• Les pierres d'Ica et les figurines d'Acambaro

    Découvertes extraordinaires

    Les pierres d'Ica et les figurines d'Acambaro 

    Les figurines d’Acambaro ont été découvertes dès 1944 au Mexique par l'allemand Waldemar Julsrud, puis par des paysans du cru rémunérés pour leurs trouvailles. Elles représentent, entre autres, des chameaux et des animaux inconnus de formes variées mixant le connu et l'imagination (voir cryptozoologie). Ensemble avec les pierres d'Ica (Pérou) et d'autres représentations. Certaines sont visibles au musée d'Acambaro.

    Charles Hapgood, professeur d'histoire et d'anthropologie à l'université du New Hampshire, est le premier scientifique à s'y être intéressé et les a fait analyser par le laboratoire d'Isotopes Inc. du New Jersey en 1968 et l'université de Pennsylvanie en 1972. Le matériau remonterait à plus ou moins 3000 ans avant JC. Dans le cas de poteries, la datation au radiocarbone indique seulement l’ancienneté des matériaux organiques (ossements ou végétaux) que la terre peut contenir et non la date de fabrication des objets. Cependant, il y a des poteries égyptiennes qu'on considère comme plus anciennes.

    Les figurines ont été découvertes sur un site tarasque, culture apparue à partir du xe siècle de notre ère. Il se peut que certaines personnes aient été tentées par la fraude à cause de la rémunération offerte par Julsrud aux découvreurs.

    (source : wikipedia)

    figurines d’Acambaro

    Une femme face à un reptile

    Toutes les céramiques ont été découvertes sur une aire d’environ ½ hectare dans le mont du Toro.

    figurine d’Acambaro

    Un étrange reptile qui semble étouffer un homme

    Comme d’habitude, les préhistoriens ont affirmé que cette affaire n’était qu’une fraude. Manque de chance pour eux, en 1972, trois figurines ont été analysées par la méthode de la thermoluminescence dans les laboratoires du Pensylvania Muséum (USA). Les résultats sont les suivants : les figurines datent d’au moins 2 500 ans avant notre ère. Acambaro a ainsi été authentifié.

    figurine d’Acambaro

    Cette figure d'Acambaro ressemble sans aucun doute à un dinosaure sauropode

    Odilon Tinajero et ses deux fils qui ont récolté les 32 000 figurines pour le compte de Julrud savaient tout juste lire et écrire.

    figurine d’Acambaro

    En 1945, on ne savait quasiment rien des dinosaures et de la faune préhistorique. Il est donc absurde de penser que ces gens-là avaient pu sculpter ces figurines.

    Et la roue dans tout ça ?

    Il y a une chose qui frappe quand on regarde les pierres d’Ica ou les figurines d’Acambaro, c’est l’absence de représentation de la roue.
    Pierre Charroux y fait rapidement allusion dans son ouvrage. Il l’explique en avançant l’hypothèse que cette civilisation avancée a pu suivre un autre chemin d’évolution.

    Je ne le rejoins pas sur ce point. En effet, la roue est à la base de toute progression d’une civilisation dite « primitive » vers une civilisation dite « technologique ».
    Sans cette géniale invention, nul moyen de transport ni agriculture moderne.

    Ce qui m’a également intrigué c’est qu’en parallèle de cette absence de représentation de la roue, on peut voir par contre un homme chevauchant un animal dans les airs.

    La logique me fait dire que les artistes qui ont dessiné les scènes n’appartenaient pas à une civilisation technologiquement avancée. S’ils avaient voulu reproduire un avion ou un engin spatial, ils auraient tout simplement dessiné ces engins de manière réaliste.
    S’ils n’ont pas dessiné la roue, c’est probablement parce qu’elle leur était inconnue.

    Partant de ce principe, je pense que ces artistes n’ont fait que reproduire avec des symboles des choses qu’ils ont vues ou qu’on leur a retranscrites oralement sans vraiment les comprendre.

    L’autre scène qui me fait dire que ceux qui ont gravé ces pierres avaient peu de connaissances est la retranscription de l’opération de la greffe du cœur.

    Pierre d'Ica. Opération à coeur ouvert

    (Pierre d'Ica. Extraction du coeur)

    Nous avons en effet d’un côté une opération chirurgicale à cœur ouvert reproduite dans ses moindres détails, mais de l’autre un homme qui extrait des serpents du cerveau d’un patient.

    Pierre d'Ica. Des serpents sont extraits de la tête d'un patient

    Pierre d'Ica. Des serpents sont extraits de la tête d'un patient.

    Cette scène est typique des superstitions liées aux maladies inconnues.

    Quelques pistes

    Les géologues ont apporté la preuve qu’un ou plusieurs grands cataclysmes planétaires se sont produits dans le passé.
    Le mythe du Déluge n’est aujourd’hui plus un mythe sauf pour les scientifiques les plus bornés.

    Nous avons retrouvé à travers le monde entier des objets qui n’auraient jamais dû exister : mécanisme d’anticythère, modèles réduits d’avions, accumulateurs à piles sèches, cartes anciennes reproduisant le monde bien avant la dernière glaciation…
    Sans parler des nombreux vestiges archéologiques dont la construction reste une énigme et dont certains, comme le Sphinx de Gizeh, sont datés à une époque où l’homme dit "civilisé" n’était pas censé exister.

    Alors, que doit-on en conclure ?

    Certaines civilisations anciennes étaient-elles technologiquement plus avancées qu'on ne le croit ?

    Ou manque-t-il un élément fondamental dans ce puzzle qui nous permettrait de comprendre ces incohérences ?

    Les indices accumulés sont nombreux et disséminés dans le monde entier. Il faudrait pouvoir rassembler tous les éléments qui viennent en contradiction avec les théories officielles.

    En effet, seule une analyse globale des éléments nous permettra d’établir une théorie cohérente.

    V.Battaglia (04. 2005) (source : dinosoria)

    Les Pierres d’ICA

    1) La première curiosité des pierres d'Ica réside dans l'emplacement même où ces pierres ont été trouvées. En venant de la mer, ou en longeant les côtes péruviennes, lorsque vous voyez le "Chandelier des Andes", vous suivez la direction qu'il indique vers les fameuses lignes de Nazca et vous survolerez Ica, petite ville à 360 kilomètres au sud de Lima.
    C'est une région désertique, parmi les plus anciennes du globe, où l'on peut voir de nombreux restes pétrifiés d'animaux affleurant à la surface.
    Le sous-sol contient de nombreuses tombes incas et pré-incaïques.

    2) La deuxième curiosité, est la manière dont ces pierres ont été déclarées fausses. Celles-ci ne seraient qu'un canular monté par un simple paysan péruvien illettré !

    Il semble que des pierres noires gravées aient été ramenées en Espagne par les premiers conquistadors du Pérou au XVIe siècle, puis d'autres auraient émergé en 1908, puis de nouveau, quelques pierres auraient été vendues dès 1961, mais ne possédant pas de références à leur sujet, nous n'en tiendrons pas compte.

    Les premières pierres sont rassemblées au début des années 60 par Carlos et Pablo Soldi. Pendant des années, ils demanderont officiellement à de nombreuses reprises que leurs pierres soient examinées par les autorités dites compétentes, en vain... Puis en 1966, un architecte, Santiago Agurto Calvo, qui avait également réuni de nombreuses pierres depuis plusieurs années, procéda à l'excavation de tombeaux à Ocucaje. Il trouva alors quelques spécimens dans des tombes pré-incaïques.
    C'était la première fois que la provenance de ces pierres pouvait être authentifiée, en accord avec l'archéologie officielle. Cela n'a pourtant pas suffit à intéresser les archéologues...

    L'histoire officielle des pierres d'Ica commence donc en 1966.

    A l'occasion de son anniversaire, le Dr Javier Cabrera Darquea, médecin et professeur de biologie, se fit offrir, par un paysan d'Ocucaje, une petite pierre gravée comme presse papier, sur laquelle pierre était gravé un poisson.Ce petit cadeau anodin allait modifier le cours de sa vie. Le biologiste croit reconnaître sur le dessin une espèce disparue depuis plusieurs millions d'années. Intrigué, il va alors devenir le premier client du soi-disant faussaire et commencer sa collection pour amasser jusqu'à plus de 15 000 pierres, de la taille d'une tomate jusqu'à certaines pesant plus de 500 kilogrammes pour plus d'un mètre trente de diamètre.
    Dès lors, il n'aura de cesse de rassembler et de s'efforcer de décrypter cet unique héritage du passé.

    Mais le Dr Cabrera ne peut tout acheter. Les huaqueros, pilleurs de tombes, commencent alors à vendre certains galets aux touristes toujours avides d'antiquités.

      

    Les autorités péruviennes, ne voulant pas que leur pays ne devienne l'Egypte de l'Amérique du sud et voir ses richesses archéologiques pillées par les étrangers, en vertu des lois nationales et internationales sur la protection du patrimoine, arrêtent le plus gros vendeur dans son échoppe.

    Il est emmené et incarcéré à Lima pour pillage du patrimoine national, il risque un grand nombre d'années de prison, voire la perpétuité. Le fermier, même s'il est illettré, comprend vite la situation :

    • ou bien il révèle l'endroit où il a trouvé les pierres pour atténuer sa peine,
    • ou bien il reconnaît qu'il les a lui-même fabriquées, auquel cas aucune charge ne peut être reconnue contre lui.

    Evidemment il signe des aveux complets ; il a fabriqué toutes les pierres, elles sont fausses, il a trompé les touristes. L'affaire est entendue, tout le monde est satisfait. Mais, on peut se demander si ces scientifiques rigoureux et rationnels, ne se sont pas à leur tour laissés berner.

    Il reste plusieurs points à éclaircir :

    Les galets sont en andésite, une roche volcanique du Mésozoïque vieille de 230 à 60 millions d'années, extrêmement dure et oxydée sur sa couche extérieure, ce qui rend néanmoins la gravure possible. Or, les incisions qui font la gravure sont elles aussi oxydées et ont été expertisées par un laboratoire péruvien puis allemand, de l'université de Bonn, comme extrêmement anciennes ( une datation exacte est impossible dans l'état actuel de nos connaissances ).
    Il serait donc très intéressant de savoir comment et surtout pourquoi ce paysan illettré se serait compliqué la tâche à ce point juste pour donner à des faux une apparence authentique d'une manière aussi subtile en n'oxydant que les incisions ! 

    Un autre argument en faveur de l'authenticité de ces pierres gravées, tient dans leur nombre.
    Même en ne tenant compte que des 15 000 pièces détenues par le Dr Cabrera, ( et il estime qu'il en a été exhumé entre 40 000 et 50 000, avec ce qui a été vendu aux touristes, ce qui est toujours conservé par les habitants et dans le musée d'Ica ) :Un autre point remarquable tient dans la diversité des sujets dessinés sur ces pierres et les connaissances nécessaires pour imaginer toutes ces gravures qui font de ce paysan illettré un érudit hors-pair. 

    ce pauvre paysan aurait dû se mettre au travail dès son adolescence à raison de 10 heures par jour et cela sans interruption pendant plus de 40 ans, belle constance et une sacrée suite dans les idées, pour récolter in fine quelques dollars !

    ou bien, ce fermier est le dirigeant de gros ateliers de fabrication qu'il serait quand même assez difficile de dissimuler, et de conserver secrets, les paysans locaux ayant une seconde activité, ce qui ne serait pas passé inaperçu, alors que les quelques faux, décelables, qui sont fabriqués, le sont en plein jour à la vue de tous. 

    3)La troisième curiosité des "glyptolithes" ( nom donné à ces galets gravés par le Dr Cabrera qui les étudie depuis près de 40 ans ), tient dans ce que ces gravures nous apprennent et qui font qu'elles sont rejetées sans appel possible par la communauté scientifique, tellement ce qu'on y voit est en désaccord avec tout ce que l'on nous a appris.

    Par exemple, on y voit pêle-mêle, des hommes domestiquant des dinosaures, combattant d'autres dinosaures, des espèces animales disparues ( voir également Acambaro ), des hommes regardant les étoiles à l'aide de longue-vues, regardant des pétroglyphes ou des fossiles avec des loupes, des cartes stellaires, des cartes de la Terre telle qu'elle était il y a 13 millions d'années, des opérations chirurgicales stupéfiantes, décrites étape par étape, des césariennes, des transplantations d'organes, du coeur, des reins et même du cerveau (!!!), etc…

    Evidemment, tout cela ne cadre absolument pas avec ce que nous croyons savoir sur le passé. Pourtant, plus qu'un simple fouillis descriptif, ces pierres selon le Dr Cabrera, nous racontent une histoire sur notre passé.

    En résumé, sans trop entrer dans des détails fantastiques, une "humanité" nous a précédés. Elle avait atteint un niveau technologique très avancé, mais elle s'est vue anéantir par une catastrophe cosmique, chute d'une météorite ou d'une comète. Les rescapés ont dû repartir à zéro, et ont alors gravé ces galet comme témoignage de leurs connaissances, pour la postérité.

    Pris de manière isolée, ces galets n'ont aucun sens , mais si on fait le rapprochement avec les autres découvertes impossibles, notamment en paléontologie, on peut y apercevoir les bases d'une nouvelle préhistoire

    Alors, peut-être pour encore quelques années, la mémoire de notre passé va sommeiller au fond d'une grotte, en espérant que celle-ci ne soit pas pillée.

    A l'instar de M. Emile Fradin pour Glozel, le Dr Cabrera a voué sa vie entière à son musée. Malgré toutes les entraves, les humiliations subies, les refus systématiques de fouilles afin de faire la lumière sur cette affaire, il a toujours accueilli avec une grande gentillesse tous les visiteurs qui se sont présentés à son musée et cela jusqu'à son décès en décembre 2001 à la suite d'un cancer.
    Sa famille a pris sa suite et le musée reste malgré tout ouvert, mais seulement sur rendez-vous.

    (Source : di5

       

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