• Des femmes venues d'ailleurs.

     Mystères des ovnis
      

    Des femmes venues d'ailleurs 

    Utsuro Bune, l'ovni et la mystérieuse voyageuse

     JAPON (1803) 

    Des femmes venues d'ailleurs

    Une histoire particulièrement étrange

    et assez bien documentée est apparue pendant la période Edo japonaise (1603-1867). Cette période a été d'ailleurs la dernière pour les japonais en ce qui concerne un isolement exceptionnellement bénéfique pour sa prospèrité, sa paix et sa culture, qui se sont développés plus facilement. Cette assez longue période sans guerre, sans migrations ni commerce avec l'extérieur pratiquement a donc permis un développement complet de la culture japonaise sur toutes les îles que comporte ce grand archipel, y compris ses légendes et folklores, la mythologie étant cultivée et améliorée. 

    Mais une histoire retient particulièrement l'attention, car il ne s'agit pas d'un vieil héritage japonais ancestral, mais bien d'une nouvelle légende apparue à l'époque : 

    La datation n'est pas très précise, mais on sait que, un jour de l'année 1803, quelques pêcheurs du petit port de Harasha-ka-Hama, au nord du Japon, venait d'arrêter leur dur labeur de la journée pour se reposer, lorsqu'ils repèrent un objet étrange venant du rivage. De loin, les hommes voient ce qui ressemble à un bateau étrange, apparemment à la dérive sans but dans l'océan Pacifique. Alors qu'il dérivait plus proche du rivage, les pêcheurs ont décidé de plonger et d'aller le voir de plus près. Très intrigués mais avec prudence, les hommes nagent lentement vers le "bateau" pendant que la marée les aide en le rapprochant encore. Dès qu'ils sont assez proches, ils savent que ce n'était pas ordinaire, ce n'était rien de ce qu'ils avaient jamais vu de leur vie. 

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    Des femmes venues d'ailleurs

    Différents témoignages des années 1800, rapportés de différentes parties du Japon, montrent la même histoire,

    avec le même type d'engin et la même femme... 

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    Ils se décidèrent assez rapidement pour une inspection du navire étrange et entreprirent de le remorquer jusqu'au rivage, toujours aidés par la marée. Ils parvinrent à faire glisser les trois à cinq mètres de large du vaisseau étrange à un endroit sûr de la plage. Le village entier se réunit autour, curieux de voir ce qu'il y avait à l'intérieur de ce navire inconnu. Une inspection minutieuse des matériaux de construction fut d'abord effectuée. Ce qui nous est parvenu, c'est une description de la partie supérieure de ce navire, qui ressemblait à du bois de bambou. Cependant très lisse et solide, avec une couche de peinture rouge qui couvrait toute la partie supérieure. Toujours au-dessus se trouvaient des fenêtres de cristal qui leur ont permis de scruter l'intérieur du bateau. Pour la partie inférieure du vaisseau, la légende rapporte qu'elle était faite de plaques d'airain... un design extrêmement étrange pour cette époque. Le plus étrange étant encore ce qui se trouvait à l'intérieur du navire. 

    En effet, l'intérieur était décoré avec un texte écrit dans un langage inconnu et étrange. C'était beaucoup plus des symboles géométriques et les simples pêcheurs japonais ne pouvaient comprendre ce que cela voulait bien dire, et qui l'avait écrit. Jusqu'à ce qu'ils découvrent, au milieu de ces étranges hiéroglyphes, une femme assise. Selon la légende, cette femme était assez jeune d'apparence, pas plus de 18 ou 20 ans. Ils l'ont décrite comme ayant les cheveux rouges feu et des sourcils très lisses, une couleur de peau très pâle. Ses vêtements étaient faits de tissus inconnus. 

     La Visiteuse 

    Les hommes chantaient autour du mystérieux visiteur et ils ont immédiatement fait remarquer que non seulement elle ne leur ressemblai pas, mais elle parlait dans une langue inconnue. Elle a été décrite comme étant très sympathique et courtoise. Tant les pêcheurs et les visiteurs ont essayé de communiquer avec, mais ont constaté qu’il s’agissait d’un effort futile. De là les pêcheurs décidèrent de découvrir pourquoi la femme tenais sur la poitrine une boîte allongée si étroitement, comme si que le contenu de la boîte pourrait lui sauver la vie. Elle n’a jamais permis à personne de toucher la boîte et a été décrite comme suspectant quiconque qui l’interrogerais à ce sujet.
    Cela a conduit les hommes à théorisé que peut-être ce qu’elle portait dans la boîte était la tête de son amant. Ce qui expliquerait sa réaction bizarre. Mais ce n’était qu’une théorie. Les hommes ont essayé à nouveau de communiquer avec elle, et elle aussi a essayé d’échanger des informations. 

    Après avoir tenté de communiquer, les pêcheurs ont signalé que la femme, avait apparemment abandonné l’échange, et était remonté sur le Utsuro-bune afin de battre en retraite dans les eaux froides qui la ramènerais dans son monde. Source : area51

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    Des femmes venues d'ailleurs

    Ci-dessous un parallèle avec les symboles du vaisseau de l'affaire de Rendlesham (GB) 

    de 1980. Autre lieu, autres témoins, mais des symboles très proches....

    Des femmes venues d'ailleurs

     Voir la page : La nuit incroyable de Rendlesham

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    Les symboles de Utsuro Bune (Japon - 1803)

     Autre parallèle avec la fameuse barre du Chef Standing Elk de sa rencontre avec des Etres d'Orion en 1995

    Regardez ci-dessous le cinquième symbole de la barre, tenue par Le Chef Standing ELK, montrant selon lui, des gravures se trouvant sur le "vaisseau de lumière" avec lequel il a communiqué et vécu un contact avec des êtres d'Orion. Il ressemble fortement au symbole ci-dessus dessiné en 1803 et rapportant l'histoire de  l' Utsuro Bune !

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      Voir la page : Alphabets d'outre-espace

    1  Des femmes venues d'ailleurs          Des femmes venues d'ailleurs   3  Des femmes venues d'ailleurs

    1 - Agrandissement du symbole de la Barre (Standing Elk) ,  2 et 3  - Agrandissement du symbole de Utsuro Bune (Japon)

    Un petit air de famille ?

    VOIR AUSSI D'AUTRES SYMBOLES sur l'affaire de RENDLESHAM (GB) en 1980

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    La femme tenait serré contre sa poitrine une sorte de boîte allongée, et les hommes bondirent en arrière quand elle se leva. Ils reculèrent tous et encerclèrent le mystérieux navire pendant que l'étrange voyageuse sortait de la "cuve" (description de la légende) et mettait les pieds sur la plage.

    Les hommes chantèrent autour de la visiteuse, remarquant immédiatement que non seulement elle ne leur ressemblait pas du tout, mais qu'elle parlait également une langue inconnue. Elle est décrite comme très sympathique et courtoise. Ils ont tous essayé de communiquer avec elle, y compris des voyageurs d'autres villages, mais en vain. Les pêcheurs ont tenté de découvrir pourquoi la femme tenait en permanence une boîte allongée sur la poitrine si étroitement, comme si le contenu de la boîte pouvait lui sauver la vie. Elle n'a jamais autorisé quiconque à toucher la boîte, et a été décrite comme très soupçonneuse envers quiconque tentait de l'interroger à ce sujet.(...)

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      Source : sciences-fictions-histoires 

    L'histoire d'une autre femme tout aussi étrange !

    OREJONA La Vénusienne de Tiahuanaco (Pérou)

      D'après les écritures de la porte du Soleil à Tiahuanaco, Orejona serait descendue sur Terre avec un vaisseau plus brillant que le Soleil, ayant pour but de créer l'humanité. Elle s'accoupla avec un animal et la race humaine serait apparue de cette manière.  Il est écrit aussi qu' Orejona était originaire de Vénus, qu'elle était semblable en tous points à nous sauf ses mains palmées et sa tête en cône.    

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    Le récit conté ci-dessous provient de documents rédigés par le descendant du célèbre Garcilaso de la Vega. Ce natif de Cuzco (au Pérou) est le fils d’un noble conquistador espagnol et d’une princesse Inca. Il était donc au première loge pour avoir accès aux archives de ces peuples si fascinants qui régnaient en maîtres sur l’Amérique avant l’arrivée des Européens.

    Les détails sont impressionnants, riches et passionnants … 

     « A l’ère tertiaire (il y a environ 5 millions d’années), alors que nul être humain n’existait encore sur notre planète peuplée seulement d’animaux fantastiques, un aéronef brillant comme l’or vint se poser sur l’Île du Soleil du lac Titicaca. 

    De cet aéronef descendit une femme ressemblant aux femmes actuelles pour tout le corps des pieds jusqu’aux seins ; mais elle avait la tête en forme de cône, de grandes oreilles et des mains palmées à quatre doigts. 

    Son nom était « Orejona » (Grandes Oreilles) et elle venait de la planète Vénus où l’atmosphère est à peu près analogue à celle de la Terre. 

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    Ses mains palmées indiquaient que l’eau existait en abondance sur sa planète originelle et jouait un rôle primordial dans la vie des Vénusiens. 

    Orejona marchait verticalement comme nous, était douée de l’intelligence et sans doute avait-elle l’intention de créer une humanité terrestre, car elle eut des relations avec un tapir, animal grognant, marchant à quatre pattes. Elle engendra plusieurs enfants. 

    Un jour, sa mission accomplie, ou peut-être lasse de la Terre, et désireuse de revenir sur Vénus où elle pouvait avoir un mari à son image, Orejona reprit son vol en astronef. Ses enfants, par la suite, procréèrent, se vouant surtout au destin de leur père-tapir, mais dans la région de Titicaca une tribu demeurée fidèle à la mémoire d’Orejona développa son intelligence, conserva ses rites religieux et fut le point de départ des civilisations préincaïques.

    Voilà ce qui est écrit sur le fronton de la Porte du Soleil à Tiahuanaco. »

    Cet écrit aux allures mythologiques a semé le trouble parmi beaucoup d’ufologues. On pourrait y voir ici un culte du Cargo antique comme le suggère Erich Von Däniken. Lorsque les extraterrestres seraient venus sur Terre pour nous apporter la lumière de la Science, ils auraient laissé de nombreuses traces. Mais le temps passant et quelques centaines (voire milliers) d’années, les hommes auraient progressivement divinisé ces êtres extra planétaires, pour, au final, créer les religions d’aujourd’hui.

    Source : activite-paranormale

       

    La Porte du soleil de Tiahuanaco (Pérou) et la légende d'Orejona

      La civilisation de Tiwanaku (en aymara, ou Tiahuanaco, nom de la ville moderne en espagnol), est une civilisation pré-inca qui a dominé la moitié sud des Andes centrales entre le Ve siècle et le XIe siècle.La civilisation de Tiwanaku (en aymara, ou Tiahuanaco, nom de la ville moderne en espagnol), est une civilisation pré-inca qui a dominé la moitié sud des Andes centrales entre le Ve siècle et le XIe siècle.Selon certaines hypothèses littéraires controversées, émises par Arthur Posnansky ou Rolf Müller et relayées par des journalistes comme Robert Charroux ou Serge Hutin, la construction de la plus ancienne cité de cette civilisation remonterait à plus de 10 000 ans av. J.-C.3. Elles se fondent notamment sur différentes constructions interprétées comme des quais, mais qui se trouvent à une distance du lac qui ferait remonter leur construction à 15 000 ans av. J.-C., à l’époque où le lac aurait pu longer ces constructions ; un autre argument de cette théorie est l'interprétation.

    Source : wikipedia

    Arrière de la Porte                                                                  Avant de la Porte

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    Ce temple est situé géographiquement de manière mathématique , il forme un triangle isocèle parfait avec les 2 plus hauts sommets du Perou , et son inclinaison permet au soleil a chaque solstices de se lever entre les arcades de la porte du soleil et de se coucher entre celles de la porte de la lune. 

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    Source : planete-revelations 

     " Un jour viendra où l'on pourra dire des civilisations classiques
    des Pharaons, des Chaldéens, des Brahames :
    vous êtes cataloguées dans nos livres comme étant les plus anciennes,
    mais la science prouve que la civilisation pré-incaïque
    de Tiahuanaco est de plusieurs milliers d'années antérieure à la vôtre. "
    Weiner, 1876.

    Entre le lac Titicaca et les lignes de Nazca, on a découvert en 1549 les ruines d’une cité énigmatique abandonnée : Tiahuanaco. Cette cité pré-colombienne est construite à 3840 mètres d’altitude dans les montagnes du sud de la Bolivie.   

    Elle est édifiée dans une chaîne montagneuse entre 4700 à 6000 mètres, ce qui n’est pas un lieu adapté à l’installation d’une civilisation, pourtant on y découvre un temple de forme pyramidale et un autre semi enterré qui selon les estimations, abritait environ 40.000 habitants protégés par un immense fossé.

       La colonie vénusienne... 

    Dans les années 1960, un "rénovateur de la religion du Soleil inca", un certain Beltran Garcia, prétend qu'un astronef originaire de Vénus se serait posé sur les rives du Titicaca et que ses habitants y auraient fondé Tiahuanaco. 

    Ces événements se seraient produits il y a cinq millions d'années... Les idoles géantes seraient les représentations des voyageurs vénusiens. 

    Des femmes venues d'ailleurs   

    Tout en rapportant le fait à environ 10 000 ans avant notre ère, Robert Charroux soutient de même que les Vénusiens sont venus fonder une sorte de colonie à Tiahuanaco, parce que là se trouvait un des rares endroits sur Terre correspondant à leur milieu naturel ! 

    Et l'Atlandide… 

    Certains de ces explorateurs extraterrestres seraient partis visiter la Terre au risque de leur vie, et c'est à eux que l'on devrait la naissance des grandes civilisations antiques. 

    Tiahuanaco et l'Atlantide ne feraient donc qu'une...

    Mais leur acclimatation à la Terre n'ayant pas réussi, les Vénusiens auraient disparu, laissant leur dernier message sur la frise d'un des bâtiments : la "porte du Soleil". 

    Que nous apprend la légende sur la ville mystérieuse de Tiahuanaco ? 

    Elle parle d'un vaisseau doré qui descendit des étoiles ; à bord de celui-ci il y avait une femme nommé Orjana dont la mission était de fonder une race nouvelle. Les mains d'Orjana étaient palmées et ne comptaient que quatre doigts. 

    Elle donna le jour sur terre à 70 enfants, puis regagna les étoiles. De fait, on trouve à Tiahuanaco, gravés ou taillés dans la pierre, des êtres qui n'ont que quatre doigts. Ces figurines sont aussi anciennes que la ville elle-même. 

    On peut présumer que le cosmonaute, l'Homme de Tiahuanaco, tout comme Prométhée, a dû payer le tribut de son inadaptation à l'atmosphère épaisse, torride des plaines arabiques. Alors, se référant aux carte que découvrit plus tard Piri Réis. par-delà la mer Rouge, il se dirigea vers le pays des cimes neigeuses, éparpillant sur sa route, en Arabie, en Chaldée, en Assyrie, des bribes de son savoir. 

    Et l'on songe à Prométhée, initiateur des hommes, châtié par Jupiter et enchaîné précisément - selon la tradition grecque - sur la cime du Caucase, à une altitude qui est exactement celle du plateau des Andes. 

    La ressemblance est troublante entre l'Atlante, fils d'Orejona aux jolis pieds, et Prométhée, fils de l'Océanide aux jolis pieds. Quoi qu'il en soit, quelque 10 000 ans avant notre ère, Tiahuanaco entrait dans la nuit de l'oubli et Abydos, Heliopolis, Thèbes, Memphis, Karnac et Saïs ouvraient pour le monde occidental les premières pages de l'Histoire inconnue des Hommes. 

    À l'appui de cette relation, une cosmographie gravée sur la paroi rocheuse d'une grotte du Kohistan représente Vénus et la Terre reliées par des traits qui figurent une route spatiale. Source : homme-et-espace 

     

    Texte de la Porte du Soleil

    Le texte de cette page est une copie du livre de Robert Charroux, Le livre de ses livres, chez Robert Laffont, page 119 

    L'origine de Tiahuanaco se perd dans les millénaires. Les Incas, lors de la conquête du Pérou par Fernand Pizarre, prétendaient qu'ils n'avaient jamais connu Tiahuanaco autrement qu'en ruine. Les Aymaras, le plus ancien peuple des Andes, disaient que la cité était celle des premiers hommes de la Terre et qu'elle avait été créée par le Dieu Viracocha avant même la naissance du soleil et des étoiles.

        L'énigmatique Rénovateur de la Religion du Soleil inca ; M. Beltran Garcia, biologiste espagnol et descendant direct de Garcilaso de La Vega, le grand historien de la Conquête ; tenait de son aïeul des documents inédits relatifs aux traditions andines. La Porte du Soleil, en elle-même, n'était qu'un témoignage incomplet. Les traditions andines, en elles-mêmes, n'étaient qu'une affabulation. Le tout, juxtaposé, faisait succéder aux interprétations des mythologies et des traditions américaines, égyptiennes, grecques et même babyloniennes, une explication enfin acceptable.

     L'histoire, qui s'arrêtait aux dernières dynasties pharaoniques, venait de faire un bond dans le passé et se prolongeait maintenant jusqu'au dixième millénaire avant notre ère, sinon plus loin.  Voici ce que révélaient les documents secrets de Garcilaso de La Vega, traduits et commentés par M. Beltran :

    TRADUCTION LITTERALE :

    Les écrits pictographiques de Tiahuanaco disent que dans l'ère des tapirs géants, des êtres humains très évolués et d'un sang différent du nôtre, trouvèrent à leur convenance le lac le plus haut de la Terre ( Titicaca). Au cours de leur voyage interplanétaire, les pilotes lancèrent leurs excréments sans atterrir et donnèrent au lac la forme d'un être humain couché sur le dos. Ils n'oublièrent pas le nombril, endroit où se poserait notre première Mère, chargée de l'insémination de l'intelligence humaine. Cette légende, hier, nous aurait fait sourire. Aujourd'hui nos hommes-grenouilles copient artificiellement les doigts palmés des colons de Tiahuanaco. Des indigènes andins vivent à des altitudes où le Blanc ne pourrait s'acclimater, ce qui est la preuve qu'il peut exister un autre sang. Dans leurs puissants télescopes, les visiteurs sidéraux cherchèrent donc une altitude et un lac favorables à leur organisme et à leur vie amphibie. A noter que pour ruiner la tradition et discréditer le lac dans l'esprit des Andins, les cartes géographiques le représentèrent jusqu'en 1912 avec une forme presque ronde. Au nom légitime du lac : Titi (lac du mystère et du soleil), on ajouta le suffixe caca qui, dans beaucoup de langues, signifie excrément.

     Ainsi donc, les documents du descendant de Garcilaso de La Vega faisaient état d'une Eve d'origine extra-terrestre et d'engins interplanétaires. Ils donnaient aussi des précisions étonnantes : A l'ère tertiaire (il y a environ 5 millions d'années), alors que nul être humain n'existait encore sur notre planète peuplée uniquement d'animaux fantastiques, un aéronef brillant comme l'or vint se poser sur l'île du Soleil du lac Titicaca. De cet aéronef descendit une femme ressemblant aux femmes actuelles pour tout le corps des pieds jusqu'aux seins ; mais elle avait la tête en forme de cône, de grandes oreilles et des mains palmées à quatre doigts. Son nom était " Orejona " (grandes oreilles) et elle venait de la planète Vénus où l'atmosphère est à peu près analogue à celle de la Terre. Ses mains palmées indiquaient que l'eau existait en abondance sur sa planète originelle et jouait un rôle primordial dans la vie des Vénusiens. Orejona marchait verticalement comme nous, elle était douée d'intelligence et sans doute avait-elle l'intention de créer une humanité terrestre, car elle eut des relations avec un tapir, animal grognant marchant à quatre pattes. Elle engendra plusieurs enfants. Cette progéniture née d'un croisement monstrueux naissait avec deux mamelles, une intelligence amoindrie, mais les organes reproducteurs restaient ceux du tapir-cochon. La race était fixée. Un jour, sa mission accomplie, ou peut-être lasse de la Terre, et désireuse de revenir sur Vénus où elle pouvait avoir un compagnon à son image, Orejona reprit son vol en astronef. Ses enfants par la suite, procréèrent, se vouant surtout au destin de leur père tapir, mais dans la région de Titicaca une tribu demeurée fidèle à la mémoire d'Orejona développa son intelligence, conserva ses rites religieux et fut le point de départ des civilisations pré-incaïques. Voilà ce qui est écrit sur le fronton de la Porte du Soleil à Tiahuanaco. Source : fileane 

    Voir la page : Les artefacts Pré-Mayas et les ovnis

        

    LA VENUE de "FEMME BISON BLANC" (Amérindiens)

    La Pléïadienne

    Des femmes venues d'ailleurs

    Archie Fire Lame Deer

    Extrait du livre "Le cercle sacré - Mémoires d'un homme-médecine sioux" par Archie Fire Lame Deer   

    Le récit suivant sur la Femme Bison Blanc a été transmis de génération en génération. Archie Fire Lame Deer (1935 - 2001), homme-médecine (chaman), guide spirituel et conférencier Lakota, l'a recueilli de son grand-père. Ce texte est reproduit du site web: Culture Sioux Lakota, avec quelques adaptations et corrections mineures.

    Il y a très, très longtemps, les tribus lakotas se rassemblèrent pour leur grande fête d’été, comme elles le faisaient chaque année, quand la terre était couverte de verdure, que l’herbe était haute et que les plaines regorgeaient de gibier. Cette année-là, pourtant, le gibier restait introuvable, et le peuple avait faim. Parmi les sept tribus rassemblées se trouvaient les Itazipchos, les ‘Sans-Arcs”. Il étaient affamés, et ils cherchaient désespérément des bisons. Le chef Standing Hollow Horn (Corne-creuse-dressée), choisit parmi ses guerriers deux jeunes hommes qui furent chargés de partir en éclaireurs à la recherche de gibier. Ils poussèrent leur exploration bien loin, de tous côtés, mais en vain. Pourtant, au moment où le découragement s'était emparé d'eux et où ils se préparaient  à renoncer et à rentrer au camp, l’un d’eux dit:

    Mon frère, je vois un bison au loin, qui vient vers nous.

    Ils l’observèrent qui se rapprochait, et l’autre jeune guerrier s’exclama:

    Ce n’est pas un bison qui vient là, mais une femme!

    C’était une femme, d’une beauté que les mots sont bien pauvres pour décrire. Elle avait un visage radieux, et elle semblait flotter plutôt que marcher. Elle était vêtue dune peau de cerf blanche, bordée de franges, mais sans aucun ornement, qui l’enveloppait comme une robe longue. Ses cheveux, dénoués, flottaient doucement au vent. Du côté gauche y était accrochée une touffe de poils de bison.

    Quand cette étrange femme fut proche jusqu'à la toucher, un des deux éclaireurs déclara: Femme Bison Blanc - Cette fille est toute seule. Sa beauté dépasse l’imagination. Je vais m’allonger avec elle.

    - Mon frère, ne fais pas ça. Ce n’est pas une femme ordinaire. Tu ne vois donc pas qu’elle marche au-dessus du sol, sans que ses pieds touchent la Terre?

    Mais l’autre refusa de l’écouter, et il tendit la main pour la toucher. Alors un nuage s’abattit sur lui, et quand il se dissipa, il ne restait du guerrier qu’un tas d’os.

       

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    Cette étrange femme s’adressa alors à l’autre éclaireur:

    Ton ami avait des pensées impures, et il a été puni de son manque d’humilité. Je suis envoyée par la nation du bison, et j’apporte un message pour ton peuple, un message d’une extrême importance. Retourne dans ta tribu, et raconte-leur ce qui s’est passé. Demain, au lever du soleil, je viendrai jusqu’à votre camp. Dis au peuple que tout doit être prêt pour ma visite. Dis-leur de dresser un tipi spécial, dont la porte soit orientée dans la direction où le soleil disparaît le soir. Que le sol en soit parsemé de sauge. Avec trois bâtons, deux dressés, un couché, que l’on fabrique un râtelier, devant lequel on posera un crâne de bison. Veillez aussi à préparer un carré de terre soigneusement aplani. Que tout soit sanctifié. À présent, repars vers ton camp sans te retourner.

    Le jeune guerrier suivit ces instructions. Il rapporta au chef Standing Hollow Horn ce qui était arrivée à son ami et les exigences de cette étrange femme. Avec l’aide de l’ensemble du peuple, le chef fit tous les préparatifs pour cette visite. L’eyapaha (le héraut) sillonna la camp pour demander à tous les hommes, femmes et enfants de se rassembler au lever du soleil pour souhaiter la bienvenue à cette femme wakan [sacrée]. Aux premières lueurs de l’aube, la Jeune Femme Sacrée apparut, dans la même tenue que la veille. Elle tenait au creux des mains la Ptechinchala Hulu Chanunpa, la pipe sacrée entre toutes, taillée dans l’os du jarret d’un jeune bison. Cette pipe n’était pas de fabrication humaine, mais c’est Wakan Tanka, le créateur, qui l’avait façonnée. Ptesan Win, femme Bison Blanc, car tel fut son nom désormais, marcha sur les brins de sauge répandu sur le sol en chantant:

    Niya taninyan  Mawani ye  Oyate le  Imawani,  Na  Hotaninyan  Mawani ye.  Niya taninyan  Mawani ye.  Maluta le,  Imawani ye. On voit mon souffle monter  Et je marche  Vers cette nation [du bison]  Je suis en marche,  Et  On entend ma voix.  Je marche.  On voit mon souffle monter  Et je marche.  Cette chose rouge, sacrée,  c’est pour elle que je marche.

    Ptesan Win pénétra dans la hutte préparée à son intention, où elle s’assit à la place d’honneur. Puis elle entama un chant.

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    Mettez cette pipe sacrée au centre. Adressez vos prières à Wakan Tanka, le Créateur. Cette pipe, c’est lui qui vous l'a offerte.

    Elle se tourna vers l’ouest, dont la couleur est le noir, et leva la Pipe:

    Je fais cette offrande aux Wakinyans, les Grands Êtres Ailés. Je leur adresse mes prières.

    Puis elle se tourna vers la droite, en direction du nord, dont la couleur est le rouge, et leva la Pipe:

    Au tourbillon, et à tout ce qui se déplace en cercle, au Vent et aux quatre directions sacrées, je fais offrande.

    Elle se tourna vers l’est, dont la couleur est le jaune, pour présenter la Pipe:

    Le soleil se lève, qui nous offre une nouvelle journée, qui rend grâce pour tout ce qui vit.

    Elle se tourna vers le sud, dont la couleur est le blanc, en priant:

    Je rends grâce au monde des Esprits, le monde qui se trouve au-delà.

    Quand elle eut bouclé le cercle, elle leva la Pipe bien haut vers le ciel, pour prier et instruire le peuple:

    Je suis vos coeurs. Nous ne formons qu’un, un peuple, un esprit. Nous sommes la nation du bison.

    Puis elle chanta:

    Je vous donne cette Terre,  Vous y marcherez d’un pas sacré.  Vous marcherez, en parfait équilibre avec Unchi,  Notre Grand-mère la Terre.  Je vous donne cette Pipe sacrée.  Avec elle vous prierez  Pour tout ce qui vit,  Pour les créatures qui marchent, qui volent,  qui nagent, et qui rampent.

    S’adressant au peuple, elle ajouta:

    Un jour, je reviendrai, et ce sera pour toujours. Alors commencera une nouvelle vie, et une nouvelle intelligence.

    Le Chef Standing Hollow Horn s’adressa à la Jeune Femme Bison:

    Ma sœur, tu es venue pour nous consoler en temps de détresse. Nous avons coutume d’offrir à manger à nos hôtes, mais nous sommes pauvres, et nous ne pouvons t’offrir que de l’eau.

    Sur ces paroles, il plongea une tresse de wachanga, de la glycérie odorante, dans une corne de bison remplie d’eau de pluie, qu’il offrit à la jeune femme. Elle le remercia:

    Tu n’aurais pu m’offrir de festin plus agréable.

    Puis elle lui apprit à bourrer la Pipe de tabac sacré, à l’allumer à l’aide d’un morceau de bouse de bison rougie au feu, et à la fumer de la manière appropriée à une cérémonie.

    Au peuple Lakota, elle donna les 7 rituels sacrés:  l’inipi ou Purification dans la loge à sudation  la quête de vision  la danse du soleil  la garde de l’esprit  l’Ishnati Alonwanpi, ou rite de la puberté des jeunes filles  l’Apparentement  et le lancer-de-Balle.

    Aux hommes elle déclara:

    Vous possédez la force. Vous devez protéger et agir avec bienveillance envers ceux qui sont sans défense, les femmes et les enfants. Vous devez partager votre nourriture avec ceux dont la faiblesse physique ou l’âge les empêche de subvenir à leurs besoins. Vous devez prier avec cette Pipe. Vous, les "Sans-arcs", vous avez été choisis pour recevoir ce présent, mais il appartient à toutes les nations rouges.

    Aux femmes, Ptesan Win déclara:

    Vous n’avez pas la force, mais vous êtes fortes. C’est votre force qui maintient l’unité de la famille. Vous qui donnez la vie, vous êtes le ventre de la nation. Vous aimez les enfants. Vous montrez de la bienveillance envers tout ce qui vit. Wakan Tanka vous aime.

    Aux petits enfants, elle dit:

    Vous êtes encore petits, mais vous allez grandir, pour devenir des hommes et des femmes, qui marcheront sur la voie de la Pipe, et transmettront cette étincelle à la génération suivante. Vous êtes bénis.  

    Quatre jours durant, Ptesan Win enseigna à tous à se comporter en êtres humains. Elle leur apprit tout ce qu’il devaient savoir. Quand elle eut achevé sa tâche, elle dit au peuple:

    Je dois vous quitter à présent, mais si vous me suivez jusqu’au sommet de cette colline, là-bas, vous n’aurez plus faim.

    Et elle se mit en route vers l’est, suivie, à distance respectueuse, par l’ensemble du peuple, qui était à la fois très impressionné et reconnaissant envers cette sainte femme. Quand elle fut sur la colline, elle se changea en jeune bison blanc, avant de lentement disparaître. Alors, le peuple eut la certitude qu’elle était envoyée par Wakan Tanka. Quand ils atteignirent le sommet de la colline, ils virent, de l’autre côté, un troupeau de bisons prêts à offrir leur chair afin que la nation puisse vivre.

    Arvol Looking Horse, gardien de la Pipe sacrée Arvol Looking Horse Selon Archie Fire Lame Deer, la Pipe offerte par Ptesan Win a été transmise depuis de nombreuses générations. Elle est conservée dans un sac, qui a aussi un caractère sacré. Elle est enveloppée dans de la peau de bison et de la flanelle rouge ancienne. À la pipe en os de jarret de jeune bison sont attachées sept plumes d’aigle rouges. Le tuyau est entièrement recouvert de peaux d’oiseaux. Le sac renferme également un bourre-pipe décoré de piquants de porc-épic, ainsi que trois pagaies de canoë remarquablement sculptées.

    Arvol Looking Horse en est le gardien actuel. Arvol Looking Horse est chef indien des nations Dakota, Lakota et Nakota, 19ème Génération des Gardiens du Calumet du Petit Bison Blanc. En 2001, il a adressé un message d'avertissement et de sagesse à l'humanité (voir dans ce site Sauvetage de la planète: Nous sommes à la croisée des chemins)

    Des femmes venues d'ailleurs

    Dans un autre sac, on conserve une deuxième pipe, très ancienne, qui appartient à la tribu. Elle est en pierre rouge, nommé catlinite.

    Le retour de la Femme Bison Blanc et le temps du renouveau

    La prophétie dit que le retour de la Femme Bison Blanc et le commencement des temps nouveaux seraient annoncés par la naissance d'un bébé bison blanc femelle, dont la robe changerait de couleur, blanche, puis jaune, rouge et noire, autrement dit les couleurs traditionnelles des 4 directions (nord, est, sud et ouest).

    Or, en août 1994, dans le Wisconsin, est né un bison blanc femelle nommé Miracle. Floyd Hand, un homme-médecine, écrit dans le magazine Américain "Spin": Pour nous les Indiens, c'est comme le retour du Christ pour les blancs. Entre 1994 et 1997, sont nés cinq autres bisons blancs.

    En 2005, est né le bison blanc femelle Prophétie au centre ethnoculturel Kanatha-Aki du chef algonquin T8aminique Rankin. Effectivement on a pu constaté que sa pelure changeait de couleur au fur et à mesure de sa croissance (voir chez les algonquins La Prophétie des 7 feux)

        

     

    Les êtres des étoiles

    L'annonce de temps nouveaux signifie également la reconnaissance des Nations des Étoiles, civilisations des autres systèmes stellaires et leur retour lorsque les humains seront prêts à vivre en paix.

    Ainsi, ils disent que la Femme Bison Blanc est un être venu des  Pléiades. Les sages amérindiens affirment ouvertement leur connexion aux civilisations des étoiles, bien qu'ils ne l'aient pas révélé aux ethnologues, de crainte d'être jugés comme fous. Ils disent que leurs connaissances et leur sagesse leur ont été apporté par ces êtres d'ailleurs. 

    Il en est de même chez les Mayas. Dans la légende des crânes de cristal, il est annoncé que les crânes les plus anciens ont été fabriqués dans un autre espace et donné à l'humanité avant sa chute, afin que les connaissances divines ne soient pas perdues et soient à nouveau remises à jour le moment venu.

    Les prophéties annoncent des temps nouveaux basés sur la paix, la fraternité, l'écoute, la compréhension et l'harmonie. Cela signifie que les anciens systèmes s'effondrent et que les conditions sont réunies pour construire une nouvelle humanité. Mais elle ne se fera pas toute seule, elle sera ce que nous en ferons. La paix des peuples sera instaurée parce que chacun de nous fera la paix à l'intérieur de soi.  Cette responsabilité nous appartient. Le monde sera à l'image de nos pensées et de nos sentiments.

    Que chacun oriente ses pensées et ses sentiments vers la confiance, le pardon, le don, l'écoute, l'entraide et la joie.

    Source :spirit-science   

    Voir la page : La légende de femme bison blanc  

    Nefertiti, la Reine au crâne allongé

    "La Belle est venue..."

    Des femmes venues d'ailleurs           Des femmes venues d'ailleurs

    Son histoire

    Néfertiti (ou Néfernéferouaton-Néfertiti - Nfr nfrw Jtn Nfr.t jy.tj) est une Reine d'Égypte de la XVIIIe dynastie. Elle devient la Grande Épouse Royale du Pharaon Amenhotep IV (ou Aménophis ou Akhénaton, 1353/52-1338).

    En fait, une grande partie de l'histoire de cette souveraine et de celle de cette époque sont sujettes à discutions, pour commencer l'origine de la "belle Reine". Son nom de naissance serait Néfer Néferou Aton (Belle dans la beauté d'Aton, ou parfaite est la perfection d'Aton) et son nom de Reine, qui lui est donné lors de son mariage est, Néfernéferouaton-Néfertiti. Néfertiti serait pour certains le diminutif du premier qui glorifie sa beauté. Erik Hornung pense que ce rajout à son nom est plus une sorte de prénom donné à la Reine, mais d'où vient-elle vraiment ?.
     
       La première hypothèse est qu'elle fut d'origine Mitannienne, en la personne de la Princesse Tadukhepa (ou Tahoudipa), fille de l'Empereur Tushratta (v.1380-v.1350) et épouse du Roi précédent Amenhotep III (1390-1353/52) selon les lettres de Tell el-Amarna). Cette théorie repose sur le nom Égyptien de la Reine : Néfertiti, La Belle est venue, qui semble indiquer une origine étrangère, sous entendu "venant d'une autre contrée". Cependant on peu très bien invalider cette hypothèse puisque des documents mentionnent l'arrivée de Tadukhepa à Malkata (ou Malqata ou Malqatta ou Malgatta), palais d'Amenhotep III, en l'an 36 de son règne, à une date donc largement postérieure au mariage de la Reine avec Amenhotep IV. Source : antikforever

        Néfertiti ou l'épouse royale la plus célèbre de l'Égypte antique détient encore aujourd'hui un grand pouvoir, celui de nous faire rêver et de nous permettre de nous échapper. Elle a engendré de nombreux mythes et à ce jour, nous n'avons réussi qu'en partie à reconstituer sa vie, le déroulement de son règne. 

    Le plus grand mystère qui entoure cette reine antique est l'emplacement de son corps momifié. Le tombeau qui lui était destiné est en effet vide et personne ne sait où se trouve sa véritable sépulture. Se trouve-t-elle parmi les momies déjà retrouvées par les égyptologues et de ce fait, toujours pas identifiée ? Si oui, comment la reconnaître ?

    Source : mystere-paranormal-surnaturel  

    Voir la page : Nefertiti et son mystère

    Statue d'Akhénaton (Aménophis IV) - et  tête d'une des filles de Nefertiti. Ces représentations étaient-elles  symboliques, spirituelles, esthétiques. Etaient-elles des déformations volontaires pour ressembler aux "Dieux" ou représentaient-elles de vrais "êtres d'ailleurs" ... ? 

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    Akhenaton et représentations Égyptiennes

    Il existe plusieurs représentations Egyptiennes, où l’on peut observer des représentations de personnages ayant une déformation prononcée du crâne, nettement plus allongé que la normale. L’exemple le plus notable se situe à l’époque du Pharaon « AKHENATON ». A cette époque, les crânes des enfants étaient volontairement déformés (voir les représentations ci-jointes des filles d’AKHENATON). 

    On pense aussi inmanquablement au pharaon Aménophis IV, rebaptisé Akhénaton, fondateur du culte monotéiste d'Aton. 

      Ce prince de sang mêlé (sa grand-mère était une princesse mitannienne, donc aryenne, et sa mère Tyi était également une étrangère), présente une tête allongée qui se retrouvera sur toute ses représentations, jusqu'à en devenir un art: l'art amarnien. Sans doute né difforme, (épaules et bras grêles, hanches surdeveloppées, poitrine) le pharaon a su élever ses tares au rang d'art et les ont imposées comme canon de beauté! 

    Ont-elles hérité génétiquement des difformités de leur père ou celui-ci a t-il imposé que l'on bande la tête de ses filles pour que sa progéniture lui ressemble. Ou alors, s'agit-il d'un simple canon de représentation, pour indiquer l'essence royale des jeunes filles, qui présentaient en réalité un physique tout à fait ordinaire.

    En tout cas, ce qui semble curieux dans l'art amarnien, c'est cette représentation exagérée qui cotoie le soucis du détail, ainsi les plis circulaires du cou qui sont toujours représentés. On a pas retrouvé la momie d'Akhénaton, donc on n'a pas encore eu la possibilité de vérifier l'état de son crâne. La représentation amarnienne disparaît avec son initateur. Le crâne des momies egyptiennes est de forme tout à fait classique. 

    En Amérique du Sud, ce type de crâne n'est pas rare: les enfants issus de nobles souche avaient droit à une planchette sur le front, liée fortement par des bande. Quelques années plus tard, un superbe crâne en pain de sucre et au front plat était obtenu.

    Plus intriguant: on a trouvé au Pérou des momies portant des traces de trépanation, parfois répétées. Les sujets survivaient à l'opération. On ignore toujours les raisons de ces trépanations. La forme allongée de ces crânes était très caractéristique et il semble que l’on cherchait à cacher ces déformations par des artifices de coiffures. Les ethnologues nous enseignent que pour obtenir de tels résultats, on serrait la tête des petits enfants avec des planchettes et des bandes de tissus. Les os du crâne n’étant par encore soudés, cette déformation volontaire devenait effective avec l’age. L’enfant souffrait-il ? Est-ce que cette méthode entraînait une plus grande intelligence ? 

    L’on peut s’interroger longuement sur la méthode et le but recherché. Certains scientifiques perspicaces se penchèrent sur cette étrange énigme. Déjà, en 1875, Paul BROCA, célèbre fondateur de l’école d’Anthropologie de PARIS, déposait un mémoire, relatif aux séries de crânes provenant d’anciennes sépultures des environs de BOGOTA. Il indiquait : « Que les déformations crâniennes étaient très répandues dans les deux Amériques, du LABRADOR à la PATAGONIE ; que, contrairement à l’opinion admise, on trouvait de la dolichocéphale naturelle en Amérique. Toutefois, les esquimaux, les Australiens et les néo-calédoniens demeuraient les plus dolichocéphales de tous les hommes. Enfin, parmi ces semblables, on trouvait beaucoup de prognathisme (comme les statues de l’Ile de Pâques) » De plus, un autre savant « de NADAILLAC », a signalé l’importance des déformations crâniennes chez les Aymaras du lac TITICACA (BOLIVIE/PEROU.) qui se disent les plus anciens du monde…

    A un moment de notre évolution, le fait d’avoir le crâne allongé, témoignait-il d’une forme d’élégance ou de mode ? Les individus ayant subi cette déformation étaient-ils plus intuitifs ? Possédaient-ils des qualités que nous n’imaginons même pas ? Ou alors, ceux qui possédaient un tel crâne appartenaient-ils à une classe sociale dite supérieure ?

    On peut se poser toutes sortes de questions… Certains égyptologues insistent sur le fait que les égyptiens possédaient une extraordinaire intuition qui les mettait en relation avec le divin. Cette faculté a-t-elle été perdue ?

    Le fait de déformer le crâne était-il une tentative pour retrouver ces qualités perdues ?...Source : ovni-ufologie

    Ci-dessous : Crânes découverts au Mexique

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    Des femmes venues d'ailleurs

    Crânes découverts au Pérou

    Des femmes venues d'ailleurs    

    Voir les pages :

    un crâne étrange découvert au Pérou

     Crânes de formes inconnus

     

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