• Les cités souterraines

    Lieux énigmatiques

    LES CITÉS SOUTERRAINES

    De nombreuses cités souterraines existent dans le monde. Certaines ont eu pour vocation de se cacher des envahisseurs, d'autres sont plus énigmatiques, en rapport de leur construction, et des moyens employés, ou même de l'origine de leurs habitants. En voici quelques-unes.... 

    1- La cueva de los Cien Pilares - Arnedo - La Rioja - Espagne

    Les cités sous-terraines 

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    Noter comme des traces de "griffures" sur le mur et les alvéoles...? A quoi cela servait-il ?

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    Source : lariojaturismo

      

    2 - Tierra Dentro - Colombie

    Le Parc national archéologique de Tierradentro est situé au sud-ouest de la Colombie dans la zone centrale de la Cordillère des Andes, dans la ville d’Inzá, dans le département de Cauca. Quatre secteurs répartis sur quelques kilomètres carrés composent le parc archéologique : Alto de San Andrés, Alto de Segovia, Alto del Duende, et El Tablón. En outre, un autre site important, Alto del Aguacate est situé à l’extérieur des limites du parc. Le parc comprend tous les puits monumentaux et toutes les chambres mortuaires de la culture de Tierradentro, les tombes plus grandes et les plus élaborées en leur genre.

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     Le secteur a la plus grande concentration de tombes à fosse précolombiennes avec des chambres latérales – connues sous le nom d’hypogées – qui étaient sculptées dans le tuf volcanique sous les sommets des collines ou les crêtes des montagnes. Les structures mesurent jusqu’à 12 mètres de large et 7 mètres de profondeur. Elles ont été construites entre 600 et 900 de notre ère et ont servi de lieux secondaires d’enterrement collectif pour les membres de l’élite. Le degré de complexité atteint par l’architecture de ces tombes, avec leurs chambres qui ressemblent à l’intérieur de grandes maisons, est évident au vu de l’admirable sculpture en tuf des marches qui accèdent à un salon et à la chambre et de l’emplacement très judicieux des colonnes du cœur et du périmètre des pièces qui nécessite d’être déterminé avec beaucoup de minutie. Les tombes sont souvent décorées de peintures murales polychromes avec des motifs géométriques, zoomorphiques et anthropomorphiques élaborés de couleurs rouge et noire sur fond blanc. Les chambres des plus impressionnantes structures souterraines étaient également décorées de sculptures anthropomorphiques élaborées. La taille des plus petits hypogées varie de 2,50 mètres à 7 mètres de profondeur, avec des sols de forme ovale d’une largeur de 2,50 mètres à 3 mètres tandis que les chambres des plus grandes structures peuvent atteindre 10 à 12 mètres de large. Parmi ces chambres, les plus impressionnantes sont celles pourvues de deux ou trois colonnes centrales sur pied et de plusieurs pilastres décorés le long des murs avec des niches entre chaque pilastre.

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    Le symbolisme de la symétrie entre les maisons des vivants au-dessus du sol et les hypogées pour les morts sous le sol, obtenue au moyen d’un nombre limité mais judicieux d’éléments, n’est pas seulement porteur d’un sentiment esthétique mais évoque également une sensation puissante de l’importance de la nouvelle étape dans laquelle le défunt est entré ainsi que la continuité entre la vie et la mort, entre les vivants et leurs ancêtres.

    L’état actuel des connaissances archéologiques et anthropologiques suggère que ceux qui ont construit les hypogées (les tombes souterraines) habitaient sur les pentes et dans les vallées des montagnes de la région. Dans les vallées, ils ont établi de petits villages alors que sur les pentes des montagnes, les habitations étaient dispersées et proches des champs. Les sites d’habitation bâtis sur un plan ovale étaient construits sur des terrasses artificielles, elles-mêmes bâties au moyen de terre compressée. Les structures en bois des murs étaient remplies de torchis et les toits étaient couverts de chaume. 

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    Les habitations n’étaient pas divisées et il n’y avait qu’une seule zone pour faire du feu avec des bancs en bois pour dormir. L’ampleur des travaux souterrains et la manière dont les dépouilles étaient disposées à l’intérieur de l’hypogée indiquent qu’il s’agissait d’une société hiérarchisée dotée de structures politiques basées sur la présence de chefs disposant de fonctions sacerdotales. Les statues de pierre de la région de Tierradentro sont d’une grande importance. Elles sont sculptées dans une roche volcanique et représentent des figures humaines en position debout, les membres supérieurs posés sur la poitrine. Les figures masculines portent des coiffes à bandeaux, de longues étoffes et divers ornements tandis que les figures féminines portent des turbans, des blouses sans manche et des jupes. Les sculptures représentent également des félins et des amphibiens.

    Des tombes souterraines avec des chambres latérales ont été découvertes dans toute l’Amérique, du Mexique au nord-ouest de l’Argentine mais leur plus grande concentration se trouve en Colombie. Cependant, ce ne sont pas que leur nombre et leur concentration qui rendent ces tombes uniques, ce sont également leurs caractéristiques structurelles et internes.

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    Source :  aventurecolombia - .unesco

      

    3 - ELLORA CAVES - INDE

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     Trente-quatre monastères et temples ont été creusés en succession serrée dans la paroi d'une haute falaise basaltique, non loin d'Aurangabad, contribuant à faire revivre une brillante civilisation ancienne dans une séquence ininterrompue de monuments datables de 600 à 1000. L'ensemble d'Ellora est une réalisation artistique unique et un tour de force technique. Avec ses sanctuaires consacrés respectivement au bouddhisme, au brahmanisme et au jaïnisme, il illustre l'esprit de tolérance caractéristique de l'Inde ancienne.

    Source : .unesco

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    Dans cette vidéo, une visite non conventionnelle de ces grottes...qui ont été construites avant

    le temple se trouvant au dessus et dédié aux "dieux".

    Personne ne sait ce qu'il y a après ce point, car le tunnel est trop petit pour un être humain.

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    Comme vous pouvez le voir, il y a un tunnel rectangulaire d'un pied de largeur environ

    qui part verticalement

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    Un "petit" passage...pour une personne d'1 m de hauteur...- Où mènent ces mystérieux tunnels (qui sont très étroits)  ?

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    Des entrées souterraines, des puits...

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    Des trous très profonds...aération ?

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    Des trous dans le sol, sans explication logique...certains bouchés volontairement comme pour les cacher....

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    Que penser de cette fresque qui représente des Nagas ou des Dieux serpents reptiliens

    en train de faire quelque chose sous terre...ils se trouvent placés sous la statue de Bouddha.

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    Est-ce que ces petits êtres ont utilisé les tunnels étroits qui sont trop petits pour des êtres humains ?

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    Noter que les humains sont représentés au-dessus du niveau du sol, et les petits êtres reptiliens en-dessous ...

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    Noter à nouveau des marques de sortes de "griffures" sur le mur à droite...

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    Carte des " tunnels ou cités souterraines" dans le monde.

    On y retrouve les Ellora Caves,  Nazca, et d'autres endroits similaires.

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     3 - Derinkuyu - Turquie

    Derinkuyu, mot qui signifie « puits profond », est le nom d'une ville et d'un district de la province de Nevşehir, en Anatolie centrale (Turquie). Selon le recensement de 2000, le district comptait 24 631 habitants et la ville 11 092.

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    Située en Cappadoce, Derinkuyu est connue pour sa cité souterraine, la plus grande de Turquie.
    Des habitations souterraines existaient déjà à l'époque de Xénophon (Ve et IVe siècles av. J.-C.). Dans l'Anabase, il indique que des gens, en Anatolie, avaient creusé leurs maisons dans le sol et y vivaient dans des espaces suffisamment grands pour y loger leurs familles et leurs animaux et y stocker des vivres. Certains auteurs font remonter les premières excavations à l'époque hittite (XIIIe siècle av. J.-C.), mais il est plus généralement admis que la cité de Derinkuyu date de la domination phrygienne (VIIIe siècle av. J.-C.), et qu'elle fut agrandie progressivement au début de la période byzantine : tout ce qui y a été retrouvé date au plus tôt du Ve siècle apr. J.-C. Les vestiges les plus récents sont du Xe siècle.

    Les cités souterraines

    La cité servit de refuge aux premiers chrétiens grecs, face aux persécutions de l'Empire romain (édit de Dioclétien en 303) et, à partir du VIIe siècle, face aux persécutions des clans des Omeyyades et des Abbassides. Elle fut ouverte aux visiteurs en 1969, mais 10 % seulement de la cité leur sont accessibles. Les huit étages dégagés à ce jour atteignent une profondeur d'environ 85 mètres.

    Des habitations souterraines existaient déjà à l'époque de Xénophon (Ve et IVe siècles av. J.-C.). Dans l'Anabase, il indique que des gens, en Anatolie, avaient creusé leurs maisons dans le sol et y vivaient dans des espaces suffisamment grands pour y loger leurs familles et leurs animaux et y stocker des vivres. Certains auteurs font remonter les premières excavations à l'époque hittite (XIIIe siècle av. J.-C.), mais il est plus généralement admis que la cité de Derinkuyu date de la domination phrygienne (VIIIe siècle av. J.-C.)2, et qu'elle fut agrandie progressivement au début de la période byzantine : tout ce qui y a été retrouvé date au plus tôt du Ve siècle apr. J.-C. Les vestiges les plus récents sont du Xe siècle.

    Les cités souterraines Les cités souterraines

    La cité servit de refuge aux premiers chrétiens grecs, face aux persécutions de l'Empire romain (édit de Dioclétien en 303) et, à partir du VIIe siècle, face aux persécutions des clans des Omeyyades et des Abbassides. Elle fut ouverte aux visiteurs en 1969, mais 10 % seulement de la cité leur sont accessibles. Les huit étages dégagés à ce jour atteignent une profondeur d'environ 85 mètres. 

    La cité pouvait être fermée de l'intérieur par de grandes meules circulaires faisant office de portes. Elles avaient un diamètre de 1 à 1,50 m, une épaisseur de 30 à 50 cm et un poids de 200 à 500 kg. Chacun des 13 étages pouvait être fermé séparément.

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     L'espace était organisé autour de 52 cheminées d'aérations, qui, pour quatre d'entre elles, atteignaient une profondeur de 30 m  et servaient également de puits. Ceux-ci constituaient un point faible dans le système de défense : devant la difficulté de s'emparer de telles cités, certains envahisseurs tentèrent de les empoisonner. Comme les autres cités du même genre, celle de Derinkuyu comportait des lieux de culte, des pièces de stockage, des étables ou des bergeries, des pressoirs à vin et à huile, des cuisines, des réfectoires. Mais une vaste pièce voûtée au second étage (en partant du haut), qui servit semble-t-il d'école religieuse, est spécifique à Derinkuyu.

    Entre le troisième et le quatrième niveau, un escalier abrupt mène à une église cruciforme de 10 × 25 m et 2,5 m de hauteur.

    Tous ces aménagements et la grande dimension de la cité permettaient d'abriter jusqu'à 20 000 personnes, mais étaient conçus pour accueillir 3000 personnes en moyenne pour de longues durées.

    Un tunnel, qui part du troisième étage, rejoignait probablement la cité souterraine de Kaymaklı, distante de 9 km.

    Sur les collines avoisinantes se trouvaient des guérites, dont ne subsistent que des fondations, à partir desquelles on pouvait observer les alentours et donner l'alerte au besoin.

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    Les autres cités souterraines en Turquie

    Plus de 200 cités souterraines d'au moins deux niveaux ont été découvertes en Cappadoce. 36 d'entre elles comportent trois niveaux ou davantage et cinq sont accessibles aux visiteurs. Parmi ces dernières, Derinkuyu est la plus grande. La seconde par la taille est celle de Kaymaklı, puis viennent Özkonak (découverte en 1972 près d'Avanos), Tatlarin et Saratlı (près d'Aksaray). Mazı Küyü (d'accès difficile mais en cours d'aménagement) et Güzelyurt, mieux connue sous son ancien nom Gelveri, valent également d'être mentionnées.

    Source : wikipedia

     

     

     4 - Les grottes de Longyu en Chine

     Les grottes de Longyou furent récemment découvertes par un villageois en 1992. Elles sont situées près du village de Shiyan Beicun près de la rivière Lan. Ces grottes sont devenues une grande attraction dans la région.

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    Un total de 24 grottes non reliées sont un grand mystère car elles ne sont pas naturelles mais creusées de la main de l’homme. Il aura fallu creuser et retires plus d’un million de mètres cubes de pierres et il n’existe aucun documents sur cet ouvrage qui a dû demander énormément de main d’œuvre.

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    Elles sont datées de 300 avant J.C. et il ne peut s’agir que des travaux pour un empereur. Certaines grottes sont hautes de 30 mètres. Un endroit insolite. Source : info-asie

    Noter ces marques d'outil de grande envergure sur les murs !

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    Des tunnels entre l'Ecosse et la Turquie

     5 -  Chavín de Huántar - Pérou

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    Chavín de Huántar est un site archéologique situé à 3 200 m d'altitude dans les Andes à 450 km au nord de Lima, qui contrôlait les routes commerciales vers l'ouest jusqu'au Pacifique à travers deux cols dans la cordillère Blanche vers l'est jusqu'à l'Amazonie.

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    Le site fut découvert par l'archéologue péruvien Julio Tello. Il permet la reconnaissance, dans les années 1920-1930, de l'originalité de la culture Chavín, à partir de l'étude du site éponyme. Vers 900 av. J.-C., le culte du Jaguar de Chavín et son influence étaient acceptés dans la plus grande partie de ce qui est le Pérou d'aujourd'hui.

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    Chavín de Huántar fut initialement construit par la civilisation de Chavín, une culture pré-Moche aux environs de 900 av. J.-C.. Le site comporte deux structures principales, le vieux temple et le nouveau temple. Le vieux temple avait une structure en U orientée vers l'intérieur avec une cour centrale. La cour comportait des obélisques et des monuments en pierre ornés de bas-relief représentant des jaguars, des caïmans, faucons et diverses formes anthropomorphiques. L'intérieur du temple contenait un dédale de corridors, de chambres et de conduites d'eau.

    Le nouveau temple, construit entre 500 et 200 av. J.-C., contient aussi de nombreuses sculptures et est plus massif. Un escalier mène à un palier ayant une cour étroite. Des passages cachés et des plateformes permettaient aux prêtres d'apparaître miraculeusement au-dessus de leur assistance. L’influence de Chavin est importante sur deux grandes cultures : Paracas à Ica et Pucará dans l'Altiplano.Le site fait partie de la liste du patrimoine mondial.

    Source : wikipedia

      5 -    L'Hypogée de Hal Saflieni à MALTE

     L’Hypogée de Ħal Saflieni est à Malte, une grande structure creusée dans le sol et comportant de multiples chambres ou salles. À la fin du XIXe siècle, le développement des chantiers navals militaires attire dans la région de Paola près de Marsa nombre de cultivateurs qui veulent devenir ouvriers. Les constructions se multiplient dans une zone appelée alors Tal-Għerien (les grottes en maltais), ce qui laisse supposer une connaissance populaire ancienne.

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    En 1902, en creusant une citerne à Paola, des ouvriers découvrent une cavité qu'ils s'empressent de consolider pour éviter tout effondrement (ces travaux sont encore visibles aujourd'hui). Mais cette cavité n'a pas les apparences d'une grotte ordinaire. Rapidement, le comité directeur du Museum mandate le père jésuite Manwel P. Magri qui décide d'excaver le deuxième niveau (le niveau supérieur étant à ce moment-là en propriété privée). Les équipes d'ouvriers, qui déblayèrent le site, en dispersèrent les ossements rendant impossible toute interprétation des rites éventuels d'inhumation.

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    Les travaux n'étaient pas terminés lorsque, en 1907, le père Manwel Magri est envoyé en mission à Sfax où il décède sans avoir rédigé le rapport de ses fouilles. C'est un professeur en médecine Themistocles Zammit, qui travaillait avec Magri depuis 1905, qui prend sa succession et continue les fouilles jusqu'en 1911.

    La découverte fortuite de l'hypogée est comme le coup d'envoi de l'archéologie dans l'archipel, grâce à Themistocles Zammit. Si Magri est le pionnier, Themistocles Zammit sera considéré comme le père de l'archéologie maltaise. La décision d'ouvrir le site au public est prise en 1908.

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    En 1952, les fouilles sont reprises par John Davies Evans. En 1980, l'Unesco classe l'hypogée de Ħal Saflieni au patrimoine mondial de l'humanité4. En 1990, Anthony Pace, Nathaniel Cutajar et Reuben Grima constatent une dégradation du site et en 1991, le site est fermé au public jusqu'en 2000, période pendant laquelle il est complètement réaménagé et placé sous atmosphère contrôlée.

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    Le site comporte une cinquantaine de salles sur environ 2 500 m2 réparties sur quatre niveaux. Le niveau du sol primitif, avec la restauration de l'entrée de l'hypogée, le premier niveau, environ à - 3 m, comprend les premières chambres datées de la phase Żebbuġ (4 100-3 800 av. J.-C.) et les agrandissements de la phase Ġgantija (3 600-3 000 av. J.-C.). Le deuxième niveau, à environ - 6 m, avec les plus belles salles puis le troisième niveau, à un peu plus de - 10 m, datent de la phase Tarxien (3 000-2 500 av. J.-C.)7.

    Source : wikipedia

    La différence entre une pyramide, un mastaba et une hypogée

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