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ALIEN PROJECT - Les momies du Pérou/1.
ALIEN PROJECT Page N°1 - LES MOMIES DU PÉROU (2017)
Tous les résultats en détails sur le site de ALIEN PROJECT
La page des vidéos ICI et le Site de THIERRY JAMIN
PAGE 1 : Les début de l'affaire, premières photos des momies.
PAGE 2 : Début des analyses des échantillons.
PAGE 3 : Radiographies, examens, scanners, détails des entités.
PAGE 4 : Nouvelles radios et analyses - 3 nouvelles momies de 60 cm
PAGE 5 : Projet de Loi pour protéger les momies, nouvelles planches et radios
PAGE 6 : La présentation officielle des momies au Congrès de la République du Pérou à Lima
PAGE 7 : Suite des analyses...
La découverte et les artefacts - Début et Historique de cette affaire
ICI : Site de ALIEN PROJECT
Des momies à l'aspect non humain ont été découvertes par des huaqueros (pilleurs de tombe) dans la région de Nazca au Pérou. Elles se trouvaient dans deux sarcophages trouvés dans un lieu souterrain, des matériaux à mémoire de forme ont aussi été retrouvés. Les momies ont trois doigts (dont certains avec des implants) la tête est très étrange et fait penser aux "petits gris" décrits très longtemps dans les récits de "rencontres rapprochées". Une opération sur le mode participatif a été lancée sur ULULE, afin de recueillir les fonds nécessaires pour procéder aux analyses de l'ADN et carbone 14 de ces momies et artefacts (pierres, etc...). La somme a été largement atteinte. Les analyses sont en cours. L'affaire est suivie par THIERRY JAMIN, archéologue français de l'Institut Inkari Cuzco.
SIGNEZ LA PÉTITION pour la reconnaissance officielle et la protection
des momies non humaines de Nasca (Pérou) ICI
Une conférence de presse aura lieu fin novembre à Nasca (Pérou) par l'Institut Inkari Cusco.
Les momies de Nazca - ALIEN PROJECT par M. Ribardière (FEA)
Un résumé de l'affaire des momies de Nazca - puis une interview de Thierry Jamin
En octobre 2016, Thierry Jamin, explorateur, chercheur – archéologue français au Pérou, annonce la découverte d’artéfacts stupéfiants car inexplicables dans le cadre des connaissances actuelles. Président de l’association Inkari – Institut Inkari- Cusco (http://www.granpaititi.com/), qui bénéficie d’une bonne image, Thierry Jamin, constate l’existence des organes momifiés ainsi que de momies, dont l’anatomie insolite ne montre pas de lien avec l’espèce humaine ni aucune espèce vivante connue. Ces découvertes ont été réalisées par des huaceros (pilleurs de tombes) dans un endroit inconnu dans le sud du désert du Pérou, dans la région de NAZCA. Elles comportaient aussi des matériaux tels que des plaques de métaux étranges aux caractéristiques étonnantes comme par exemple celle de la mémoire de forme. Les photos qu’il montre parlent d’elles-mêmes : les organes momifiés sont quelques fois équipées d’objets métalliques n’ayant aucun rapport avec des bijoux. Ces éléments sont placés dans la main généralement sous-cutanés et sont alors comparés à des implants.
Les momies apparemment humanoïdes ont des tailles variables qui laissent supposer l’existence d’être humanoïdes pouvant aller de 30cm jusqu’à plusieurs mètres de hauteur. Leurs cranes aux formes variables ainsi que la morphologie du visage et de tous les organes de la tête sont très distincts de ceux des êtres humains. L’ensemble des objets métalliques sont exemptes de toute corrosion et certains d’entre eux répondent aux forces magnétiques. Devant l'insolite, Thierry Jamin fait appel à plusieurs experts afin de démasquer les objets qui pourraient relever d'une imposture. Qu'ils soient médecins, anatomistes, radiologues ou historiens, archéologues spécialisés dans les matériaux funéraires, tous sont unanimes: rien ne permet d'invalider l'authenticité des matériaux.Thierry Jamin fini par rencontrer le chef des Huaceros qui est une personnalité connue dans ce milieu. Il obtient ainsi son témoignage et une confirmation de ces découvertes avec beaucoup de détails. En octobre 2015, un groupe de quatre huaceros qui recherchaient des tombes anciennes afin de les piller en repère une et la dégage. A leur surprise, ils découvrent la présence d’une structure architecturale et d’une pierre qui semble obstruer un passage. Après bien des difficultés, un mécanisme fini par se déclencher et la pierre s’ouvre sur une galerie descendante. Après un escalier, ils entrent dans une pièce obscure et découvrent deux corps momifiés, une petite princesse inca dans ses habits de la noblesse et avec ses bijoux dans les cheveux qu’ils estiment être âgée de 11 ans ainsi qu’un homme moustachu. Ils découvrent aussi un sarcophage dont ils tireront près d’un millier d’artéfacts (objets, organes momifiés, momies).
Ils réalisent se situer dans une zone d’un espace probablement très grand sur plusieurs niveaux. Plus tard ils émettront l’hypothèse d’avoir pénétré une pyramide précolombienne. Les huaceros racontent avoir fait plusieurs séjours dans cet endroit. Chacun de ces séjours duraient plusieurs jours. Ils progressaient avec beaucoup de prudence car ils n’ignoraient pas l’existence de pièges ayant couté la vie à plus d’un explorateur. Il existe donc des portes qu’ils n’ont pas pour l’instant osé franchir, ayant détecté de possible anomalies. Au fur et à mesure, les huaceros vont s’apercevoir que les lieux ne sont pas déserts. De petits êtres qu’ils appelleront des lutins sont aperçus en groupe avec des comportements très furtifs.Un jour, lors de la découverte du second sarcophage, ils plongent leur regard dans un puits et aperçoivent plus bas un être de dimension plus importante qui se cache aussitôt. Ils sont aussi sujet à un évènement étrange, qu’on appelle aussi une expérience de temps manquant (missing time). Alors qu’ils faisaient une pause en faisant bouillir de l’eau, ils tombent brutalement dans le sommeil et se réveillent 8 h plus tard, sans comprendre ce qu’il s’est passé. Le gaz ayant été totalement dépensé.
Au cours de leurs séjours, deux des huaqueros tentent d’attraper les petits êtres. L’un des deux sera pris un jour d’un comportement inattendu. Il se mettra à avaler du sel, jusqu’à ce que son corps se mette à défaillir. Il en mourra. L’autre, atteint de malaises, sortira avec peine du lieu des découvertes et décèdera à Cusco d’une maladie inconnue. Aujourd’hui le groupe des Huaqueros est réduit à deux individus seulement. Leur objectif se limite à trouver de l’or, vendre leurs découvertes contre beaucoup d’argent. Ils ont parfaitement compris l’immense valeur de ce site et espèrent mettre la main sur davantage d’objets à forte composante technologique.
De son coté, Thierry Jamin s’est rapproché du chef des huaqueros et tente d’obtenir une invitation pour voir les lieux, même s’il doit s’y faire accompagner les yeux bandés. Il a une certaine idée de leurs positions « quelques centaines de mètres » d’un des dessins Nazca. Afin de valider les matériaux qui proviennent de ce site et qui ont été placés entre ses mains, Thierry Jamin a lancé un financement participatif qui permettra une analyse poussée de l’ADN d’une des momies, une évaluation de son âge (Carbone 14) ainsi que de connaître la composition des métaux si cela est possible.
Il est à notre avis remarquable que plusieurs milliers de personnes de France s’organisent avec pour objectif la recherche de la vérité dans cette affaire et faire éclater une vérité bouleversante dans la pensée dominante. Bien que stupéfiante si une telle révélation devait avoir lieu, elle offrirait une piste de réflexion fracassante mais légitime pour expliquer le contraste qui sépare d’un côté les dogmes de l’histoire officielle et de l’autre les "oparts" (Out Of Place Artefacts, les objets archéologiques inexplicables dans le contexte de leurs époques) et les sites de construction anciens dont les dimensions et la très haute technicité sont demeurées totalement inexplicables.
Michel RIBARDIERE FEA - Source : feairplaneICI un rapport en PDF afin de démontrer les preuves
de la véracité des momies : Argumentation rapport scientifique
(Dessin - Les émanants)
Le rapport NASCA ici
Parmi les premiers artefacts trouvés : des crânes étranges et des mains à trois doigts, six phalanges et possédant des implants !
INTERVIEW DE THIERRY JAMIN par Michel Ribardière (Président du FEA)
Il est à notre avis remarquable qu’une portion de plusieurs milliers de personnes de France ayant pour seul objectif la recherche de la vérité, s’organise afin de soutenir ce projet et faire éclater une possible vérité bouleversante dans la pensée dominante. Bien que stupéfiante cette révélation pourrait offrir une piste de réflexion légitime permettant d'expliquer le contraste qui sépare d’un côté les dogmes de l’histoire officielle et de l’autre les ooparts (Out Of Place Artefacts, les objets archéologiques inexplicables dans le contexte de leurs époques) et les sites de construction anciens dont les réalisations par leur dimensions et leur très haute technicité sont demeurées totalement inexplicables.
Monsieur Thierry Jamin a accepté de répondre à quelques unes de nos interrogations:
Michel Ribardière: - Si les découvertes des huaqueros et le site archéologique s’avèrent réels, si les analyses confirment l’origine inconnue des gènes récupérés sur les momies, si l’ancienneté des artéfacts est confirmée, quelles seront les conséquences sur l’histoire officielle des civilisations précolombiennes et sur l’histoire de l’humanité ?
Thierry Jamin : - Si les analyses confirment l’authenticité des artefacts biologiques découverts dans le désert du sud du Pérou fin 2015, je pense qu’une partie importante de l’histoire des civilisations de Paracas, de Nasca et des Incas sera sans doute à réécrire avec une nouvelle perspective. En effet, le site découvert est localisé à quelques centaines de mètres des célèbres pistes de Nasca. L’existence d’un peuple exogène dans cette aire culturelle pourrait alors expliquer non seulement le pourquoi de ces immenses figures, mais également les raisons pour lesquelles ces civilisations ont pratiqué l’allongement de leurs crânes.
Michel Ribardière: - quelles seront les conséquences dans la pensée dominante ?
Thierry Jamin : - J’avoue que, en l’attente du lancement de la phase des analyses, j’ai beaucoup de mal à me projeter aussi loin. Il convient de vérifier d’abord s’il s’agit bien d’objets authentiques et non d’une supercherie.
Michel Ribardière: - comment réagiront les universités et le monde académique ?
Thierry Jamin : - je pense que, devant tant d’évidences, une remise en cause de certains enseignements me semble incontournable à plus ou longue échéance.
Michel Ribardière: - comment réagiront les gouvernements ?
Thierry Jamin : -s’il est prouvé que ces objets sont bien ce que nous soupçonnons qu’ils soient, la responsabilité des gouvernements seraient (idéalement, mais ils ne le font pas !) de préparer les citoyens à recevoir cette information. Au tournant des années 2000, un collectif d'anciens auditeurs de l'IHEDN (Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale) avaient déjà tiré la sonnette d’alarme avec le rapport « Cometa : à quoi doit-on se préparer ? ». Peu de choses ont été faites depuis. Il en sera peut-être ainsi de ce cas…
Michel Ribardière: - comment réagiront les institutions religieuses ?
Thierry Jamin : - il me semble évident que la confirmation de l’authenticité de ces reliques pourrait poser un problème aux religions monothéistes notamment. L’existence d’entités exogènes parmi les hommes depuis l’antiquité pourrait apporter une explication rationnelle sur l’origine de ces religions. L’Église catholique semble la seule à se préparer à cet événement. On remarque en effet, depuis une vingtaine d’années, une évolution du discours de l’Église catholique concernant la vie extra-terrestre. Pour ma part, je pense que le plus inquiétant sera sans doute la réaction du monde musulman en général face au choc de cette Révélation. On peut craindre le pire…
Michel Ribardière: -De nombreuses découvertes archéologiques semblent avoir été étouffées. Dans une interview, vous avez évoqué des découvertes mystérieuses réalisées en Egypte par une équipe belge et qui auraient elles-aussi été étouffées.
Thierry Jamin : -oui, en effet, il y a des rumeurs d’une découverte plus ou moins similaire, réalisée en Égypte dans les années 90. Elle a été complètement étouffée. Une autre affaire est beaucoup plus connue et documentée et serait arrivée en 1960. Les soviétiques auraient mis la main sur un « visiteur » dans une tombe égyptienne. L’affaire portait le nom de « Projet Isis ».
Michel Ribardière: -Votre alerte depuis le Pérou en direction de la France a pourtant immédiatement acquis l’attention et le soutien financier et intellectuel de la part de milliers de citoyens français. A votre avis, les découvertes qui remettent en question aussi profondément la pensée dominante sont-elles plus faciles à divulguer par une nation traditionnellement laïque et possédant une vision universelle comme le suppose la déclaration des droits de l’homme ? Est-ce justement le rôle de la France que d'ouvrir ou de soutenir des dossiers aussi brûlants pour toute l'humanité ?
Thierry Jamin : -Je ne sais pas si cela est une « vocation » de la France. Le fait est que je suis Français et qu’il m’était dès lors plus pratique de mobiliser les passionnés de ce thème en France qu’au Pérou, où les moyens économiques sont beaucoup plus limités. Avec son message universel, la France pourrait être porteuse de cette information…
Michel Ribardière: -Le récit des Huaqueros présente les lieux de la découverte comme fréquentés par des êtres biologiquement inconnus, dont la civilisation s’avère probablement plus développée ou plus avancée techniquement que la nôtre. Si vous parvenez à vous rendre sur place, envisagez-vous d’entrer en contact avec ces êtres ?
Thierry Jamin : -Dans un premier temps, nous cherchons à récupérer un maximum de matériel biologique pour les confronter aux analyses ADN, C14, etc. Nous voulons savoir si cette affaire est réelle ou non. Pour le moment, le balancier penche plutôt pour une histoire authentique. Dans un second temps, nous aimerions, en effet, étudier le site. Nous savons où il se trouve. Cependant, nos accords actuels avec les « découvreurs clandestins » du site nous empêchent d’organiser une opération d’exploration de la zone. Nous espérons que ces « découvreurs » accepterons de nous conduire d’eux-mêmes jusqu’au site. C’est le but ultime, en effet. S’il était possible d’établir un contact avec les entités qui, semble-t-il, peuplent encore les lieux, nous tenterions l’expérience. D’une manière générale, j’ai le sentiment que cette histoire n’est pas arrivée là par hasard. Je me demande s’il n’y aurait pas une «volonté» de leur part à faire connaître leur existence au monde. Nous abordons des temps où l’on sent que le secret des OVNIS et de la présence E.T. sur Terre craque de toutes parts. Cette affaire s’inscrit peut-être dans un « agenda » qui arrive à terme. L’opération de financement participatif que nous avons lancé il y a un peu plus de vingt jours sur la plate-forme Ulule, a pour objectifs d’obtenir des réponses à certaines questions que nous nous posons tous. J’invite tous les Internautes, les partisans comme les sceptiques, à se joindre à cette opération de crowfunding pour nous permettre, dès le mois de mars, de lancer un grand programme d’analyses de ces « reliques », afin de déterminer leur nature et leur origine. S’il existe une chance de prouver que tout ceci est bien réel, alors il faut la saisir. Cette affaire de corps et d’organes momifiés est un vrai miracle pour la science ! Nous avons une réelle « fenêtre », une opportunité historique de démontrer la réalité de cette histoire. Alors saisissons-la !!!
Michel Ribardière: -Merci Thierry et bonne chance dans cette grande aventure. Nous sommes à vos cotés pour cette immense découverte et nous vous adressons toute notre amitié et nos remerciements pour les décisions que vous avez prises jusqu'à présent dans ce dossier et cela sans ignorer les risques encourus pour votre réputation, votre avenir professionnel et votre personne.
Thierry Jamin: - Merci à tous ! Source : feairplane
Momie de 30 cm
(genre de poupée rituelle, ou corps qui semble avoir été reconstitué)
Une nouvelle momie ou entité biologique à étudier ! Il mesure 38 cm de haut, possède une cage thoracique constituée de treize paires de côtes, de longs membres supérieurs et inférieurs terminés par des mains et des pieds de trois doigts, comprenant chacun trois phalanges. À la main gauche, une étrange petite pastille ronde sur la paume et une autre à l’intérieure de la main. Ce petit corps fera partie des artefacts analysés prochainement. Une étonnante nouvelle momie donc (voir la définition d'une momie créée artificiellement par les anciennes cultures dans un dictionnaire !), comportant certaines similitudes avec les précédentes déjà montrées (tête, mains et orteils), mais aussi de grosses différences, principalement une cage thoracique énorme (13 paires de côtes) et des membres (bras et jambes) comportant 4 os (2 chez l'être humain, les primates et la majorité des animaux terrestres...), sans articulations visibles (peut-être enlevés lors de la momification ?) et aussi sur la main gauche, deux implants ou plaques tout à fait ronds, au dos et dans la paume de la main...
Culture de Vinca
De nombreuses représentations d'êtres à trois doigts se retrouvent sur des pétroglyphes, des géoglyphes,
des poteries, des tissus très anciens, au Pérou et d'autres pays d'Amérique du sud, ainsi que dans d'autres parties du monde
L'une des grandes mains : Elle mesure 33 centimètres de long. Elle comporte trois doigts, constitués de six phalanges (l’un des doigts extérieurs n’en comporte cependant que cinq). La phalange supérieure possède un ongle très similaire aux ongles humains.
L’une des particularités de cette main est aussi la présence de trois implants métalliques, enserrant des tendons et un petit os. Toutes les mains découvertes ont cette étrange particularité de posséder de tels implants, voire de petites plaques métalliques rondes « incrustées » dans la partie supérieure de la paume de la main…
D’après certaines estimations de médecins, d’archéologues et d’anthropologues, cette main appartenait à un individu dont la taille s’élevait peut-être entre 2,70 m et un peu plus de 3,00 mètres…
Ces mains doivent avoir une fonctionnalité différente de la nôtre. Le fait d’être beaucoup plus longs que les nôtres donne à leurs doigts plus d’agilité… donc sans doute plus de fonctionnalité. Qui peut dire comment ils ont évolué en fil du temps…
À quelle espèce appartient cette étrange main ? Il n’y a que des analyses ADN qui pourront sans doute le dire…
Et vous n’êtes pas au bout de vos surprises…
À Très Bientôt !
Bien Amicalement À Vous, depuis le Cœur des Andes,
Thierry JAMINUne autre main vue à Cuzco chez Brien Foerster...
Des analyses sont en cours concernant la peau de la fameuse tête momifiée. On nous a confirmé aujourd’hui qu’il s’agit TRÈS POSSIBLEMENT d'une peau, avec des cellules mortes et quelques autres substances encore non identifiées. Ce n’est ni du plâtre ni du carton-pâte…
Analysé en détails hier au microscope et à la caméra endoscopique, un anatomiste renommé de l’Université Nationale de Cusco confirme qu’il s’agit bien d’un crâne, fait d’os et constitué de diverses cavités et conduits propres à une véritable boite crânienne.
Des animaux inconnus mais de petit taille et faisant plutôt partie de nos légendes, anciens textes religieux et mythes ancestraux : des animaux avec deux bras et deux jambes mais aussi des ailes (anges, démons, tayir,...), mais aussi avec une unique corne frontale (licornes, démons,...) par exemple... Parmi les artefacts trouvés : des organes connus (cerveaux, cœurs) ou inconnus, protégés par du coton ou de la poudre et encore souples au toucher, des têtes coupées et des mains à trois doigts, le tout également protégées du temps. Il est à noter que cette sorte de coton est aussi apparente dans les momies, et que des traces de sang ont également été relevées sur ce coton (analysables). Il y aurait aussi des artefacts "techniques", comme des implants et des plaques de métal (celui-ci étant décrit comme un alliage argenté), avec notamment des mains comportant des sortes de bagues-implants entourant un os ou un tendon et aussi des plaques métalliques sur les paumes ou au dos des mains, comme un appareillage mystérieux...
Doigt humain et doigt d'une des grandes mains
Des objets métalliques à mémoire de forme ont également été trouvés ! (voir l'interview). Seul 10% de cet endroit (encore inconnu) a été fouillé par les pilleurs à priori. On note aussi que plusieurs reliques ont déjà été vendues, (cerveaux, cœurs, artefacts métalliques) mais que le nom de ces acheteurs est maintenant connu et que les artefacts sont récupérables. L'endroit se trouve à quelques kilomètres d'un lieu très connu pour ses reliques anciennes (Paracas, Nazca...) et significatives. Thierry Jamin, étant donné la zone, pense qu'une datation de 2000 ans (Nazca), voir plus ancien, est possible. Les précautions de protections trouvées, et la pratique des têtes coupées, font penser à un leg global pour la postérité et les civilisations futures de la part des Nazcans... Pour en finir avec le lieu des découvertes, les pilleurs ont recouvert l'entrée d'une bâche puis enterré le tout, aplani les lieux : l'endroit est introuvable et invisible sauf par quelqu'un qui sait...
- Comme le dit Thierry Jamin dans l'interview, il n'a été mis au courant de cette affaire que récemment, en novembre (alors que la découverte date de janvier 2016), tout à fait par hasard et via un ami journaliste qui lui a présenté le propriétaire de quelques artefacts (les 3 montrés dans ces photos avec la main coupée). Cette découverte est bien sûr en train d'être découverte au Pérou (les télévisions commencent à s'y intéresser fortement) et dans le monde entier. Une équipe de télévision française était à Cuzco pour un autre sujet, mais elle s'y est bien sûr intéressée... et elle est repartie du Pérou avec des images et des échantillons à faire analyser : un grand laboratoire parisien est en train d'analyser ces échantillons donc, avec des premiers résultats attendus sous trois semaines... En attendant, les preuves sont tout de même très solides avec ces 3 différentes reliques examinées par des spécialistes (avec leurs connaissances des momies...), mais pour l'histoire en elle-même et le lieu, tout repose sur les pilleurs de tombes et le propriétaire de quelques reliques (qui est un connaisseur en matière d'OVNI et de théories extra-terrestres ou de mondes parallèles...). Brien Foester a été appelé car il a une expérience de biologiste et il était sur place en temps que directeur du musée d'Histoire de Paracas...
- La petite momie trouvée n'est pas une fabrication artificielle (style poupée faite d'os, de peau et de tissus), mais bien un être vivant à l'origine, momifié en apparence naturellement (desséché) mais ayant tout de même subi une intervention car du coton a été trouvé au niveau des membres inférieurs (style de momification inconnu). L'être semble avoir des petits organes sexuels, peut-être même un nombril et un anus, ne mesure pas plus de 21 centimètres mais ne ressemble pas à un fœtus ou même bébé (une technique de réduction comme celle employée par les Jivaros (Shuars) pour les têtes coupées est-elle envisageable ?). On peut envisager aussi une autre hypothèse (déjà amenée dans le monde de la science-fiction via les voyages spatiaux de longue durée) : le nanisme dû à l'environnement (un peu comme les éléphants-nains découverts sur des îles) : des êtres obligés de vivre pendant plusieurs générations dans des vaisseaux spatiaux (environnement très limité donc) lors de voyages durant des millénaires (théorie connue des vaisseaux-mondes), ne seraient-ils pas atteints de nanisme avec le temps ... ?Une autre constatation concernant ces petits êtres aux grands crânes, avec une toute petite bouche et avec des yeux "d'amphibiens, de reptiles ou même d'insectes" et de leur peau grise, en dehors de leur correspondance avec les, ou certains, "modernes petits gris" cités lors d'enlèvements par des OVNIs, est aussi une grande similitude avec au moins deux très anciennes légendes de l'Humanité : celle connue en Amérique Latine des "hommes-fourmis" et celle, mondiale, des "reptiliens" et du culte des hommes-serpents, voir de tout ce qui rattache (en "bon et en mal" en lien avec le serpent dans la mythologie...).Source : sciences-fictions-histoiresListe des médecins et spécialistes qui ont analysé, radiographié et étudié les momies.
(Exprimons notre gratitude aux Médecins des différentes spécialités scientifiques,
qui risquent leur réputation et leur crédibilité en s'investissant dans les recherches concernant cette
découverte archéologique.)
DR JOSE DE JESUS SALCE BENITEZ
Docteur Expert en Médecine Légale – médecin légiste et anthropologue légiste de l'Institut des sciences médico-légales du Mexique (INACIF) Chef de médecine légale du Secrétariat de la Marine et des Forces Armées du Mexique. Diplômé de l’École Nationale d’Anthropologie et d’Histoire (Sipaz).
DR EDSON SALAZAR Pérou - chirurgien et radiologue
DR JOSE DE LA CRUZ RIOS - Mexico - Biologiste - Secrétariat de la Santé - Campeche
Mexique - Recherches en microbiologieDR KONSTANTIN KOROTSOV - Ph D Russia - Prof St-Petersburg University - Président
of International Union of Medical and applied BioelectrographyDR Michael Asseev - Ph D Russie - Head of the genetic analisis departement Russian
Academy of scienceDR NATALIA ZALOZNAJA -- MD PHD RUSSIA - HEAD OF IMAGE ANALISIS OF THE MEDICAL
INSTITUTE MIBSDANIEL MERINO – Professeur d’Archéologie Pérou – Curator National Museum of Sican - Espagne
DR MK JESSIE - USA – Radiologue du squelette- Hôpital Université du Colorado
Dr Raymundo Salas Alfaro (Spécialiste en Radiologie - Pérou)
Dr Ramiro Hermosa Rosell et Dr. Renan Ramirez Vargas - Chirurgiens des organes internes Cusco Pérou
Dr Julio Espejo Torres Spécialiste des os - Cuzco- Pérou
DR DAVID HERMOSA GONGORA
Dr Navarette (Nasca Pérou)
- Dr Ricardo Rankel – Biologie moléculaire et cellulaire - Pérou
- Docteur Sarah Kouhou, Docteur en neuro-sciences, à Londres.
Photo ci-dessous ( de gauche à droite) :
Edward Valenzuela Gil (responsable Communication et Relations Publiques)
Edward Valenzuela Gil – Secrétaire de l’Institut Inkari
Thierry Maurice Pierre Jamin (Président fondateur de Inkari Cusco)
José Benigno Casafranca Montes (Vice-Président Institut Inkari )
Et les vidéos de : Clara Martinez (Genève-Suisse)
(Licence en Chimie, Université de Genève.- Licence en Biologie Université de Genève.
Biochimiste expérimentale - Enseignante chez DIP)
Informations sur les analyses ADN et les momies de Nasca
Et des experts de Cambridge, Cardiff, Glascow et Leicestershire Universities (Angleterre)
Une vidéo intéressante (A écouter jusqu'à la fin où il parle du PÉROU !)Interviewé par Igor et Grichka BOGDANOFF, Maurice CHATELAIN, ancien directeur du système de communications à la N.A.S.A, explique que l'homme de cro magnon aurait été aidé dans son évolution par une intervention de type extraterrestre. Il évoque également une seconde théorie en affirmant que des civilisations très avancées auraient existé dans le passé et auraient été détruite successivement par des cataclysmes cosmiques. En alternance avec des nombreuses iconographies, Grichka BOGDANOFF présente deux ouvrages de Maurice CHATELAIN "Nos ancêtres venus du cosmos" et "Le temps et l'espace".
Des créatures étranges sont aussi exposées dans ce Musée : Musée de Merrylin à Londres
Il y a aussi celle de "ATA", la petite momie découverte également à Atacama et présentée par le Dr Steven Greer
Voir la PAGE
et
Des visiteurs à trois, quatre et cinq doigts
un crâne étrange découvert au Pérou
Des extra-terrestres de petite taille
Des artefacts pré-Maya montrant des ovnis
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