Mains seules, cerveau seul)
D’après les analyses des scientifiques :
Dr Jose de la Cruz Rios Lopez
( Biologiste - Secrétariat de la Santé - Campeche - Recherches en microbiologie - Mexique)
Dr Jose de Jesus Zalce Benitez (Mexique)
Docteur Expert en Médecine Légale – médecin légiste et anthropologue légiste de l'Institut des sciences médico-légales du Mexique (INACIF) Chef de médecine légale du Secrétariat de la Marine et des Forces Armées du Mexique. Diplômé de l’École Nationale d’Anthropologie et d’Histoire (Sipaz).
Dr Raymundo Salas Alfaro (Spécialiste en Radiologie et scanners - Pérou)
Dr. Galetskiy Dmitriy Vladislàvovich et Dr Korotkov (Université de St-Petersburg, Russie)
Dr Clara Martinez - Biochimiste expérimentale - Enseignante chez DIP – Université de Genève
Salvador Angel Romero Martinez - Bio Informaticien, Lab Abraxas (Mexique)Nouvelles analyses : message sur Fbook de Jois Mantilla, le 14-04-2019
Nous venons de recevoir une autre étude et rapport CONCLUANT concernant l' ADN de "Victoria", un des êtres tridactyles de 60 cm. trouvé à Nazca. Je peux seulement dire qu'après une analyse stricte, il est de nouveau confirmé qu'il s'agit d'une nouvelle espèce qui jusqu'à présent n'avait pas été signalée par la science !. Il s'agit d'une étude QUANTITATIVE, numérique, mathématique et IRRÉFUTABLE réalisée dans des super-ordinateurs et des logiciels de pointe en génétique. CE NE SONT PAS DES OPINIONS, C'EST DE LA SCIENCE. Lien : dna-tridactilos/taxonom
ADN : 69 % INCLASSABLE - 8 % homo-sapiens
Reconstitution du possible aspect des Reptiles Humanoïdes
CHEZ LES OISEAUX, LE TIBIA ET LE PÉRONÉ tendent à fusionner et l'on pense que dans le futur cela pourrait devenir un seul os. comme on peut l'observer sur les êtres à trois doigts de Nazca. Lorsque nous examinons les membres postérieurs de tous les oiseaux, c’est-à-dire les pattes, et leur partie supérieure, nous trouvons le fémur qui est ancré à la hanche et, en bas, où nous nous attendons à trouver un tibia et un péroné indépendants, ils apparaissent dans un os semi-fixé l'un à l'autre, conférant à cet os une morphologie intermédiaire, ce qui donne à penser que, dans le futur, et après un bon nombre d'années d’évolution, il deviendra un os unique, simplifiant ainsi l’anatomie des pattes des oiseaux.
Deux autres têtes momifiées dans la diatomite avec les mêmes caractéristique
Type : Humanoïde – Espèce : Reptilienne
Pas de cheveux ni de poils
Grands yeux en amande
Pas de pavillon auriculaire ni de conduit auditif.
Mais une oreille moyenne et interne (cochlée)
Pas de dents - Ouverture occipitale située au milieu de la base du crâne (Foramen magnum)Analyse de VICTORIA (voir les détails de sa peau plus haut)
Type : Humanoïde
Espèce : Reptilienne
Genre : Possiblement mâle
Taille : 56,00 cm
Datation : entre 800 et 1100 ans (entre 919 et 1219 env. ap JC)
Mains de 3 doigts comprenant 3 phalanges
Pieds de 3 orteils comprenant 3 phalanges
Doigts terminés par des griffes aplaties - mains en position de pronation
Présence d’articulations
11 paires de côtes : 9 circulaires et 2 flottantes
Corps très bien conservé, avec peau apparente et porosité, couleur brune
Cou possiblement rétractileTrouvée en position assise et sans tête, les membres inférieurs et supérieurs à demi pliés.
Pas de poils - Pas de cloison nasale - Pas d’oreille
Pas de glande mammaire
Pas de rotule, ni de genou - Pas de radius, ni de cubitus, ni d'os carpien
Pas de tibia ni de péroné
Locomotion plantigrade bipède
(Pour plus de détails, voir la fiche générale sur les « Reptiles humanoïdes »)Analyse de MARIA
Taille : 1,68 M
Espèce : JAMIN PALPANENSIS
Genre : femelle - Maria est une femelle car elle n'a pas de chromosome Y (masculin) - son ADN est "XX".
Age probable : entre 40 et 45 ans
Période de vie : 1750 (Beta Analytics) à 1771 (Ifunam Mexico) ans d'ancienneté (à + ou - 30 ans près) - soit 269 ap J.C.
Trouvée en position fœtale, conservée dans de la Diatomite (terre de Diatomée).
Son âge est estimé entre 40 et 45 ans à cause des sutures fusionnées et du mauvais état de sa dentition, de sa lésion cavitaire pulmonaire, et de l’écrasement vertébral de la septième vertèbre dorsale, en conséquence de quoi la mort serait une mort "naturelle".On peut dire que Maria est de sexe féminin grâce aux mamelons détectés et à son bassin gynécoïde.. La capacité crânienne est de 19% supérieure à celle de l'humain, et la présence de trois doigts aux mains et aux pieds avec cinq phalanges
Corps très bien conservé, avec peau apparente de couleur grise
Absence de cheveux et de poils - Absence de pavillon auriculaire - Grands yeux, petit nez
Mains et pieds de 3 doigts - La main fait 20 cm de long - Doigts et orteils avec 5 phalanges
Des empreintes digitales linéaires, horizontales - Présence d'articulations - Toutes les grandes articulations, comme celle des épaules, des coudes, des chevilles, sont intactes, complètement intactes - Sutures soudées - Mauvais état dentaire
Les organes de cette "momie" se trouvent à l'intérieur du corps ainsi que le cerveau.
Apparemment le corps a été momifié en utilisant des infusions et / ou des huiles à base de plantes, le corps a été recouvert d'un matériau à teneur en silice (Terre de Diatomée).Description
Les mains :
Articulation radio-carpienne et 5 phalanges, lesquelles possèdent toujours leurs capsules entre chaque intra-articulaire.
Articulation radio-carpienne avec les 8 os qui forment le carpe.
Nous avons sur la main droite le scaphoïde, le semi-lunaire, le pyramidale, le pisiforme nous allons le voir après et sur la seconde file il y a le trapèze, le trapézoïde, le grand os et l'os crochu (os hamatum).
Nous pouvons voir que sur les deux dernières phalanges du doigt inférieur qu’il y a une séparation. Ce n'est pas qu'il y ait eu une manipulation, cette partie a été brisée, le doigt a été cassé.
La main gauche n'a pas souffert, nous voyons les capsules articulaires intactes et la corrélation entre chaque joint articulaire sont parfaites.
La main gauche fait 20 cm.. La main droite 20,127 cmMain droite
Main gauche
Coussinets et empreintes digitales horizontales
Les pieds :
5 phalanges aussi aux pieds.
Longueur des pieds : le gauche : 22,773 cm et le droit : 22,055cm.
La plante du pied fait 7 cm
On voit le tibia, le péroné, l'astragale, le calcanéum, le cuboïde, et les os du métatarse.
Mais le calcanéum au niveau du talon est très particulier, le tendon d'Achille est intégré dans l'os astragale, alors que chez l'humain le tendon est fixé sur le calcanéum.
Pas de voûte plantaire. Os calcanéum sans tubulure.
Les trois dernières phalanges des pieds sont très spéciales. Elles sont de petite taille et de forme irrégulière. La dernière phalange comporte un coussinet arrondi de 1,2 cm de longueur, avec des empreintes digitales droites et non circulaires comme chez l'humain. La dernière phalange est recourbée à 90°.
Empreintes digitales aux mains et aux pieds.
On voit une séparation de 9 mm entre les doigts des mains et des pieds de Maria, cela peut lui permettre un mouvement de pronation (vers l'intérieur) avec le doigt central (comme avec notre pouce).
Il lui manque la phalange du doigt central du pied gauche. Il a aussi été cassé.
Les phalanges distales sont adaptées de manière évolutive en étant positionnées à angle droit à 90 ° vers le bas, avec des "patins" aux extrémités d'environ 1,2 cm. de diamètre, ils servent de support et d'amortissement aux longs doigts pour le processus de la marche bipède, évitant ainsi le taraudage des doigts au sol, ils présentent des rainures et / ou empreintes digitales horizontales.
La différence entre les pieds de l'Homo Sapiens et ceux de la momie Maria ne réside pas seulement dans la présence des trois orteils, mais aussi dans la longueur de ses phalanges ainsi que du calcanéum qui chez Maria est très gros et ne dispose pas de l’apophyse du calcanéum.Comparaison de la morphologie du pieds d'un Humain et de celui de Maria
Capacité crânienne :
1650 cm3, alors que chez l'humain c'est de 1400 cm3 - soit 19 % plus grande que l'humain - Même sutures crânienne que l'humain : sagittales, coronales, occipitales et temporales.
Restes de l’encéphale encore à l’intérieur de la cavité crânienne.
Le degré de conservation est tel que si nous mettons du côté droit une image, nous voyons qu'au centre il y a une division qui s'appelle la faux du cerveau (falx cerebri), qui est une partie de la dure-mère. La dure-mère est une membrane très fine qui sépare le lobe gauche du lobe droit, et à la moitié elle sépare l'encéphale du cervelet. Elle est parfaitement conservée.La tête :
Les globes oculaires très grands mais en les mesurant nous voyons que c’est une orbite tout à fait normale. Elle mesure 41mm, ce qui est normal.
Les dents sont en mauvais état mais toujours là. La troisième molaire indique qu'il s'agit d’un individu âgé.
Déplacement de la mandibule vers l'avant. C'est une subluxation de l'articulation temporo-mandibulaire droite, qui s'est déplacée de plus ou moins 9 mm, ceci par effet de la gravité, ce qui signifie que cette luxation est post-mortem. La normalité serait qu'elle s'imbrique bien dans la cavité de l'os temporal.Colonne vertébrale :
12 côtes comme chez l'humain – les 2 dernières côtes (la 11 et la 12) sont flottantes.
Mais la colonne vertébrale est constituée de 26 os au lieu de 32 os chez l'humain.
Fracture au niveau de D7 (une fracture par écrasement avec une réaction sclérotique, ce qui indique qu'après cette fracture Maria a continué à vivre), et hernie discale L3/L4 et L4/L5 se référant aux vertèbres lombaires. C'est ce qu'on appelle une discopathie ou douleur discale.
Lésion pulmonaire cavitaire
Bassin ginécoïde - Traces de possibles mamelons et d’une cicatrice ombilicale.
Elle a un larynx, une trachée, un cœur et le diaphragme.
Les articulations des épaules, des genoux et des hanches, elles n'ont pas été manipulées.
On compte 7 vertèbres cervicales, 12 dorsales. 5 lombaires et 4 ou 5 formant le sacrum coccyx qui ne sont pas représentées à cause de la détérioration des os.Dans la cavité abdomino-pelvienne la seule chose qui subsiste sont des restes momifiés d'intestins et les fameux coprolithes. Les coprolithes sont des excréments desséchés, pétrifiés. En faisant un examen de ces coprolithes nous pourrions savoir de quoi s'alimentait Maria.
Partie intestinale de Maria, intestins et coprolithes
Le système reproducteur est manquant, peut-être à cause de sa position assise qui aurait détérioré cette partie, ou bien comme l'a suggéré le Dr. Galetskiy Dmitriy Vladislàvovich, un animal aurait pu l'arracher post-mortem (traces de blessures causées par de longues griffes dans le bas du dos – voir photo ci-dessous).
Possibles mamelons
Les os : la densité a été mesurée en unités "Scan field" (ou Hounsfield ) pour voir que toutes les structures étudiées correspondent bien à des os, qui sont plus ou moins entre 1200 et 1400 unités Scan field .Os creux comme les autres entités de 60 cm
Peau de Maria : La peau de Maria a les mêmes caractéristiques que celle de Victoria et des autres entités de 60 cm, de couleur grise avec des protubérances, de type reptilien.
PIEDS DE MARIA PIEDS D'UN HUMAIN
Datation C14
1750 (Beta Analytics) à 1771 (Ifunam Mexico) ans d'ancienneté (à + ou - 30 ans près) - soit 269 ap J.C.
Analyses ADN
Biotecmol - Homo Sapiens - 33,6%
PhD SK / Biotecmol - Homo Sapiens - 33,68%
Bactéries et autres génomes – 18,42% -
Non classifié - 47,90%
Recherche réalisée en juillet 2018 sur NCBI sur la base des fichiers Fastq fournis par Biotecmol.Université de St Petersbourg
Homo Sapiens – 23,8%
Non classifié – 76,2%Conclusions
Plusieurs tests au Carbone 14 ont donné à Maria un âge de 1750 ans (+ - 30 ans) – soit 269 ap J.C.
Tous les scientifiques ont confirmé qu'ils n'avaient pu déceler aucun indice de fraude et qu'il s'agissait bien d'une entité biologique ayant vécu.
Si une manipulation (ou fraude) avait eu lieu il aurait fallu qu'elle ait été pratiquée il y a plus de 1750 ans et même ainsi ils auraient dû trouver des "marques" de ces "opérations" sur les Scanners qui révèlent le moindre minuscule détail de suture, même si c'était fait avec un produit chimique ou en microchirurgie.Les professionnels qui ont examiné le corps de "Maria" ont recensé plusieurs anomalies par rapport au corps humain :
1- Les mains et les pieds sont tridactyles, ils possèdent trois doigts à chaque main et trois "orteils" à chaque pied.
2- de plus les doigts des mains possèdent cinq phalanges, à l'instar de l'humain qui n'en a que trois et deux au pouce.
3- Les mains sont plus larges que les nôtres et leurs os sont beaucoup plus robustes. Absence d'os métacarpien, paume formée uniquement par des carpes. Les mains font 20 cm de longueur.4- Les ongles de "Maria" couvrent près de 90% de la dernière phalange alors que chez l'humain l'ongle ne couvre qu’environ 50% de la phalange. Les doigts possèdent des empreintes digitales.
5- La dernière phalange des "orteils" des pieds est recourbée à 90° vers le bas et c'est sur cet appui et celui du talon que reposait le bipède. Absence de métatarse. Longueurs : plante du pied = 7cm ; phalanges = 6cm, 5cm, 3cm, 1cm et 1cm. Longueur des orteils = 16 cm. Longueur totale du pied (plante et orteils) = 23cm.
6- Ces extrémités recourbées des "orteils" possèdent des "coussinets" (diamètre 1,5cm) avec des empreintes digitales différentes des nôtres, elles sont en lignes presque horizontales (très légèrement courbées) et non pas en spirale.
7- Le crâne de "Maria" est plus allongé que le nôtre et ne présente aucune marque d'une élongation provoquée (comme lorsque, appliqué sur des enfants, dans certaines traditions pré-Incas à l'aide de planchettes et de ruban pour les plaquer et permettre ainsi à la boite crânienne de se développer vers le haut) car cette pratique laisserait inévitablement des marques sur le crâne ou tout au moins une planification de certaines parties, alors que chez "Maria" son crâne présente une parfaite harmonie dans sa courbure.
8- Même sutures crânienne que l'humain : sagittales, coronales, occipitales et temporales.
9- La colonne vertébrale est constituée de 26 os au lieu de 32 os chez l'humain.
10- Elle présente 12 côtes comme chez l'humain – les 2 dernières côtes (la 11 et la 12) sont flottantes.
11- La peau qui apparaît au niveau du coude ne présente pas les caractéristiques de celle d'un humain.
12- Absence de cheveux et de poils.
13- Absence de pavillon auriculaire mais présence du canal auditif avec oreille moyenne et cochlée.
14- Présence de tétons, mais on ne voit pas l’ombilic.
15- Orbites oculaires de 5cm. Nez très fin, plus petit que chez l'humain. Grosses lèvres, plus grosses que chez l'humain. Taille de la face 31 cm.
ANALYSE d'ALBERT
Type : Humanoïde
Espèce : Reptilienne
Genre : Mâle
Taille : 60,50 cm
Anatomie identique aux autres individus de 60 cm environ (voir description du Reptile Humanoïde)
Mains de 3 doigts comprenant 3 phalanges
Pieds de 3 orteils comprenant 3 phalanges
Présence d’articulations
8 paires de côtes : 6 circulaires et 2 paires flottantes
Spécimen en croissance
Possiblement atteint d’une maladie osseuse
Présence d’un implant métallique biocompatible, insérée à la hanche droite
(Greffe autologue d’après les radios du Dr Salas Alfaro)
Cou possiblement rétractileLa base de la tête du Reptile humanoïde, le long de sa partie centrale est droite avec une réduction vers la région occipitale, il possède un foramen magnum de forme rectangulaire, légèrement en arrière du centre. Il est possible d'observer une structure qui correspond à la cochlée et à l'oreille moyenne, situé dans le tiers antérieur, que l'on peut apprécier dans toutes les têtes des spécimens analysés.
Peau d’Alberto
L'implant de la hanche
La composition moyenne est estimable à environ 25% de cuivre pour 50% d’argent.
La composition de cet échantillon est tout à fait concordante avec les compositions-type répertoriées pour des objets d’époque précolombienne conçus à partir d’un alliage cuivre-argent. La microstructure observable en imagerie topographique semble indiquer que l’objet source a été conçu par emboutissage de feuillets d’alliage cuivre-argent par battage à froid, technique par ailleurs répertoriée pour la conception de nombreux objets d’époque précolombienne.Concernant la biocompatibilité d’un implant conçu à partir d’un tel alliage, compte-tenu de l’activité chimique du cuivre et de l’argent selon le contexte (pH, …), les conséquences histologiques sur un organisme vivant seraient incertaines et requiert l’avis d’un spécialiste.
Source : the-alien-project.com LC-Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf- Lilian Cristofol Ingénieur d'études en science des matériaux / caractérisation Novembre 2018Les examens pratiqués sur les momies ont été effectués ou/et étudiés par :
Dr. Raymundo Salas Alfaro; Dr. Edson Salazar; Dr. Julio Espero Torres; Dr. David Hermosa Gongo; Dr. Ramiro Hermoza Rosell et le Dr. Renan Ramirez Vargas; médecins, chirurgiens et radiologues de Cusco au Pérou;
Dr Jose de Jesus Zalce Benitez, expert en Médecine légale, Diplômé de l'École Nationale d'Anthropologie et d'Histoire (Sipaz), Chef du Département de Médecine légale de la Marine Nationale Mexicaine;
et Jose de la Cruz Rios, Biologiste au Secrétariat de la Santé de Campeche au Mexique;
Dr. M.K Jesse, médecin radiologue à l'Université Colorado Hospital aux USA;
Natalia Zaloznaja, Chef de l'Imagerie Médicale à l'Institut Médical MIBS; ainsi que le Dr. Konstantin Korotkov, Professeur à l'Université de Saint Pétersbourg, Président de l'Union Internationale de Médecine et de Bioelectrographie appliquée, tous deux résidents de Russie.LES IMPLANTS retrouvés sur les momies
SYNTHÈSE DE L'ANALYSE DES RAPPORTS INGEMMET
par Lilian Cristofol Ingénieur d'études en science des matériaux / caractérisation
Novembre 2018
1 – JOSEFINA (Pectoral) - Plastron (implant externe thorax).85 % de cuivre
Composition concordant avec un objet d’époque précolombienne
Présence d’oxydation et d’altération prouvant son ancienneté.L’échantillon analysé est composé à 85 % de cuivre
Composition concordant avec un objet d'époque précolombienne.
Avec présence d'oxydation et d'altération attestant son ancienneté.
Cet échantillon est composé de plusieurs fragments extraits de l'implant pectoral de Josephina, parmi lesquels trois sont prélevés pour les analyses effectuées, avec pour chacun une mesure des concentrations massiques élémentaires.
En complément, une cartographie en EDS des éléments carbone, oxygène, silicium, soufre, chlore,
calcium et cuivre est réalisée sur un des trois fragments.
Cet échantillon est composé en majorité de cuivre métallique (85% massique en moyenne pour les
zones les plus pures), dont l'altération partielle est observée à travers la formation de produit
d'oxydation comme la cuprite ou la ténorite, ou de minéraux d'altération comme l'atacamite ou la
brochantite. Ce cuivre contient par ailleurs des impuretés (fer, soufre, ...), qui pourraient être
caractéristiques du minerai dont a été extrait le cuivre utilisé pour la conception de l'implant. Ces
impuretés pourraient également donner des indications quant au mode d'extraction employé,
notamment à travers la présence de soufre (extraction possible à partir de sulfures type chalcocite).
Les concentrations de soufre et de chlore caractéristiques des produits d'altération observés tels que
l'atacamite pourraient indiquer une altération ayant opérée dans un lieu à l'atmosphère riche en chlore et/ou en soufre, tels qu'un environnement côtier ou volcanique, ou dans un environnement pollué (usine, gaz d'échappement).
On observe également pour cet échantillon une signature chimique minérale (carbonate, silicates,
sels), qui peut être la conséquence d'un apport exogène (gangue qui enveloppe l'implant) ou de
cristallisations in situ à la faveur de certaines conditions.
Dans le contexte d'étude, cet échantillon est tout à fait concordant en termes de composition
chimique (cuivre dont la pureté – perfectible - est tout à fait compatible avec les méthodes de raffinage connues et accessibles à l'époque) avec un objet d'époque précolombienne. Par ailleurs, les produits d'oxydation et d'altération observés mettent en jeu des processus lents et contribuent ainsi à
corroborer l'ancienneté de l'objet dont est extrait l'échantillon, sous réserve que celui-ci n'ait été
exposé à un environnement très agressif (pollution atmosphérique). La signature minérale observée irait également dans ce sens, en cas de cristallisation in situ (processus lent).
Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf2 - Implant métallique annulaire d'une main tridactyle .
16% de chrome
5% de carbone
78 % de fer
Ne correspond pas à un objet d'époque précolombienne : civilisations ne maîtrisant pas l'extraction et le travail du fer.Cet échantillon est un fragment extrait d'un implant annulaire prélevé sur la main tridactyle remise par Paul Ronceros à l'institut INKARI-CUSCO, effectués avec pour chacun une mesure des concentrations massiques élémentaires. Une cartographie élémentaire est également réalisée sur une zone de ce fragment.
Cet échantillon est composé d'un alliage fer-carbone (moyenne 78% de fer pour 5% de carbone) riche en chrome (moyenne 16%), cependant l'analyse EDS ne permet pas de trancher entre un acier
(inoxydable) ou une fonte (blanche). On note que si cet alliage ne contient pas de nickel dans sa
composition intrinsèque, on le détecte par contre très localement sur une des zones d'analyse dans
une concentration presque pure (moyenne 85%), ce qui indiquerait l'existence d'une couche de
passivation au nickel pour cet échantillon (hypothèse à considérer en dehors d'un possible apport
exogène, avec la pollution par les outils ayant servi à l'extraction, par exemple). Nous aurions donc
pour cet échantillon un acier ou une fonte, peut-être recouvert en surface d'une couche de nickel,
plausiblement déposé par galvanoplastie (bain chimique ou électrolytique).
On observe également une signature chimique minérale pour cet échantillon, qui est probablement
d'origine exogène (gangue minérale).
Dans le contexte d'étude (en dehors des considérations de compositions élémentaires : acier
ou fonte, galvanoplastie au nickel, etc.), le plus gros "problème" que pose cet échantillon est qu'il
n'existe pas à ce jour parmi les objets manufacturés d'époque précolombienne répertoriés, d'objets
constitués d'alliage à base de fer. La principale raison est purement technique : les civilisations de cette époque ne maîtrisaient pas les techniques requises pour l'extraction et le travail du fer.
L'unique alternative pour expliquer cette "anomalie" dans l'hypothèse d'un objet élaboré par une
civilisation précolombienne serait la conception de l'objet source dont est extrait l'échantillon à partir de fer natif d'origine météoritique (observé dans d'autres civilisations antiques), de composition chimique équivalente.Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf
3 - Implant métallique d'une main tridactyle
60% d'or
30% d'argent
10% de cuivre
Composition concordant avec un objet d'époque précolombienne.
Alliage connu sous le nom de tumbaga.Cet échantillon est composé majoritairement d'un alliage or-argent (et dans une moindre mesure,
cuivre), dans une proportion moyenne d'environ 60% d'or pour 30% d'argent (environ 10% de cuivre), hors hypothèse sur éventuelle technique de manufacture de l'objet source (voir ci-après). On observe la présence d'autres éléments comme notamment le fer présent sous forme d'inclusion si on se réfère à la cartographie élémentaire, ce qui pourrait être une indication quant à la source de l'alliage utilisé pour la fabrication de l'objet dont est extrait l'échantillon 04 : il pourrait s'agir d'un alliage or-argent natif, ce qui est compatible avec la minéralogie péruvienne. Il est par ailleurs possible qu'une technique de finition type « dorure par appauvrissement » ait été appliquée à l'objet, auquel cas les valeurs des concentrations massiques mesurées ne seraient que représentatives de la proche surface de l'échantillon et l'alliage probablement proportionnellement plus riche en cuivre (type tumbaga).
On retrouve ici également une signature chimique minérale (carbonates, silicates, sels), conséquence soit d'un apport exogène (gangue minérale qui enveloppe l'échantillon), ou de cristallisations in situ (processus lents à la faveur de certaines conditions qui témoignerait de l'ancienneté de l'objet source).Dans le contexte d'étude, cet alliage or-argent est tout à fait concordant en termes de composition avec les alliages utilisés à l'époque précolombienne. La présence d'impuretés tel que le fer en inclusion va également dans ce sens, plausible indicateur de l'utilisation d'un alliage or-argent natif pour la conception de l'objet, en l'absence de procédés complètement maîtrisés par les métallurgiste précolombien pour l'élaboration de ce type d'alliage. Il est également plausible qu'une finition type "dorure par appauvrissement" ait été appliqué à l'objet source de l'échantillon, dont l'alliage serait alors un alliage or-argent-cuivre caractéristique de nombreux objets d'époque précolombienne et significativement plus riche en cuivre en proportion massique, le tumbaga.
Cet échantillon est composé de plusieurs fragments extraits d'un implant (en forme de disque) d'une
des mains tridactyles. Trois fragments sont prélevés de cet échantillon pour les analyses.
Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf4 - Implant métallique de la hanche d'Alberto
50% d'argent
25% de cuivre
Concordant avec les compositions-type répertoriées pour des objets d'époque précolombienne.
Cet échantillon est un fragment extrait de l'implant de la hanche droite d'Alberto, qui a la géométrie
d'un disque si l'on se réfère aux photographies, radiographies et scanners disponibles effectués, avec pour chacun une mesure des concentrations massiques élémentaires. Une cartographie élémentaire (chlore, cuivre, argent) est également présentée en introduction.Cet échantillon est constitué d'un alliage cuivre-argent, dans un rapport de proportion massique allant d'environ 10% de cuivre pour 90% d'argent à 10% d'argent pour 80% de cuivre, selon la zone analysée.
La composition moyenne est estimable à environ 25% de cuivre pour 50% d'argent. Ces disparités sont conditionnées par plusieurs facteurs, dont les principaux sont la composition de l'alliage utilisé pour la fabrication de la pièce (rapport cuivre/argent qui va favoriser certaines microstructures), la méthode de manufacture utilisée (coulage, battage à froid, finition de la pièce, etc.) conjointement à
l'orientation de l'échantillon lors des analyses (conditionnée elle aussi par son extraction de l'objet
source).
On retrouve encore une signature chimique minérale (carbonates, silicates, sels), qui pourrait par
ailleurs être aussi d'origine organique du fait des éléments mis en jeu, notamment avec le
phosphore qui entre dans la composition des os.
Dans le contexte d'étude, la composition de cet échantillon est tout à fait concordante avec
les compositions-type répertoriées pour des objets d'époque précolombienne conçus à partir d'un
alliage cuivre-argent. La microstructure observable en imagerie topographique semble indiquer que
l'objet source a été conçu par emboutissage de feuillets d'alliage cuivre-argent par battage à froid,
technique par ailleurs répertoriée pour la conception de nombreux objets d'époque précolombienne.
Concernant la biocompatibilité d'un implant conçu à partir d'un tel alliage, compte-tenu de l'activité
chimique du cuivre et de l'argent selon le contexte (pH, ...), les conséquences histologiques sur un
organisme vivant seraient incertaines et requiert l'avis d'un spécialiste.
Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdfNote: L'implant n'est pas bio-compatible avec l'humain, mais rappelons-nous que nous avons à faire à une autre espèce que l'Homo sapiens, cela demande donc des examens plus approfondis avant de tirer des conclusions.
5 - Objet métallique sous forme de croix73% d'or
18% de cuivre
7% d'argent
Alliage caractéristique d'objets manufacturés d'époque précolombienne, le tumbaga.Cet échantillon se compose de deux fragments extraits d'un objet métallique en forme de croix.Cet échantillon présente la composition chimique d'un alliage or-cuivre (avec un peu d'argent, de 5 à
7% massique en moyenne), appelé tumbaga. Le rapport de concentration massique moyen or/cuivre
varie d'environ 8% de cuivre pour 85% d'or à 26% de cuivre pour 65% d'or, selon les zones analysées.
Les analyses montrent encore une signature chimique minérale (carbonates, silicates), possiblement
induites par une pollution exogène.
Discussion des résultats dans le contexte d'étude
Dans le contexte d'étude, l'alliage or-cuivre(-argent) qui compose cet échantillon est caractéristique d'objets manufacturés d'époque précolombienne, il porte le nom de tumbaga. De nombreux objets élaborés à partir de cet alliage ont été répertoriés. Il est par ailleurs intéressant de noter que les disparités de mesure de concentration seraient la conséquence d'une technique de finition d'objets élaborés en tumbaga, la dorure par appauvrissement, technique régulièrement mise en œuvre par les métallurgistes de l'époque précolombienne afin d'embellir les objets conçus.
L'hypothèse de l'application de cette technique sur cet objet est en outre corroborée par la texture de
surface poreuse des zones non altérées, texture poreuse observable sur l'image MEB réalisée en
contraste topographique. Cet échantillon présente donc de nombreux indices qui attestent d'une
plausible origine antique.
Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdf6 – Roche
Roche sédimentaire de type grès. Présence possible de diatomées.
Concordant avec la géologie du Pérou.Remarques complémentaires
En ce qui concerne l'ensemble des échantillons métalliques, on peut souligner qu'aucune trace d'arsenic (As) n'est mesurée, d'après les microanalyses chimiques en EDS. Ceci peut être un indicateur important quant à l'origine des objets dans le contexte d'étude (époque précolombienne) : l'arsenic, utilisé pour la première fois par la culture Moche, était parfois adjoint en tant que durcisseur dans les alliages, on le retrouvera de ce fait dans plusieurs objets d'époque précolombienne. On note aussi que cet élément peut être présent ou absent des minerais sources servant à l'élaboration des alliages utilisés, ce qui peut être un lien quant aux lieux d'origines des minerais servant à concevoir les alliages (Petersen G. Georg, William E. Brooks, Mining and Metallurgy in Ancient Perú), conjointement à la culture ayant conçu les objets, outre les méthodes d'extraction des minerais et de fabrication mises en œuvre. La même observation peut être faite pour l'élément étain Sn, pour lequel aucune trace n'a été détectée au cours des microanalyses élémentaires des différents échantillons métalliques. Ce métal, utilisé pour la fabrication du bronze (alliage cuivre-étain), n'a été utilisé significativement par les civilisations précolombiennes qu'à partir de la fin de la culture Moche/début de la culture Inca (soit il y a environ 1400 ans), sur la base des analyses de compositions chimiques disponibles et effectuées sur plusieurs objets répertoriés datant de ces époques (Petersen G. Georg, William E. Brooks, Mining and Metallurgy in Ancient Perú). L'étain dans les alliages antérieurs à cette période n'est présent qu'à titre d'impureté (en source des minerais utilisés). Cet indicateur, l'absence d'étain dans les différents échantillons métalliques analysés, peut être un indicateur fort quant à la période de fabrication des objets sources correspondants dans le contexte d'étude (civilisations précolombiennes).
Source : Analyses-INGEMMET_RESUMEV5.pdfD’autres plaques avec des incrustations métalliques ont été aussi retrouvées, mais non analysées à ce jour.
Ainsi que d’autres roches aux formes étranges.
UN GEOGLPYPHE REPRESENTANT UN ETRE TRIDACTYLE
découvert par un drone dans le désert de TARAPACA au CHILI !
Une autre entité similaire...
(Avec Jois Mantilla sur la photo)
"Toute vérité franchit trois étapes. D'abord elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours existé" A. Shopenhauer
VOIR AUSSI les autres pages, photos, vidéos...
PAGE 1 : Les début de l'affaire, premières photos des momies.
PAGE 2 : Début des analyses des échantillons.
PAGE 3 : Radiographies, examens, scanners, détails des entités.
PAGE 4 : Nouvelles radios et analyses - 3 nouvelles momies de 60 cm
PAGE 5 : Projet de Loi pour protéger les momies, nouvelles planches et radios
PAGE 6 : La présentation officielle des momies au Congrès de la République du Pérou à Lima
Les scanners 3D des momies Maria et Josefina
La page des vidéos ICI et le Site de THIERRY JAMIN
et notre Nouveau BLOG "EMANANTS ET OVNIS"
Autres pages sur des gravures représentants des êtres à trois doigts
les-dalles-peintes-de-pampacolca
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