• Les Dogons et les Pétroformes

    Découvertes extraordinaires

      Les Dogons (Mali) et Sirius

    On ne sait pas à quelle époque précise la tribu s'est formée. D'après certains scientifiques et archéologistes, ils étaient des égyptiens qui s'étaient déplacés au sud, de la Libye vers le Mali, en Afrique de l'Ouest. La découverte de vieux artéfacts, d'environ 4500 ans d'âge, semble indiquer qu'ils vivent près du Mali depuis environ 2200 av. j.-c.

    Lorsque les archéologues ont découvert Bandiagara, le principal village de la région, ils ont rapidement appris à connaître le peuple, et leurs connaissances. Apparemment, ils en savaient beaucoup sur l'astronomie et "le comportement de la terre". À l'époque (les années 30), ces informations semblaient aussi impossibles que l'idée que la planète soit ronde, avant la découverte de Galilée. Les Dogons prétendaient que la terre est reliée au reste de l'univers par un lien très spécial avec une étoile, SIRIUS, qui agirait envers la terre comme une sorte de "parent" ou "jumeau". Pour localiser cette étoile il faut trouver la ceinture d'Orion, les trois étoiles en ligne, et suivre cette ligne descendante vers la gauche, ou vous pouvez trouver une étoile très brillante, SIRIUS. Si vous suivez cette ligne vers le haut (et vers la droite) environ le double de la distance, vous pouvez apercevoir les Pléiades. Les Dogons connaissaient et possèdent toujours des données très spécifiques, particulières et même inconnues sur la nature et la composition de Sirius. Cette étoile est à 46 000 000 000 Km (8.6 années lumières) de la terre. 

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    (Vue d'artiste : Sirius et la terre - Les émanants) 

    Les Dogons et les Pétroformes

    (photo : Gavin Hellier : Masked Ceremonial Dogon Dancers, Sangha, Dogon Country, Mali- uncertaintimes)

     Les Dogons avaient, depuis longtemps, d'impressionnantes connaissances astronomiques : 

    - L'étoile Sirius a en orbite autour d'elle une autre petite étoile à laquelle ils font référence en tant que "Po" et qui est considéré être composée de la matière la plus lourde de l'univers. Des représentations des ces étoiles apparaissent sur de nombreux artéfacts dogons, entre autre sur une statue examinée par les scientifiques américains, dont l'âge est établi à au moins 500 ans. Les dogons reproduisaient l'orbite elliptique de la petite étoile et pouvaient dire le temps exact qu'elle prenait pour la compléter (environ 50 ans). Ils célébraient cet événement comme nous le faisons pour le nouvel an.
    La petite étoile en orbite autour de Sirius a été découverte par la science moderne autour de 1862 par l'astronome américain Alvan Clark, qui, avec un télescope très puissant a aperçu une plus petite lueur autour de la première étoile. Des études subséquentes ont démontré que SIRIUS B (le nom donné par les scientifiques à la deuxième étoile) complète son orbite autour de SIRIUS en 50 ans et est proportionnellement 100 000 fois plus petite. Si petite, en fait, qu'elle ne peut être vue à l'œil nue. En 1926, la science moderne occidentale a identifié SIRIUS B comme une naine blanche, une catégorie d'étoile caractérisée par sa très haute densité. Les astronomes ont estimés qu'un simple mètre cubique de la matière de SIRIUS B pèse environ 20 000 tonnes. La première photo de l'étoile a été prise aussi récemment qu'en 1970.

    - Des connaissances précises sur les quatre lunes majeures de Jupiter.

    - La connaissance que les planètes de notre système solaire orbitent autour du soleil.

    - Ils possédaient déjà, il y a environ 1000 ans, quatre calendriers assez précis; un pour le Soleil, un pour la Lune, un pour Vénus et un pour SIRIUS.

    - Les Dogons décrivent aussi une troisième étoile dans le système de SIRIUS, qu'ils appellent "Emme Ya". En orbite de cette étoile se trouverait un autre satellite.
    Jusqu'à tout récemment, Emme Ya n'avait pas été identifiée par les astronomes.

    - Les Dogons prétendent aussi que lorsque l'orbite de SIRIUS B la rapproche de SIRIUS, les deux deviennent plus brillantes que d'habitude, et que SIRIUS B prend une année à effectuer une rotation complète sur son axe.
    Ce qui n'a pu être prouvé par la science jusqu'à aujourd'hui.

     Les "Pétroformes"

    Les Pétroformes (Petroform) sont des arrangements de pierres selon une mystérieuse mais précise disposition. Ils pourraient être comparés à des cercles de pierres " celtiques ", ou tout autre arrangement de matériaux premiers laissés par les civilisations passées. D'un peu plus loin on pourrait peut-être esquisser une similitude entre les fameux "Crop Circles" et les Pétroformes. Certains ont été retrouvés en Afrique de l'ouest, la terre des Dogons, mais également ailleurs dans le monde. Rien ne relie toutefois les pétroformes directement aux Dogons, mais en comparant l'image d'un pétroforme avec l'orbite particulier des étoiles SIRIUS et SIRIUS B, ont constate une étrange similitude.

    Tant d'information depuis longtemps, détenue par une tribu aussi "primitive" peut sembler irrationnel pour ne pas dire impossible… Mais d'abord il faut clarifier que ce ne sont pas tous les individus de la tribu dogon qui possèdent toutes ces connaissances, et la plupart ne font que pratiquer un style de vie et des cérémonies en respect avec les valeurs de leur ancêtres, très axé sur l'astronomie, et plus particulièrement vers SIRIUS. Les gens en charge de conserver ces informations, et apparemment de conserver d'autres informations secrètes pour le moment, sont les prêtres. Le seul endroit où la tribu conserve les traces de toutes ces affirmations est une grotte dans la falaise de Biandagara, où des dessins sur les murs racontent toute leur histoire…

    Cette cave est protégée par le saint homme de la tribu, jour et nuit. La tribu le nourrit et en prends soin, mais personne ne peut le toucher ou l'approcher. Lorsqu'il meurt, un autre saint homme prend sa place. Les représentations sur les parois ont été testées au Carbonne 14 et leur âge est établi à au moins 700 ans. Sur un côté de la grotte se trouve toute l'information astronomique qu'ils possèdent. Des plans du système solaire, des informations sur SIRIUS et aussi des dessins de systèmes planétaires inconnus (jusqu'à maintenant). De l'autre côté de la grotte, se trouve toute l'histoire racontant comment ils ont reçu de telles informations. Les dessins de cette section montrent des "soucoupes volantes", beaucoup d'autres objets volants et de grandes créatures marines mi-homme/mi-poisson (dont certains croient être l'origine des histoires de sirènes).

     En fait, la communauté Dogon clâme qu'elle a reçu ces connaissances d'extra-terrestres (organismes vivants en provenance d'ailleurs que de la terre). Ils expliquent qu'après avoir atteint collectivement une sorte de "paradis sur terre", en vivant en harmonie avec la terre et en ressentant un amour inconditionnel envers tous les aspects de l'univers, ils auraient atteint un point de communication où la télépathie est devenue possible. Ils seraient ensuite entrés "en communion" avec le peuple Sirien, appelés les NOMMOS.

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    D'après les dogons, un soir de pleine lune, un vaisseau spatial très particulier est apparu dans le ciel et est atterri dans les plaines. Les visiteurs auraient alors creusé un énorme trou dans le sol et l'auraient rempli d'eau. Ils y auraient sauté et se seraient approché de la rive pour prendre contact avec les dogons. Cette rencontre aurait pris place un 23 juillet, le jour où la terre, le soleil et SIRIUS sont en ligne droite. Ils affirment aussi que le sphinx et beaucoup d'anciens temples égyptiens sont construits sur cet axe. Il faut également savoir que l'ancienne culture égyptienne célébrait son "nouvel an" le 23 juillet. 


    Les dogons croient que ce "contact" a été effectué dans le but d'amener les peuples de la terre à comprendre leur véritable nature divine, et pour les aider à retrouver leur "unité" globale, les ramenant lentement mais sûrement à l'appartenance et à la compréhension de DIEU. Ils affirmant également que les NOMMOS reviendront sur terre à un certain moment.

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    L’Antique connection entre Sirius, la Terre et l’Histoire de l’humanité

    Depuis la nuit des temps et à travers les multiples civilisations, Sirius, l’étoile du Chien, a toujours été environnée de traditions mystérieuses.
    Les enseignements ésotériques de tous âges ont invariablement attribué à Sirius un statut spécial et l’importance de cette étoile dans le symbolisme occulte atteste de ce fait. Qu’est-ce-qui rend Sirius si spécial ?
    Cela tient-il simplement au fait qu’il s’agit de l’étoile la plus brillante dans le firmament ? Ou est-ce aussi parce que l’humanité possède un lien ancien et mystérieux avec elle ?
    Cet article se penche sur l’importance de Sirius à travers l’Histoire et les sociétés secrètes pour décrire le symbolisme l’entourant.
    Sirius se trouve dans la Constellation Canis Major – également connu sous le nom de Grand Chien – et est par conséquent connu comme « l’étoile du Chien ». Elle est 20 fois plus brillante que notre Soleil et deux fois plus massive.
    La nuit, Sirius est l’étoile la plus brillante dans le ciel et, depuis l’aube des temps, sa lumière bleu-blanc éblouissante n’a jamais cessé d’émerveiller les astronomes en herbe. Pas étonnant que Sirius ait été vénérée par pratiquement toutes les civilisations. Mais y-a-t-il plus qu’il n’y parait ?
    Les artéfacts des civilisations antiques ont révélé que Sirius était d’une grande importance dans l‘astrologie, l’astronomie et l’occultisme. Les Ecoles des mystères considèrent qu’elle est « le soleil derrière le soleil » et donc, la véritable source de la puissance de notre Soleil.
    Si la chaleur de notre Soleil maintient le monde physique vivant, Sirius est censée garder le monde spirituel vivant. Elle est la « véritable lumière » rayonnant à l’Orient, la lumière spirituelle, tandis que le Soleil illumine le monde physique, considéré être une grande illusion.
    Associer Sirius au divin et même le considérer comme la maison des « grands maîtres » de l’humanité n’est pas seulement intégrée dans la mythologie de quelques civilisations primitives, c’est une croyance largement répandue qui a survécu (et s’est même intensifiée) jusqu’à nos jours.
    Nous examinerons l’importance de Sirius dans les temps anciens, analyserons sa proéminence dans les sociétés secrètes et les concepts ésotériques ainsi qu’ils ont été traduits dans la culture populaire.
    Dans les civilisations antiques
    Dans l’Egypte ancienne, Sirius était considérée comme la plus importante étoile du ciel. En fait, astronomiquement, elle fut le fondement du système religieux entier des Egyptiens. Elle était vénérée en tant que Sothis et était associée à Isis, la mère Déesse de la mythologie égyptienne. Isis était l’aspect féminin de la Trinité formée par elle-même, Osiris et leur fils Horus.

    Les Dogons et les Pétroformes

    Les anciens Egyptiens tenaient Sirius en si haute estime que la plupart de leurs déités étaient associées d’une manière ou d’une autre à l’astre. Anubis, le dieu de la mort à tête de chien possédait une relation évidente à l’étoile du Chien et Thot-Hermès, le grand maître de l’humanité, était également connecté ésotériquement à l’étoile.
    Le système du calendrier égyptien était basé sur le lever héliaque de Sirius qui survenait durant l’été, juste avant les inondations annuelles du Nil. Le mouvement céleste de l’astre était également observé et vénéré par les Grecs, Sumériens, Babyloniens et d’innombrables autres civilisations.
    Par conséquent, l’astre était considéré comme sacré et son apparition était accompagnée de fêtes et de célébrations. L’astre du Chien annonçait l’arrivée des jours chauds et secs de Juillet et Août, d’où le terme populaire « les canicules estivales » [NdE : The « dog days of summer].
    Plusieurs chercheurs de l’occulte ont déclaré que la grande pyramide de Gizeh était construite en parfait alignement avec des étoiles, particulièrement Sirius. On dit que la lumière de ces astres était utilisée dans les cérémonies des Mystères égyptiens.
    « Ces peuples anciens (les Egyptiens) savaient que, une fois l’an, le Soleil-mère s’aligne avec l’astre du Chien ».
    « Par conséquent la Grande Pyramide fut construite de telle sorte que, pendant ce moment sacré, la lumière de l’astre du Chien tombe sur la place « La Pierre de Dieu » à l’extrémité supérieure de la Grande Galerie, descendant sur la tête du Grand Prêtre qui recevait la Super Force Solaire et cherchait à perfectionner son propre Corps Solaire afin de transmettre aux autres initiés cette stimulation supplémentaire pour l’évolution de leur divinité ».
    « Tel était le dessein de la « Pierre de Dieu » où pendant le rituel, Osiris s’assied pour lui accorder (à l’illuminé) la couronne Atf ou la lumière céleste. « le Nord et le Sud de cette couronne est l’amour » proclame un hymne égyptien ».
    Et ainsi, par l’enseignement de l’Egypte, la lumière visible n’était rien d’autre que l’ombre de la lumière invisible : et dans la sagesse du pays ancien, les Mesures de Vérité étaient les années du Très Haut. »

    Des découvertes scientifiques récentes relatives à la Grande Pyramide et ses « puits d’aération » ont conduit les chercheurs à confirmer davantage l’importance de Sirius au sein de la pyramide.
    Un aspect fascinant de Sirius est la cohérence du symbolisme et des différentes significations qui s’y rattachent. Plusieurs grandes civilisations ont associé Sirius à la figure du chien et considéraient l’astre soit comme la source, soit comme la destination d’une force mystérieuse. Dans l’astronomie chinoise et japonaise, Sirius est connue être « l’étoile du loup céleste ».
    Plusieurs tribus autochtones d’Amérique du Nord se réfèrent à l’étoile en termes canins : les tribus Seri et Tohono O’odham du Sud-Ouest décrivent Sirius comme « le chien qui suit une brebis », alors que les Pied-noirs le nomment « Face de chien ».
    Les Cherokee ont associé Sirius et Antarès à l’astre-chien gardien du « Chemin des âmes ».
    La tribu du Loup (Skidi) du Nebraska la connaissait sous le nom de « l’Etoile du Loup » tandis que d’autres branches la connaissaient d’ «l’Etoile du Coyote ». Plus au Nord, les Inuits de l’Alaska dans le Détroit de Béring l’ont appelée « Chien de la Lune »

    La tribu des Dogons et l’Atlantide
    En 1971, l’auteur américain Robert Temple a publié un livre controversé intitulé The Sirius Mystery dans lequel il affirmait que les Dogons (une ancienne tribu africaine du Mali) connaissait des détails concernant Sirius qu’il aurait été impossible de connaître sans l’utilisation d’un télescope.
    Selon lui, les Dogons avaient compris la nature binaire de Sirius, laquelle est en fait composée de deux étoiles appelées Sirius A et Sirius B. Cela a conduit Robert Temple à croire que les Dogons avaient des liens directs avec des êtres originaires de Sirius.
    Alors que certains pourraient dire « Vous n’êtes pas sérieux [NdT : jeu de mots : You can’t be Sirius/serious »] (désolé), un grand nombre de sociétés secrètes (qui comprenaient dans leurs rangs quelques-unes des personnes les plus influentes du monde) et de systèmes de croyance enseignent au sujet de la connexion mystique entre Sirius et l’humanité.

    Les Dogons et les Pétroformes

    Dans la mythologie Dogon, l’humanité est issue des Nommos, une race d’amphibiens qui étaient les habitants d’une planète tournant en orbite autour de Sirius. Il est dit qu’ils sont « descendus du ciel dans un vaisseau accompagné de tonnerre et de feu » et transmirent à la race humaine une profonde connaissance.
    Cela a conduit Robert Temple à théoriser que les Nommos étaient des habitants extraterrestres de Sirius qui avaient voyagé jusqu’à la Terre à partir d’un point distant du passé pour apporter des enseignements aux civilisations anciennes (telles que les Egyptiens et les Dogons) au sujet du système solaire Sirius et de notre propre système solaire.
    Ces civilisations intégrèrent les enseignements Nommos au sein de leurs religions et en firent un thème central de leurs Mystères. Le système mythologique des Dogons est de façon frappante, similaire aux autres civilisations telles que les Sumériens, Egyptiens, Israélites et les Babyloniens car il inclut le mythe archétypal du « grand enseignant venu d’en haut ».
    Selon la civilisation, le Grand Maître connu est Enoch le 8è, Toth ou Hermès Trismégiste, que l’on dit avoir enseigné à l’humanité les sciences de la tradition hermétiste théurgique. Dans les traditions occultes, on croit que Toth-Hermès a enseigné au peuple de l’Atlantide, lequel, selon la légende, est devenue la civilisation la plus avancée du monde avant que le continent soit submergé par le Grand Déluge (les comptes rendus d’un déluge peuvent être trouvés dans les mythologies de nombre de civilisations).
    Les survivants de l’Atlantide ont voyagé par bateau vers plusieurs pays y compris l’Égypte, où ils ont communiqué leurs connaissances avancées. Les occultistes croient que les ressemblances inexplicables entre des civilisations distantes (telles que les Mayas et les Egyptiens) peuvent être expliqués par les contacts courants avec les Atlantes.
    « Les connaissances scientifiques, religieuses et philosophiques détenues par les prêtres de l’antiquité furent-elles éloignées de l’Atlantide et dont la submersion a anéanti tout vestige de progrès dans le monde ? »
    « Le culte Atlante du soleil s’est perpétué dans le ritualisme et le cérémonialisme de la Chrétienté et du paganisme. La croix et le serpent étaient des emblèmes Atlantes de la sagesse divine. »
    « Les progéniteurs divins des Mayas et des Quichés de l’Amérique Centrale ont coexisté au sein de la radiance verte et azur de Gucumatz, le serpent « à plumes ». »
    « Les six sages nés du ciel se révélèrent être des centres de lumière étroitement liés ou synthétisés par le septième – et maître – de leur ordre, le serpent « à plumes ». Le titre de  serpent « ailé » ou « à plumes » était appliqué à Quetzalcóatl ou Kukulcan, l’initié d’Amérique Centrale. »
    « Le centre de la Religion-Sagesse Atlante était vraisemblablement un grand temple de forme pyramidale se tenant au bord d’un plateau s’élevant au milieu de la Cité des Portes d’Or. De là, les prêtres initiés de la Plume Sacrée partirent, emportant les clés de la Sagesse Universelle jusqu’aux confins de la Terre. »
     (…)
    „Des Atlantes, le monde a reçu non seulement l’héritage des arts et de l’artisanat, des philosophies et des sciences, de l’éthique et des religions, mais aussi l’héritage de la haine, des conflits et de la perversion.
    „Les Atlantes ont provoqué la première guerre et il est dit que toutes les guerres qui ont succédé le furent en de vaines tentatives pour justifier le bien du mal engendré par la première guerre. Avant que l’Atlantide sombre dans la mer, sa spiritualité éclairait les Initiés et ceux-ci réalisèrent que leur terre était condamnée car elle s’était écartée du chemin de la lumière, et alors ils se retirèrent du continent au destin tragique. »
     
    „Emportant avec eux la doctrine secrète et sacrée, ces Atlantes s’établirent en Egypte, où ils devinrent les premiers chefs « divins ». Presque tous les mythes cosmologiques  constituant la base des divers livres sacrés du monde sont fondés sur les rituels des Mystères Atlantes. » [3]

    Thoth-Hermès-Trismégiste est-il l‘équivalent des Nommos des  Dogons, qu’ils pensent être originaires de Sirius ? D’Anciens textes concernant Hermès le décrivent comme un professeur des mystères qui « venait des étoiles ». De plus,  Thoth-Hermès était directement relié à Sirius dans la mythologie Égyptienne.

    « L’étoile du Chien : l’étoile célébrée en Egypte et vénérée par les Occultistes : par le premier car son lever héliaque avec le Soleil était un signe annonçant les inondations bénéfiques du Nil et par le second parce qu’elle était mystérieusement associée à Toth-Hermès, le dieu de la sagesse et Mercure sous une autre forme.

    « Ainsi, Sothis-Sirius avait, et a toujours, une influence directe et mystique sur l’ensemble du ciel vivant, et est connecté à presque tous les dieux et déesses. “Isis dans les cieux” était appelée Isis-Sothis, car Isis était “dans la Constellation du Chien”, comme affirmé sur ses monuments. Étant connecté à la Pyramide, Sirius était donc connecté avec les initiations qui s’y déroulaient.” [4]

    "Le Traité de Trismégiste „La Vierge du Monde“ d’Égypte se réfère au Rite Noir » connecté à Osiris « noir », comme le degré le plus élevé possible de l’initiation secrète dans l’ancienne religion égyptienne – il s’agit du secret ultime des mystères d’Isis.

    « Ce traité dit que Hermès vint sur Terre pour enseigner aux hommes la civilisation et puis encore « regagna les étoiles », retournant chez lui en abandonnant la religion du mystère avec ses secrets célestes qui devraient être un jour décodés ». [5]

    L’interprétation des mythologies des cultures anciennes n’est pas une science exacte et les connections sont difficiles à prouver en soi. Toutefois, le lien symbolique entre Sirius et le savoir occulte a constamment apparu dans l’Histoire et voyagé de façon homogène au fil des siècles.
    En fait, ce savoir est aussi vénéré de nos jours qu’il l’était il y a quelques millénaires. Des sociétés secrètes modernes telles que les Francs-maçons, les Rosicruciens et l’Aube dorée (considérées être des Ordres hermétiques du fait de leur enseignement basé sur ceux d’Hermès Trismégiste), tous attribuent à Sirius la plus haute importance.

    Un regard instruit sur leur symbolisme fournit un aperçu de la profonde relation entre Sirius et la philosophie occulte.

    Sirius dans les sociétés secrètes et le Symbolisme occulte
    Prétendre que Sirius est « importante » pour les ordres hermétiques serait une grossière affirmation. L’étoile du Chien n’est rien de moins que l’axe central des enseignements et du symbolisme des sociétés secrètes. La preuve ultime de ce fait : beaucoup de sociétés secrètes sont en fait désignées par le nom de l’étoile.

    Dans le Tarot
    La 17e arcane majeure du Tarot (France) s’intitule « Les Étoiles » et représente une jeune fille agenouillée avec un pied dans l’eau et l’autre [NdT : le genou gauche] à terre, son corps suggérant quelque peu une svastika. Elle tient deux vases et verse leur contenu sur la terre et dans l’eau. Il y a huit étoiles au-dessus de la tête de la jeune fille, dont l’une apparaît exceptionnellement grande et brillante. Court de Gébelin estime que la grande étoile est Sothis ou Sirius ; les sept autres étoiles sont les planètes sacrées des Anciens.


    Court de Gébelin pense que le personnage féminin est Isis en train de déclencher les inondations du Nil, inondations qui accompagnaient le lever de l’étoile du Chien. La représentation de la nudité d’Isis peut bien vouloir signifier que Dame Nature ne reçoit pas son vêtement de verdure avant que la montée des eaux du Nil ne répande la vie germinale des plantes et des fleurs.  [6]

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    Dans la Franc-maçonnerie


    Dans les loges maçonniques, Sirius est connue pour être « l’étoile flamboyante » et un simple regard sur la place prééminente qu’elle tient dans le symbolisme maçonnique révèle sa plus haute importance. A propos de Sirius, l’auteur Franc-maçon William Hutchinson a écrit :
    « Dans la Loge, c’est l’objet premier et le plus élevé qui exige toute notre attention. »

    Sirius, l’étoile flamboyante, au centre de son pavement en mosaïque

    Durant les initiations, Sirius étend sa lumière jusqu’à la Grande Pyramide, elle est symboliquement présente de la même manière dans les loges maçonniques.

     L’étoile flamboyante rayonnant sur les membres des loges maçonniques

     « Les astronomes anciens virent tous les grands symboles de la Maçonnerie dans les étoiles. Sirius brille dans nos loges tel l’Astre Flamboyant ».

    „A l’origine, (L’étoile Flamboyante) représentait SIRIUS, ou l’astre du Chien, le précurseur des inondations du Nil ; le dieu ANUBIS, compagnon d’ISIS dans sa quête du corps d’OSIRIS, son frère et mari.

    « Alors il devint l’image d’HORUS, le fils d’OSIRIS, lui-même symbolisé aussi par le Soleil, l’initiateur des saisons et le Dieu du Temps ; le Fils d’ISIS, qui était la nature universelle, lui-même étant la matière primitive, inépuisable source de Vie, étincelle de feu incréée, semence de vie universelle de tous les êtres.
    « C’était HERMES, aussi, le Maître du savoir, dont le nom en Grec est celui du Dieu Mercure. »
    Le hiéroglyphe représentant Sirius contient 3 éléments : une obélisque « phallique » (représentant Osiris), un dôme « utérin » (représentant Isis) et une étoile (représentant Horus) 

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    Dans la Franc-maçonnerie, on enseigne que l’étoile flamboyante est un symbole de la déité, de l’omniprésence (le Créateur est présent partout) et de l’omniscience (le Créateur voit et sait tout).
    Sirius est par conséquent le « lieu sacré » vers lequel tous les Maçons ascensionnent : Elle est la source du pouvoir divin et la destination des êtres divins. Ce concept est souvent représenté dans l’art maçonnique.

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    The Blazing Star shining upon members of a Masonic lodge
    Pour atteindre la perfection, l’initié doit bien comprendre et intérioriser la nature duelle du monde (le bien et le mal ; le masculin et le féminin ; le blanc et le noir etc…) à travers une métamorphose alchimique.
    Ce concept est symboliquement représenté par l’union d’Osiris et d’Isis (le principe masculin et féminin) pour donner naissance à Horus, l’enfant-étoile, la représentation du Christ, l’homme accompli de la Franc-maçonnerie – qui équivaut à l’Etoile Flamboyante.
    « La Lune et le Soleil… représentent les deux grands principes…. Le masculin et le féminin…. Tous les deux prodiguent leur lumière sur leur descendance, l’Etoile Flamboyante, ou Horus. »  [9]

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    Art Maçonnique / portrayant Sirius l’Etoile Flamboyante, destination du voyage Maçonnique.

    Le hiéroglyphe Egyptien figurant Sirius a été ésotériquement interprété comme la représentation de cette trinité cosmique.
    Ce concept est tellement crucial pour les Francs-maçons qu’il fut intégré dans beaucoup des structures les plus importantes du monde. Comme déclaré par Albert Pike auparavant, le dieu Egyptien Horus et l’étoile Sirius sont souvent associés.
    Dans le symbolisme Maçonnique, l’œil d’Horus (ou l’Oeil qui voit tout) est souvent décrit entouré de l’éclat de la lumière de Sirius).
    Etant donné la corrélation symbolique entre l’Oeil qui voit tout et Sirius, la prochaine image se passe d’explications.

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    Le Monument de Washington, un obélisque Egyptien représentant le principe masculin, est directement relié au  dôme du Capitole, représentant le principe féminin. Ensemble, ils engendrent Horus, une énergie invisible représentée par Sirius.

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    L’Oeil d’Horus à l’intérieur du triangle (symbolisant la déité) entouré par le scintillement de Sirius, l’Etoile Flamboyante)
    L’Oeil qui voit tout au sein de l’Etoile Flamboyante dans l’art Maçonnique

    Codes surprenants déchiffrés au Vatican : la Cité Vaticane et Rome : Incroyable ésotérisme


    L’Ordre de l’Étoile de l’Est


    L’Ordre de l’Étoile de l’Est (OES) est considéré avoir été directement nommé d’après Sirius, « l’Étoile qui s’élève à l’Est ». Une explication provenant du grand public sur l’origine du nom de l’Ordre prétend que ce dernier est issu de « l’Étoile de l’Est », qui conduisit les trois Rois Mages à Jésus-Christ.  
    Cependant, l’examen  de la signification occulte du symbolisme de l’Ordre montre clairement que l’OES est une référence à Sirius, l’étoile la plus importante de la Franc-maçonnerie, sa maison mère.

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    Art OES dépeignant Sirius au-dessus de la Grande Pyramide

     La Théosophe Helena Blavatsky et Alice Bailey, les deux principales figures associées à la Théosophie, ont toutes deux considéré Sirius comme une source ésotérique de pouvoir. Blavatsky a affirmé que l’étoile Sirius exerçait une influence directe et mystique sur le ciel vivant entier et était lié à chaque grande religion de l’Antiquité.
     Alice Bailey considère l’Etoile du Chien comme la véritable « Grande Loge Blanche » et estime qu’il est la demeure de la « Hiérarchie Spirituelle » Pour cette raison, elle conclut que Sirius est « l’étoile de l’initiation. » 

    « C’est la grande étoile de l’initiation car notre hiérarchie (une expression du second aspect de la divinité) est sous la supervision ou le contrôle magnétique spirituel de la Hiérarchie de Sirius. Ce sont les influences majeures par lesquelles le Christ cosmique opère sur le principe christique dans le système solaire, sur la planète, sur l’homme et dans l’expression des formes de vies inférieures. On appelle cela, en termes ésotériques, « l’astre scintillant de sensibilité ». [10]

    Comme la plupart des écrivains ésotériques, Bailey estime que Sirius a un impact important sur la vie humaine.
    « On ne peut ici que traiter ce sujet profond et énumérer brièvement quelques influences cosmiques qui affectent sûrement notre Terre,  portant partout ses fruits dans la conscience des hommes et qui durant le processus d’initiation, engendrent certains phénomènes particuliers.
    “En premier lieu existe la force ou l’énergie émanant du soleil Sirius. Si elle devrait vraiment être exprimée, l’énergie de la pensée, ou la force de l’esprit, atteint le système solaire dans sa totalité via Sirius à partir d’un centre éloigné. Sirius agit comme un transmetteur ou le centre focalisant duquel émane ces influences qui produisent la conscience de  soi de l’homme.” [11]

    Les Dogons et les Pétroformes
    Le symbole de l’OES est une étoile inversée, similaire à l’Etoile Flamboyante de la Franc-Maçonnerie.

    Aleister Crowley, the A.A. and Kenneth Grant


    En 1907, Crowley lança son propre ordre occulte appelé les A.A. – pour Argentium Astrum, ce qui peut se traduire par « l’Ordre de l’Astre d’Argent ». L’Astre d’Argent était, bien sûr, une référence à Sirius.
    Même si Crowley faisait presque toujours référence à l’Etoile du Chien en termes voilés, l’ensemble de sa philosophie magique, dès son développement de jeune Franc-maçon jusqu’à ses années finales à la tête du O.T.O., est en parfait accord avec l’influence Sirienne, laquelle fut identifiée et exprimée par d’autres écrivains de cette ère. On pense que ses présumés contacts avec son ange gardien Sacré qui le conduisirent plus tard à faire la canalisation de «  Liber AL: The Book of the Law’ ont pour origine Sirius. Si Crowley utilisa des mots codés pour décrire Sirius, Kenneth Grant, son protégé, a écrit largement et de façon explicite sur l’étoile du Chien. Dans ses nombreux livres il a souvent décrit Sirius comme étant un centre puissant de pouvoir magique et magnétique.

    Sa conviction que l’étoile était la clé centrale à la révélation des mystères des traditions Egyptiennes et Typhoniennes  s’est renforcée avec le temps et est devenue l’essentiel de ses recherches. Une des plus importantes thèses de Grant, et la plus controversée, était sa découverte du « courant de Set/ Sirius », qui est une dimension extra-terrienne  connectant Sirius, la Terre et Set, le dieu Egyptien du Chaos – qui fut plus tard associé à Satan.

    « Set est l’initiateur, l’Ouvreur de la conscience de l’homme aux rayons d’un dieu éternel caractérisé par Sirius  - le Soleil au Sud. » [12]
    « Sirius – ou Set – était le « sans-tête » original – la lumière des basses régions (le Sud) qui fut connu (en Egypte) comme An (le chien), d’où Set-An (Satan), Seigneur des régions infernales, lieu de chaleur, interprété plus tard dans un sens moral comme « l’enfer ». [13]

    Bien que chaque philosophie occulte décrive Sirius d’une manière légèrement différente, il est constamment considéré comme le « soleil derrière le soleil », la véritable source de pouvoir occulte. Il est perçu comme le berceau du savoir humain et la croyance de l’existence d’une puissante connexion entre l’étoile et la planète Terre ne semble jamais passer de mode.
    Existe-t-il un véritable lien entre Sirius et la Terre ? L’étoile du chien est-elle un symbole ésotérique représentant quelque chose qui se produit dans les domaines spirituels ? Ou bien s’agit-il des deux  aspects à la fois ?
    Une chose est certaine, le culte de Sirius n’est pas une « chose du passé » et demeure très vivant de nos jours. Un examen en profondeur de notre culture populaire, très influencée par le symbolisme occulte, révèle de nombreuses références à Sirius.

    Sirius dans la culture populaire
    Les références directes à Sirius dans la culture populaire sont trop nombreuses pour les énumérer tous (voir le nom et les logos des plus importants satellites radio dans le monde). Un aspect plus intéressant de la culture populaire à analyser réside dans les références codées à Sirius.
    Des films marquants ont de fait, fait référence de manière à la fois profonde et voilée à l’étoile du Chien (apparemment de façon tout à fait intentionnelle pour ceux « qui savent »), où l’astre joue le rôle qui lui a toujours été dévolu par les Mystères : celui d’initiateur et d’enseignant divin. En voici quelques exemples : 

    Les Dogons et les Pétroformes

    Dans le Pinocchio de Disney, basé sur une histoire écrite par le Franc-maçon Carlo Collodi, Gepetto fait une prière à l’étoile la plus brillante du ciel pour devenir un « vrai petit garçon ». La Fée Bleue (sa couleur est une référence à la lueur bleue de Sirius), descend alors du ciel pour donner vie à Pinocchio.
    Durant la quête de la marionnette pour devenir un garçon (une allégorie de l’initiation ésotérique), la Fée Bleue guide Pinocchio vers le « droit chemin ». Par conséquent, Sirius est représentée comme une source de vie, un guide et un enseignant.

    Le thème de la chanson du film Pinocchio est aussi une ode à Sirius :
    „Lorsque tu fais un vœu à une étoile, cela ne fait aucune différence qui tu es
    Tout ce que désire ton cœur viendra à toi.
    Si ton cœur est dans tes rêves, aucune requête n’est trop extrême
    Lorsque tu fais un vœu à une étoile comme les rêveurs font.
    « (Le Destin est bienveillant, il donne à ceux qui aiment
    Le doux accomplissement de leur désir secret).
    Comme jailli de nulle part, le destin entre et voit au travers de toi
    Lorsque tu fais un vœu à une étoile, tes rêves deviennent réalité. »

    Les Dogons et les Pétroformes

    Dans Harry Potter, le personnage nommé Sirius Black est clairement une référence à Sirius B (l’étoile la plus sombre du système binaire de Sirius). Il est le beau-père d’Harry Potter, ce qui fait de Sirius, une fois de plus, un enseignant et un guide. Le magicien peut se transformer en un gros chien noir, un autre lien à « l’étoile du Chien).

     

    Les Dogons et les Pétroformes

     Dans le film « Truman Show », un spot – utilisé pour imiter la lumière de l’étoile dans le monde fabriqué – tombe du ciel et manque de le heurter. Le label sur le spot l’identifie à Sirius. La rencontre de Truman avec Sirius lui donne un aperçu de « véritable connaissance » et accélère sa quête de la vérité. Sirius est donc « l’étoile de l’initiation ». Elle oblige Truman à réaliser les limitations de son monde en studio (notre monde matériel) et le conduit à la liberté (émancipation spirituelle).


    En conclusion
    De l’aube de la civilisation aux temps modernes, des lointaines tribus d’Afrique aux grandes capitales du monde moderne, Sirius fut – et est encore – vue comme pourvoyeuse de vie. En dépit des disparités entre les cultures et les époques, les mêmes attributs mystérieux sont octroyés à l’étoile du Chien, ce qui nous amène à nous demander : comment toutes ces définitions se sont-elles synchronisées de façon si parfaite ?
    Il y a-t-il une source commune à ces mythes sur Sirius ? L’Etoile du Chien est invariablement associée au Divin et est considérée comme la source du savoir et du pouvoir.
    Ces connections sont particulièrement évidentes lorsqu’on examine les enseignements et le symbolisme des sociétés secrètes, lesquelles ont toujours enseigné au sujet du mystérieux lien au sujet de ce corps céleste particulier.
    Existe-t-il un lien secret entre l’évolution de l’humanité et Sirius ? Révéler ce secret signifierait alors révéler un des plus grands mystères de l’humanité. 
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     References: Secret Arcana; BodyMindSoulSpirit;
     1. Marshall Adams, The Book of the Master
     2. J.B. Holberg, Sirius: Brightest Diamond in the Night Sky
     3. Manly P. Hall, The Secret Teachings of All Ages
     4. Helena Blavatsky, Theosophical Glossary
     5. Robert Temple, The Sirius Mystery
     6. Manly P. Hall, The Secret Teachings of All Ages
     7. Albert Pike, Morals and Dogma
     8. Ibid
     9. Pike, op. cit.
     10. Alice Bailey, Esoteric Astrology
     11. Alice Bailey, Initiation, Human and Solar
     12. Kenneth Grant, The Magical Revival
     13. Ibid.
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    Traduction : Nicole V. Joseph 

     

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      VOIR AUSSI LA PAGE SUR SIRIUS :

    http://messagesdelanature.ek.la/#!/homme-sirius-p233358

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