• Les fréquences antiques

    Conscience de l'homme

    Les fréquences antiques

    ou L'ARCHEOACOUSTIQUE 

    Les fréquences antiques

    L’archéologie tâtillone et conservatrice a lâché du lest – une fois n’est pas coutume.

    Après des années d’excavation de pyramides et de temples sophistiqués où elle n’a pas compris grand chose, elle charge des acousticiens de donner du sens à certaines caractéristiques sonores inhabituelles des très anciens monuments. L’archéoacoustique est née. L’acoustique avait déjà été utilisée comme outil archéologique – notamment par des chercheurs Japonais pour explorer le sous-sol du plateau de Gizeh en Égypte. Le sonar indiqua la présence d’une vaste salle sous le Sphinx et les pyramides. Des masses métalliques y auraient été détectées, ainsi qu’une source de radioactivité. 

      

    L’inénarrable Zahi Hawass a organisé plusieurs expéditions spéléologiques qui se sont heurtées à un obstacle infranchissable : l’eau. Des milliers de tonnes d’eau.

    Un vaste et profond lac souterrain communique avec le second Nil, puissant fleuve formé par les eaux d’infiltration du Nil, connu depuis la plus haute antiquité. Comment détourner toute cette eau ? 
    La situation politique de l’Egypte a stoppé les fouilles… pour l’instant. Au-delà des sites et monuments, l’archéoacoustique s’intéresse à l’acoustique des artefacts, outils, armes, bijoux, etc. Aux confins de l’archéologie, de l’ethno-musicologie, de l’acoustique et de la modélisation numérique, en tant que branche de l’archéologie de la musique, elle manifeste un intérêt particulier pour la musique préhistorique de transe. Sans oser solliciter pour autant la collaboration, pourtant indispensable ! de chamanes ou de sorciers maîtres de transe.

    Nombre de cultures préantiques usaient de la tradition orale : prophétie, incantation, cantiques, transes musicales, etc.

    Il y a donc de fortes chances qu’en explorant notre lointain passé sous cet angle, les archéoacousticiens débusquent et explorent ce prodigieux domaine de la science-philosophie des Atlantes, la sonologie.

    J’ai abordé ce chapitre inédit dans l’article consacré à la musique des sphères, avec l’usage antique du fa dièse 363,26 Hz, qui correspond à la gamme du la 432 Hz.

    Les premières découvertes des archéoacousticiens sont plus que prometteuses : l’étude des temples souterrains de Malte et de Sicile, recoupée avec des données issues de nombreux temples pré-antiques à travers le monde, a montré la présence d’harmoniques nombreuses, prédisposant ces lieux aux chants et mélopées.

    D’autre part, dans la quasi totalité de ces structures, ils ont identifié des résonances à la fréquence de 95 à 130 Hz – et le plus souvent, à la fréquence moyenne de 110 Hz.

       

    Ici se profile l’antique science que j’appelle la sonologie atlante.

    Les pères des Mayas avaient la capacité d’impressionner la pierre avec une énergie, comme sur un disque de stockage informatique, pour la réactiver en cas de besoin. La mémoire des pierres se passe fort bien de gadgets type lecteur ou décodeur; elle est accessible à toutes et à chacun en faisant le silence intérieur, en cessant d’écouter la raison, la logique et tout ce qui vient de l’hémisphère gauche du cerveau. Or précisément, l’agencement acoustique et énergétique des temples mégalithiques vise à induire cette prédisposition et provoque volontiers des états modifiés de conscience.

    Le taux vibratoire le plus fréquent dans ces temples, à savoir 110 Hz, déplace l’activité du cerveau humain sur le cortex préfrontal, entraînant une désactivation du centre du langage et une commutation temporaire de l’hémisphère gauche (rationnel, logique, répétitif) vers la domination du cerveau droit (émotion, créativité, transe).

    Source : eden-saga

     "Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie: fréquence et vibration." Nikola Tesla »

     

     ARCHÉOLOGIE DU SON

    Les dispositifs de pots acoustiques dans les édifices anciens

    Les églises médiévales et modernes conservent parfois dans leurs murs ou dans leurs voûtes des poteries noyées dans la maçonnerie dont seul affleure le col, ouvert sur l’espace intérieur du bâtiment. L’usage de ces poteries architecturales, souvent méconnu, a été parfois mal interprété. Il s’agit le plus souvent de dispositifs de correction acoustique destinés à améliorer la perception de la voix parlée et chantée, non seulement dans les lieux de culte mais aussi dans certains bâtiments civils. Pour les érudits qui en découvrirent l’existence au XIXe siècle, la raison d’être de ces pots a constitué une énigme.

    Depuis lors, nombre d’entre eux ont disparu à l’occasion de travaux de ravalement ou de restauration, faute d’être perçus comme des vestiges dignes d’intérêt. Ce site propose un bilan de nos connaissances actuelles et un certain nombre de pistes de recherche. Il est le fruit d’un travail interdisciplinaire mené depuis plusieurs années entre historiens, archéologues, linguistes et acousticiens. Les indications fournies par les textes anciens et les observations résultant de l’étude matérielle des poteries ont ainsi pu être confrontées à des mesures de fréquence, afin de mieux comprendre le phénomène physique et, par là même, de mieux apprécier l’effet acoustique des poteries insérées dans les maçonneries de certains édifices. Au-delà de la redécouverte d’une pratique disparue de la mémoire collective depuis deux siècles, c’est la conservation de ces dispositifs qui est en jeu.

    Bénédicte Palazzo-Bertholon - Jean-Christophe Valière

    Source : archeoacoustique

    Les fréquences antiques Les fréquences antiques

    Emplacements  des vases acoustiques

    Les fréquences antiques

    Les fréquences antiques

    Vases acoustiques

    Les fréquences antiques

    Les pots acoustiques en France 

      La destination d’usage des poteries placées dans les murs et les voûtes

     Ces vases acoustiques sont appelés echea en latin, eches en français.
    La principale source, à partir de laquelle on a interprété ces poteries comme élément
    « acoustique » est Antique, avec un passage de Vitruve sur les échéas (De Architectura, livre V). Leur
    fonction d’après la tradition, est de produire des échos. Ces vases (échéa) étaient destinés à faciliter
    la transmission de la voix des acteurs. Ils étaient placés dans des cellules pratiquées sous les degrés
    servant de sièges aux spectateurs en face de la scène, et disposés, isolés les uns des autres, dans
    une position inclinée, sur des coins formant trépied, de manière que tout son partant de la scène
    venait toujours frapper le fond de chaque vase et se trouvait puissamment répercuté. Ces vases
    étaient en airain, selon Vitruve ou bien en terre cuite.
    Chez les grecs, selon Vitruve « les différents sons qu’ils rendaient, étaient réglés selon les lois de la
    symphonie ou accord musical, répondant, dans leurs divisions exactes, à la quarte, à la quinte et à
    l’octave. »
    Le texte de Vitruve manque de précision, d’autant plus que nous ne disposons d’aucunes
    figures qui puissent illustrer le dispositif décrit. Par ailleurs, l’auteur lui-même précise qu’il n’y avait pas
    de vases dans les théâtres à Rome et l’on peut se demander s’il en avait vu ailleurs, dans les
    provinces de l’Empire.
    Selon Henigfeld et Werlé (2002), « Les témoins archéologiques [de ces échéa] sont tous en
    céramique », avec un renvoi bibliographique (Emmanuel Poulle, 2000) concernant les dispositifs
    « acoustiques » antiques, dont la référence est à explorer.
    Aussi, en assimilant les poteries trouvées dans les murs intérieurs des églises (et de quelques
    monuments civils) à des échéa antiques, l’interprétation devint rapidement l’objet d’une polémique
    entre scientifiques, archéologues et acousticiens confondus. Mais tout d’abord, depuis quand parle ton
    de vases acoustiques pour le Moyen Age ?
    La primeur de la découverte semble remonter à 1842, date à laquelle un certain Huard,
    directeur du musée d’Arles, fait un rapport au sujet de l’église St-Blaise, contenant 15 vases disposés
    dans les murs de cet édifice, daté du XIe siècle.
    L’acoustique d’une église est conditionnée par de nombreux paramètres, parmi lesquels le
    volume, le mode de couverture (charpente ou voûte) ou le traitement des surfaces (enduit, en pierre
    de grand appareil, surfaces vitrées, tentures, boiseries,…). On peut naturellement s’interroger sur le
    rôle joué par des vases de terre ouverts sur l’espace intérieur de l’édifice.
    Du point de vue chronologique, la datation des églises qui contiennent ces dispositifs, est
    comprise entre le XIe et le XVIe siècle avec une extinction progressive aux deux siècles suivant,
    effectué à partir du regroupement de divers recensements . Par ailleurs, on peut s’interroger
    sur le rapport possible entre le volume de l’édifice, le traitement de ses surfaces (sol, murs, plafond) et
    l’emplacement, comme le nombre des vases placés dans les murs. Parmi les exemples les plus cités
    dans la bibliographie, les églises de communautés monastiques (abbaye, monastère, couvent)
    paraissent majoritaires à première vue, mais un inventaire scrupuleux et systématique s’impose.
    Nous disposons actuellement de trois inventaires d’églises conservant des dispositifs de pots. Le
    premier est dû à Floriot, qui proposa dans sa thèse une liste intéressante, car réalisée en 1964. Puis,
    Jean-Marc Fontaine réalisa également un inventaire dans le cadre de son mémoire soutenu en 1979
    qui se distingue déjà partiellement de celui de Floriot.Enfin, un nouvel inventaire a été mis en place
    sur la base des travaux de deux étudiants Solenn Moreau (DEA – 20021) et Romain Rebeix (Master
    Recherche - 20052), au cours de ces dernières années.
    La question de l’inventaire est importante, si l’on considère le nombre important de dispositifs qui
    disparaissent chaque année en raison des travaux de restauration qui bouchent les orifices et
    occultent ou détruisent les vases sur les murs et les voûtes. En 1978 déjà, l’abbé Floriot se plaignait
    que : « à la Sainte-Chapelle de Riom (Massif Central), les ouvertures des 113 vases avaient été
    bouchés en 1971 ».

    Ensuite, La localisation des vases dans l’espace intérieur est variable d’un cas à l’autre et
    concerne les voûtes, comme les murs. Le plus souvent, les pots sont placés dans la partie orientale
    de l’église (le choeur et les premières travées de la nef), mais ils peuvent également se développer sur
    toute la longueur du vaisseau, dans les voûtes notamment. Ils peuvent être disposés en plusieurs
    endroits de l’édifice, séparés d’un mètre environ dans la plupart des cas et rarement à moins de 50 cm
    les uns des autres et toujours placés dans les parties hautes des élévations ou dans les voûtes. Dans
    la couverture, les vases sont le plus souvent dispersés, tandis que dans les élévations ils sont le plus
    souvent agencés en lignes ou en triangle. Par ailleurs, dans les petits édifices, les vases sont le plus
    souvent dispersés, tandis que dans les grands volumes, ils sont concentrés en des zones bien
    délimitées.

    Les vases insérés dans les maçonneries présentent des formes et des tailles variées. Il peut
    s’agir d’amphores droites, de jarres pansues, d’urnes, de pégots ou de bouteilles à goulot rétréci, etc.
    Les plus petits vases n’excèdent pas un volume de 90 cm3, tandis que les plus grands dépassent les
    100dm3. La moyenne des vases présente cependant une profondeur de 20 cm et une capacité de 2
    ou 4 litres.
    Leur forme varie selon la typologie régionale, mais ce sont des poteries domestiques, dont
    certaines portent la trace d’usages antérieurs, comme à Jussy, (Suisse), ou Saint-Martin d’Angers, où
    l’on a remployé des pots à sucre.

    Analyse critique de la bibliographie au regard des premières expériences
    On dispose de deux types de publications présentant des églises où les poteries sont interprétées
    comme des « vases acoustiques ». Les premières sont de nature archéologique et les secondes de
    nature acoustique.
    Ainsi, pour la partie archéologique, citons l’exemple de l’architecte Salomon, est chargé en 1749
    de la reconstruction d’un édifice sur le bâtiment ruiné de l’église du couvent des Dominicains de
    Strasbourg. Il fait ce commentaire sur la localisation des poteries: «En démolissant les murs du grand
    choeur du temple-Neuf (commencé en 1307, achevé en 1345), j’ai trouvé autour des ogives des
    fenêtres et noyés dans la maçonnerie des pots en terre cuite, l’orifice étant à fleur du mur vers
    l’intérieur. J’ai réussi à en sortir quelque uns intacts. Ces pots sont en terre grise…. Il y a longtemps
    qu’on a dû renoncer à croire à l’efficacité de ces pots pour l’acoustique, car tous les orifices étaient
    bouchés et le crépis les recouvraient complètement. Autour de chaque ogive se trouvaient neuf pots,
     l’un au sommet et quatre de chaque côté.(….) Apparemment que ces pots servoient à augmenter le
    ton des voix lorsque les Religieux chantoient au choeur ». » (Salomon, 1876, p. 227-228). Le nombre
    total des vases dans cette église, autour des fenêtres, est évalué à 99 (11 fenêtres avec un dispositif
    de 9 vases pour chacune d’elles) (source : Henigfeld et Werlé, 2002).
    Les sources archéologiques font état de publications sur le sujet à partir du milieu du XIXe siècle.
    Nous avons dit précédemment que la première mention de « vase acoustique » dans une église
    médiévale revenait à Huard, pour l’église St-Blaise, mais à sa suite, plusieurs érudits tels que Didron
    (1862), Cochet (1862), viollet-le-Duc (1854-1868), Staub (1876), Enlart (1929) et Reusch (1949) - pour
    n’en citer que quelques uns - se sont intéressés au sujet. Quelques articles paraissent, de manière
    plus sporadique depuis la deuxième moité du XXe siècle, pour finir avec celui de Henigfeld et Werlé,
    paru en 2002 et dernier en date.
    Les sources acoustiques, quant à elles, qui nous renseignent cependant tout autant sur
    l’architecture et l’archéologie, sont essentiellement composés des travaux de Floriot (1960) puis de
    Fontaine (1979), avec plus récemment l’article de Carvalho (1999) et les travaux de Desarnauds
    (2002).
    L’intérêt des érudits et des scientifiques de tous bords sur la question, a donné lieu à une véritable
    controverse, que la littérature illustre largement. L’étude de la bibliographie offre, en effet, un
    panorama intéressant des érudits qui se divisent dès le départ entre les sceptiques d’un côté et les
    partisans de l’autre, face à l’hypothèse acoustique avancée pour ces dispositifs de poteries dans les
    maçonneries des églises médiévales. Face aux sceptiques se placent les partisans et défenseurs de l’hypothèse acoustique des
    vases, parmi lesquels Baudoin (1938), érudit local qui affirmait qu’au Bas Poitou les vases
    « doublaient ou triplaient la portée de la voix du Prédicateur », sur la base d’un texte, dit Apocalypse
    de Méliton (XVIIe siècle) « de cinquante choristes que le public entretien dedans telle maison,
    quelquefois, ils ne seront pas six à l’office ; ces choeurs sont accommodés avec des pots dans la
    voûte et dans les murailles, de sorte que six voix y feront autant de bruit que quarante ailleurs… ».
    Tout aussi convaincu, Rougé en 1910, déclare : « ces vases sont des résonateurs
    puissants, … dès que je parle devant ces acoustiques ma voix est alors 3 fois plus forte. Ces vases se
    trouvent encore dans les ruines de la chapelle… j’ai encore, il y a huit jours à peine, montré ces vases
    à une cinquantaine de visiteurs qui en restèrent tout baba…».
     Source : medieval-europe-paris

      Sonologie 2012 - Chant harmonique à l'Abbaye du Thoronet, France, par Emmanuel Comte. Chanter à l'abbaye du Thoronet est un privilège incommensurable. L'acoustique est une des plus belles au monde et malgré l'imperfection de la prise de son, cete vidéo donne une idée de la pureté de l'acoustique.

     Abbaye cistercienne du Thoronet; démonstration des qualités de résonance de cette église abbatiale romane; un véritable instrument de musique de pierre au service du chant.

     Abbayes de Sénanques et du Thoronet

    Les fréquences antiques Les fréquences antiques

     Fondée en 1148, l'Abbaye de Sénanque est avec ses soeurs Silvacane et Le Thoronet, le pur témoin du rayonnement de l'ordre cistercien en Provence.

      Les Cisterciens accordent également une importance toute particulière à l'acoustique de leurs églises, qui se signale par un retour de son d'une dizaine de secondes en moyenne.

    Au Thoronet, où cette durée de retour atteint quatorze secondes, les guides n'hésitent pas à produire quelques vocalises d'inspiration cistercienne pour illustrer cette extraordinaire acoustique, que l'on peut saisir encore lors des concerts organisés chaque année par l'abbaye cistercienne. Le commentaire a la sagesse de ne pas abreuver le visiteur de connaissances architecturales pour le laisser s'imprégner de la magie des lieux.

    Source :  avignon-et-provence.

    D'abord, le primat de la Parole: ces églises sont faites pour que retentisse la Parole de Dieu par le chant liturgique et la parole. Il est possible de s'en rendre compte en les visitant: la sonorité est remarquable, parfois améliorée encore par l'emploi de vases acoustiques, au point qu'une seule voix peut emplir la voûte (c'est d'ailleurs ce qui est recherché : un seul chantre doit pouvoir représenter le chœur). La qualité de la pierre elle-même n'est pas étrangère à cela : on a pu dire que : « la pierre chante ». Plus tard, Goethe comparera ce type d'architecture à un art muet du ton (verstummte Tonkunst) 6 ou encore à une musique silencieuse (stumme Musik)7, ou encore parlera de musique figée, gelée (gefrorenen Musik), pétrifiée (erstarrten Musik)8 . Il faut noter que cette architecture est contemporaine d'une réforme du chant. D'une part, on recherche l'authenticité des textes et des mélodies, d'autre part, on élabore une théorie musicale supposée permettre une meilleure transmission que la simple pratique qui se dégrade inévitablement en coutumes. Dans cette confiance en la raison, il y a aussi un trait de l'esprit cistercien : reconnaître dans les lois, les proportions, la beauté qui est un reflet le la gloire de Dieu.

    Source : wikipedia

     

    "Ce que nous avons appelé ‘matière’ est l’énergie, dont la vibration a été hautement réduite afin d’être perceptible par les sens. Il n’y a pas de matière. » – Albert Einstein

     Les Anciens constructeurs ont créé des structures monumentales qui altéraient le son et l'esprit, disent les chercheurs

    Les résultats de recherches récentes suggèrent que dans l'antiquité ou la préhistoire, les bâtisseurs des structures monumentales trouvées dans des endroits aussi divers que l'Irlande, Malte, le sud de la Turquie et le Pérou ont tous une caractéristique propre en commun - ils ont peut-être été spécialement conçus pour conduire et manipuler le son à produire certains effets sensoriels.

    Commencée en 2008, une étude récente et toujours en cours sur le complexe massif de structures en pierre de la vieille période de 6000 ans connu sous le nom de l'Hypogeum Hal Saflieni sur l'île de Malte, par exemple, produit des résultats révélateurs. Tout comme les structures de temples préhistoriques reliés à Malte, cette structure dispose de couloirs centraux et des chambres courbes. Mais cette structure est unique en ce qu'elle est souterraine, créée par la suppression de quelque 2.000 tonnes de pierres taillées avec des marteaux de pierre et de pioches en bois de cervidés. Les voix basses au sein de ces murs créent d'étranges échos de réverbération, et un son fait ou des paroles prononcées à certains endroits peuvent être clairement entendus tout au long de l'ensemble de ses trois niveaux. Maintenant, les scientifiques suggèrent que certaines fréquences de vibrations sonores créées lorsque le son est émis à l'intérieur de ces murs font réellement s'altérer les fonctions cérébrales humaines de ceux à portée de voix.

    Les fréquences antiques

    L'Hypogeum Hal Saflieni sur l'île de Malte

     « L'activité cérébrale régionale d'un certain nombre de volontaires sains a été suivie par EEG par l'exposition à différentes fréquences de vibrations sonores », rapporte Linda Eneix, experte du Temple de Malte à the Old Temples Study Foundation, « Les résultats ont indiqué qu' à 110 Hz, les tendances de l'activité en cours du cortex préfrontal ont brusquement changé, entraînant une désactivation relative du centre du language et un décalage temporaire de la gauche vers le côté droit de la domination en matière du traitement émotionnel et de la créativité. Ce changement n'a pas eu lieu à 90 Hz ou 130 Hz ...... En plus de stimuler leurs côtés plus créatifs, il semble qu'une tonalité du son de résonance de la fréquence de 110 ou 111 Hz aurait été comme un "Allumage" d'une zone du cerveau que les scientifiques du bio-comportemental croient liée au comportement de l'humeur, l'empathie et le social. Volontairement ou non, les personnes qui ont passé du temps dans un tel environnement dans des conditions qui peuvent avoir inclues une faible voix masculine - dans un rituel chantant ou même la simple communication - s'exposaient à des vibrations qui peuvent avoir réellement eu un impact sur leur pensée". 

    Des chercheurs de l'Université de Malte confirment les conclusions d'une étude en cours.

    Mais l'Hypogée n'est pas la seule dans ses effets sonores particuliers. Une étude menée en 1994 par un consortium de l'Université de Princeton a constaté que le comportement acoustique dans les chambres antiques sur les sites mégalithiques tels que Newgrange en Irlande et de Smithy Wayland en Angleterre a été caractérisée par une forte résonance soutenue, ou "onde stationnaire" dans une gamme de fréquence comprise entre 90 Hz et 120 Hz. " Quand cela arrive ", dit Eneix, " ce que nous entendons est déformé, mystérieux. L'emplacement exact de ce comportement varie selon les dimensions de la pièce et la qualité de la pierre. " En remontant plus loin dans le temps, elle montre l'ancien site de 12,000 ans avant maintenant, Göbekli Tepe dans le sud de la Turquie. Construit par des chasseurs-cueilleurs, le site est considéré par de nombreux scientifiques comme étant situé dans la zone de transition du premier développement de l'agriculture et de l'élevage domestique. Situé sur une colline, il se compose de 20 structures rondes en pierre qui avaient été enterrées. Ces structures qui ont été déterrées ont des caractéristiques massives, en forme de T, des piliers dressés de calcaire gravés. " Dans le centre d'un des sanctuaires circulaires », dit-elle, " un pilier de calcaire " chante "quand il est claqué avec le plat de la main. Fabriqué avec évidence pour représenter un homme avec une ceinture décorée et des mains sculptées en relief à sa taille, il porte des symboles inexpliqués dans la région de la gorge ". 

    Les fréquences antiques

    Newgrange - Irlande

    Les fréquences antiques

    Smithy Wayland - Angleterre

    Les fréquences antiques

     Göbekli Tepe - Turquie 

    "A l'écoute des vents Solaires" par David Hykes

    Et maintenant, les nouveaux résultats d'une étude archéoacoustique récente suggère que les anciens du centre cérémoniel des Andes à Chavin de Huantar, vieux de 3000 ans, dans les hauts plateaux du centre du Pérou, pratiquaient un art et la science de la manipulation sonore à l'aide de l'architecture pour produire des effets sensoriels désirés. Avec l'aide de la forme architecturale et de son placement, et les sons émis par des conque-trompettes, l' «oracle» de Chavin de Huantar "parlait" pour les auditeurs de l'ancien Centre.

    Miriam Kolar, diplômée interdisciplinaire de Stanford, docteur
 à l'Université de Stanford et responsable de l'étude dit :
 " à Chavin, nous avons découvert des preuves acoustiques de la transmission de sons sélectionnés entre le site du monolithe de Lanzon et la Circular Plaza : un système de filtrage acoustique architectural qui favorise les fréquences sonores de la conque de Chavin (coquillage pututus) et la voix humaine ».

    Les fréquences antiques

    Chavin de Huantar - Pérou

    Les fréquences antiques

    La stèle de Huantar

    Le Lanzon est une statue sacrée ou une stèle représentant la divinité centrale de la culture ancienne de Chavin. Assimilé pour être "l'oracle " central des habitants de Chavin, il est logé dans une chambre, qui fait partie d'une série de passages souterrains dans le Vieux Temple du centre cérémonial et religieux de Chavin de Huantar. Un canal central a été construit pour relier la zone du monolithe Lanzon avec celle de la Circular Plaza, un lieu en plein air de l'activité cérémonielle et significatif. Le canal a été spécialement conçu pour filtrer et amplifier ou conduire à une certaine gamme de sons - à savoir, la gamme spéciale émise par l'instrument Pututu Chavin. Les raisons précises de cette configuration acoustique ne sont pas entièrement comprises, mais des études impliquant des sujets humains dans l'ancien contexte architectural et les artefacts du site semblent indiquer que les effets sonores qui en résultent peuvent avoir été liés à des effets perceptuels auditifs intentionnels du son et de l'espace sur les humains.

    Alors qu'est-ce que tout cela veut dire ? Qu'est-ce qui explique ces découvertes similaires, mais géographiquement et culturellement disparates ?

    « Comme il est curieux que ces anciennes structures différentes, séparées par autant de temps que de distance, peuvent avoir des caractéristiques communes qui impliquent une connaissance sophistiquée ", observe Eneix. « Est-ce les architectes de chaque jour qui ont fait et développé leurs propres découvertes ou ont-ils hérité ce concept de certaines anciennes écoles d'apprentissage ? L'ajout de l'élément du temps à d'autres domaines de comparaison suggère un " sentier flamboyant " humain de proportion monumentale.

     Source : sciences-fictions-histoires

     

    Quel est le lien entre la musique et le cerveau ?

     La musique peut–elle vous aider à mieux penser ? Les recherches effectuées dans ce domaine fournissent une réponse positive à cette question. La recherche montre que écouter de la musique, jouer de la musique, crée dans le cerveau de nouvelles voies neuronales qui stimulent la créativité. La musique forme le cerveau à des formes supérieures de pensée. Un article de Newsweek relativement récent fait état d’une étude de l’université de Californie visant à mesurer les progrès d’enfants de trois ans. Pour  cette étude, les enfants avaient été divisés en deux groupes. Le premier groupe n’avait pas suivi de formation ou d’exposition particulière à la musique ; le second groupe avait étudié le piano et le chant tous les jours. Au bout de 8 mois, le groupe musical s’est montré bien meilleur pour résoudre des puzzles, et au test d’intelligence spatio- temporelle ce groupe a réalisé un score de 80% supérieur à celui du groupe non musical.

    Une autre étude sur la musique et le cerveau a été  réalisée sur 36 étudiants ; ils ont été soumis à  trois tests de raisonnement spatial sur un test de QI standard ; juste avant le premier test, on leur a fait  écouter la sonate de Mozart pour deux pianos en ré majeur K.448 pendant 10 minutes ; avant le second test on leur a fait écouter une cassette de relaxation ; avant le troisième test, ils se sont assis en silence .

    Voici les résultats moyens pour les 36 étudiants : 1er essai : 119 points, 2ème essai : 111 points, 3ème essai : 110 points, soit une augmentation moyenne de 9 points de QI liée à l’écoute de Mozart. On peut supposer que l’intelligence des étudiants n’a pas augmenté mais la musique les a mis dans un état qui leur a donné un meilleur accès aux ressources de leur cerveau. Selon d’autres études une exposition répétée à de la musique douce peut augmenter votre QI de façon permanente .

    Fréquences d’ondes cérébrales et musique

    Vos fréquences d’ondes cérébrales varient selon l’état où vous êtes ; par exemple la rêverie et la méditation se déroulent généralement dans la gamme de fréquences “Alpha”

    La concentration d’alerte correspond à la gamme “Beta”

    l’état d’endormissement correspond au rythme Thêta

    enfin, certaines phases du sommeil ,(lorsque vous êtes dans un état proche de l’inconscience) correspondent au  rythme Delta

    Lorsque le cerveau reçoit un signal proche de l’un des ses rythmes cérébraux, par effet d’entraînement, il se met à fonctionner sur ce rythme cérébral. Selon le dosage précis de fréquences utilisées, l’effet sera relaxant ou dynamisant.

    Le principe est utilisé par les produits d’entraînement des ondes cérébrales qui contiennent des battements binauraux intégrés à la musique :

    Si vous écoutez de la musique contenant des battements à une fréquence de 10Hz dans la gamme “Alpha”, vous allez vous sentir très relaxé. C’est que votre cerveau se met lui aussi à suivre cette fréquence et reproduit le rythme de la musique ; vous produisez davantage d’ondes cérébrales à une fréquence de 10 Hz et  entrez dans un état de relaxation mentale alpha .

    Tous les CD d’entraînement des ondes cérébrales n’utilisent pas la musique :Certains utilisent les battements binauraux purs, noyés dans un bruit blanc( exemple de bruit blanc : le son produit lors de l’effet de « neige » sur un téléviseur déréglé).ou mêlés en sons de la nature ( j’ai personnellement utilisé ces produits pour la relaxation et je les ai trouvés très puissants). Que vous utilisiez les battements binauraux ou glissiez une cassette de Mozart dans votre lecteur de CD, vous pouvez facilement augmenter le pouvoir de votre cerveau. Essayez le aujourd’hui. Ecouter du Mozart ne peut pas vous faire du mal ; alors pourquoi attendre que davantage de recherches soient effectuées sur la musique et le cerveau ?

    Source : methodes-douces-et-bien-etre  

     Les effets sur le cerveau
    Anderson subodore que le son oscillatoire pourrait indiquer une alternance ou cycle rapide de l’attention entre les hémisphères gauche et droit, rétrogradant la rythmicité normalement constante de 10 Hz du système olivo-cérébelleux. Cet effet auditif oscillatoire pourrait fonctionner comme un moteur auditif L’effet de rétrogradation pourrait indiquer une inondation de l’hémisphère gauche par des matériaux provenant du droit non inhibé qui assume la concentration consciente primaire. Ceci, avec les fluctuations phasiques du S-net (réseau sérotonergique du groupe des cellules neurales) et de la PGO (protubérance genouillée occipitale) non inhibée, prépare le terrain au brusque surgissement de l’état SOC (état critique auto organisé) et de la période de rêve éveillé.

    Anderson fait allusion aux "rêves éveillés en tant que voyages de guérison à travers l’hyperespace fractal des souvenirs émotionnellement engrangés par la mémoire enfantine... " " Chez l’adulte, le rappel d’expériences traumatisantes de l’enfance, dû à l’immaturité des structures limbiques au moment des traumatismes, pourrait nécessiter la stimulation électrique ou une activité intensive de type PGO présente pendant l’état onirique. La rupture accoutumée des processus normaux du sommeil par le stress associé aux conflits, à la privation, au divorce, aux mal-traitements infantiles, à la négligence et à la toxicomanie perturbe la fonction réparatrice naturelle du processus phasique du REM". (1. Miller et G. Swinney, 2001)

      

     Champs Electro-Magnétiques, conscience et ADNIl est essentiel de poursuivre la recherche sur ces relations électromagnétiques, car peut-être que la survie de notre espèce psychophysique en dépend. Elles affectent notre mental, la structure génétique et cellulaire de notre corps, nos cycles de sommeil et de rêve, nos émotions et peut-être même de notre esprit. Il faut poursuivre la surveillance et le relevé des effets de ces actions sur l’atmosphère et de leur influence potentielle sur l’ionosphère et la RS, et donc sur le cerveau humain et la santé. Nous approchons de la fin d’un cycle de taches solaires et devrions consacrer un cycle complet de 11 années à récolter des résultats précis de données, comme le suggérait Hainsworth (Miller & Miller, 2002-2003).Divers chercheurs et physiciens sont en train de rassembler des données pertinentes sous les auspices du Journal of Non-Local and Remote Mental Interactions (JNLRMI) (voir site Internet http://www.emergentmind.org), édité par le scientifique Lian Sidorov. Une des hypothèses majeure de ce groupe est que les champs EM extérieurs au corps sont cruciaux pour notre conscience. Matti Pitkanen a mis au point un modèle physique appelé Topological Geometrodynamics (TGD), qui met en lumière la relation étroite entre la physiologie humaine et la RS ainsi que d’autres schémas ELF et électromagnétiques.
    Pitkanen pense que le champ magnétique terrestre n’est pas le seul facteur déterminant de la vie consciente, il cite aussi les champs interplanétaires et interstellaires. Ses démonstrations font référence à l’existence de canaux de flux magnétique, composante du champ magnétique mondial, qui se comporte comme un dipôle électrique. Une large gamme d’ondes EM, en particulier les micro-ondes et les ondes radio, joue probablement un rôle clef dans l’homéostasie, dans l’ensemble des interactions mentales à distance entre les cellules et d’autres structures et la représentation sensorielle, ainsi que dans les télé-interactions mentales à la fois dans et hors du corps. Il explique que le niveau de bruit du champ magnétique terrestre doit être assez bas pour permettre l’ESP (la perception extrasensorielle).

    Il y a plusieurs décennies, Alan Frey avait évoqué des notions de champ similaires, désignant en particulier ta gamme des micro-ondes. Ces champs EM ne sont que corrélatifs à la conscience. Toutefois, le modèle TGD permet d’assigner au champ corporel de quelqu’un une identité quantique de champ topologique. Pitkanen suggère aussi que ces champs et ondes ont une influence lorsque les systèmes biologiques exécutent des processus quantiques analytiques. Son approche biophysique indique que les circuits neuraux et les molécules sont liés par des mécanismes de verrouillage par ce processus de circulation magnétique (champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés).Pitkanen considère même le champ magnétique terrestre comme une interaction de champ magnétique dipolaire quantifié de nouage, de liaison et de torsion complexe. Le TGD perçoit le cerveau et le système nerveux comme l’organe sensoriel de notre moi électromagnétique étendu, qui possède une échelle de grandeur au moins égale au diamètre terrestre. Il ajoute que les phénomènes psi et les guérisons à distance pourraient impliquer le transfert de fréquences électromagnétiques spécifiques par les "wormholes" [Ndt : notion propre à la cosmologie, litt. "trous de vers" ; voir théorie des univers jumeaux] à longueur de Plant et par les effets frontières postulés par le TGD, ce qui permettrait le transfert quasi-instantané de l’information. L ’hypothèse du canevas sensoriel magnétique (MSC) décrit un mécanisme permettant de "partager les qualia" [Ndt : "qualia" = aspects phénoménaux de notre vie mentale ; "quale" au singulier] associés à des points distants sur la sphère géomagnétique, essentiellement une forme d’imbrication cognitive entre l’opérateur et la cible... Un des avantages évidents du TGD par rapport à d’autres modèles de transmission subtile d’énergie est que les champs EM ne sont pas directement portés de l’émetteur à la cible, mais sont générés simultanément en chaque lieu par un courant (géométrique) de vide : ainsi demeurent-ils cohérents en évitant le paradoxe de la non atténuation sur la distance...

    L’illusion de notre localisation est renforcée par les données que nous apportent nos sens, c’est-à-dire les perceptions auxquelles nous sommes accoutumés à prêter attention. (Sidorov, 2002).D’autres recherches suggèrent que l’interaction fondamentale des champs externes et internes constitue la bonne voie. Joseph Jacobson (2002), du MIT, a trouvé un moyen de connecter et déconnecter des cellules avec les ondes radio. Son équipe a aussi "dézippé" et manipulé l’ADN avec des impulsions de radiofréquences. Le même procédé fonctionne aussi avec les protéines et celles-ci gouvernent presque tous les processus chimiques cellulaires.

    Source : echelledejacob

    Les fréquences antiques

    "La plupart de la musique dans le monde entier est réglée en 440 Hz, promue par l’Organisation Internationale des Normes ( ISO ) en 1953. "

     Le son à 110 HZ

    (...) . J’y parlais donc des propriétés acoustiques démontrées dans l’hypogée d’Hal-Saflieni (construction mégalithique Maltaise datée de 5 000 ans), et de la fréquence de 110 Hz autour de laquelle les bâtisseurs ont rassemblé leurs efforts. Effectivement, puisque ce « temple » a été creusé sous la terre, obligeant cette civilisation à extraire plus de 2 000 tonnes de pierre, il est évident que les propriétés de cet endroit ne peuvent tenir du hasard. D’autre lieux, comme nous le verrons, peuvent avoir été choisis pour leurs propriétés naturelles, mais Hal-Saflieni a été bâti à partir de rien. La disposition du lieu, la localisation de la niche de l’oracle et la façon dont le son se déplace laisse aussi à penser que les caractéristiques acoustiques ne furent pas le heureux hasard d’une construction aléatoire. Ni même les effets spécifiques qu’ont cette fréquence sur le cerveau, entre toutes autres. Autant je suis pour laisser la place au doute, autant parfois il faut voir les choses en face, aussi incroyables qu’elles puissent paraître.

    J’avais aussi terminé cet article sur une note intrigante, laissant penser que ce temple n’était en plus pas le seul à travers le monde, et que de nombreux peuples connaissaient cette fréquence de 110Hz.

    Je vais donc vous présenter les deux cas les plus documentés.

    Le premier est une grotte, dans la montagne de Monte Castillo, situé au nord de l’Espagne. Cette grotte fait parti de l’ensemble appelé « Grotte d’Altamira et art pariétal paléolithique du Nord de l’Espagne ». De nombreux artefacts y ont été trouvés, attestant d’une occupation sur 120 000 ans, de l’acheuléen à l’âge du bronze. L’art pariétal y est aussi très présent, et des activités rituelles associées au chamanisme ont été attestées sur une période remontant à environ 40 800 ans.
    " En 2014, des tests acoustiques y ont été conduit. Étudiant la disposition de la grotte, l’équipe a émit des fréquences audio à plusieurs fréquences du point où devait se tenir le chaman, et enregistré l’écho des points où devait se tenir son audience. Sur toute la gamme testée, une amplification de la fréquence a été nettement observée sur la gamme des 100Hz, et plus précisément entre 108 et 110 Hz. Comme je le disais précédemment, certains sites ont pu décliner ce genre de caractéristiques naturellement, et les anciens peuples n’ont fait que le remarquer et l’utiliser. L’équipe scientifique auteur du papier précise aussi d’autres caractéristiques ayant attiré l’homme à cet endroit, et ayant pu jouer un rôle dans la création de cette particularité.

    La montagne présente en effet un aspect fortement pyramidal, et est constitué de pierres calcaire dont la composition est extrêmement proche des blocs de pierres de la pyramide de Gizeh.
    Cette grotte, appelée El Castillo et disposant de caractéristiques acoustiques, porte le même nom que la pyramide d’El Castillo, sur le site Maya de Chichen Itza. Cette pyramide est aussi connue pour sa petite particularité acoustique. Effectivement, quand l’on tape des mains en face de son escalier, l’écho qui en revient a le bruit de l’oiseau Quetzal, sacré chez les Maya. Précisons aussi que la pyramide d’El Castillo était dédié au dieu Kukulkan, le dieu serpent (serpent à plume) équivalent du Quetzalcoatl Aztèque. Pour lire une étude sur les propriétés acoustiques de la pyramide et son escalier, ]

    Après Malte et l’Espagne, allons en Irlande. Newgrange, site mégalithique bien connu, recèle lui aussi ces caractéristiques. Il faut savoir que depuis l’aube de l’archéo-acoustique, beaucoup de chercheurs ont compris l’existence d’un lien avec la neuro-théologie, et se sont donc mis à faire de grand pèlerinage sur les sites sacré du monde pour étudier leurs propriétés acoustiques.
    Les tests effectués à Newgrange ont donc aussi montré une résonance primaire dans la fourchette de 95 à 120 Hz, avec un pic entre 110 et 112Hz. La chambre centrale, particulièrement, déployait une résonance primaire à 110Hz.

    Considéré avoir été construit vers  3 200 avant J.C, et majoritairement vu comme une tombe, la découverte de ces propriétés rend ses fonctions plus compliquées à déterminer.

    Évidemment, la fréquence de 110Hz se trouvant dans le spectre couvert par une voix d’homme, l’association à rapidement été faite avec des rituels et des chants. Rappelons que des études ont été conduite afin d’observer les effets de cette fréquence sur le cerveau. De toutes les fréquences testées par les neurologues (allant de 90 à 130), 110Hz provoque un effet tout à fait particulier. Sous l’emprise de cette fréquence, l’activité dans la région temporal gauche chute brusquement, et l’activité asymétrique du cortex préfrontal subit un inversement, passant soudain d’une domination gauche à une domination droite. Cet inversement correspond à une désactivation relative du centre du langage au profit du traitement émotionnel. Pour les propriétés du cerveau droit, et l’intérêt que peut avoir l’homme dans le développement de ces capacités,
    Séparé de milliers de kilomètres, de nombreux siècles et même de millénaires, des sites montrent donc des caractéristiques purement similaires, suggérant l’existence d’une connaissance acoustique des anciens peuples. En se plongeant un minimum dans l’étude des trans chamanique et de la culture holistique ou spirituelle, l’on peut imaginer (ou pas) l’infinité des possibilités apportés par la capacité à modifier les états de consciences par la manipulation du son

     Source : informationenformation

     "Des études et des observations intéressantes ont pointé les bienfaits de la musique de réglage à 432 Hz. Le 432 Hz est dit être mathématiquement cohérent avec les schémas de l’univers".

    Certaines chansons ont été remixées  en 432 Hz

     Phil Collins - In The Air Tonight converti à partir de 440 Hz à 432 Hz. 432hz semble plus complète et plus agréable à l'oreille alors que 440hz semble plus mince. 432 Hz touche la totalité des 12 harmoniques d'octave à l'échelle de toute la musique, alors que la musique d'aujourd'hui vibre à 440 Hz. Cette 440Hz ne touche que 8 harmoniques d'octave de l'échelle. La Musique de 432hz touche votre coeur qui fait  de la musique une expérience plus émotionnelle.

     

     

     

    Voir aussi

    La musique en 432 Hz

    La Génodique

    les-passionnantes-experiences-avec-le-son

    Les sons de la galaxie

    La Terre émet-elle des sons ?

    Lévitation acoustique

    La lithophonie

    La Grande Pyramide

    La cymatique

     

      

    "La source de nos informations est indiquée pour chaque parution, mais au cas où l'auteur de vidéos, articles ou photos souhaiterait ne plus les voir figurer sur le site, qu'il nous en avertisse par mail, et nous les retirerons immédiatement"