• Villes sous marines oubliées

     Découvertes extraordinaires 

    VILLES SOUS-MARINES OUBLIÉES 

    Villes sous marines oubliées

    Voici quelques cités découvertes immergées

    La cité d' Atlit Yam (Israël)

    un des trésors inestimables de la région se trouve au fond de la mer !

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    La côte du Levant est l’un des plus grands chemins empruntés par nos lointains ancêtres, avant que l’Homo sapiens ne se disperse aux quatre coins du monde. Presque partout des générations successives d’humains y ont laissé des traces de leur passage. Mais l’un des trésors inestimables de la région se trouve au fond de la mer… Au large d’une forteresse datant des Croisades, érigée elle-même sur les fondations d’un port phénicien.

    En 1984, à seulement 400 mètres de la côte par 10 mètres de fond, le Dr Ehud Galili, archéologue de l’Autorité israélienne des Antiquités et plongeur émérite, découvre une structure inhabituelle, partiellement dégagée, par une forte tempête, du sable qui la protégeait depuis des millénaires.

    S’agit-il d’une construction des Phéniciens, des Arabes, des Romains ou encore des Templiers ?

    Quelles sont les raisons de sa présence au large des côtes?

    Dès les premières fouilles, une toute autre histoire se dessine ; une toute autre « préhistoire » pourrait-on dire…

    L’excavation s’avère être le rêve de tout archéologue : la découverte du site préhistorique le plus grand et le mieux préservé jamais découvert le long de la côte méditerranéenne. Atlit Yam (Atlit sous-les-mers), cité de l’âge de pierre datant d’au moins 9 000 ans, s’étend sur plus de 40 000 mètres carrés, immergée entre 8 et 12 mètres de fond. Les artefacts pointent résolument vers le Néolithique précéramique.

    Source : area51blog  

      

         

     Les ruines de  Mahabalipuram (Inde)

    Des sites paléolithiques de 20,000 ans un peu partout sur les côtes indiennes.   

    Les traditions du peuple Dravidien racontent que ce peuple serait arrivé en Inde vers -9.500 avant J.C. après avoir échappé à un cataclysme qui aurait englouti leur continent situé au Sud de l’Inde et à l’Est de Madagascar, en plein milieu de l’Océan Indien.

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    Depuis, des scientifiques ont découvert un vaste continent englouti de la taille de l'Australie gisant sous les eaux de l'océan Indien confirmant ainsi la tradition dravidienne. Les Dravidiens seraient donc les survivants d’un cataclysme qui, vers -9.500 aurait englouti leurs terres de l’Océan Indien... Une cité engloutie de 10.000 ans. 

    Découverte de ruines sous-marines d'une Cité très vaste au large de la côte au sud-est de l’Inde dans le Golfe de Cambay. Sous 30 mètres d'eau, la cité très vaste fait plus de 8 kilomètres de long et 3 de larges. Elle aurait été construite plus de 5000 ans avant les constructions les plus vieilles de la Terre. Cette découverte met en évidence les légendes locales concernant un "déluge" dévastateur qui aurait entraîné autrefois plusieurs temples à la mer.   

      Suivant la légende locale, autrefois cette région avait sept magnifiques temples, mais six d’entre eux auraient été engloutis par la mer comme rétribution divine, laissant le septième temple, seul sur la rive. Le septième temple existe encore sur la plage. Depuis des siècles, des pêcheurs locaux sur la côte de Mahabalipuram racontaient des histoires à propos d’un grand déluge qui aurait détruit une cité il y a plus de 10.000 ans.

    L’histoire a été enregistrée par l’explorateur anglais, J. Goldingham, qui explorait la région en 1978. Plus de cinq sites furent trouvés par différentes équipes assignées à ces recherches ont démontré la présence de construction de pierre, reste de murs, et de blocs de pierre rectangulaire, une grande plate-forme surmontant une formation géologique. La plupart de ces structures sont en mauvais état et recouvertes d'une vie sous-marine très active.  

    La trouvaille a été annoncée par des indigènes à Mahabalipuram, dans le Tamil Nadu, au sud de l’Inde, quand ils ont rapporté avoir vu une structure de temple mis à jour par les eaux qui se retiraient juste avant le raz-de-marée de Tsunami le 26 décembre. Le Tsunami découvrait aussi sur une plage des ruines d’une maison démembrée en pierre, un éléphant en rocher et deux lions géants en granite.

     L’archéologue marin anglais, Graham Hancock, a passé des années à cataloguer les ruines sous-marines autour du monde. M. Hancock a pris part à une expédition pour étudier la région sous-marine près de Mahabalipuram en 2002, conjointement parrainée par la Société d’exploration scientifique anglaise (SES) et l’Institut national d’océanographie de l’Inde (NIO).

     L’expédition a révélé la présence de maçonnerie en pierre, des restants de murs, des blocs carrés et rectangulaires de pierre éparpillés et une large plateforme avec des marches y conduisant. La plupart des structures étaient très endommagées et s’éparpillaient sur une région de plusieurs miles carrés. Deux complexes structuraux montraient une architecture et une dimension similaires. Le NIO estime l’âge des ruines à 1500-1200 ans a-c, quand la dynastie Pallava régnait dans la région et construisait des temples semblables. Cependant, suivant le géologue Glenn Milne de Durham University, les ruines pourraient remonter jusqu’à 6000 ans puisqu’il y a eu très peu de mouvements tectoniques dans la région depuis 5000 ans. Pour d'autres les ruines remontent à 10.000 ans.

     Si les ruines à Mahabalipuram sont reconnues comme appartenant au même groupement de temples que le temple qu’on retrouve sur la plage, cela donnerait foi aux histoires locales que les étrangers considèrent comme des légendes.

     Entre la période de 5000 avant J.C. et 15.000 avant JC, à la fin du dernier âge glacière, des choses terribles sont arrivés au monde ou vivaient nos ancêtres. Les grandes couvertures de glace qui recouvraient le nord de l'Europe et l'Amérique du nord ont fondu en laissant une quantité d'eau phénoménale derrière. Les eaux de la planète ont monté de plus de cent mètres traversant les terres. Approximativement 25 millions de mètres carrés, de terres cultivables et habitables furent avalées par la mer.  

    Source : secretebase 

    Le continent mythique de KUMARI KAMDAN (Inde)

    est-il l'ancienne Lémurie ?

    Kumari Kandam ou encore Kumai Nadu est un continent légendaire englouti au sud du cap Comorin, à l'extrémité de l'Inde. Kumari Kandam a souvent été comparée et assimilée à la Lémurie.

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    D'après la tradition tamoule, les Dravidiens seraient à l'origine venus de Kumarikhandam, une île submergée au sud de l'Inde. Des épopées telles que Silappatikaram et Manimekhalai décrivent la cité engloutie de Puhar. Selon la légende, il y avait deux principales rivières sur Kumari Kandam, le Pagliyaru et la Rivière Kumari. Il y avait également des montagnes. L'action du premier poème tamoul de la tradition sangam, Idaï Sangam, est censé se dérouler sur le continent lémurien. Ce continent était administré en 7 ou 49 (7x7) régions. Le continent aurait été victime du kadatkol, un déluge décrit comme l’océan dévorant la terre, ce que les scientifiques, comme le Dr. A. Velupillaï, rapprochent avec un tsunami. Le Sri Lanka, l'Australie comme Madagascar, feraient partie de ce continent disparu.

    Le tamoul, à l'inverse des autres langues classiques indiennes, ne fait pas partie ou n'est pas proche des langues indo-européennes, ce qui pourrait corroborer la théorie d'une origine étrangère.

    À Mahabalipuram, près de Chennai, des ruines submergées ont été trouvées dans l'océan.

    Source : wikipedia

     

         

     La Cité de YONAGUNI (Japon) 

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    La structure sous-marine de Yonaguni (与那国島海底地形/遺跡, Yonaguni-jima kaitei chikei/iseki?, littéralement « relief/vestige sous-marin de Yonaguni-jima ») est une formation gréseuse sous-marine située dans les eaux claires de la pointe d’Arakawa, à l’extrémité sud de l’île Yonaguni dans l’archipel japonais Ryūkyū. Cette île sous-marine fait l'objet de débats scientifiques car elle pourrait être le vestige d'une cité préhistorique.

    La structure est constituée d’immenses plate-formes interrompues par des failles formant de grandes marches angulaires séparées par des parois à l’apparence lisse (les failles sont géologiquement récentes). La structure mesure plus ou moins 75 mètres de long et 25 mètres de haut. En raison de son apparence lisse, peu érodée et peu colonisée par la vie marine, certains auteurs estiment qu’elle pourrait être artificielle et très ancienne, tandis que les archéologues estiment que si elle l’était, son état serait bien plus dégradé. Source : wikipedia

    Voir :  Le mystère de Yonaguni   

         

    Les Vestiges  d' HERACLEION (Égypte)

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    Héracléion est une ancienne cité de l'Égypte antique, située près de l'actuelle Aboukir. Elle fut découverte en 1992, conjointement avec Canope, la ville voisine, englouties dans la baie d'Aboukir, lors des fouilles archéologiques sous-marines menées par Franck Goddio. Source : wikipedia

    Autrefois la cité de Thonis-Héracléion, connue aujourd’hui comme le royaume oublié de Cléopâtre, était la porte d’entrée vers l’Égypte. De nos jours, cette mystérieuse cité légendaire est submergée dans la baie d’Aboukir, près d’Alexandrie. (un peu à l’ouest du delta du Nil)

    La cause de la submersion de la cité est toujours un mystère, mais elle fut avalée par la mer Méditerranée et elle s’est ensablée et envasée pendant plus de 1200 ans.

    De nouvelles découvertes sous-marines permettent aux archéologues de rassembler des indices et de créer une image de ce à quoi ressemblait la vie dans l’ancienne cité.

    Connue sous le nom d’Héracléion chez les anciens grecs et celui de Thonis chez les anciens égyptiens, la cité a été redécouverte en 2000 par un archéologue sous-marin français, le Dr Franck Goddio et l’équipe de l’Institut Européen d’Archéologie Sous-Marine (IEASM) après une étude géophysique qui a duré quatre ans. Source : heritageancestrale 

    Le mur et les pyramides de BIMINI (Bahamas)

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     Les îles Bimini sont un archipel et un district des Bahamas qui se composent de deux îles principales : North Bimini et South Bimini. Les Bimini se trouvent à environ 80 km à l'est de Miami Beach.

    Les îles sont connues surtout comme un haut-lieu de la pêche. Comme les îles Bimini ne sont éloignées que de 80 km de Miami (Floride), l'archipel accueille beaucoup de pêcheurs américains venant en bateau. La plongée y est également une activité populaire, de nombreuses épaves de navires gisant dans les eaux alentour.

    Entre 1939 et 1940, le médium américain Edgar Cayce, dans une prédiction très détaillée, a affirmé que des restes de l'Atlantide seraient trouvés en 1968 ou en 1969 devant les côtes des îles Bimini. En septembre 1968, des blocs de pierre alignés sur huit cents mètres, appelés la route de Bimini (Bimini Road), sont découverts au large de Paradise Point à North Bimini.

    Après dix expéditions sous-marines, commencées en 1974, l'historien David Zink a acquis la conviction que ces pierres sont des mégalithes érigés par l'homme.Les archéologues William Donato et Greg Little sont eux, convaincus après deux expéditions, que ces pierres ont fait partie d'une culture aujourd'hui disparue.D'autres théories expliquent que ces alignements de pierres sont nés de l'effet des marées, ou bien qu'elles sont une formation géologique naturelle.

    Il n'existe aucune certitude à l'heure actuelle quant à savoir si ces pierres sont les restes d'une civilisation disparue, le travail de naufragés ou un phénomène géologique naturel : la question reste entière. Source : wikipedia  

     Edgar Cayce  dans son "Visions de l’Atlantide" nous révélait déjà l’existence de ces constructions sous-marines au large des côtes de la Floride. (Lecture 364-3) "Le continent de l’Atlantide occupait une position située entre le golfe du Mexique d’une part, et la Méditerranée d’autre part. On trouvera des preuves de l’existence de ce continent perdu dans les Pyrénées, au Maroc, au Honduras britannique, au Yucatan et aux Etats Unis. Il reste certaines émergences… qui devaient, à une époque ou une autre, faire partie de ce vaste continent. Les Indes Occidentales britanniques, ou Bahamas, sont parmi ces vestiges. Si l’on effectuait des sondages géologiques dans ces îles, ou dans le Gulf Stream et notamment aux abords de Bimini, on trouverait certainement des preuves déterminantes." 

    En 2001, une équipe de chercheurs canadiens a travaillé sur la côte ouest de Cuba, afin de vérifier les dires de premiers explorateurs partis en 2000 dans la même zone et qui aurait découvert une ville engloutie depuis des milliers d’années. Et l’incroyable s’est produit: La cité existe !

    Les ruines d’une ville engloutie ou « l’Atlantide cubaine » ont pu être localisées grâce à des sonars sophistiqués capables de détecter des structures en pierre jusqu’à 650 pieds de profondeur. Les premiers relevés ont suscité un énorme intérêt dans la communauté scientifique, qui a bien vite mis la découverte sous silence.

    Les premiers explorateurs ont repéré le complexe il y a déjà 12 ans, quand ces chercheurs ont balayé la zone par hasard. Les radars ont alors mis à jour une unité sophistiquée composée de plusieurs pierres disposées de façon symétrique.

      Zelitsky, ingénieur russe, ancienne espionne de la marine soviétique pendant la guerre froide, et son mari, Paul Weinzweig, un chercheur en "Communications numériques avancées" (photo ci-dessous à gauche), ayant des bureaux au Canada et à Cuba, ont parcouru et exploré avec leur navire de recherche "Ulises " les profondeurs au large du cap Saint-Antoine, au nord-ouest de Cuba, dans le but de récupérer d’éventuelles épaves, quand ils se sont rendus compte que sous leur coque dormait un trésor archéologique à la fois mystérieux et incroyable :

    La structure qu’ils découvrent est un complexe urbain.

    Pour le vérifier, ils envoient alors un robot bourré de technologie. Ce drone, un Remotely Operated Vehicle (ROV), est capable de prendre des photos et de recueillir des échantillons de roches à de grandes profondeurs.(...)

    Les structures remonteraient à 6000 ans, une date qui précède les grandes pyramides d’Égypte de 1500 ans, officiellement. « C’est vraiment une découverte merveilleuse que ce centre urbain", a rapporté l’Explorateur Zelitsky à Reuters.

    Le silence est de mise autour de cette découverte, et pour cause, les énormes structures pyramidales sont similaires en taille à celles du plateau de Gizeh, en Egypte. Sous l’eau e trouve aussi plusieurs sphinx, des pierres disposées comme Stonehenge ainsi qu’une écriture gravée sur les pierres. Pourquoi tout ceci a été réduit au silence ? Avant la découverte officielle en 2 000, Le gouvernement américain avait découvert l’endroit présumé pendant la crise des missiles à Cuba dans les années soixante, un sous-marin nucléaire ayant alors sondé la surface, pris des photos, et fait des mesures. Ils ont immédiatement créé une zone  Off Limits   et mis le site archéologique sous contrôle, pour le protéger de la flotte russe.

     Une source de l’armée à Montego Bay, dévoile que les USA travaillent toujours sur le site et a depuis 40 ans récupérer nombre d’objets et d’instruments (certains fonctionnent encore).

    Ce bassin de moins de 10.000 ans est très bien conservé. Une autre cité a d’ores et déjà été découverte à 250 km au sud de la côte des Açores, découverte confirmée par le célèbre auteur Charles Berlitz.

    Dans le numéro de Septembre-Octobre américain  ancient Amerca, on peut lire un court article intitulé «US Navy Atlantis Cover-up?".  Il y est dit que le 7 septembre 2001, un escadron Espagnol, à la recherche de pétrole, s’est arrêté à 250 km au sud-ouest des Açores.

    L’escadron était équipé de deux submersibles de recherche. Lors de la plongée, ils y ont découverts une sorte de long mur de 90 km avec un temple central soutenu par trois plateformes de neuf piliers d‘environ 3 mètres de diamètre supportant un toit plat en pierre d’environ 20 mètres de large et 30 de long. On peut y voir aussi des restes de cinq canaux circulaires avec des ponts, ainsi que quatre anneaux, et des installations comme un temple au milieu.

    Cet endroit se trouve à 2800 pieds de profondeur dans la fosse médio-atlantique.  Selon les chercheurs, quand ils ont essayé d’envoyer des images photographiques du site archéologique, leurs signaux ont été bloqués par un navire de l’US Navy qui patrouillait à proximité.

    Le site des pyramides cubaines, mégalihtique très probablement, fait aujourd’hui l’objet de recherches discrètes entreprises par le gouvernement américain, tandis que Cuba le réclame, à juste tître. 

    Source : investigationsoanisetoceanographiee

     

    Villes sous-marines sur Google Earth (source utube)

    J'ai rencontré quelques anomalies très intéressantes dans les lacs tout au long de la cordillère des Andes au Pérou. Les images proviennent de Google Earth et peuvent être vus par toute personne utilisant cette merveilleuse application. Je suis tombé sur ces «anomalies sous-marines non identifiés - UWA 's tout en recherchant divers endroits dans la région montagneuse du Pérou. Comme vous le savez probablement, il y a un certain nombre de ruines antiques, tels que Machu Picchu qui ont été habitées par les Incas et des civilisations beaucoup plus âgées que l'Inca. L'album photo "des anomalies sous-marines non identifiés" de creatorsdream compte actuellement seize photos montrant des UWA près du lac Titicaca . L'autre endroit que j'ai trouvé se trouve dans le centre nord des Andes à environ 200 miles au nord-est de Lima.

    Certaines ressemblent à des bâtiments avec des rues, les maisons et les couloirs. Une des images semble  montrer que les murs se sont écroulés dans les sections et montre même une section qui est démembré et a déménagé à plusieurs mètres de son emplacement initial. Je n'ai pas encore  déterminé ce que je vois dans Google Earth et je voudrais savoir ce que vous pensez que ces anomalies pourraient être. Par conséquent, j'ai inclus un fichier. Kmz et des informations supplémentaires à propos de ce que ces UWA est sur ​​le site web creatorsdream

     

      Le Lac TITICACA (Bolivie)

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    En Bolivie, le célèbre lac d’altitude Titicaca, situé dans la cordillère des Andes, va faire l’objet de fouilles archéologiques subaquatiques dans les prochaines semaines, des recherches menées par le chercheur belge Christophe Delaere, codirecteur du projet nommé « Huiñaimarca » qui a été mis sur pied par le ministère de la Culture de Bolivie et l’Université Libre de Bruxelles. L’objectif est de rechercher différents emplacements côtiers précolombiens, en particulier les vestiges de la culture pré-inca Tiwanaku ou Tiahuanaco,(qui a évolué entre le Ve siècle et le XIe siècle) qui se trouve actuellement sous les eaux. 

    Le projet est prévu sur trois ans, il réunit des experts des deux institutions et a débuté en avril 2012 avec des prospections géophysiques. Depuis 2007, des recherches ont eu lieu à l’Université Libre de Bruxelles concernant l’un des sites cérémoniels les plus importants d’Amérique du Sud, à savoir le Tiwanaku, les monuments de Tiwanaku sont des exemples exceptionnels de l’architecture et de l’art cérémoniel et public d’une des manifestations les plus marquantes des civilisations de la région andine. Or, il est désormais évident que les périodes d’apparitions, d’évolutions, de modifications et de détériorations des zones résidentielles et cérémonielles de ce lieu concordent avec les modifications climatiques et les oscillations du niveau du lac Titicaca qui se trouve à environ 12 km du précieux site archéologique inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis l’année 2000.

    Source : actulatino

     

    Le lac Titicaca est un lac de la Cordillère des Andes traversé par la frontière entre la Bolivie et le Pérou. C'est le plus grand lac d'Amérique du Sud en volume d'eau et en longueur, mais pas en superficie (le lac Maracaibo couvre une superficie de plus de 13 000 km²). Il est aussi considéré comme le plus haut lac navigable du monde, mais ce n'est rigoureusement exact que si on limite cette acception aux navires commerciaux de grande taille.Le lac Titicaca tient son nom du rocher Titi Khar'ka (ce qui signifie en aymara « Roc du puma »), qui se situe sur l'Isla del Sol. Une autre hypothèse repose sur le nom Titijaya qui signifie « puma de pierre » en référence aux pumas noyés et transformés en statues de pierre selon une légende aymara , mais également "homme de cendre" , en effet les aborigènes qui vivaient autour de ce lac avaient pour coutume de brûler des hommes devant ce lac , pour les offrir au dieu Ayuma dieu de la vie et de la mort . L'Isla del Sol est le véritable centre de la mythologie inca. Le lac Titicaca s'étend sur environ 8 562 km², parmi lesquels 4 772 km² correspondent au territoire péruvien et le reste (3 790) à la Bolivie.

    Il est au centre d'un grand bassin ayant une superficie de l'ordre de 58 000 km², dont 10 983 en Bolivie. La superficie de son bassin versant appartient donc à plus de 80 % au territoire péruvien. On subdivise son bassin versant en 10 sous-bassins. Lui-même se décompose en deux parties, le lac majeur et le lac mineur, séparés par le détroit de Tiquina qui a une longueur de 900 m.Sa longueur est de 204 kilomètres, sa largeur de 65 kilomètres.Situé dans les Andes, à 3 812 mètres au-dessus du niveau de la mer, il a une profondeur moyenne de 107 mètres et une profondeur maximale de 327 mètres.

    Plus de vingt-cinq rivières se jettent dans le lac. Le lac compte quarante et une îles dont certaines sont habitées.

    Le volume d'eau contenu est de 893 km³ (soit 893 milliards de mètres cubes). Ses eaux bleues sont de l'eau douce.

    La longueur totale de ses rives est de 1 125 kilomètres. Les principales villes riveraines sont Puno au Pérou et Copacabana en Bolivie. Source : wikipedia

     

    Le mystère de la cité de TIAHUANACO

    La cité de Tiahuanaco se trouve au Sud-Est du plus mystérieux de tous les lacs : le lac Titicaca. Il se situe à 3 800 mètres d’altitude, couvre une superficie de 6 900 Km2 et mesure environ 220 Km sur 110. Certaines profondeurs dépassent les 300 mètres. C’est l’un des rares lacs à être visible de l’espace.

    L’histoire du lac Titicaca est assez extraordinaire. Il semblerait qu’il y a plus de cent millions d’années, une grande quantité d’eau de l’océan Pacifique a été isolée en plein milieu de la cordillère des Andes, par des bouleversements géologiques de remontées de terrain qui sont à l’origine de la formation de l’Amérique du Sud. Piégées dans cette mer intérieure, énormément d’espèces animales et végétales marines, ont continué leur évolution en dehors de leur berceau originel : l’océan Pacifique.

    Dans la région, on trouve énormément de coquillages fossilisés. De plus, les pêcheurs remontent régulièrement des spécimens de la faune marine océanique, comme des hippocampes et diverses espèces d’Allorquestes (hyalella inermis, etc…), ce qui est fort surprenant pour un lac d’eau douce, à presque 4 000 mètres d’altitude.

    En effet, jadis, Tiahuanaco était un ancien port situé sur les rives du lac Titicaca. Seulement voilà, les ruines se situent à 18 km au Sud du lac et à 30 mètres plus haut que les côtes actuelles. Les bouleversements géologiques progressifs récents peuvent expliquer cette bizarrerie, mais pas dans un laps de temps aussi court, car d’après les historiens, le site n’aurait pas plus de 1 500 ans officiellement. D’autres éléments attestent d’une origine beaucoup plus ancienne que la version officielle.

    Sur le site de Tiahuanaco, dans l’angle Nord-Ouest d’une structure nommée Kalasasaya, se trouve la porte du soleil. Sur la frise du linteau de ce monolithe (largeur : 3,75 mètres, hauteur : 3 mètres, épaisseur 50 cm) pensent plus de 10 tonnes, figure des animaux étranges. Par exemple, on peut identifier un éléphant, qu’on n’a jamais rencontré sur le continent américain. Seul existait des Cuvieronius, espèce préhistorique proche de l’éléphant, mais dont l’extinction date de 10 000 ans avant JC. Ce n’est pas le seul cas...(>...) Source : fargin

      Qiandao Lake (Chine)

    Qiandao Lake ou le lac des Mille-Îles est situé dans le Zhejiang, en Chine, à environ 150 kilomètres de la ville de Hangzhou. C’est un lac artificiel formé après l’achèvement de la centrale hydroélectrique de la rivière Xin’an. En 1959, afin de construire le réservoir Xin’anjiang la vallée a été inondée avec de l’eau résultant dans un lac ou un réservoir 573 km carrés et d’une capacité de stockage de 17,8 kilomètres cubes. Le lac est appelé  ainsi parce qu’ il est parsemé de 1.078 grandes îles et quelques milliers de plus petites.

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      Le lac Qiandao, connu pour son eau claire, et parfois potable, est utilisé pour produire la célèbre  marque d’eau minérale Spring Nongfu. Il est également le foyer de forêts luxuriantes (plus de 90%), et d’îles exotiques. Ces derniers temps, il a été transformé en un lieu touristique avec des îlots thématiques qui incluent l’île aux oiseaux, Snake Island, Monkey Island, l’île Lock (avec la  soi-disant plus grande écluse au monde), et l’île qui vous rappelle votre enfance.

    Source : investigationsoanisetoceanographiee  

      

     VOIR AUSSI ces sujets sur des mystérieuses cités antiques : 

    Puma Punku, cité mégalithique de Bolivie 

    Tiahuanaco

    Nan-Madol 

    Atlantide, monde disparu 

    Abydos et l'Oseirion 

    La pyramide Bosniaque du soleil 

    Le palais géant de Huashan 

    Les mystères du plateau de Giseh

    Des artefacts déroutants 

    La porte des étoiles existe bien !

      

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