• Les bâtisseurs de l'impossible - 2.

    LES BÂTISSEURS de L'IMPOSSIBLE - Page N°2

    Voir aussi la page N°1

     Des mégastructures incroyables de précision se trouvent dans la monde entier, mais surtout en Amérique du Sud ! 

    Technologie inconnue de nos jours, pouvoirs psychiques, ou autre technique d'une civilisation très avancée..

    Plus les blocs sont découverts dans les couches profondes  du terrain,  plus ils ont un poids et une taille gigantesques.

     

    ÉGYPTE - Pyramide de Mykérinos

     Noter le même type de construction qu'au Pérou sur les photos ci-dessous... !  

    Ici le "coin" inclus dans les pierres...

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    Ici les "excroissances" sur les pierres de granit

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      AMERIQUE DU SUD

    Vallée de l'Urubamba - Pérou

    La Vallée sacrée des Incas ou Vallée de l'Urubamba est située dans les Andes du Pérou, près de la capitale de l'Empire Inca, Cuzco, et au-dessus de la ville sacrée de Machu Picchu. La vallée est généralement considérée comme incluant tout ce qui se trouve entre Písac et Ollantaytambo, parallèle à la rivière Urubamba (Vilcanota ou Willcamayo), la rivière sacrée qui traverse cette vallée. Elle est alimentée par les nombreuses rivières qui descendent des vallées et gorges attenantes et regroupe de nombreux sites archéologiques et villages. La vallée était autrefois appréciée par les Incas pour ses caractéristiques géographiques et climatiques. C'était un des principaux points pour l'extraction de richesses naturelles, et on y retrouvait la plus grande production de maïs du Pérou. Source : wikipedia

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    Culture Wari , Quinua, Huanta Province, Ayacucho Region, Pérou

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     Cumbermayo Cajamarca Pérou

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     Cumbemayo ou Cumbe Mayo est un site archéologique situé à 20 kilomètres au sud-ouest de la ville de Cajamarca au Pérou, à 3 500 mètres d'altitude. Construit autour de 1500 avant JC, il comprend des aqueducs, une grotte et des pétroglyphes; tous dans une zone de formations rocheuses.

    Ci-dessous : l'aqueduc

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    Excroissances  à Quenco - Pérou

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     Qenko (mot quechua signifiant Labyrinthe ou zig-zag) est un sanctuaire inca située à six kilomètres au nord de la ville de Cuzco au Pérou. Faisant partie de la Vallée sacrée, le site culmine à 3 580 mètres d'altitudes.

     Le site de Qenko, ou Keno, est divisé en deux parties : El Grande situé au pied de la route reliant Sacsayhuamán à Pisac, et El Chico qui se trouve à 350 mètres à l'ouest du dernier, sur la colline. Ce sanctuaire est situé sur ce qui est maintenant connu sous le nom de la colline Socorro et couvre une superficie d'un peu plus de 3 500 mètres carrés. À l'époque de l'Empire inca, Qenko était un centre dédié aux culte et aux rites, son amphithéâtre semi-circulaire et ses galeries souterraines présentant un intérêt particulier.Le nom original de ce sanctuaire est inconnu et les conquistadors espagnols lui ont donné le nom de Q'inqu, mot quechua signifiant « labyrinthe » à cause des nombreuses galeries souterraines et des petits canaux en forme de zig-zag gravés sur les rochers qu'il contient.Ce monument est souvent qualifié d'amphithéâtre, ayant une construction semi-circulaire. En fait le but de cette construction, qui pouvait être utilisée aussi bien comme autel, tribunal ou tombe est ignoré. Il est présumé qu'il était l'un des sanctuaires les plus importants qui existaient à l'époque inca.Les canaux gravés qui se rejoignent tous vers le centre sont également intriguant. Il est supposé que des adorateurs s'y prosternaient pour adorer Inti le dieu soleil ou Pachamama la déesse de la Terre. Source : wikipedia

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    Pisac - Pérou 

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     Le village de Písac (qui s'écrit aussi Pisaq) est le chef-lieu du district de Pisac dans la province de Calca, Région de Cuzco au Pérou. Le village est situé à 2 972 m d'altitude et à 33 km de Cuzco, la capitale régionale.

    Le district a une superficie de 148,25 km2 et sa population était estimée à 9 769 habitants en 2002.

    On y accède par la vallée du Vilcanota au sud-ouest du district. Le district occupe un bassin versant adossé à la cordillère Urubamba. Source : wikipedia

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     Sacsayhuaman - Pérou

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     Sacsayhuamán (mot quechua signifiant « rapace content » ou « repu ») est une forteresse inca située à deux kilomètres de la ville de Cuzco au Pérou. Construite à l'origine dans un but défensif, la forteresse se trouve à 3 700 m d'altitude. Elle a la forme d'une tête de puma, animal sacré dans la tradition inca. 

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    Marques dans la pierre...

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    Roche "ramollie" - Sacsayhuaman 

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    Sacsayhuaman, Peru                                               Kerameikos, Athènes Grèce                    

     

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     Ce motif en zig zag de retrouve sur la pierre ci-dessous à Quenco ! 

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    Excroissances  à Sacsayhuaman - Pérou 

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    Silustani - Pérou

     Le site de Silustani, se situe sur une presqu'île du lac Umayo, à 35 Km au nord ouest de Puno. Erigé à plus de 4000 mètres se site est une ancienne nécropole de l'époque Colla.

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    VILLA QUENUANI, CUTURAPI, PEROU (Lac Titicaca)

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     TIAHUANACO - Bolivie (voir la page)

    La civilisation de Tiwanaku (en aymara, ou Tiahuanaco, nom de la ville moderne en espagnol), est une civilisation pré-inca qui a dominé la moitié sud des Andes centrales entre le Ve siècle et le XIe siècle. La civilisation de Tiwanaku a pris naissance sur la rive sud du lac Titicaca, à plus de 3 800 mètres d'altitude, aux environs du site archéologique de la Cité du Soleil de Tiahuanaco. Son extension maximale est mal connue, mais les recherches archéologiques témoignent d'une expansion sur de vastes territoires en direction du sud et du sud-est du lac Titicaca. Ces régions correspondent à l'actuel nord du Chili et à l'ouest de la Bolivie. Source : .wikipedia.

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     Pour les murs du Pérou, à Sacsayhuamán, des analyses ont été effectuées sur les blocs de calcaire (car il y a en fait plusieurs type de roche, pas que de l'andésite). Il a été démontré, par l'Institut de tectonique et de géophysique de l'Académie des sciences russe, que sur ces blocs de calcaire ont été soumis à des températures supérieures à 900°C, et peut-être jusqu'à 1100 °c, entre le moment de leur extraction et celui où ils ont été placé dans la muraille. Source :   isida-project.ucoz

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    PUMA PUNKU -  TIAHUANACO - BOLIVIE  (voir plus de photos sur la page)

     Pumapunku est un vaste complexe cultuel situé à Tiwanaku en Bolivie. En aymara, le nom Puma Punku signifie « la Porte du puma ». Elle est située près de la rive sud-est du Lac Titicaca, sur le plateau andin à une altitude de 3 800 mètres.

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    Puma -Punku

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    Des roches découpées avec une extrême précision....

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     Pyramide de Puma-Punku 

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     Samaipata - Bolivie

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     Macchu Picchu - Pérou - (voir la page)

     Machu Picchu (du quechua machu : vieille, et pikchu : montagne, sommet est une ancienne cité inca du XVe siècle au Pérou, perchée sur un promontoire rocheux qui unit les monts Machu Picchu et Huayna Picchu sur le versant oriental des Andes centrales. Son nom aurait été Pikchu ou Picho..

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    Textes intéressants

    ''La civilisation de la Première Race s'avère intéressante : ils avaient des villes énormes (non pas d'une Matière purement Physico-chimique, dans le sens où nous l'entendons, mais ils construisaient plutôt avec une MATIÈRE SEMI-PHYSIQUE, SEMI-ÉTHÉRIQUE), des temples majestueux, extraordinaires.

    Ce n'était pas une Matière inerte ou dure, comme celle que nous avons maintenant, mais une matière élastique, plastique, psychique, spirituelle. C'était un autre type de Matière. Toute la Terre était, pour ainsi dire, Protoplasmique, d'une très belle couleur bleue intense ; les montagnes étaient transparentes comme le cristal ; elles étaient ravissantes...

    Cette Humanité Divine vivait à l'ÉTAT PARADISIAQUE, au-delà du Bien et du Mal.''
    La Doctrine Hermétique - La Cosmogonie des 3 Mondes:  janpeterdejong

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     ''...la marche descendante de la manifestation, et par conséquent du cycle qui en est une expression, s’effectuant du pôle positif ou essentiel de l’existence vers son pôle négatif ou substantiel, il en résulte que toutes choses doivent prendre un aspect de moins en moins qualitatif et de plus en plus quantitatif; et c’est pourquoi la dernière période du cycle doit tout particulièrement tendre à s’affirmer comme le «règne de la quantité». Du reste, quand nous disons qu’il doit en être ainsi de toutes choses, nous ne l’entendons pas seulement de la façon dont elles sont envisagées au point de vue humain, mais aussi d’une modification réelle du «milieu» lui-même; chaque période de l’histoire de l’humanité répondant proprement à un «moment cosmique» déterminé, il doit nécessairement y avoir une corrélation constante entre l’état même du monde, ou de ce qu’on appelle la «nature» au sens le plus usuel de ce mot, et plus spécialement de l’ensemble du milieu terrestre, et celui de l’humanité dont l’existence est évidemment conditionnée par ce milieu. Nous ajouterons que l’ignorance totale de ces modifications d’ordre cosmique n’est pas une des moindres causes de l’incompréhension de la science profane vis-à-vis de tout ce qui se trouve en dehors de certaines limites; née elle-même des conditions très spéciales de l’époque actuelle, cette science est trop évidemment incapable de concevoir d’autres conditions différentes de celles-là, et même d’admettre simplement qu’il puisse en exister, et ainsi le point de vue même qui la définit établit dans le temps des «barrières» qu’il lui est aussi impossible de franchir qu’il est impossible à un myope de voir clairement au delà d’une certaine distance; et en fait, la mentalité moderne et «scientiste» se caractérise bien effectivement, à tous égards, par une véritable «myopie intellectuelle».'' Les développements auxquels nous serons amené par la suite permettront de mieux comprendre ce que peuvent être ces modifications du milieu, auxquelles nous ne pouvons faire présentement qu’une allusion d’ordre tout à fait général; peut-être se rendra-t-on compte par là que beaucoup de choses qui sont regardées aujourd’hui comme «fabuleuses» ne l’étaient nullement pour les anciens, et que même elles peuvent toujours ne l’être pas davantage pour ceux qui ont gardé, avec le dépôt de certaines connaissances traditionnelles, les notions permettant de reconstituer la figure d’un «monde perdu», aussi bien d’ailleurs que de prévoir ce que sera, tout au moins dans ses grands traits, celle d’un monde futur car, en raison même des lois cycliques qui régissent la manifestation, le passé et l’avenir se correspondent analogiquement, si bien que, quoi qu’en puisse penser le vulgaire, de telles prévisions n’ont pas en réalité le moindre caractère «divinatoire», mais reposent entièrement sur ce que nous avons appelé les déterminations qualitatives du temps.

    (René Guénon, Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps, Chapitre V : Les déterminations qualitatives du temps, p.42-48).

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     Photo Jamie Janover

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     L'Amérique Andine du Machu Picchu a vu arriver sur ses terres un homme dont on ne sait pas grand chose. Ce qu'on sait cependant, c'est qu'on l'appelait Viracocha, ou Tikki Viracocha, et qu'il était venu en tant que civilisateur. Dans les mythes anciens qui le mentionnent figurent aussi les écrits liés au déluge. Ceci n'étant pas sans rappeler Jésus et le Déluge de la Bible, pourrions-nous etre face au meme personnage? Les similitudes sont telles qu'il serait presque cavalier de penser que nous affaire á 2 personnes distinctes. D'autant plus qu'Osiris est lui aussi représenté dans les textes égyptiens comme une etre d'exception, Dieu sur la Terre, venu apporter connaissances et civilisations. Dans cet épisode, je parlerai de Viracocha et nous tentons de voir ce qu'il en est dit. SOURCE ET SITE

    Ollantaytambo - Pérou (voir la page)

     Ollantaytambo est une forteresse inca dont le nom signifie l'auberge d'Ollantay, du nom d'un guerrier. Elle fut le siège de combats acharnés entre Incas et Espagnols, Manco Inca s'y réfugiant pour tenter de fédérer la résistance inca après la chute de Cuzco.

    Elle est située à 75 km au nord-ouest de Cuzco au Pérou, à 2 792 m d'altitude. Elle se trouve au point de jonction de la vallée de l'Urubamba et d'un ravin latéral sur la droite.

    Excroissances à Ollantaytambo - Pérou

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    Moray est un ancien centre de recherche agricole inca situé dans la Vallée sacrée des Andes, à 3500 m au-dessus du niveau de la mer et à 50 km au nord-ouest de Cuzco, sur le territoire de l'actuel Pérou. Le site de Moray est situé à environ 7 km des salines de Maras.

     Chuquipalta, Vilcabamba, Province de la Convention (près de Cusco) - Pérou

    Ñusta Hispana, Ñusta Ispanan ou Chuquipalta est un site archéologique au Pérou. Il est situé à Vilcabamba, province de La Convención, région de Cuzco. Un rocher sculpté sur le site est connu sous le nom de Yurac Rumi. Hiram Bingham III découvrit le site le 9 août 1911.

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    District de Vilcabamba, Pérou

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    Temple de Coricancha - Cusco, Pérou

     Le Temple du Soleil ou Coricancha , littéralement, en quechua : « enceinte de l'or », représentait le lieu le plus sacré de l'empire des Incas. Noter la perfection des découpes sur les pierres...

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    Excroissances sur les pierres

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    Cusco - Pérou

       La piedra de los doce ángulos (la pierre aux douze angles) - Rue Hatun Rumiyoc à Cusco 

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    La pierre des 14 angles

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    Les serpents

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    Les angles

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    Temple de la Lune à Cusco (roche ramollie)

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    Du palais de l'empereur Inca Roca, il ne reste qu’un mur dans la rue Hatunrumiyoc qui se dresse comme une muraille de pierres polygonales ajustées à la perfection. Ce mur fait aujourd’hui partie du Musée de l'art religieux du palais archiépiscopal situé dans une rue qui rejoint la Plaza de Armas, en partant du quartier San Blas de Cusco.

    Amaru Hanan Pacha". à Chinchero - Cusco

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      Les mystérieux savoirs d’une civilisation disparue

    Comment ne pas être stupéfait par le génie architectural des pyramides de Gizeh en Égypte, du Machu Picchu au Pérou ou des Moaïs de l’île de Pâques ? Actuellement, des découvertes scientifiques, réalisées sur d’autres sites tout aussi intrigants, s’apprêtent à bouleverser l’histoire que nous raconte l’archéologie conventionnelle. 

    Selon Descartes, l’approche scientifique consiste à faire « table rase » et à « abandonner les croyances des choses qui ne sont pas entièrement certaines et indubitables afin de ne pas passer à côté d’une possibilité ». Alors, que savons-nous avec certitude de l’histoire de l’humanité ? Une suite de découvertes archéologiques et de déductions a amené les experts de notre société à poser quelques dates clés sur ce que l’on nomme la préhistoire humaine. De -10 000 à -6000 : mésolithique des derniers chasseurs- cueilleurs. Les hommes sont nomades, ils se déplacent pour se nourrir, chassent et pêchent. Ils construisent des abris légers, adaptés aux changements climatiques. Ils travaillent la pierre taillée et l’os pour fabriquer des outils. L’homme commence peu à peu à devenir chasseur, éleveur, pêcheur ou cultivateur. De -6000 à -2500 : néolithique des agriculteurs-éleveurs. Les premiers paysans introduisent l’agriculture et l’élevage. Ils abandonnent peu à peu un mode de vie nomade et deviennent sédentaires. Ils construisent des maisons, s’organisent en villages. Traditionnellement, l’invention de l’écriture, vers 3500 ans av. J.-C. en Mésopotamie, marque la fin de la Préhistoire et donc le début de l’Histoire.


    De nombreuses anomalies


     Pourtant, à contre-courant de ces datations, des scientifiques et chercheurs indépendants font entendre une voix dissonante. Ils avancent que des civilisations très évoluées auraient existé à la surface de la planète, à l’époque « antédiluvienne », c’est-à- dire avant le « déluge » décrit notamment dans la Genèse, il y a environ 12 000 ans. Bien que beaucoup de théories soient sujettes à caution, des découvertes récentes ont eu l’effet d’un pavé dans la mare pour l’ensemble de la communauté scientifique. Göbekli Tepe en Turquie est un ensemble monumental d’enceintes constituées de monolithes avec des bas-reliefs finement sculptés. Découvert en 1963 mais fouillé depuis 1995, il a la particularité d’avoir été volontairement enfoui sous terre à plusieurs reprises. La présence d’éléments organiques a donc permis sa datation au carbone 14 : les parties les plus profondes, donc les plus anciennes, ont – c’est une certitude – au moins 12 000 ans ! Ce qui en fait le plus ancien ensemble d’architecture monumentale en pierre jamais découvert à ce jour. Patrice Pouillard est réalisateur. Il parcourt le monde depuis une vingtaine d’années, en quête de réponses sur les mystères des constructions du passé, et s’apprête à présenter les fruits de son enquête dans son documentaire BAM – Bâtisseurs de l’Ancien Monde. L’historienne Bleuette Diot, qui intervient dans le film, affirme à propos de Göbekli Tepe que
    « L’humanité, à cette époque-là, ne savait même pas faire un vase en poterie. Ils étaient vraiment très archaïques, c’était les derniers chasseurs-cueilleurs. On n’était même pas dans le cadre de la sédentarité et ils sont arrivés à élever des piliers qui faisaient 16 tonnes. Cela demande déjà une coordination de tous les ouvriers, un maître d’oeuvre, des ouvriers spécialisés... » Des centaines de personnes auraient été nécessaires à sa construction, ce qui ne concorde pas avec l’idée de chasseurs-cueilleurs mobiles et en petits groupes. Quelles seraient les raisons de ces rassemblements ? Selon Klaus Schmidt, qui dirigea le chantier, les représentations nombreuses d’animaux indiquent qu’il doit s’agir du temple d’un culte chamanique : un lieu de culte d’une échelle sans précédent..
    Détail du Machu Picchu où les pierres les plus récentes sont plus instables et grossières.
     Le philosophe de l’anthropologie symbolique Fernand Schwarz va plus loin et avance que ces constructions sont la preuve que la spiritualité est une des composantes primordiales de la « nature humaine ». La religion aurait poussé les hommes à se regrouper, à se sédentariser et à inventer l’agriculture, et non l’inverse, ce qui réécrirait l’histoire. Et si ce site était en fait l’empreinte d’une civilisation savante ? Une autre construction bouleverse la chronologie : celle de Gunung Padang, en Indonésie, découverte en 1914. On pensait qu’il s’agissait d’une colline naturelle avec à son sommet des structures mégalithiques sans doute vieilles de 2 500 ans, jusqu’à ce que Dany Hilman Natawidjaja, géologue senior au Centre de recherche pour la géotechnique à l’Institut indonésien des sciences, étudie le site dès 2011. Un équipement de pointe révèle ce qui se trouvait sous la terre : une pyramide à degrés, haute de 110 mètres, utilisant les mêmes éléments de basalte colonnaire que ceux se trouvant à la surface. À 30 mètres sous le sol, les datations au carbone indiquent qu’ils ont été mis en place il y a plus de 10 000 ans ! « Les gens pensent qu’à l’âge préhistorique l’homme était primitif, mais ce monument prouve le contraire », annonce le géologue. Ces sites ouvrent une brèche : pourraient-ils remettre en question les datations d’autres sites mégalithiques ? Sans présence d’éléments organiques, impossible de dater les pierres : les chronologies établies sont donc souvent le fruit de déductions. 

    Merveilles d’architectures, fascinante Égypte
     Plusieurs sites mégalithiques ont une étonnante particularité : les vestiges les plus anciens sont plus massifs et mieux construits, tandis que les ajouts récents sont petits et de moindre qualité. Patrice Pouillard, pour la réalisation de son documentaire Les Bâtisseurs de l’Ancien Monde, a étudié différents lieux avec l’appui scientifique d’Érik Gonthier, préhistorien et géologue.

    Plus de 27 millions de km2 de terres auraient été anéantis par un cataclysme.
     Ainsi, au Machu Picchu, ce dernier constate que les pierres les plus anciennes, celles au bas des constructions, sont assemblées sans ciment, avec des formes polygonales complexes, et ajustées au millimètre ; à l’inverse les plus récentes sont petites, rectangulaires et instables. Le spécialiste note que certains blocs ne sont pas disposés de façon aléatoire, mais ordonnés en miroir. Étrangement, bon nombre d’entre eux ont la particularité d’être construits sur des zones très sensibles aux tremblements de terre, et cette incroyable architecture leur permet de résister aux séismes, comme le confirment les experts.

     On retrouve ce modèle ailleurs au Pérou, à Ollantaytambo ou Saqsayhuaman, mais aussi en Égypte, au temple de la Vallée, où chaque pierre du mur d’enceinte pèse entre 200 et 400 tonnes. Göbekli Tepe, en Turquie, ne fait pas exception. Après que le premier site a été volontairement enfoui, ses successeurs ont ajouté des éléments, de piètre qualité comparativement à l’édifice originel. Enfin, entre autres déclinaisons, Ahu Vinapu est le site le plus ancien de l’île de Pâques, et aussi le mieux construit, avec ses gigantesques pierres taillées. D’autres, plus récents, plus petits, trahissent une qualité de construction moindre, et ont fini par s’effondrer... 

     GRANDE PYRAMIDE Le nombre d’or

     Les dimensions de la grande pyramide de Gizeh ne semblent pas relever du hasard. On retrouve le nombre d’or (Phi) et Pi déclinés un grand nombre de fois dans le rapport entre ses proportions. À titre d’exemple, la surface des quatre faces divisée par celle de la base donne Phi. En divisant le demi-périmètre par la hauteur totale, on trouve encore le nombre d’or, mais au carré… On retrouve également le nombre sacré dans les dimensions de la chambre du roi. Cette dernière a pour autre particularité d’être le seul élément de la pyramide à être constitué de dalles de granit, dont la résistance permet de conserver ses dimensions dans le temps. Enfin, tout comme certaines grottes du site de Barabar (Inde), elle résonnerait à la fréquence de 528 Hz. Pourquoi de telles caractéristiques ? Pourrait-on imaginer que la pièce ait eu une autre fonction que celle qu’on lui prête, un savant mécanisme énergétique ?
    Retournons en Égypte, sur le site des pyramides de Gizeh (-2500). La grande pyramide impressionne, avec ses 230 mètres de côté, 140 mètres de hauteur et deux millions de blocs assemblés, pesant chacun plusieurs tonnes. Pourtant, aucun texte ne décrit sa construction. À ce jour, on ne sait pas quels outils ont été utilisés, et les méthodes de construction sont purement spéculatives. Au temple de Louxor, certains ouvrages, comme de gigantesques têtes sculptées, étonnent par leur précision. Christopher Dunn, ingénieur, traque l’outillage des Égyptiens depuis 20 ans. D’après lui, celui retrouvé dans les fouilles archéologiques ne permet pas de réaliser les artefacts de cette période, telle une tête de granit attribuée à Ramsès II dont la symétrie frôle la perfection, au tiers de millimètre près. Certaines techniques ou certains outils de construction ont-ils disparu de nos radars ? Graham Hancock, journaliste et écrivain spécialiste des civilisations disparues, explique que dans le cas de l’Égypte, « la période de transition entre un stade de développement primitif et une société paraît si courte qu’elle peut être tenue pour négligeable », et que « des savoir-faire technologiques dont l’acquisition aurait dû normalement prendre plusieurs centaines, voire plusieurs milliers d’années furent mis en oeuvre presque du jour au lendemain – et, apparemment, sans antécédent d’aucune sorte ». Pourrait-on alors envisager que les Égyptiens aient reçu un héritage, celui de mystérieux savoirs leur permettant de construire ces monuments avec des techniques encore inconnues ? À moins qu’ils ne soient pas les auteurs des pyramides, mais simplement leurs héritiers ? 

    Des traces d’un même savoir à travers le monde
     Pour Robert Schoch, professeur agrégé de sciences naturelles, le sphinx de Gizeh serait bien plus ancien que communément admis et daterait d’une période entre 5000 et 10 000 av. J.-C. Selon lui, des traces d’érosion visibles sur ses flancs seraient principalement dues aux effets de l’eau, indiquant qu’une catastrophe aurait effacé toute trace de cette civilisation : « Sur le corps du sphinx et les murs qui se trouvent autour, j’ai trouvé des traces importantes d’érosion et ma conclusion est qu’elles n’ont pu être causées que par des pluies très intenses. Pourtant, le sphinx est assis en bordure du désert Sahara et la région est aride depuis 5 000 ans », indique-t-il. Cette pluie intense rappelle le déluge dont il est question dans de nombreux mythes. À l’époque de Sumer (- 3300), l’épopée de Gilgamesh raconte que dans un passé lointain, les dieux en colère contre l’humanité auraient créé une gigantesque inondation détruisant tous les hommes à l’exception de quelques-uns, préservant les « germes » des civilisations futures. En Mésopotamie (IIIe siècle av. J.-C.) il est dit qu’après qu’une civilisation a périclité suite à une inondation cataclysmique, le dieu Oannes serait sorti de la mer pour enseigner aux Babyloniens l’écriture, les sciences et les principaux arts. Les représentations le montrent souvent avec une sorte de « panier » dans la main.
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    Göbekli Tepe, au sud-est de l’Anatolie en Turquie.
     Graham Hancock note que les mêmes types de paniers sont sculptés sur les bas-reliefs de Göbekli Tepe... On retrouve aussi ce motif dans la main d’une divinité d’Amérique centrale, qui prendra plus tard le nom de Quetzacòatl, apporteur de la civilisation… Comme si d’un bout à l’autre de la Terre, il y avait eu, à un moment, une influence commune. Si aucun écrit ne fait référence à l’Atlantide en Égypte, des prêtres auraient fait graver une histoire sur les murs du temple d’Edfou, ainsi que le décrit G. Hancock : « Les prêtres de cette époque, vers 330 av. J.-C., ont hérité des archives des temples précédents. Au milieu de ces archives, écrites sur des peaux d’animaux très abîmées et tombant en pièces, se trouvait l’histoire d’un temps où « les dieux » vinrent en Égypte après la destruction de leur région d’origine qui était une île ! Ils apportèrent le don de la civilisation. » (...)

    Source : inrees

     

     

     ILE DE PÂQUES

    Les bâtisseurs de l'impossible - 2 Les bâtisseurs de l'impossible - 2

    Les bâtisseurs de l'impossible - 2 Les bâtisseurs de l'impossible - 2

    Les bâtisseurs de l'impossible - 2

     

    Les bâtisseurs de l'impossible - 2 

    Les bâtisseurs de l'impossible - 2

    Les bâtisseurs de l'impossible - 2

     

    PUNO

    À Puno, au Pérou, nous avons trouvé ces formes étranges et mystérieuses aux proportions énormes qui ne peuvent être vues que par des avions légers ou des images satellites. L'origine ou la culture qui l'a construit ainsi que son antiquité sont inconnus. Bien que certaines images nous rappellent "l'oeil de Dieu", l'image circulaire trouvée dans Caral-Supe (5 500 après JC) représente l'Illa Teqsi (Le dieu des Incas), où le "cercle intérieur ou oeil" représente "L'œil de Dieu" "et le cercle concentrique représente la" réalité phénoménale ", c’est-à-dire l’Univers ou Kawsay Pacha" Cosmos Vivant ". Ces images sont situées sur des pampas actuellement utilisées comme champs par les agriculteurs de Puno. Source :  silvia.kliche

    Les bâtisseurs de l'impossible - 2.

    La technologie du LIDAR  (voir la page)

     En début d’année 2018, les résultats d’une cartographie utilisant la technique du LIDAR au Guatemala ont révélé plusieurs dizaines de milliers de vestiges Mayas enfouis sous une épaisse jungle. Avec la découverte de 60 000 structures archéologiques, la publication des premiers résultats LIDAR avait fait grand bruit en début d’année 2018. Après la mise à jour récente, voici les nouveaux détails disponibles.

     

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