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Ovnis, témoignages exclusifs
Mystères des ovnis
EXCLUSIF: JEAN-PIERRE CHAPEL TÉMOIGNEEn exclusivité et avec l'aimable autorisation du Président de la commission Sigma de l'Association Aéronautique et Astronautique de France
A la suite des articles consacrés aux PAN, et à l’occasion de la disparition de Jean-Pierre CHAPEL, voici un témoignage de ce grand commentateur paru dans le livre de Jean-Claude BOURET, «Le nouveau defi des OVNIS », retrouvé sur la Toile (http://www.forum-ovni-ufologie.com/declarations-des-politiques- astonautes-scientifiques-et-militaires-f66/celebritejean- pierre-chapel-specialiste-des-questions-spatiales-a-latele- t2283.htm)
Jean-Pierre Chapel, tous les Français le connaissent. Spécialiste des questions spatiales à la télévision, il a maintenant une activité plus terre à terre: les autos et les motos.
A la fin de l'année 1975, par hasard, je demandais à Jean- Pierre Chapel s’il avait étudié le dossier OVNI :
– Mais tu sais que j’ai été témoin!
– Tu plaisantes.
– Pas du tout, j’ai vu un OVNI, et dans des conditions exceptionnelles.
– Raconte!
– Eh bien, cela s’est passé en avril 1963 au Sahara, près de la base d’Hammagir. J’étais journaliste à Europe 1 à l’époque et je m’occupais déjà des questions spatiales. Je participais avec une équipe de techniciens et de militaires à un exercice de récupération de têtes de fusées. Nous étions partis en petit convoi, en tout une trentaine de personnes. « Un avion devait nous ravitailler en vol, un Junker 52 si mes souvenirs sont exacts. Vers 14 heures, un technicien désigne un point noir dans le ciel en criant: « Voilà l'avion ». Bon, nous avons tous continué à discuter sans prêter autrement attention à la tache. Mais au bout de dix minutes, la tache était toujours à la même place.
– A quelle altitude ?
– 3 000 mètres et à 4 kilomètres de notre position.
– Et alors?
– Le capitaine qui dirigeait le convoi a fait brancher un cinéthéodolite.
– Un mot d’explication ...
– Oui, un cinéthéodolite, c’est tout simplement une caméra avec un très puissant téléobjectif de 2 000 mm (grossissement cent fois environ) et un chronomètre au dixième de seconde.
– Vous avez filmé la tache ?
– Oui, et je l’ai vue dans le viseur. Cela avait la forme d’un engin métallique usiné, parfaitement symétrique.
– Forme de soucoupe classique?
– Si tu veux.
– Et le film?
– Eh bien nous avons filmé pendant cinq minutes cet objet immobile et soudain il a disparu à une vitesse fantastique que nous avons pu mesurer, l’accélération atteignait 62 G par seconde.
– Ce qui veut dire?
– Tout simplement que n'importe quel insecte aurait été tué instantanément sans parler d'êtres humains. Les mouches sont tuées avec une accélération de 32 G et les mouches sont les insectes qui ont l’une des plus grandes résistances aux accélérations brutales. J’ajoute que sur le plan technique, en 1976, les engins les plus rapides, les missiles antimissiles américains Spartan ou Nike atteignent Mach 4 en cinq secondes. Des véritables tortues par rapport à l'accélération de cet engin.
– En kilomètres /heure qu'est-ce que ça donne?
– Environ de 0 à 6 000 km/heure en moins de trois secondes!
– Bon Jean-Pierre, tu étais dans le désert, donc le lieu idéal pour les mirages ...
– Nous y avons pensé, mais l'accélération de cet engin était et est toujours infiniment supérieure à nos possibilités techniques. Donc mirage ou pas, cet engin n’avait pas été fabriqué par l'homme.
– Tu es sûr que ce ne pouvait être un engin terrestre, une fusée par exemple puisque tu étais près de la base d’Harnmagir.
– Je suis formel car nous avons envisagé toutes les hypothèses. D’abord une fusée ça ne reste pas en sustentation silencieuse et immobile à 3 000 mètres. Ensuite, je te répète que l’accélération de l’engin est impossible à réaliser même en 1976.
– Un phénomène naturel alors?
– Non, j’ai présente à la mémoire cette image, c’était manifestement une construction.
– Son diamètre?
– Vingt mètres environ.
– Tu penses que c’était un engin piloté ?
– Je n'en sais rien évidemment. Mais c’était la manifestation d’une intelligence, que cette intelligence ait été à l'intérieur de l’engin ou qu’il ait été téléguidé. Et le film tourné pour les militaires?
– Quand j’ai voulu visionner le film personne ne savait où il était. Ça ne veut pas dire qu’on l’aurait caché et que la sécurité militaire ait mis la main dessus. Mais enfin, je n’ai pu le voir, c’est tout. »
Voici un témoignage exceptionnel par la compétence professionnelle de son auteur. Jean-Pierre Chapel n’était pas seul, trente techniciens et militaires ont vu la même chose que lui. Ce fameux film n'a pas été perdu. Il est quelque part dans les archives de l’armée. Fait curieux, j’avais appris son existence par un technicien militaire en retraite et j’avais cherché à le localiser. En vain, malgré quelques indications. Je ne me doutais pas que Jean-Pierre Chapel avait assisté personnellement à l’événement.
Source : feairplane
02 octobre 2010
CONCLUSIONS PROVISOIRES
En exclusivité et avec l'aimable autorisation du Président de la commission Sigma de l'Association Aéronautique et Astronautique de France.
Pour tous ceux qui connaissent l’ensemble du dossier nous n’apportons rien de bien nouveau depuis le 1er octobre 2008 et nous le regrettons tous un peu.
Les rencontres très fructueuses dont nous avons parlé nous ont beaucoup apporté, malgré la discrétion de nos interlocuteurs. En effet, tous connaissaient, avant de nous recevoir, les éléments sur lesquels nous avons fondé nos réflexions et nos recherches. Aucun ne les a critiqués, aucun n’a proposé de méthodologie alternative, tous nous ont en fait encouragés à continuer.
Il est probable que tous les organismes officiels dont nous avons rencontré les responsables ont depuis longtemps tiré les mêmes conclusions que nous. Nous espérons même que beaucoup sont allés bien au-delà de ce que nous allons vous rappeler.
Aucun phénomène naturel ne peut rendre compte de la majorité des rapports d’observation accompagnés de détections électromagnétiques réalisées par un ou plusieurs radars. Les services de la défense et de la circulation aérienne générale ont été confrontés, un certain nombre de fois, un peu partout dans le monde, à des incursions aériennes inconnues ou à des phénomènes artificiellement provoqués. Les documents que nous avons évoqués lors de notre présentation du 1er octobre 2008, en particulier la synthèse du général TWINING, adressée le 23-09-1947 au commandant de l’Air Materiel Command, ne disaient pas autre chose.
D’autres éléments confirmés par des documents officiels, comme les survols répétés des installations de l’Atomic Energy Commission de 1948 à 1952, la déprogrammation de missiles intercontinentaux en 1967 et, plus récemment, des interférences délibérées avec des avions de ligne, comme à Bariloche en Argentine, confirment notre hypothèse5. Le comportement de ces engins au cours de rencontres avec des avions de chasse ou des intercepteurs – certains ont participé à de véritables combats tournoyants aux USA – suggère qu’ils sont pilotés, téléguidés ou dirigés par des automatismes particulièrement perfectionnés.
Les observations réalisées depuis 1946 suggèrent que certains engins utilisent une technologique inconnue. Cependant, nous n’avons pas suffisamment analysé les documents et témoignages disponibles. Nous nous contentons, pour l’instant, de citer quelques exemples :
• des accélérations longitudinales dépassant 10 g ont été mesurées, en Belgique, par des intercepteurs de la force aérienne en 1989, 90 et 91. Nous reprendrons les données enregistrées dès que nous en disposerons ;
• des accélérations importantes au moment du départ d’engins venant d’effectuer un vol stationnaire, furent plusieurs fois notées par des témoins civils. Des accélérations et décélérations inusuelles, des arrêts soudains, ainsi que des virages extrêmement serrés avaient été détectées simultanément par deux radars et observées par des témoins au dessus de Washington DC, les 19 et 26 et 29 juillet 1952. Les échos radar de ces objets furent en outre décelés brièvement sur leurs radars de bord par les équipages des intercepteurs lancés à leur poursuite ;
• une forme inconnue de sustentation ne faisant pas appel à la réaction d’une masse projetée vers le bas – comme c’est le cas pour les avions, les hélicoptères et les fusées – a été notée à plusieurs reprises, en particulier dans les cas de Transen- Provence [janvier 1981] et de l’Amarante [octobre 1982]. Elle fut manifestée par certains des engins impliqués dans le survol de la Scandinavie pendant l’été de 1946 (voir le document Hillenkoetter . Plusieurs témoins en France, en 1954, avaient observé dans le ciel des engins statiques de grande dimension. Il convient d’insister sur le fait qu’aucun appareil aérien de construction terrestre n’est capable de ce genre de performances ;
• des vols à très faible vitesse d’engins de grandes dimensions souvent triangulaires, furent observés à très basse altitude par des dizaines d’automobilistes en 1989 et 1990 en Belgique;
• le 5 novembre 1990, en France, entre 18:45 et 19:15 de nombreux « appareils » de formes variées furent observés, et même filmés, sur deux itinéraires principaux : de la pointe du Finistère à Strasbourg, et du pays Basque à Nancy en passant par le Massif Central. Les observations allaient du triangle portant des lumières à la partie inférieure, à un fuselage allongé de plus de deux cents mètres de long, dépourvu d’ailes (Gretz-Armainvilliers). Un silence inhabituel fut noté pendant la plupart de ces manifestations ;
• une vitesse de 2300 km/h en vol horizontal a été signalée par les radars finlandais en 1946 . Des vitesses de l’or- LA VIE DES COMMISSIONS TECHNIQUES 10 N°9 OCTOBRE 2010 LA VIE DES COMMISSIONS TECHNIQUES dre de MACH 5 à relativement basse altitude – 9 à 10.000 mètres – ont été mesurées par un avion de ligne en 1966, au sud ouest de Buenos Aires. En juillet 1994, les radars de la circulation aérienne, à la verticale de Détroit, mesurèrent une vitesse du même ordre de grandeur à une altitude légèrement supérieure. Cette dernière observation fut confirmée par trois équipages d’Air France, de Lufthansa et d’Olympic Airways. Du fait de l’échauffement cinétique des bords d’attaque et d’une traînée élevée, ces performances sont pratiquement hors de portée des aéronefs militaires actuels,… ce qui était encore plus vrai en 1966 ;
• une forme particulière de furtivité a pu être vérifiée en ce qui concerne l’observation simultanée d’un disque aérien de grande dimension par le commandant de bord Duboc et son équipage, ainsi que par une station radar de la défense aérienne. Alors que le disque observé avait visuellement disparu pour l’équipage d’Air France il continuait à être détecté par les radars militaires. Dans d’autres cas, les engins restèrent clairement visibles pour les observateurs mais sans apparaître sur les écrans radar. Ce fut le cas, semble-t-il, pour une partie des observations réalisées le 5 novembre 1990 ;
• la supériorité aérienne des engins concernés, si engins il y a, est telle qu’aucune des nombreuses interceptions qui ont été déclenchées contre eux, aux États-Unis par exemple, n’a permis d’abattre l’un ces appareils. En revanche, ils sont réputés avoir causé la destruction de plusieurs avions américains lancés à leur poursuite, vers la fin des années quarante. Ils paraissent capables de violer en toute impunité les espaces aériens les mieux défendus du monde.
Les caractéristiques évoquées suggèrent que, dans de nombreux cas, les appareils détectés loin d’être non identifiés, sont parfaitement reconnaissables par les organismes de la défense aérienne, comme relevant d’une technologie très en avance par rapport à la nôtre. [Les trajectoires saccadées à angles droits et des descentes en feuille morte sont connues depuis les années cinquante. Des vitesses considérables à des altitudes relativement basses apparaissent dans plusieurs documents (La Paz par ex. ). Ce sont presque des signatures !
Nous n’avons pu obtenir aucune indication sérieuse quant à l’origine des phénomènes aérospatiaux faisant l’objet de nos recherches. Les éléments technologiques que nous avons retenus sont confirmés par de nombreux documents militaires, de plus rares synthèses et des textes de loi (comme JANAP 146)).
Ils permettent d’élaborer quelques suppositions sur les aéronefs en question, qui ne semblent pas pouvoir appartenir à une technologie terrestre identifiable aux époques où ils furent observés.
Avant de réexaminer des hypothèses déjà proposées, nous pouvons rejeter toutes les thèses ignorant les éléments du dossier tombés dans le domaine public. En particulier, celles qui ne tiennent aucun compte des rapports militaires déclassifiés ou omettent sciemment de citer une partie des témoignages [voir par exemple le rapport “Air Force Research concerning the Roswell incident”, Col. Weaver, juillet 1994].
Nous estimons devoir rejeter la thèse d’une origine terrestre de toutes les observations réalisées depuis la seconde guerre mondiale. En effet, si une nation du globe avait pu mettre au point secrètement une armada d’engins exotiques tels que ceux qui sont observés depuis plus d’un demi siècle, les moyens d’analyse logistique et stratégique disponibles auraient très rapidement permis de l’identifier. Les survols illégaux dont elle se serait rendue coupable auraient d’ailleurs constitué autant de casus belli. De ce fait, l’hypothèse centrale (d’une possible origine extraterrestre) proposée par le rapport COMETA ne peut pas, aujourd’hui encore, être prise en défaut et demeure parfaitement crédible. De nombreux documents et éléments étudiés par les rédacteurs de ce rapport la confortent. Nous avons donc retenu, parmi quelques autres, mais seulement à titre d’hypothèse de travail, l’éventualité que la plupart des engins observés puisse avoir une origine non terrestre.
La commission SIGMA n’a pas, pour l’instant étudié le problème des communications, s’il en est, entre des êtres humains et des êtres hypothétiques mettant en oeuvre les engins aériens et spatiaux détectés dans l’environnement terrestre. Cependant, le survol répété de 1948 à 1949 de toutes les bases américaines où les armes atomiques étaient construites et stockées, pourrait être considéré comme un message transactionnel clair et une menace implicite. Il en va de même pour les déprogrammations confirmées de missiles intercontinentaux à Malmström AFB dans le Montana, le 16 mars 1967, par exemple, alors qu’un engin lumineux de la taille d’un B-52 survolait le site à très basse altitude.
Il reste possible que certains groupes humains, la plupart des services de renseignement des pays les plus performants du monde et quelques responsables politiques, possèdent des informations auxquelles nous n’avons pas eu accès pendant nos recherches. Ces informations pourraient concerner, entre autres, des éléments physiques – matériaux inconnus, épaves plus ou moins complètes, spécimen biologiques, films et photos, contacts directs avec certains responsables des incursions constatées – qui constitueraient autant de preuves recevables. Chacun sait que le gouvernement des États-Unis est réputé détenir, depuis l’été 1947, de tels éléments. Plus de trente affidavits – déclarations sous serment ayant valeur de preuve juridique dans les pays anglo-saxons – affirment que la récupération d’éléments matériels a bien été réalisée en juillet 47, au Nouveau Mexique, par les forces armées américaines. Ils sont reproduits et traduits dans plusieurs ouvrages.
CONCLUSIONS
Au cours de nos enquêtes nous avons rencontré plusieurs personnes qui étaient parvenues, grâce à l’étude de documents et de livres, aux mêmes conclusions que nous. Ce fait ne nous a pas du tout surpris. La somme des informations ouvertes sur le sujet qui nous intéresse est telle que toute personne patiente et sachant lire l’anglais – ou disposant de la traduction des documents les plus importants – doit pouvoir tirer des conclusions personnelles très similaires aux nôtres. De ce fait, nous pensons qu’une mise à la disposition du public de tous les éléments du dossier – en tout cas ceux qui peuvent être divulgués sans menacer la défense nationale – représenterait une alternative préférable à une annonce prématurée. Elle permettrait à ceux qui le désirent d’arriver à des conclusions personnelles fondées. Ceux qui se sentiraient menacés par la nature même de ce sujet pourraient continuer à s’en désintéresser. Comme vous pouvez le constater, si nous avons réellement progressé dans l’évaluation des données dont nous disposons, nous ne sommes toujours pas en mesure d’être très affirmatifs. Des pans entiers du problème restent dans l’ombre,… ce qui le rend d’autant plus passionnant.
Source : feairplane
LES PRÉSIDENTS DES ETATS UNIS ONT OBSERVE DES OBJETS ÉTRANGES DANS LE CIEL
Beaucoup de Présidents Américains durant leur mandat ont été sérieusement intéressés par les questions d'ovnis et d'intelligence extraterrestre, et certains d'entre eux ont même eu la chance de prendre contact avec des extraterrestres. Nous nous tournons vers les archives récemment déclassifiées de l'ufologie.
Commençons avec 1948, quand le président Harry S. Truman convoqua son adjoint Robert Landry dans le bureau ovale. Truman lui a donné l'ordre de faire des rapports tous les trois mois sur les soucoupes volantes observées sur le pays. Une fois, Truman demanda d'enquêter sur le cas de l'apparition de mystérieux objet au-dessus de Washington qu'il a observé à travers sa fenêtre.
L'Agent de la CIA Gerald Haines dit qu'en Juillet 1952, l'administration présidentielle a été gravement perturbée par une «vague massive d'observations d'ovnis sur les Etats-Unis." Il y a même eu un ordre d'abattre les objets volants non identifiés.
La plupart des rumeurs d'ovni se réfèrent à Dwight Eisenhower. Il y a des preuves documentaires qu'en 1952, quelque chose d'extraordinaire s'est produit avec Eisenhower.
Voici l'histoire d'un officier de marine qui, à ce moment-là servi sur le porte-avions «Franklin Roosevelt»: «Nous étions au nord-est de l'Angleterre avec une flotte de l'OTAN vers 1h30 du matin sur notre côté droit un grand ovni bleu-blanc est apparu. Il est descendu et a oscillé 30 mètres au-dessus de l'eau. L'OVNI s'est alors élevé et s'est envolé vers la gauche.
Le général Eisenhower, qui est arrivé par hélicoptère avec l'amiral de la flotte, est sorti sur le pont à ce moment même. Nous avons regardé l'OVNI pendant environ dix minutes. " Bien sûr, nous pouvons supposer que c'est juste une autre histoire d'OVNI. Cependant, les événements de Janvier de 1972 ont fait beaucoup de bruit .Le 12 janvier, Sherry Eckhardt, une habitante de l'Oklahoma était au téléphone avec sa mère. Soudain, quelque chose craqué dans le récepteur et il y eut une voix inconnue: «Nous avons émis une alarme ... Nous avons des objets sur le radar qui apparaissent sur l'océan Pacifique et le Golfe du Mexique- Les avions de combat sont en route...Un objet est tombé dans l'océan Pacifique, Les avions de combat sont abattus ..." Étonnée, Sherry fit à son mari un signe pour décrocher le téléphone dans une autre pièce. Ils ont entendu: "Appelez le Président au téléphone !" Puis on entendit une voix semblable à celle de Richard Nixon. Bien sûr, le couple dit tout aux les journalistes. Un scandale a éclaté. La Maison Blanche L'Armée de l'Air firent une réfutation télévisée : il n'y avait pas d'ovnis, et personne n'a été abattu.
Cependant les agents de la compagnie de téléphone locale ont déclaré publiquement que Eckhart pourrait très bien avoir été connectée par erreur à la ligne des communications gouvernementale.
Mais la preuve la plus frappante, absolument fiable de contact avec les OVNIs a été laissée par le président Carter. C'est arrivé le 6 Janvier, 1969. Carter a vu un grand objet brillant dans le ciel qui changeait de couleurs. «C'était le plus diabolique de tous les trucs que j'ai jamais vu", a déclaré l'ancien président. Pendant sa campagne présidentielle, Carter a promis à déclassifier tous les renseignements sur les observations d'OVNI aux Etats-Unis, il a tenu parole, et un certain nombre de documents est devenue accessible au public, y compris les ufologues.
Un autre président qui observa des ovnis fut Ronald Reagan, même à l'époque ou il n'était que gouverneur. Cela s'est passé quand le président était en avion. C'est ce que Reagan a dit plus tard au journaliste Norman Miller: «... Nous 'avons suivi pendant plusieurs minutes, c'était une lumière blanche brillante, nous l'avons suivi à Bakersfield, et tout d'un coup à notre grand étonnement il est allé directement vers le haut dans les cieux".
Une fois, une projection privée de "ET l'extra-terrestre" de Steven Spielberg a été organisée pour Reagan à laquelle assistait le célèbre metteur en scène. Après la projection le président s'est penché, a tapé sur l'épaule de Spielberg , et tranquillement a commenté: "Tu sais, il n'y a pas six personnes dans cette salle qui savent combien cela est vrai en réalité."
Margarita Troitsyna
Remerciements spéciaux à UFO Casebook
Source : ufoetscience
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