• Les mystères de la lune.

    Sciences de l'univers

     LES MYSTERES DE LA LUNE  

    Des villes sur le sol lunaire ?

    Les mystères de la lune.

    – Dr. Edgar Mitchell, ancien astronaute de la NASA : “Lisez les livres, lisez le compte rendu, commencez à comprendre qu’il y a toujours eu des ovnis, car il ne fait aucun doute que l’on nous rend visite… L’univers dans lequel nous vivons est plus incroyable, réjouissant et complexe que tout ce que nous avons été capable d’apprécier jusqu’à présent. L’humanité s’est longtemps demandée si elle était seule dans l’univers, mais nous savons depuis peu de temps la vérité: Non, nous ne sommes pas seuls.”

    En 1979, Maurice Chatelain, l’ancien directeur des systèmes de communication de la NASA a confirmé les dires d’Armstrong après avoir vu deux ovnis sur le bord d’un cratère. “La NASA était au courant de cette rencontre,” révéla-t-il. “Mais jusqu’à présent personne n’en a parlé.”

    D’après Armstrong, de manière non-officielle, “nous avons été mis en garde.” “Je ne peux pas trop entrer dans les détails, mis à part le fait que leurs vaisseaux étaient nettement supérieurs aux nôtres, tout comme leur technologie. Ils étaient majestueux et … menaçants.”

    Plusieurs personnes croient fermement que plusieurs photos publiées par la NASA ne sont actuellement pas celles qui ont été prises sur la Lune. Plusieurs personnes pensent que les vraies images révèlent des structures et artefacts qui causeraient une pandémie de panique généralisée sur Terre. Plusieurs personnes croient que des centaines de photos de la NASA ont été altérées afin de dissimuler les structures, bases lunaires, et artefacts qui prouveraient bien que des aliens sont présents sur la Lune. Dr. Farouk El-Baz, scientifique de la NASA, a déclaré que “toutes les grandes découvertes ne sont pas annoncées au public.”

    En plus du témoignage de Leonard, plusieurs ex astronautes ont décrit une forme de vie extraterrestre, une déclaration intéressante qui a été faite par le Dr. John Brandenburg qui était le chef de la Mission Clementine sur la Lune, la mission de la NASA qui a découvert de l’eau au niveau des pôles lunaires en 1994.


    Dans une interview, le Dr. Brandenburg -qui a autrefois évoqué le fait que Mars possédait de la vie dans un passé lointain- a dit la chose suivante:

    “C’est lors de la Mission Clementine, une mission de reconnaissance afin de voir si d’autres gens construisaient des bases sur la Lune que nous ne connaissions pas que nous les avons vues, ces structures.

    De toutes les photos lunaires à notre disposition, la plus impressionnante est celle d’une structure de deux kilomètres de haut. C’était définitivement une structure artificielle et elle ne devait pas être là du tout. En tant qu’employé de la communauté de la défense spatiale, j’observais n’importe quelle structure sur la Lune avec beaucoup d’attention car ce n’est pas de nous. En aucun cas l’humanité a construit une telle chose. Cela veut dire que quelqu’un d’autre se trouve là-haut.” Source :  nouvelordremondial

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    27 avril 1972 (Apollo 16)

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     Une anomalie déjà en 1967 The Shar

    The Shard est une anomallie  prise en photo sur la Lune par un orbiteur lunaire de la NASA en 1967. Une sorte de tour qui s'étend de la surface de la Lune jusqu'à une certaine distance d'au moins un millier de mètres de haut. Il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'un objet réel vue l'ombre qu'il projette sur la surface de la lune. Source : area51blog 

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    Source :   abovetopsecret 

     

    L'ovni d'Apollo 15

    L'astronaute Jim Irwin a-t-il filmé un ovni pendant la mission Apollo 15 en 1971 ? Des images troublantes exhumées des archives de la NASA alimentent le buzz sans apporter de réponse définitive.

    Pourquoi aucune nation n’est-elle retournée sur la Lune depuis la mission Apollo 17 en 1972 ? «Trop cher» assènent les esprits secs. Mais pour certains, la vraie raison est ailleurs: l’homme, ses petits pas, ses modules et ses drapeaux ne sont plus les bienvenus sur l’astre sélène. Cette interprétation conspirationniste du dédain des agences spatiales pour notre proche voisine est illustrée plutôt qu’étayée par plusieurs incidents insolites survenus au cours des différentes missions Apollo. Dès la première de ces missions, des rumeurs ont circulé: l’équipage d’Apollo 11 a vu un objet pendant son voyage vers la lune qui n’a pas encore été identifié avec certitude mais qui serait sans doute un panneau de séparation du lanceur.Source : parismatch 

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     Le Sergent Karl Wolfe  US Air Force - témoigne en septembre 2000

    (décédé en  2018 dans mystérieux "accident")

    Karl Wolfe a travaillé dans l'Armée de l'Air pendant plus de 4 ans et demi à compter de janvier 1964. Il avait un niveau d'accès top-secret et a travaillé au commandement tactique aérien à la base de l'Air Force Langley en Virginie. Tout en travaillant dans un service de la NSA, il a vu des photographies prises de la lune depuis la navette spatiale lunaire qui a montré des structures artificielles détaillées. Ces photos ont été prises avant l'atterrissage d'Apollo en 1969.

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    "Je ne voulais pas regarder cela aussi longtemps parce que je sentais que ma vie était en jeu. Vous comprenez ce que je dis. J'aurais adoré observer cela plus longtemps, en avoir des copies. J'aurais aimé en parler plus, en discuter, mais je savais que je ne le pourrais pas. Je savais que le jeune gars qui me faisait voir ça dépassait vraiment, vraiment les limites. Je sentais qu'il avait besoin d'en parler à quelqu'un. Il ne l'avait jamais fait, ne pouvait pas le faire. Il s'est mis à m'en parler pour un seul motif je pense : celui de se libérer un peu du poids considérable qui pesait sur lui, de se déstresser...

    Je savais qu'après avoir quitter l'armée je ne pourrais aller nulle part pendant cinq ans sans en référer au Département d’État. A chaque fois que je voulais voyager, même sur le territoire des États-Unis, je devais le signaler et demander la permission. Ils exigeaient de savoir où je me trouvais à tout moment. Par exemple, quand nous allions au Vietnam, il y avait toujours quelqu'un avec nous, avec un fusil, toujours prêt à nous descendre si nous tombions entre les mains de l'ennemi. Ils ne voulaient pas que l'ennemi nous capturât ; ils préféraient nous tuer.

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    Nous savions dans quelles conditions nous opérions. Notre vie était en jeu à tout instant si nous tombions entre de mauvaises mains. Nous étions conscients de cela.

    Quand j'ai quitté l'armée, j'ai été informé qu'ils enquêteraient régulièrement sur moi pour être sûr que je ne serais pas impliqué dans des activités contre les intérêts du gouvernement..." Source : scienceetovnis

    Un dénonciateur d'OVNI célèbre qui a affirmé avoir vu des photos secrètes de la Nasa montrant "des structures extraterrestres" sur la Lune est décédé des suites d'un accident de vélo.

    L'ancien sergent de l'armée de l'air américaine, Karl Wolfe, âgé de 74 ans, faisait du vélo à Lansing, dans l'État de New York, lorsqu'il a été heurté par un semi-remorque.Il a été transporté au centre médical voisin de Cayuga, mais est décédé des suites de ses blessures. Les policiers ont ouvert une enquête sur sa mort mais aucune accusation n'a été portée contre le conducteur. Wolfe est devenu célèbre en 2001 en affirmant de façon surprenante que la Nasa dissimulait des preuves de structures artificielles du côté obscur de la lune.  Le sergent Wolfe avait une autorisation très secrète et travaillait pour le commandement aérien tactique à la base aérienne de Langley, en Virginie. Wolfe croyait que la NASA essayait de dissimuler l'existence d'une vie extraterrestre sur la lune; En 1965, il fut assigné au projet Lunar Orbiter géré par la NASA à Langley Field. Il travaillait comme réparateur de photographies de précision en électronique et avait été envoyé pour réparer un équipement qui "empêchait la production" de photographies. Wolfe a été emmené dans un laboratoire pour travailler sur l'équipement défectueux et a remarqué que des scientifiques du monde entier participaient au projet. Un autre aviateur qui se trouvait dans la chambre noire lui a dit que la NASA avait "trouvé une base à l'arrière de la lune".  Il a ensuite commencé à lui montrer des images de tours, de dômes et de structures en forme de champignon sur la surface lunaire. Les photos ont été renvoyées par Lunar Oribiter avant le débarquement d’Apollo en 1969. Wolfe a raconté l'incident lors de l'événement Disclosure Project organisé au National Press Club de Washington DC par le Dr Stephen Greer en 2001.

    La vidéo de son témoignage a été visionnée des millions de fois sur Internet. Il y dit: «On m'a emmené dans le laboratoire où l'équipement fonctionnait mal. Je ne pouvais pas le réparer dans le noir alors j'ai demandé de le faire enlever. Un aviateur de deuxième classe était dans la pièce sombre à ce moment-là. J'étais aussi un aviateur de deuxième classe. Je m'intéressais au fonctionnement de l'ensemble du processus - à la manière dont les données passaient de l'orbiteur lunaire au laboratoire. J'ai donc demandé au jeune homme de m'expliquer le processus. Il l'a fait. Environ 30 minutes après le début du processus, il m'a dit d'une voix très affligée : En passant, nous avons découvert une base de l'autre côté de la lune ". Et il a ensuite posé des photographies devant moi et clairement sur ces photographies, il y avait des structures, des bâtiments en forme de champignon, des bâtiments sphériques et des tours. À ce moment-là, j'étais très inquiet parce que nous travaillions dans une sécurité compartimentée, il avait violé la sécurité et j'avais peur. Il a conclu son témoignage en déclarant : Je me souviens être rentré chez moi en pensant naïvement que je ne pouvais pas attendre d'entendre parler de ça aux nouvelles du soir. Ici, c'est plus de 30 ans plus tard et j'espère en entendre parler ce soir. Il est apparu à la conférence de presse avec plus de 20 officiers de l'armée de l'air, de la Federal Aviation Administration et du renseignement à la retraite, qui ont juré de témoigner sous serment devant le Congrès au sujet de leurs expériences avec des OVNIS. Certaines personnes ont même avancé l'hypothèse que Wolfe aurait été assassiné pour avoir révélé des informations secrètes. Charlie Collins a posté sur Facebook: "Comment pouvez-vous dire à un initié UFO qu'il dit la vérité? Ils meurent de manière inattendue."Jorge Fierro a ajouté: "Très probablement, il a été assassiné. La divulgation d'informations top secrètes peut vous faire tuer." Toutefois, Dan Willis, témoin du même document, qui a annoncé la nouvelle de la mort de Wolfe samedi, ne partage pas ce point de vue. Il a écrit: "C’était un homme très courageux qui n’avait aucun intérêt à donner son témoignage, si ce n’était qu’il avait réalisé son souhait de le voir aux nouvelles du soir, comme il l’avait déclaré. "Je ne crois pas que c'était un acte criminel, il n'y avait rien à gagner à frapper Karl." La mort de choc survient alors que les chasseurs d'ovnis sont encore sous le choc de la mort d'un autre lanceur d'alerte légendaire.  Le sergent-major Robert Dean, commandant de la US Army, à la retraite, est décédé à l'âge de 89 ans le 11 octobre à Tucson, en Arizona. Source :  translate

     

    Le Commandant Sergent-Major Robert Dean - Voir la page

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    Le Commandant Sergent-Major Robert Dean a été filmé une première fois en septembre 2007, dans le cadre du Projet Camelot de Bill Ryan et Kerry Cassidy. L'entretien se compose de deux parties :

    1) BOB DEAN : "Un Officier et un Gentleman"
    "Nous avons rencontré de nombreuses personnes remarquables dans le cadre du Projet Camelot, mais cet entretien avec Bob Dean est un de nos moments privilégiés.

    Dans la Première Partie, il partage ses connaissances sur le phénomène Ovni, et revient sur sa découverte lorsqu'il était affecté au SHAPE en Europe dans les années 60. Par la suite, après avoir pris sa retraite, il a pris la décision courageuse de briser son Serment de Secret et il a commencé à raconter ce qu'il avait appris.

    Dans la seconde partie, Bob nous confie que ceci est probablement sa dernière interview... Puis il marque une pause, prend une profonde inspiration, et nous déclare devant la caméra qu'il a été contacté, et qu'il a embarqué à bord du vaisseau".

    Source :  /ovnis-usa

    Et une autre photographiée par la Nasa en 2014

    Après le lézard, le rat et la fleur repérés sur Mars, un nouveau buzz extraterrestre prend actuellement de l'ampleur sur la Toile. Et cette fois-ci, ce n'est pas sur la planète rouge que cela se passe, mais sur la Lune. Tout a commencé à la mi-juillet, lorsqu'un internaute a repéré une étrange forme à la surface de notre satellite. Pour cela, il a utilisé Google Moon, une version de Google Earth réalisé à partir de milliers de clichés de la Lune pris notamment par la NASA. Depuis, la forme observée ne cesse d'intriguer. Selon certains, cela ressemble à quelque chose ou quelqu'un se tenant debout et suivi de son ombre. Un autre internaute qui a reçu le cliché de la forme est allé vérifier par lui-même en utilisant les coordonnées indiquées (27°34’26.35″N 19°36’4.75″W) et il l'a également repérée. Il a alors réalisé une vidéo postée sur Youtube qui a depuis été vue plus de 3 millions de fois. "Au début, j'ai pensé peut-être était-ce quelque chose dessiné sur l'image mais après être allé sur Google Moon, quoi que ce soit ou ne soit pas... heu, c'est là", a écrit l'internaute Wowforreeel qui se garde d'avancer une vraie théorie. Selon lui, cela ressemblerait toutefois un peu à la forme connue sous le nom de "The Shard" et observée sur une photo prise en 1967 par un orbiteur lunaire de la NASA. Forme vivante ou artefact ?La forme "The Shard" semble sortir de la surface lunaire comme quelque chose dressé à la verticale mais jamais personne n'a pu donner une explication cohérente à sa présence. Selon les hypothèses, il pourrait s'agir d'une fumée, d'un éclat survenu à la surface ou d'un artefact. Si la ressemblance avec la nouvelle forme observée est sujette à débat, cette dernière n'a pas manqué d'inspirer elle aussi une variété d'hypothèses.

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     Source :  maxisciences 

      Ken Johston, ancien directeur du Département de la National Aeronautics and Space Administration qui a également travaillé pour le laboratoire lunaire  a été licencié pour avoir dit la vérité.  Johnston affirme  que la NASA par le biais de certains témoignages d’astronautes ont découvert d’anciennes villes exotiques et le reste de machines de pointe sur la Lune , une partie de cette technologie pourrait manipuler la gravité.  

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    Il dit que l’agence a ordonné un cover-up et l’ont forcé à  y participer.  Au cours des 40 dernières années, d’autres scientifiques, ingénieurs et techniciens ont également accusé la NASA de dissimulation et de données d’obscurcissement.   Le nombre croissant d’accusations allant du fait qu’ils se cachent des informations sur des objets spatiaux anormaux et de mentir sur la découverte d’artefacts sur la Lune et Mars, à dissimuler les preuves de vie rapportée par l’atterrisseur de Viking au milieu des années 1970 .  

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    "CELESTIAL" Le Film !

    un film de José Escamilla consacré aux anomalies Lunaires

    Le film qui défie quiconque de prouver que la Lune est grise. Ce film prouve que la Lune est un corps céleste coloré et qu’il y a des structures incroyables et des tours construites par “quelqu’un” qui a la capacité de construire un bâtiment de 16 km de large et 10 km de haut sur  une période de huit mois. La preuve est présentée et vous serez étonné de ce que vous verrez dans ce film.

     LIRE ces deux excellents livres de Jean Gabriel GRESLE sur ce sujet

    établis sur la base de documents déclassifiés de l'Air Force !

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      Un autre ancien employé de la NASA, Donna Hare, a accusé la NASA de cacher et masquer des milliers de photos au fil des ans. Selon Johnston, les astronautes Apollo ont rapporté des preuves photographiques ,des objets trouvés lors des activités extravéhiculaires sur la Lune . Johnston affirme que la NASA lui a ordonné de détruire ces images alors qu’il travaillait pour le Jet Propulsion Laboratory (Jet Propulsion Laboratory – JPL), mais il a refusé.

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    Les mystères de la lune

    Source : foetscience 

    Livres conseillés :

    "Lumières sur la Lune – la NASA a-t-elle menti ?" Philippe Lheureux

    • "L’Or des Étoiles" - José Frendevel  

      

    Le témoignage de Donna Hare

    Les photographies sont détruites ou "arrangées"

    novembre 15th, 2009  Posted in Novembre 2009 

    Les mystères de la lune

    Dans une interview accordée en 2006 à Spencer Kelly, journaliste de la BBC, Gary McKinnon expliquait :

    "Un expert photographique de la NASA a déclaré que dans le bâtiment 8 du Centre Spatial Johnson, à Houston, des techniciens passent leur temps à retoucher les images satellite à haute résolution pour effacer les ovnis : ils ont des dossiers nommés 'filtrées' et 'non-filtrées', 'à traiter' et 'brutes'." 

    DeepCut, sur le forum Open Minds, a fait le rapprochement avec le témoignage public de Donna Hare dans le cadre du Disclosure Project en 2001. C'est une occasion de revenir sur ses déclarations à l'époque : "J'étais dessinatrice industrielle chez Philco Ford aeropace, un des contractants de la NASA, de 1967 à 1981. 

    Mais la plupart du temps je travaillais dans le Bâtiment 8 [du Centre Spatial Johnson]. J'avais une accréditation pour circuler dans les zones réservées. Il m'est arrivé de pénétrer dans un labo photo de la NASA, et de parler avec des techniciens. L'un d'eux attira mon attention sur une tache... Je lui ai demandé si c'était un défaut sur la pellicule, et il m'a répondu en riant : "Les défauts de pellicule ne projettent pas d'ombres au sol !"

    C'était une photo aérienne, sans doute de la Terre parce que je pouvais voir des sapins, et cette ombre ronde, légèrement ovale, était orientée dans le même sens que les ombres portées des arbres. C'était pour moi un 'objet non-identifié', qui se trouvait à faible altitude au-dessus des arbres. J'ai réalisé que c'était un secret parce que je lui avais demandé ce qu'il comptait faire de cette information, et il m'avait répondu : "Nous faisons toujours en sorte de les effacer avant de les proposer à la vente."

       J'ai par la suite interrogé d'autres personnes, mais en-dehors des bureaux de la NASA. Un garde m'a confié qu'il avait été chargé de brûler des photos, sans les regarder. Il était lui-même surveillé par un autre garde pendant cette mission. Il avait cependant vu une des photos, et elle représentait un Ovni. Il avait alors reçu un violent coup sur la tête et s'était évanoui. Il est depuis très effrayé, et mériterait d'être placé sous protection.

    J'ai connu également une personne qui s'était trouvée à l'isolement avec les astronautes d'Apollo placés en quarantaine après leur retour; ils lui avaient révélé avoir vu un Ovni sur la Lune pendant leur alunissage. Mais ils lui avaient ordonné de garder ça pour lui."  

    Source : ovnis-usa

       

    Le Sergent Karl Wolfe témoigne :

    - Notre groupe s’occupait de photographies de reconnaissance, il travaillait avec les avions U2, la photographie par satellite espion, bien avant que quiconque sache qu’on avait ca. A ce moment la, personne ne savait qu’on faisait de la photo d’espionnage, de la photo par satellite espion. Et bien sur, personne ne savait que notre programme ‘’ U2 ‘’ était opérationnel, ou quelles possibilités avait ce programme.

    En 1965, j’étais technicien photo, avec une formation en électronique, j’étais tout nouvellement installé, et affecté à cet endroit pour faciliter l’escalade de la guerre du Vietnam. On avait des simulateurs, que l’on appelait l’ATRAN, et personne ne pouvait même soupçonner que nous possédions ce genre de matériel.

    Je me trouvais un jour dans un labo couleur, quand le sergent chef Taylor, est venu vers moi, et m’a dit qu’ils avaient un problème d’équipement du premier programme ‘’ Lunar Orbiter ‘’, au sein duquel ils avaient pour mission de localiser assez précisément les premiers sites d’atterrissage pour la mission lunaire de 1969, pour les astronautes. 

    Il voulait savoir si je pouvais aller jeter un œil la bas, il m’a dit, c’est une installation de la NSA. A l’époque je ne savais pas ce qu’était la NSA, j’ai pensé qu’il voulait dire NASA.

    On m’a donc demandé de me rendre à cette installation de la base aérienne de Langley où la NSA faisait venir les informations issues de ‘’Lunar Orbiter‘’. Deux officiers m’ont emmené dans un très grand hangar. Au moment ou j’ai pénétré à l’intérieur, des personnes d’autres pays étaient présentes. Un tas d’étrangers en habits civils, qui avaient avec eux des interprètes; tous avec des badges de la sécurité qui pendaient à leur cou.

    Que faisait tous ces gens ici ? Je ne comprenais tout simplement pas, j’étais vraiment impressionné, et tous ces gens étaient extrêmement tranquilles, très réservés, et il se dégageait d’eux une atmosphère lugubre et particulière, ils avaient un comportement assez inquiétant.

    Les deux officiers m’ont emmené au laboratoire, j’ai jeté un œil à cet équipement, il y avait un 2eclasse également présent dans le labo, j’étais moi même 2eclasse à cette époque. Il a mis l’équipement en marche et il l’a essayé devant moi. Il ne faisait pas ce qu’il était censé faire, et j’ai dit, on va devoir sortir ce truc du labo si on veut travailler dessus, on ne peut pas travailler dessus dans cet environnement de chambre noire.

    Par conséquent, ils sont sortis de la chambre noire, sauf ce 2eclasse et moi même, on attendait que quelqu’un vienne déplacer cette pièce d’équipement. Nous avons commencé par discuter, je lui ai dit : «Je suis vraiment fasciné par ce processus, comment font-ils pour faire venir les images du Lunar Orbiter jusqu’ici dans le laboratoire ?  »

     Il a évoqué tout le processus en décrivant comment les divers radiotélescopes du monde entier étaient reliés, et comment ils télémétraient les données au terrain de Langley. A l’époque je ne savais pas quel était le but réel de cette chambre noire, de cette opération, et de cette installation.

    Puis il m’a montré comment chaque truc marchait, il m’a montré l’équipement qui recevait les informations digitales, et l'endroit où s'effectuait la conversion en image photographiques. Ils faisaient des rouleaux de pellicule de 35 mm à l’époque, qui étaient ensuite assemblés en mosaïques de 18 pouces par 11. Il y avait une signature digitale et une échelle des gris sur chaque rouleau de 35 mm, et ces rouleaux provenaient des passages successifs autour de la Lune. Ils prenaient une photographie et la montaient, ils scannaient une partie de la Lune ensuite une autre et encore une autre, et ils obtenaient alors une image plus grande. Ensuite, une épreuve par contact de cette mosaïque était réalisé, et imprimée.

    On est allé de l’autre coté du labo et il a dit :  « On a d’ailleurs découvert une base sur la face cachée de la Lune » ! (...)

    Source : eairplane 

    03 novembre 2010 – site FEA.  

    Sommes-nous sous son influence ?
    Source d’inspiration des poètes, symbole initiatique des sociétés secrètes, ambassadrice d’êtres célestes dans les religions du passé, la Lune qu’on accuse aussi d’influer sur les relations humaines, de provoquer les naissances ou les suicides, délivre-t-elle une force inconnue sur la psyché humaine ?

    Si pour les uns, elle n’est rien d’autre qu’un astre mort, dont la gravité participe aux cycles des marées et qui de temps en temps offre un spectacle cosmique d’un intérêt tout artistique, pour les autres c’est un astre dissimulant des secrets.

    D'où vient la Lune ?
    Son origine est disputée dans des théories contradictoires que la confrontation aux faits ne laisse pas indemnes. La plus couramment acceptée dans les milieux scientifiques ne fait pas non plus l’unanimité et se trouve mise à mal par les analyses portant sur le magnétisme des roches qu’on y a prélevées, tout autant que leurs densités.

    Cette théorie fait de la Lune un morceau de terre arrachée par un astre de la taille de Mars. Elle rend cohérente la possible origine commune que les constituants de la Terre et de la Lune semblent avoir, elle explique la différence de proportions entre les deux matières (la Lune moins lourde, moins métallique), elle offre aussi une réponse à l'interrogation qui porte sur les raisons pour lesquelles la Terre est la seule planète du système solaire intérieur à posséder un satellite aussi important.

    Toutefois, vous l’avez bien entendu ! Cette théorie ne peut contourner l’obligation de créer la Lune en une année ou encore moins par rassemblement des morceaux de Terre, qui projetés par le choc n'ont pas pu échapper à l’attraction.

    Des anomalies:

    En 1973, des experts de la NASA révélèrent un autre point faible: on avait découvert parmi les roches prélevées sur le sol lunaire, un échantillon datant de 5,3 milliards d'années. Ce qui comparativement à l’âge des planètes de notre système solaire, 4,5 milliards d’années, soulève d'importantes interrogations. Plus tard, un rapport fondé sur le système de datation le plus précis, la méthode potassium-argon, indiquera, l’âge de 7 milliards d'années pour certaines "lunaires" (roches provenant de la Lune). Un résultat inacceptable pour la communauté scientifique, qui ne peut accepter que l'origine scientifiquement admise de la Lune soit invalidée de cette façon. 

    D'autre part, dans la revue "Chemistry" de Février 1974 , le Dr Urey, prix nobel, révèle que des pierres lunaires contenaient des isotopes du Xenon produites par la fission du plutonium 244. Une fission qui n'existe pas sur la Terre, ce qui indique pour la Lune une origine beaucoup plus ancienne. 

    Si la Lune était plus ancienne que la Terre, ces résultats seraient assurément plus faciles à comprendre.

    Parmi les différentes théories offrant une explication à la présence de la Lune, il en existe effectivement une, qui bien qu'elle n’échappe pas non plus à la critique, permet d'expliquer la présence d'une matière lunaire plus ancienne que celle de la Terre: la théorie de la capture. 

    Le théorie de la capture implique que la Lune aurait été un planétoïde passant à proximité de la Terre, capturé par l'attraction gravitationnelle. A cette étape, plusieurs visions de cette capture sont possibles, mais aucune d'entre elles ne peut pour l'instant répondre autrement que par le mot générique de "Coïncidence", à certaines interrogations portant sur sa situation. 

    Quelques interrogations:

    - Si la Lune a été capturée, qu'est-ce qui a bien pu réguler son déplacement (son freinage entre autres) ? Rappelons que la Lune doit se déplacer suffisamment vite pour ne pas tomber sur la Terre, demeurer dans un mouvement orbital centrifuge et se déplacer assez lentement pour ne pas échapper à la gravité terrestre. 

    - Pourquoi l'orbite de la Lune est-elle la seule comparativement aux orbites empruntées par la soixantaine des autres lunes du système solaire à constituer un cercle presque parfait, plutôt qu'une orbite elliptique ?

    Ce qui ajoute à la difficulté de capturer un tel planétoïde avec un tel résultat. 

    - Pourquoi cette orbite est-elle asynchrone, avec une rotation sur elle même de 27,3 jours terrestres, semblable à la durée de sa rotation autour de la Terre? Ce qui implique l'impossibilité depuis la Terre d'observer l'une des faces de la Lune.  

    - Comment expliquer autrement que par le mot coïncidence que le rapport entre la taille de la lune et celle du soleil soit identique à celui entre la distance Terre-Lune et Terre-Soleil, 400 fois plus petit. Ce qui donne à la Lune l'apparence d'une taille identique à celle du Soleil et autorise des éclipses totales ? Mais, ce qui représente surtout dans le développement de l'homme une harmonie visible entre les principes de pôles opposés. Cette concordance signalée dans les traditions spirituelles les plus anciennes était l'objet de comparaison, entre les forces cosmiques et les forces terrestres (mâle - femelle) fondements de la vie sur terre. 

    - Quelle est la nature des concentrations de masses énormes appelées les "mascons" qui sont détectées à différents endroits dans le sous-sol lunaire et qui ont la particularité de perturber les trajectoires des sondes en orbite autour de la Lune? Découverts dans les années 7O, les mascons se situent généralement sous les mers lunaires: cliquez ici. 

    - Les différents sismomètres déposés par les astronautes sur la Lune ont enregistré des ondes de surface dont les vibrations ont été extrêmement longues.

      

    L'expérience a été réalisée plusieurs fois et la Lune a vibré parfois plus d'une heure, comme si l'on avait heurté une cloche. "The Moon rings like a bell" déclara le géophysicien Maurice Ewing

    - La Lune serait-elle donc creuse? Pour l'instant, aucune explication satisfaisante n'a été avancée. 

    - Quelles sont les origines des phénomènes lumineux insolites aperçus à la surface de la Lune depuis plusieurs siècles au moins? Au cours des trois derniers siècles jusqu'en 1971, on relevait près de 1500 cas de taches lumineuses brillantes se déplaçant, nommées pudiquement "phénomènes transitoires" par les spécialistes, dont plus de 200 concernant la seule région du cirque d'Aristarque.

    Quelle était la nature de la tache très brillante, couleur rouge rubis en forme d'ovale, très allongée sur près de 22 km de long, découverte le 27 novembre 1963 par les astronomes James Greenacre et Edward Barr de l'Observatoire Lowel dans l'Arizona?

    Que sont les rayonnements très brillants qui s'échappent en étoile de certains cratères comme Tycho, Copernic, Kepler par exemple ? 

    Source : feairplane 

    MYSTERES SUR LA LUNE 

    Le 7 Février 1998 nous apprenions dans le quotidien local que l'Association "GUADELOUPE ECHANGES ET CULTURES" créée en 1996 avait invité en Guadeloupe l'astronaute Harrisson SCHMITT, Docteur en géologie de l'Université d'Harvard, dernier visiteur de la Lune, en Décembre 1972, en compagnie du commandant de bord d'Apollo 17, Eugène CERNAN. La conférence, intitulée "Jusqu'à la Lune et au delà" et illustrée d'une diaporama montrant probablement les images recueillies pendant les 22 heures d'exploration lunaire de la mission Apollo , a eu lieu le 17 Février 1998 au Centre des Arts.  

    Sans vouloir minimiser l'aspect humain et scientifique de la mission d'Apollo 17 où le courage et l'endurance des hommes ont été mis à rude épreuve, et qui leur a permis de récolter 113 kg d'échantillons de sol, en parcourant près de 35 km avec la jeep Lunar Rover, nous pouvons regretter que cette dernière mission lunaire n'a pas levé le moindre carré du voile des nombreux mystères qui s'attachent à notre satellite la Lune, dont on évite de parler soigneusement en public, mais seulement dans les cercles scientifiques autorisés et que nous allons remettre ici à l'ordre du jour en profitant du battage médiatique que nous a offert l'éclipse totale de soleil du 26 février 1998. 

    Quelques mystères lunaires non résolus. 

    Jetons donc un coup d'œil furtif sur certains de ces mystères : 

    1°) - La différence de densité moyenne 3,33g/cm3 pour la Lune et 5,5g/cm3 pour la Terre, ainsi que la composition des roches lunaires, bien moins riches en métaux que celles de notre bonne Terre, semblent éliminer l'hypothèse que la Lune ait été à l'origine arrachée de la Terre. Cette hypothèse a pourtant, en ce moment, la très grande faveur des scientifiques, qui pour cela font intervenir le choc de la Terre avec une planète presque aussi grosse que Mars, choc qui transformerait d'abord la Terre en une planète avec un anneau comme Saturne puis dans le temps record incroyable d'une année l'anneau devrait réaliser son accrétion pour former la Lune. 27 simulations numériques de différents centres de recherches réalisés pour vérifier cette hypothèse ont abouti au même résultat. (voir la revue Ciel et Espace n°333 de Février 1998). Ce qui est surprenant, c'est qu'une revue qui se veut sérieuse comme Science&Vie dans son n° 1015 d'Avril 2002 dans un article intitulé "Retour sur la Lune" en page 60, nous écrit les paragraphes suivants:  

    " D'autres part, les scientifiques voudraient comprendre le rôle qu'a joué notre satellite dans la stabilisation de la rotation de la Terre, un facteur déterminant pour l'essor de la vie. (Tiens, tiens c'est exactement ce que dit l'article soi-disant bidon de la revue "Pour la Science" d'Avril 2000.  

    Si l'on sait déjà qu'elle est née il y a environ 4,5 milliards d'années du choc d'un planétoïde qui a heurté la Terre et en a arraché un morceau, on ignore si elle s'est détachée d'un seul coup ou si elle s'est formée à partir d'une multitude de petits éclats de notre planète." 

    Donc comme vous le voyez l'auteur Valérie Greffoz de cet article, n'y va pas par quatre chemins: La thèse de la Lune arrachée de la Terre est une fois pour toute admise et "on le sait déjà" ..... un point c'est tout.  

    Compte tenu de cette accrétion incroyable citée plus haut et faite en une année, nous pensons qu'il est alors préférable pour l'instant d'admettre que la Lune pourrait venir d'ailleurs. Mais comment a-t-elle pu être capturée par la Terre pour se placer sur une orbite formant un cercle presque parfait, nécessitant un freinage rigoureux lors de la satellisation, alors que les satellites des autres planètes décrivent généralement des ellipses plus ou moins étirées? La probabilité d'une telle capture est donc pratiquement nulle.  

    2°) - Mais cet événement devient très surprenant, quand on sait que la Lune possède ce que l'on appelle une rotation obligée, ce qui signifie qu'elle tourne sur elle-même dans le même temps qui lui faut pour effectuer sa révolution autour de la Terre, soit environ 27,3 jours (exactement 27 Jours, 7 heures 43 minutes et 11,5 secondes). La conséquence de cette rotation, dite aussi synchrone est que la Lune nous présente toujours la même face. Si la Terre avait une rotation obligée autour du soleil, elle présenterait toujours le même hémisphère grillé face au soleil et l'autre resterait dans la nuit glacée perpétuelle.  

    Nous nous sommes demandés, si cette situation, appelée par les spécialistes, "la résonance spin- orbite", était courante dans le système solaire. Voici la réponse que nous avons obtenue : "Oui ! Puisque c'est le cas de la plupart des satellites naturels des planètes du système solaire. Un peu plus de 60 satellites naturels sont répertories actuellement dans le système solaire. Il y en a exactement cinquante qui ont la même synchronisation que la Lune, c'est à dire qu'ils effectuent une rotation sur eux mêmes précisément dans le même laps de temps où ils bouclent une révolution autour de leur planète respective, ce qui a pour effet, lorsque leur excentricité orbitale est faible (ce qui est généralement le cas), qu'ils montrent toujours la même face à la planète."  

    Dans un article remarquable d' Éric Bois de la revue "Pour la Science" , n°285 de Juillet 2001, nous avons appris, que la Lune possédait un deuxième synchronisme: En effet, d'une part son axe de rotation tourne (comme celui d'une toupie) autour d'une position moyenne et décrit la surface un cône (appelé cône de précession) en 18,6 ans, et d'autre part, la Lune voit de plus, l'axe perpendiculaire à son plan orbital, décrire également un autre cône, en exactement aussi, 18,6 ans. Cette seconde précession a pour conséquence, le décalage des nœuds ascendant et descendant, points d'intersection de l'orbite de la Lune et de l'écliptique (plan de l'orbite moyenne de la Terre passant par le centre du soleil). A chaque fois que la Lune croise le plan de l'écliptique, les nœuds se décalent légèrement pour ne retrouver leur position initiale qu'au bout de 18,6 ans. Ce deuxième synchronisme peut-il une fois de plus être mis sous le compte de l'effet du hasard ?... Aux spécialistes de répondre.... 

    Ce double synchronisme de la Lune, nous dit la revue précitée, engendre deux fréquences supplémentaires dites "fréquences de résonance" de 2,9 ans et de 80,1 ans, qui combinées aux fréquences déjà citées de 27,3 jours et 18,6 ans, régissent donc toutes les perturbations connues de la rotation de la Lune. Cela joint en plus, au fait que son volume représente près de 2% de celui de la Terre et sa masse 1%, pourcentages de loin supérieurs à tous ceux obtenus par toutes les autres planètes et leurs satellites , va entraîner donc le fait que le "duo Terre-Lune" se présente comme une "planète double", ce qui en fait un couple presque unique en son genre dans le système solaire, ( Remarquons en passant aussi l'exception du couple Pluton-Charon, encore plus extraordinaire, car le satellite Charon tourne autour de Pluton en 6,39 jours et la planète Pluton tourne sur elle-même, chose bien bizarre, exactement en 6,39 jours également, si bien que Pluton possède un hémisphère où Charon apparaît totalement immobile dans le ciel comme le serait un satellite géostationnaire pour la Terre).  

    3°) Préoccupons-nous maintenant de l'ancienneté des roches lunaires: La revue américaine, trimestrielle de Juin 1976 intitulée "UFO REPORT" contenait un article remarquable de huit pages de Don Wilson tiré probablement de son livre "Our mysterious space ship Moon" paru aux États-Unis en 1975 et seulement en 1979 en France. Jetons, voulez-vous, un coup d'œil furtif sur l'information hors norme que contient cet article, qui est en anglais bien sûr et dont nous vous donnons une modeste traduction ci-dessous: 

    ...Mais le premier spécimen de roche que l'astronaute Neil Armstrong ramassa dans la Mer de la Tranquilité après son alunissage se révéla dater de plus de 3,6 milliards d'années. Mais ce ne fut qu'un début dans l'histoire de ce mystère d'ancienneté. L'une des pierres rapportées au cours de ce premier voyage, se révéla d'un âge déconcertant de 4,3 milliards d'années. Une autre roche (la n°13) atteint la datation encore plus exceptionnelle de 4,5 milliards d'années.. Et un échantillon de sol rapporté par Apollo 11, se révéla vieux de 4,6 milliards d'années - l'âge même que les scientifiques attribuent à la Terre et et au système solaire. De même, les sondes inoccupées soviétiques, décelèrent dans l'une des plus anciennes mers de la Lune, la Mer de la Fertilité, des pierres âgées de 4,6 milliards d'années. Cependant selon le périodique d'astronomie bien connu, "Sky and Telescope", la Conférence sur la Lune de 1973, à laquelle participèrent la plupart des spécialistes lunaires de la NASA, révéla que l'on avait découvert une roche lunaire datant de 5,3 milliards d'années. Un autre rapport, fondé sur la méthode potassium-argon qui est aujourd'hui, le système de datation, le plus précis, établit que "certaines pierres" ont atteint l'âge incroyable de 7 milliards d'années.  

    Et s'il faut croire un autre rapport "deux pierres rapportées par Apollo 12 ont été estimées pour avoir l'âge de 20 milliards d'années." Incroyable ? Apparemment, car il s'agit là de 4 fois l'age de notre planète et notre système solaire... Autant que nous le sachions, c'est la limite d'âge extrême qui ait jamais été attribuée à une partie de l'Univers.... 

    Dans un article de "Chemistry" de Février 1974 , le Dr Urey avance que des pierres lunaires ont révélé qu'elles contenaient des isotopes du Xenon produites par la fission du plutonium 244 , qui n'existe pas sur la Terre, ce qui indiquerait que la Lune est beaucoup plus ancienne. 

    Que dire de plus, si ce n'est encore que: Le sol et les roches lunaires ont suscité tant de contradictions qu'une équipe de savants de l'Institut Technologique de Californie (Caltech) a présenté un rapport intitulé "The Lunatic Asylum " ( L'Asile de Fous)..."  

    Ou encore: Au lieu de nous donner des réponses aux questions clefs et aux problèmes cruciaux que l'on se pose au sujet de la Lune, un scientifique a déclaré à l'époque: "La Lune nous a donnés des réponses pour lesquelles nous n'avons pas encore formulé de questions." 

    4°) - Quelle est d'autre part, la nature de ces concentrations de masses énormes appelées pour cela "mascons" et qui sont enfouis à différents endroits dans le sous-sol lunaire? Ces mascons ont la particularité de perturber les trajectoires des sondes en orbite autour de la Lune. Découverts vers 197O, ils se localisent principalement sous les mers lunaires.  

    5°) - Les différents sismomètres déposés par les astronautes sur la Lune ont enregistré des ondes de surface dont les vibrations ont été beaucoup plus longues que ce que l'on avait prévu lors de l'impact de la partie supérieure du "Lem", précipitée sur la lune avant le retour sur Terre.

    L'expérience a été réalisée plusieurs fois et la Lune a vibré parfois plus d'une heure, ce qui a fait dire au géophysicien Maurice Ewing: "C'est comme si l'on avait heurté une cloche...". La lune serait-elle donc creuse? Évidemment aucune explication satisfaisante n'a jusqu'à présent été trouvée.  

    6°) - La Lune n'est pas morte comme on pourrait le croire. Des phénomènes lumineux insolites ont été aperçus à sa surface depuis très longtemps. Au cours des trois derniers siècles et en 1971, on notait près de 1500 cas de taches lumineuses brillantes et de changements temporaires, nommés pudiquement "phénomènes transitoires" par les spécialistes, (TLP:Transient lunar phénoména) ont été notés sur la surface lunaire, dont plus de 200 concernant la seule région du cirque d'Aristarque. Mais relevons ici, un cas assez récent : Quelle était la nature de la tache très brillante, couleur rouge rubis en forme d'ovale très allongée sur près de 22 km de long, découverte le 27 Novembre 1963 par les astronomes James Greenacre et Edward Barr de l' Observatoire Lowel dans I'Arizona ?  

    L'observation faite sur l'arête du rempart du cratère d'Aristarque pourtant dans l'ombre à ce moment là, dura 75 mn, des clichés en noir et blanc furent obtenus, et on peut les voir à la page 65 de la revue Science et Vie n° 559 d'avril 1964.  

    7°) Des structures géométriques notoires apparaissent sur la Lune.  

    - Quelle est par exemple, la nature de la forme géométrique très structurée ressemblant à un demi porte-avions colossal de prés de 26km de long et où apparaissent à l'extrémité d'une plate-forme rectiligne des sortes de sphères de plus 4km de diamètre chacune, surmontées d'une gigantesque flèche formant un angle droit parfait avec cette plate-forme? Cette "superstructure" est visible sur la face cachée de la Lune sur une photographie de la NASA, prise par les astronautes d'Apollo 8, publiée pour la première fois et aussi l'unique fois en France par le Paris-Match 1028 du 18 Janvier 1969 à la page 33 ( Voir image Paris-Match 1028 )

    Pourquoi, d'autre part enfin, la NASA n' a-t-elle pas envoyé plutôt (dans les 6 missions qui ont exploré le sol lunaire), des astronautes sur les bords du cratère Vitello, où l'on voit sans discussion possible des traces de plus de 600 mètres de long, laissées par deux "véhicules" d'environ 5m et 25m de large pesant des centaines de tonnes et qui ont remonté les pentes de deux petits cratères ? Ces traces sont très nettement visibles sur la photo n° 67-H-1135 de la NASA et que l'on peut voir dans les ouvrages : "Ils n'étaient seuls sur la Lune " de G. Léonard (Belfond Mars 1978) et " La Lune et ses défis à la science " de A. Nahon (Editions Mont-Blanc 1973). 

    Conclusion. 

    Il existe beaucoup d'autres mystères sur la Lune que nous n'avons pas évoqué ici, faute de place , comme par exemple les rayonnements très brillants qui s'échappent en étoile de certains cratères comme Tycho, Copernic, kepler... et nous invitons donc tous ceux que maintenant, ces mystères lunaires interpellent et qui aimeraient bien en résoudre quelques uns, de pas hésiter d'interroger à ce sujet, Monsieur Harrisson SCHMITT, ou tout autre astronaute, au cours de leurs conférences qu'ils pourraient faire, un jour, ici où là , et nous souhaitons que les réponses soient aussi claires que les questions et que la NASA n'aura pas, comme à son habitude, "préparé le terrain pour noyer le poisson", qui de toute façon sortira un jour de l'eau :"Il n'y a rien de caché qui ne doive être un jour découvert , ni de secret qui ne doive être connu" (Mathieu :X .26). 

    Et comment trouver finalement une théorie qui englobe tous ces mystères? Jusqu'à présent seule la théorie totalement révolutionnaire, et la plus avancée jamais émise de nos jours par des scientifiques, peut répondre à la question. Il s'agit des deux savants soviétiques à l'époque: Mikhail Vasin et Alexander Chtcherbakov qui proposèrent en Juillet 1971 dans le magazine Spoutnik l' hypothèse hardie suivante, ( qui notons le bien, a été cependant formulée dès 1968 par le français Jean SENDY, à qui nous rendons ici en passant hommage, à la page 110 de son livre "La Lune clé de la Bible", paru chez JULLIARD.) : " La lune serait un satellite artificiel de la Terre, mis sur orbite autour d'elle par des êtres intelligents qui nous sont inconnus. " (Cette thèse fut aussi exposée dans la revue le "Nouveau Planète" dans son n° 19 de Nov. 1970.) Voir cependant aussi, page 16, l'article très suspect de la revue "Pour la Science", n° 270 d'Avril 2000. 

    Nous n'avons pas ici, ni la place, ni la prétention, de résumer tout ce qui a poussé ces savants soviétiques à émettre une théorie aussi fantastique et qui, si elle s'avérait authentique, quand la Nasa dévoilera ses incroyables secrets, alors tout cela nous prouvera, une fois encore, que "la réalité dépasse bien, de très loin, la fiction la plus imaginative."

    Source : mysteres.du.monde  

    Système solaire : ce que les agences spatiales ne nous disent pas

    L'Or des Etoiles : Nouveau regard sur le système solaire José Frendevel 

    Avec logique et perspicacité, l'auteur expose des faits qui peuvent nous paraître incroyables au premier abord. Quelle stupéfaction de constater à quel point notre système solaire répond à des règles mathématiques insoupçonnées ! Comment imaginer que la Terre possède une terre jumelle si on n'a pas connaissance des nombreuses observations tangibles qui accréditent cette thèse ?

    L'auteur a su vulgariser des notions complexes en des termes compréhensibles par tous. 

    Depuis des temps reculés, l'Homme s'est longuement questionné sur l'origine et le fonctionnement du système solaire. Fort heureusement, la science de notre époque nous a apporté quelques compréhensions de la dynamique qui régit ces astres. Il n'en reste pas moins vrai que lorsqu'on explore en détails les différentes théories cosmiques (par exemple celles de la genèse solaire) bon nombre de celles-ci présentent de graves lacunes internes qui les rendent insuffisantes ou invalides dans les faits. Mais, au lieu de rester humble face aux énigmes du cosmos, on continue à brandir fièrement certaines théories boiteuses pour montrer au public que la science sait parfaitement expliquer l'existence et la dynamique des astres qui nous entourent. 

    L'ouvrage, L'or des étoiles : Nouveau regard sur le système solaire, comble certaines lacunes en exposant des découvertes majeures dans trois domaines : 

    - la présence d'une architecture mathématique élaborée et subtilement dissimulée dans le système solaire,

    - l'existence d'un astre caché en permanence derrière le Soleil,

    - ainsi qu'une enquête pleine de surprises sur la véritable nature de la Lune. 

    LA LUNE : ce livre nous plonge dans une enquête lunaire peu commune. 

    Il est de "notoriété publique", en effet, que la Lune est un astre mort, sans atmosphère, sans eau et sans vie. Ce qui, "officiellement", a été pleinement confirmé par les missions Apollo lors de la célèbre conquête lunaire des années soixante/soixante-dix. Pourtant, dans les années cinquante, George Adamski, un célèbre "contacté" quasiment oublié de nos jours, prétendait avoir vu la Lune de très près et l'affirmait nantie d'une fine atmosphère permettant la vie. Il décrivait la face visible comme une zone désertique avec néanmoins quelques reliquats de végétation en certains endroits, tandis que la face cachée présentait, selon lui, un aspect beaucoup plus luxuriant avec de l'humidité, des nuages, une flore évoluée et même des lieux habités.

    Conscient que l'exploration spatiale nous cache des choses essentielles de la vie dans le cosmos, je vous propose une étude tout à fait innovante de la Lune en mettant en parallèle ces deux approches complètement antagonistes. Cette analyse lunaire par photographies interposées nous conduit alors de surprise en surprise.  

    Malgré la bien piètre qualité des images de cartographies lunaires fournies par les agences spatiales, il est néanmoins tout à fait possible d'y décrypter de nombreux éléments de la climatologie de notre voisine sélène. D'étape en étape, nous apprenons ainsi à regarder les photographies lunaires comme elles sont et non plus comme la NASA nous a dit de les voir.  

    Il se pourrait alors que d'étonnantes formations nuageuses apparaissent en de nombreux endroits et que nous découvrions que les astronautes américains marchaient parfois sur un sol recouvert de givre. L'issue de ce cheminement analytique met tout simplement en évidence le fait que la Lune est déjà occupée par des êtres dotés d'une technologie bien supérieure à la nôtre. 

    En 1996, poussé par la passion de l'explorateur, j'ai entrepris une étude du système solaire par des voies non conventionnelles. Après avoir collecté un certain nombre de faits étranges qui s'accordaient mal avec les théories standard, j'ai tenté de déceler dans ces différentes énigmes une éventuelle signature intelligente. Au fil des années, et des nuits blanches, un fil conducteur commence à émerger. Une incroyable architecture de jeux de chiffres, de géométrie et d'inversions se révèle progressivement intégrant tout le système solaire avec Lune, Soleil, Vénus et Mercure aux tous premiers rôles. En compagnie de la Terre, ces astres jouent une véritable symphonie mathématique subtilement dissimulée à notre regard jusqu'à nos jours. Bien que n'ayant quasiment rien à voir ensemble selon notre conception de la mécanique céleste, Lune et Soleil s'harmonisent curieusement par plusieurs synchronisations mutuelles. De surcroît, la Lune en elle-même s'avère être une authentique magicienne aux multiples facéties. 

    De leur côté, les dizaines de milliers de planétoïdes composant les deux ceintures d'astéroïdes sont également entrés dans ce jeu mathématique. Par de très nombreuses prouesses de haute volée, ces derniers sont véritablement le fil rouge de ce spectacle cosmique. Alors que certains milieux scientifiques nous conditionnent de plus en plus à percevoir ces petits astres comme de dangereux collisionneurs potentiels, ces derniers, par de nombreuses structures hyper-organisées, composent en fait un monumental temple solaire, une majestueuse cathédrale céleste, dont la présence ne peut que nous interpeller.  

    Une authentique architecture sacrée se trouvait ainsi exposée sous nos yeux attendant l'époque où nous aurions les moyens de la découvrir et de comprendre son message.

    L'or des étoiles : Nouveau regard sur le système solaire nous emmène également vers des découvertes inattendues. Au 19ème siècle, à l'initiative de l'astronome français Urbain le Verrier, découvreur de la planète Neptune, de nombreux astronomes ont traqué la planète Vulcain que l'on avait très fortement supposée l'existence à proximité du Soleil. Bien que d'illustres astronomes y participèrent, cette recherche de plusieurs décennies fût vaine. 

    Mais Vulcain existait néanmoins positionné à l'endroit le plus inattendu et attendant son heure. Dans un équilibre particulièrement délicat, cet astre partage la même orbite que la Terre en restant placé diamétralement à son opposé. De ce fait, Vulcain se trouve dissimulé derrière le Soleil et caché ainsi en permanence à nos yeux. Bien que les agences spatiales ne nous aient jamais parlé de cette planète, sa présence nous est néanmoins perceptible indirectement de manière tangible.

    En effet, Vulcain, dont le nom est prédestiné, possède un volcanisme très particulier qui est assez puissant pour éjecter de fines poussières dans l'espace alentour, tout comme cela se passe également sur le satellite Io de Jupiter. Ces particules poussiéreuses forment une légère nuée qui entoure cet astre et se diffuse en s'étirant en anneau dans l'orbite commune de ces deux planètes. La réflexion de la lumière solaire sur les parties les plus denses de cet anneau de poussière génère ce que les astronomes nomment la lumière zodiacale et la contre lueur. L'origine de ces faibles luminosités, qui est expliquée dans les théories classiques à l'aide d'un certain flou verbal, trouve ainsi sa pleine cohérence. Faisant suite à une argumentation rigoureuse démontrant l'existence de cette planète cachée, l'épilogue du livre nous révèle les liens particuliers unissant la Terre et Vulcain et comment ces liens sont entrés en action lors des colossales explosions de Tunguska en Sibérie en 1908 et en 2002. 

    En synthèse finale et après ces singulières découvertes, L'or des étoiles : Nouveau regard sur le système solaire nous invite à prendre conscience jusqu'à quel point l'élite mondiale, grâce au contrôle qu'elle exerce sur la plupart des activités terrestres, nous a maintenu dans l'ignorance et la désinformation pour son propre profit. Alors que le phénomène ovni bat son plein sur Terre depuis plus d'un demi siècle et que l'exploration spatiale officielle piétine depuis plus de trente ans, cette élite mondiale a réussi à nous maintenir dans la croyance que nous sommes seuls dans le système solaire et avec bien peu de probabilité de pouvoir un jour communiquer avec d'autres intelligences. Or ces "autres intelligences" sont là autour de nous et nous observe vraisemblablement depuis des temps immémoriaux. Comme le lecteur pourra le découvrir dans cet ouvrage, certaines d'entre-elles se sont déjà manifestées discrètement et attendent patiemment que certains feux verts s'allument dans nos consciences.

    José Frendevel

    Source : onnouscachetout

    BASES HUMAINES SUR LA LUNE

    Les révélations de M. W. Cooper

    Un conflit américano-soviétique aurait eu lieu sur la lune causant la mort de 66 hommes. Rien n'est prouvé, mais il est certain qu'il y avait aussi un vaisseaux soviétique au moment de l'alunisage de plusieurs missions de la nasa sur la lune, notament apollo 11.

    Dès 1968 le français Jean SENDY (dans son livre "La Lune clé de la Bible", paru chez JULLIARD) évoque l'hpothèse de la base lunaire. Puis en 1971 deux savants soviétiques (Mikhail Vasin et Alexander Chtcherbakov) dans le magazine Spoutnik déclarent que " La lune serait un satellite artificiel de la Terre, mis sur orbite autour d'elle par des êtres intelligents qui nous sont inconnus. "

    Selon Milton William Cooper, le programme Apollo ne fut qu’un leurre, sans doute la mise en scène la plus coûteuse de toute l’histoire de l’humanité. Les astronautes ignoraient tout de ce montage, c’est pourquoi ils remplirent leur rôle à la perfection, et la séquence du soi-disant premier pas de l’homme sur la Lune fut un véritable triomphe médiatique.

    Milton William Cooper a été assassiné le 5 novembre 2001 à l’âge de 58 ans, dans des circonstances particulièrement troubles, à Eagar en Arizona, où il vivait seul, après avoir fait quitter les Etats-Unis à tous les membres de sa famille, car des agents de la CIA l’avaient à différentes reprises menacé de s’en prendre à eux s’il divulguait à la presse certaines informations. Il travaillait chez lui, tout seul, à la rédaction de son prochain livre, quand il a été abattu par les adjoints du shérif local, à la suite d’un prétendu refus d’obtempérer à un ordre de perquisition dans sa maison. 

    Tout comme son père, Cooper avait décidé, tout jeune, de s’engager dans l’armée. Après avoir débuté dans l’armée de l’air, il continua sa carrière dans la marine. Il fut successivement officier à bord d’un sous-marin, puis sur un pétrolier, et ensuite au Vietnam pendant toute la durée de la guerre. Après quoi, il fut affecté au QG du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique. 

    Il avait déjà eu accès à différents documents classifiés « secret défense » aussi bien lorsqu’il était dans l’armée de l’air que dans la marine. Lorsqu’il commença à travailler dans l’unité administrative de la Flotte Pacifique, il obtint à nouveau l’autorisation d’accéder à différents documents top-secret, baptisée autorisation Q, ce qui lui permettait notamment de consulter tous les documents militaires relatifs à la sécurité nucléaire. Au cours de ses 18 années passées aux renseignements de la marine US, il eut progressivement connaissance d’informations qui l’amenèrent à écrire un livre à présent disponible en français. (Milton W. Cooper : le Gouvernement Secret - Éd. Louise Courteau)

    Cooper raconte que, le jour où il acquit la certitude que le bureau des renseignements de la Marine avait participé à l’assassinat de John F. Kennedy, il décida de quitter l’armée définitivement. Il essaya alors par tous les moyens de révéler au grand public les informations qu’il détenait, que ce soit à propos des OVNI, de l’assassinat de Kennedy, du Gouvernement secret, ou des solutions 1,2, et 3 du Plan pour le Nouvel Ordre Mondial. 

    En 1972, après avoir convenu d’un rendez-vous avec un journaliste, il fut assailli par deux hommes qui le poussèrent à l’intérieur de leur limousine et prirent la direction des canyons. Ils stoppèrent au haut d’une falaise, le poussèrent dans le vide et repartirent, croyant qu’il était mort. Mais il avait réussi à s’agripper à des branchages en contrebas. Il s’y cramponna et fut secouru in extremis grâce à l’arrivée inopinée de touristes venus prendre des photos. 

    Un mois plus tard, il fut renversé en pleine ville par une autre voiture qui prit la fuite, et au cours de cet accident, il perdit sa jambe gauche. Les occupants de la voiture lui rendirent visite à l’hôpital et le menacèrent de s’en prendre à sa famille. Il fit mine d’avoir compris, promit qu’il se tairait et attendit 16 années avant de se décider à rompre le silence. 

    Depuis la parution de son livre, « Behold a pale Horse », il se sentait constamment sous surveillance et il était fréquemment obligé de déménager et de changer d’identité.  

    Mais sa conscience l’a poussé à révéler ce dont il avait eu connaissance, afin que l’humanité puisse être informée et en tirer les conséquences. La presse américaine a tenté de légitimer son assassinat sous l’extravagant prétexte que « ne payant plus ses impôts depuis 1992, il représentait une menace pour l’ordre social ! » 

    LE TEMOIGNAGE DE M. W. COOPER  

    « Au début de l'ère spatiale et à l'époque des expéditions lunaires, les modules habités envoyés vers la Lune étaient toujours escortés d'un astronef extranéen (entendez : d’origine extraterrestre). Le 20 Novembre 1990, une chaîne de télévision nationale a annoncé qu’un objet de forme ronde, de couleur rouge rayonnante et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait cette dernière le long de sa dernière mission militaire. Ce fut la première et dernière reconnaissance publique de la chose.

    Les cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire surnommée LUNA. Les photographies officielles de la NASA révèlent des structures en forme de dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui ressemblent à des silos, de même que d'immenses véhicules miniers en forme de T qui tracent sur la surface de la Lune des marques semblables à des cicatrices laissées sur la peau par des points de suture. On y voit aussi divers types d'astronefs, les uns absolument gigantesques, d'autres beaucoup plus petits. 

    Il s'agit d’une base américano-soviéto-aliénigène. Le prétendu programme spatial de la NASA baptisé Apollo ne fut en réalité qu'un leurre excessivement coûteux, destiné à détourner l’attention de l’humanité, et la solution 3 n'est pas de la science-fiction.

    (En 1957 se tint un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l'an 2000, en raison de l'accroissement de la population et à cause de l'exploitation de l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou extranéenne). 

    Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d'étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations. En guise de recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions alternatives appelées « Solutions 1, 2, et 3. » 

    Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions nucléaires, d'immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions, c'était la moins susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et, d'autre part, à cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement. L’existence d’un trou dans la couche d’ozone tendrait cependant à étayer l’hypothèse que la solution 1 pourrait avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture. 

    Solution 2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes les cultures et de toutes les sphères d'activités serait appelée à survivre pour perpétuer l'espèce humaine.

    Quant au reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons que ces installations ont été construites et sont prêtes et en attente des personnes à choisir. 

    Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu'un petit nombre d'élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos.

    (Note de Milton W. Cooper à propos de la solution 3 extraite de son livre : Je confirme que des contingents d'esclaves ont déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en qualité de main-d'œuvre. La destination première est la Lune - de son nom de code Adam - et la seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai en ma possession des photographies officielles de la NASA de l’une des bases lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est déjà aussi une réalité.) . 

    Les astronautes des missions Apollo ont appris tout cela à leur corps défendant. Le choc qu'ils en ont éprouvé n'a pas été sans affecter leur vie, comme en témoigne leur comportement par la suite. Ils ont de plus été contraints de se soumettre à la dure réalité de la conspiration du silence : on leur a ordonné de taire ce qu'ils avaient vu, et on les a avertis qu’en cas de non respect de cet ordre, ils s'exposaient à la procédure dite «expéditive». L’un des astronautes a tout de même osé collaborer avec des producteurs TV britanniques, à l’occasion d’un documentaire diffusé dans le cadre d’un programme intitulé « Rapports scientifiques », et admis que la Solution 3 était bien une réalité. 

    Les quartiers généraux de la conspiration internationale qui vise à mettre en place la Solution 3 sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est constitué de 3 comités constitués de 13 membres chacun ; ces 3 comités réunissent donc un total de 39 membres qui constituent le comité exécutif du corps connu sous le nom de groupe Bilderberg. 

    Depuis que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes, nous avons acquis une technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravitationnel alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages interplanétaires dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Vénus, et de l’état réel de la technologie que nous possédons aujourd’hui, à ce moment même. 

    Il existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Les plantes y changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune contrairement à ce que l’on pense généralement. Il y a même des lacs artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s'y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs en profondeur. Cette pression est néanmoins suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire de revêtir une combinaison spatiale. Ils peuvent se déplacer à sa surface et marcher munis simplement d'une bouteille d'oxygène. 

    J'ai en ma possession des photographies originales de la NASA à ce sujet. Quelques unes ont été publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered Alien Bases on the Moon et dans Someone Else is on the Moon. 

    En 1969, une confrontation a opposé les Soviétiques et les Américains sur la base lunaire. Les Soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont pris les scientifiques américains et le personnel en otages. Nous avons réussi restaurer l’ordre, mais au prix de 66 morts ! À la suite de cet incident, les Soviétiques ont suspendu leur participation au programme pendant une période de 2 ans. Il y a eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à travailler ensemble. » 

    Extrait traduit de "Behold a pale horse", écrit en 1989-1990 par Milton William Cooper et publié aux Editions Light Technology

    P.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336 U.S.A. 

    Source : secretebase 

     

    Article de Daniel Harran - Source :  ecoutelaterre

    George Leonard, dans son livre « Ils n’étaient pas seuls sur la Lune – le dossier secret de la NASA »(1), déclare avoir étudié, scruté des milliers de photographies de la NASA parmi les meilleures, d’excellente qualité, dont certaines révèlent des « choses fantastiques ». A partir de ses observations, il a noté les anomalies les plus évidentes et les exemples les plus convaincants d’activités technologiques, qui prouvent la présence d’êtres intelligents sur la Lune.

    Résultat des examens de photos

    Sur deux photographies prises au même endroit à environ deux jours d’intervalle, dans la région du cratère de King, il a eu la surprise de voir une sorte de geyser sur l’une, puissant et impressionnant, et pas sur l’autre. Ce geyser jaillissait d’un petit cratère et retombait loin au-delà des bords du cratère. C’était déjà la preuve d’une activité importante, non naturelle. Mais ce n’est pas tout. Sur la première de ces photos, prise donc deux jours avant l’autre, le geyser n’apparaissait pas mais l’examen attentif lui permit de découvrir l’image d’un monstre mécanique, tel qu’il en avait vu de nombreuses fois sur d’autres photographies. Cet engin était situé sur le versant intérieur du cratère, précisément à l’endroit d’où allait jaillir le geyser deux jours plus tard.

    A partir de cette observation et des multiples observations des monstres mécaniques qu’il faites par ailleurs, George Leonard a pu associer ces engins à des travaux de génie civil, des travaux de nivellement, avec éjection et pulvérisation de matériaux. Pour être détectés sur les photographies, l’auteur a calculé que ces engins, qui sont en forme d’X sont quarante fois plus gros que tout ce qui peut être conçu sur Terre. A ce propos, rappelons que la gravité est six fois plus faible sur la Lune, que sur Terre, le poids des objets est donc six fois plus faible.

    L’une des configurations les plus extraordinaires que l’on peut voir sur la Lune est celle de tours étroites se dressant à des hauteurs de 1000 à 1500 mètres. Ces tours sont toujours droites, verticales et, c’est le plus remarquable, quand elles sont édifiées sur une arête de cratère ou un massif montagneux, elles se trouvent toujours au point le plus élevé. Le scientifique Farouk El Baz, qui a formé le groupe des astronautes en géologie et faisait partie du comité d’étude des missions lunaires à l’époque du programme Apollo, a confirmé cette découverte quand il a déclaré lui-même : « Il existe sur la Lune des tours plus élevées que la plus haute des constructions terrestres. » Leurs ombres sont projetées sur plusieurs kilomètres. Mais aucun vaisseau lunaire n’a aluni à proximité pour en prendre des photos. Un certain nombre de constructions en formes de dôme ont été également découvertes sur des plateformes.

    Les preuves de la présence d’objets mobiles et de diverses constructions à la surface de la Lune sont donc abondantes et convaincantes, selon George Leonard. Il y a aussi les éclairs de lumière, les nuages de gaz, connus depuis longtemps : nous savons maintenant de façon certaine que la Lune est occupée, elle est habitée. La question qui vient alors nécessairement à notre esprit est : qu’ont vu les astronautes qui ont marché sur la Lune ?

    Témoignages des astronautes

    Les enregistrements des conversations des astronautes montrent qu’ils n’ont cessé de manifester surprise et admiration devant le spectacle qu’ils découvraient sur la Lune. Mais ces parties de leurs conversations ont été supprimées dans les enregistrements officiels. Neil Armstrong et Buzz Aldrin ont été les premiers astronautes à poser le pied sur le sol lunaire. C’était le 20 juillet 1969 dans le cadre de la mission Apollo 11, dans la mer de la Tranquillité.

    Une information a abondamment circulé à cette époque, qui ne provenait pas des circuits officiels et avait été captée par des radioastronomes amateurs. Selon ceux-ci, les premières paroles de Neil Armstrong après l’alunissage du module lunaire et les premiers instants de surprise, auraient été pour annoncer qu’ils étaient observés, car de grands vaisseaux étaient alignés, face à eux, menaçants … ! Les astronautes, comme tous les gens de la NASA, sont tenus par l’obligation de secret qui leur a été imposée.

    En 1972, lors de la dernière mission Apollo (Apollo 17), Le Dr. Farouk El Baz a mentionné l’observation faite par les astronautes. Au cours de la première révolution autour de la Lune, Harrison Schmitt avait vu un brillant éclair qui l’avait presque aveuglé. L’éclair provenait de l’endroit même, au nord du cratère Grimaldi, où l’équipage d’Apollo 16 avait signalé le même phénomène. Schmitt avait reconnu qu’il y avait d’autres choses sur la Lune : des dômes, des formes étranges, des constructions. Le lendemain, pendant la 14ème révolution, son co-équipier Ron Evans signala un éclair aussi brillant émanant du bord de la mer Orientale et en fit des commentaires tout aussi admiratifs. A ce sujet, le Dr. Farouk El Baz avait déclaré : « Il y a une chose que je ne peux pas comprendre ni expliquer, c’est l’apparition de ces énormes éclairs lumineux. A mon avis, le doute n’est pas permis, ces phénomènes ne peuvent pas être naturels. »

    Ces découvertes rapportées par George Leonard ont été confirmées aussi par le chercheur Steven Greer (2). Celui-ci a rapporté que les photographies de la Lune prises par la sonde Lunar Orbiter (avant les atterrissages des fusées Apollo) montraient des détails de structures artificielles. Il précisait aussi que l’on avait découvert une base sur la face cachée de la Lune ; il y avait de très grandes tours, des constructions qui ressemblaient quelque peu à des coupoles de grandes tailles.

    Tous ces témoignages – très peu connus – convergent pour montrer qu’il y a effectivement de la vie sur la Lune, même dans le plan matériel. Les astronautes n’ont pas du tout découvert un astre mort et inhabité tel qu’on le décrit habituellement, bien au contraire, malgré une surface désertique et inhospitalière. Ces découvertes ont évidemment une portée philosophique et spirituelle immense. Mais la chape de secret est encore très lourde.

    (1) George LEONARD, Ils n’étaient pas seuls sur la Lune – le dossier secret de la NASA – Ed Ecopolia (livre censuré pendant 40 ans)

    Les mystères de la lune.

    (2) Steven GREER – Révélations Tome 2 – Ed. Nouvelle Terre

    https://blog.ecoutelaterre.fr/la-lune-est-vraiment-habitee-!/

     

     

    Voir aussi :

    la-mission-apollo-20

    Disclosure project

    SIRIUS, le film de la divulgation 

    Reportages et réflexions sur les visiteurs 

    Anomalies dans l'espace

    Que se passe t'il dans l'espace?

    Réflexions sur la divulgation

    Les archives ovnis

      La vie sur Mars

    Cydonia, le visage de Mars 

      A-ton marché sur la Lune ?

     

     

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