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Personnages étonnants

L'incroyable voyant de Lyon

GUÉRISSEUR DÈS L'ÂGE DE 13 ANS

Message écrit pour Monsieur Philippe de Lyon le 25 octobre 2011

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Il est des rencontres qui bouleversent, qui transforment….. Inattendues dans un parcours plus matérialiste que spirituel,….Philippe de Lyon fait partie de ces Rencontres hors du commun….

Maitre Philippe de Lyon, un homme exceptionnel dont le rayonnement spirituel était tel que les faits historiques sont le plus souvent ignorés pour laisser une place importante aux messages évangéliques qu’il ne cessait de répéter: aimez-vous les uns les autres, ne dites du mal de personne en l’absence de l’interessé….

Monsieur Philippe, de Lyon, a été un des lyonnais dont on a beaucoup parlé au XIXe siècle (1849-1905). La presse régionale essentiellement, s’étant faite largement échos de tous les témoignages et récits faits sur un homme qui somme toute, n’a jamais laissé personne indifférent.
L’enigme de ses prodiges pour les plus sceptiques, demeure un extraordinaire exemple pour les autres.
Tour à tour respecté, sali, aimé, calomnié et autres réactions humaines quand il s’agit de critiquer ce qu’on ne maitrise pas.
Surtout quand on a la liberté de dire tout et n’importe quoi, ce qui était et est souvent le cas de la presse.
Les autorités lyonnaises de l’époque ont en façade critiqué Monsieur Philippe, et en privé, allaient le consulter.

Ils ne furent pas les seuls à fréquenter le maitre Philippe. Nombre de familles en France, de tous les milieux ont consulté celui qui était surnommé le « guérisseur de Lyon ». Ses guérisons, ses enseignements, ses prodiges, l’ont fait connaître auprès d’une foule de gens, auprès de toutes les classes de la société. Monsieur Philippe, de Lyon, les recevait tous de la même manière, avec les mêmes égards.

Le corps médical tout en lui envoyant plusieurs patients ne s’est jamais gêné pour le poursuivre, à plusieurs reprises, pour exercice illégal de la médecine. Ils en feront autant pour son successeur Jean Chapas.
La guérison par la prière n’a jamais été reconnue par le pouvoir médical. L’impalpable, l’immatériel, la prière, l’invisible, ne sont pas des données suffisamment sérieuses pour se pencher dessus, les scientifiques ont d’autres sujets autrement plus sérieux à étudier.

Quelques médecins ont approchés Monsieur Philippe, avec beaucoup de réserve dans un premier temps. Certains sont devenus des amis intimes de Monsieur Philippe, n’hésitant pas à le défendre dans les procès dont il a été l’objet.
Ces amis scientifiques n’ont pu que constater l’étendue des pouvoirs de la prière, quand elle est partie intégrante de la vie d’un homme. Monsieur Philippe avait ainsi un pied sur Terre, un autre dans les mondes invisibles qui nous entourent.

Ce personnage hors du commun n’a laissé personne indifférent. 

Maitre Philippe,

la vie sur d’autres planètes ou les extra-terrestres existent-ils ?

Le monde est une sphère. A la périphérie est la couronne des gardiens ; dans cette sphère se meuvent des planètes, et de même que dans un œuf qui est plein il peut y avoir des cellules libres qui vont et viennent sans voir les autres, car elles ne sont pas du même appartement, de même dans l’univers il peut y avoir des séries d’êtres qui n’existent pas les uns pour les autres, car ils ne se voient pas.

Les gardiens sont dans la lumière et leur ligne est impossible à franchir.

J’y suis allé et je les ai vus. Le monde matériel où nous sommes est limité. Ce cercle constitue le royaume.

Une ceinture étroite, mais large encore de millions de lieues, le sépare du monde des ténèbres, où il n’y a plus de dieux. Il n’est accordé à nul, sinon aux élus qui sont très près de Dieu, de pénétrer dans cette zone de séparation, car, s’il était donné à une âme quelconque de contempler l’abîme de l’Au-delà, elle reculerait avec une terreur mortelle.

Le royaume est d’ailleurs immense et, avec la vitesse de l’éclair, il faudrait des siècles pour en atteindre la limite. Mais elle est. Son nombre est un multiple de 72. Il y a une infinité de mondes en dehors du nôtre où les créatures se présentent sous les formes animales de notre monde. Mais ces animaux sont bien plus élevés, bien plus intelligents que la majeure partie des hommes actuels. Ils ont une âme identique à la nôtre et sont faits, comme nous, en âme, esprit et corps, à l’image de Dieu.

Ils savent des choses que nous ignorons, et nous, nous savons des choses qu’ils ignorent. Toutefois, si on peut les dire plus élevés que nous dans l’échelle des êtres, il faut bien remarquer que nous, nous sommes très bien proportionnés, peut-être les mieux proportionnés. Si un homme pouvait converser avec ces êtres, il aurait à apprendre et à enseigner.

Notre âme peut passer en eux, et la leur en nous ; mais en général, c’est dans le monde où on a contracté des dettes qu’on vient les payer.

Seules, les âmes libres peuvent aller à leur gré, dans ce monde comme dans le nôtre, y passer une incarnation, pour y accomplir une mission ou donner un exemple. Nous sommes dans un monde très arriéré ; il y a des mondes où le dernier des habitants est plus avancé que le premier de notre planète. (4-1-1895)

Il y a des mondes où l’on ne parle pas. Dans les mondes supérieurs le rire n’existe pas, ni les pleurs, il n’y a que le sourire. Partout il y a des êtres bons mélangés à des mauvais, partout on reconnaît un Être unique créateur de toutes choses.

Les Planètes

Sept planètes principales exercent, par leur rayonnement, une influence sur la terre. Mais, dans notre système, il y a plus de sept planètes, il y en a soixante-douze.

Les planètes, comme tous les êtres, sont mâles et femelles. (16-2-1896)

Près de nous il existe un monde, un autre que nous ne voyons pas ; nos yeux ne peuvent encore voir ce monde et pourtant il est tout près de nous. (2-5-1895)

(Source: philippedelyon)

 

Biographie

Nizier Anthelme PHILIPPE, nommé ensuite Monsieur Philippe ou plus couramment encore Maître Philippe, de Lyon, est né en France (cette province n’était pas encore française, au moment de sa naissance ; elle ne sera annexée à la France qu’en 1860) le 25 Avril 1849 au lieu dit Les Rubatiers, hameau d’un petit village de la Savoie nommé Loisieux, près de Yenne, à la limite du département de l’Ain.

Cette naissance eut lieu dans une humble maison. Pendant toute la durée de l’accouchement, Marie Philippe qui, antérieurement avait rendu visite au curé d’Ars, pleine d’allégresse, chanta doucement ; elle ne ressentait aucune douleur. Le curé d’Ars lui avait annoncé que son fils serait un être très élevé.

A l’âge de 14 ans, le jeune PHILIPPE quitta, son petit village pour se rendre à Lyon où il habita chez l’un de ses oncles, établi comme boucher et qu’il aida en effectuant des livraisons chez les clients. Il fit ses études à l’institution Sainte-Barbe, à Lyon, où l’un des Pères s’attacha profondément à lui. Il obtint par la suite le certificat de grammaire.
Déjà, certaines capacités s’étaient manifestées en lui. C’est ce qu’a précisé M. Schewoebel dans un article du Mercure de France du 16 Juin 1918 où il a rapporté les paroles suivantes de Monsieur PHILIPPE : J’ignore tout de moi, je n’ai jamais compris ni cherché à m’expliquer mon mystère. J’avais six ans à peine et déjà le curé de mon village s’inquiétait de certaines manifestations, dont je n’avais pas encore conscience… J’obtenais des guérisons dès l’âge de 13 ans, alors que j’étais encore incapable de me rendre compte des choses étranges qui s’opéraient en moi.
(Helene : ce commentaire était réservé aux non-initiés. Son commentaire était tout autre auprès de son entourage amical)
Mr Philippe résolut d’étudier la médecine et, à cet effet, il prit quatre inscriptions d’officiat de santé à la faculté de médecine de Lyon, de Novembre 1874 à Juillet 1875. A L’Hôtel-Dieu, il fréquenta divers services dont la salle Saint-Roch, où il suivait assidûment les cliniques du professeur Benedict Teissier.

Il montrait une grande intelligence , a écrit à ce sujet le docteur Louis Maniguet dans sa thèse, soutenue sous le n°107, le 11 février 1920 et intitulée : Un empirique Lyonnais : PHILIPPE. Contribution à l’étude de l’influence des empiriques sur les malades. Étude médico-sociale. Cette thèse de 86 pages avait été inspirée à l’auteur par le professeur Etienne Martin, professeur de médecine légale à la Faculté de Lyon.
La documentation en fut complétée par les professeurs Teissier, Lévy, Schneider et Policard, MM. Fleury Ravarin, Maître Clozel, les docteurs Cusset, Sahuc, Albert, Michel, Commandeur, Bollier, Masson, Carry Gros, Locard, Bricaud.
Dans ses très intéressants Souvenirs sur le Maître Philippe, le regretté André Lalande, membre de l’Institut, a fait également état du passage de M. Philippe dans les services hospitaliers Lyonnais : Il fréquenta les hôpitaux de Lyon, très aimé des uns et détesté des autres.
Il consolait les malades et souvent demandait aux médecins de ne pas les opérer. Parfois les malades se trouvaient guéris avant la date fixée pour l’opération. Allant voir les affligés et les malades, distribuant aux pauvres tout ce qu’il pouvait recevoir, M. Philippe retournait de temps en temps en Savoie voir sa famille sans que celle-ci pût se rendre compte de l’étendue de ses pouvoirs.

(source : philippedelyon)



MAÎTRE PHILIPPE DE LYON 

MAGIE ET MÉDECINE

Durant quelques décennies, le souvenir de Maître Philippe de Lyon l'un des plus célèbres thaumaturges et des plus étranges voyants de la fin du XIXe siècle, s'était estompé dans les mémoires.

Or, depuis quelques années, des lettres et des témoignages nous arrivent d'un peu partout, sur la "présence" physique du maître à nos côtés, sur sa réincarnation. Un retour annoncé par lui-même.
GUÉRISSEUR DÈS L'ÂGE DE 13 ANS

Né à Loisieux (Savoie) le 25 avril 1849 à 3 heures du matin et mort le 2 août 1905 à l'Arbresle, Nizier Anthelme Philippe connut dès le plus jeune âge quelques manifestations des étranges pouvoirs qui se développèrent en lui par la suite.

Parlant de son enfance et de ses dons, il disait : «J'ignore tout de moi, je n'ai jamais compris ni cherché à m'expliquer mon mystère. J'avais six ans à peine et déjà le curé de mon village s'inquiétait de certaines manifestations, dont je n'avais pas conscience...

J'obtenais des guérisons dès l'âge de 13 ans, alors que j'étais encore incapable de me rendre compte des choses étranges qui s'opéraient en moi.» (Mercure de France 16 juin 1918).

A l'âge de quatorze ans, il quitta son village, pieds nus, pour aller vivre chez son oncle Vachod, établi à Lyon comme boucher.


APPRENTI BOUCHER

Il y apprit le métier tout en effectuant de modestes études à l'Institut Sainte-Barbe où un père s'intéressa à lui et lui permit d'obtenir son "certificat de grammaire". L'adolescent regretta de ne pouvoir poursuivre jusqu'au bac. Mais sa survie dépendait des trente francs par mois que lui donnait son oncle et des quelques pourboires qu'il glanait auprès des clients qu'il livrait à domicile.

Assoiffé de connaissances, il s'efforça de mener de front des études personnelles et l'apprentissage de la boucherie. Il se cultiva par les livres, lisant de préférence des ouvrages de vulgarisation scientifique, des traités de médecine populaire, de santé par les plantes, de chimie élémentaire, se passionnant également pour la religion et l'occultisme.

C'est à la boucherie qu'il dévoila pour la première fois en public son don de guérison. Un jour que son oncle s'était grièvement blessé d'un coup de hachette, son commis fixa la main qui saignait abondamment et se mit mentalement en prière. Il supplia Dieu de raccomoder le pouce détaché de la main. En quelques instants, le sang coagula, la plaie se cicatrisa et le doigt bandé par le jeune homme se ressouda promptement. A l'hôpital, le médecin de garde voyant la blessure propre et sans infection, renonça aux points de suture traditionnels, se contentant de placer une attelle de protection. Le bouche à oreille fonctionna vite dans le quartier, et le jeune commis boucher fut sollicité par le voisinage au moindre accident.

Selon Alfred Haehl, son biographe et ami, Philippe donnait des "séances" au cours desquels il guérissait des malades. En 1872 il ouvrit son premier cabinet de guérisseur spirituel, boulevard du Nord, à Lyon, devenu aujourd'hui 8, boulevard des Belges.


DES ÉTUDES MÉDICALES

Désireux d'étudier la médecine pour laquelle il se sentait une forte vocation, il s'inscrivit comme auditeur libre à la Faculté de Médecine de Lyon. De 1874 à 1875, il fréquenta également avec assiduité le service du Professeur Bénédict Teissier à l'Hôtel-Dieu.

On dit que le jeune homme y obtint spontanément de nombreuses guérisons inexplicables qui intriguèrent son patron mais suscitèrent la jalousie parmi les étudiants et les assistants, mécontents de voir cet empirique empiéter sur leur chasse gardée. Les détracteurs de maître Philippe nient qu'il ait réellement suivi des cours de médecine à la Faculté. Pourtant, ces "inscriptions" existent bel et bien.


LE GUÉRISSEUR

Ainsi, un jour, une jeune femme qui souffrait le martyre, fut amenée à la consultation sur une civière, sans que la patron ni aucun de ses assistants ne parvienne à diagnostiquer son mal avec précision. Elle se plaignait d'essoufflement, de violentes douleurs sur le côté et ne parvenait pas à tenir sur ses jambes, apparemment sans raison. Le jeune Nizier affirma doucement que la patiente était atteinte d'une double embolie pulmonaire. Sous les yeux ébahis du patron, de ses assistants et du personnel hospitalier présents à la consultation, le jeune homme dit simplement à la malade : «Lève-toi, maintenant tu es guérie.» Et la patiente se leva, à l'instant, soulagée de ses douleurs à la surprise de tous.

Apprenant qu'il guérissait sans avoir obtenu le parchemin qui seul pouvait l'y autoriser, une cabale le chassa de l'hôpital et il se vit refuser sa cinquième inscription d'auditeur libre, sous le prétexte "qu'il faisait de la médecine occulte et agissait en véritable charlatan".

Le Dr Lalande, son gendre, membre de l'Institut, écrit dans ses Souvenirs sur Maître Philippe : «Il fréquenta les hôpitaux de Lyon, très aimé des uns et détesté des autres. Il consolait les malades et souvent demandait aux médecins de ne pas les opérer. Parfois les malades se trouvaient guéris avant la date fixée pour l'opération.»

Si ses études de médecine tournèrent court, la renommée de guérisseur de Maître Philippe ne fit que croître. On lui attribua des guérisons incroyables, des rétablissements spectaculaires et on prétendit même qu'il avait ressuscité un mort.

Pourtant, sa méthode de guérison était purement spirituelle. Maître Philippe ne touchait pas ses patients, il les magnétisait rarement. Il exerçait publiquement son sacerdoce, parfois devant plusieurs dizaines de personnes, parmi lesquelles des médecins. Il demandait simplement au malade un engagement moral de se réformer, et en appelait à l'aide de Dieu.


COMMENT IL OPÈRE

Le Dr Gérard d'Encausse qui assista à plusieurs guérisons de Maître Philippe raconte comment il opérait :

«J'étais là, avec deux autres médecins, quand une maman de vingt à vingt-deux ans est arrivée, portant dans ses bras un petit enfant de cinq ans, la tête ballante et les yeux vitreux. Elle dit à Philippe :

- Mon enfant doit mourir; et comme vous m'avez sauvée il y a dix ans, je viens vous demander de guérir mon enfant." Nous sommes trois médecins qui l'examinons et nous découvrons un cas de méningite tuberculeuse très prononcée. L'enfant semblait condamné, en effet.

Il faut que je vous dise, maintenent, comment Philippe opérait. Il y avait toujours là près de 80 à 100 personnes. Philippe n'était pas du tout "poseur". D'un caractère bon enfant, il faisait toujours rire les malades. Alors, devant tout le monde, il dit, en voyant le pauvre petit que nous avions examiné : "On peut guérir cet enfant. Voulez-vous vous engager tous à ne pas dire du mal des absents pendant trois mois ?"

Tout le monde bondit et répondit que ce n'était pas possible. En marchandant, on est arrivé à deux heures. Moi, je n'ai jamais pu rester deux heures sans dire du mal des absents ! Eh bien ! Philippe a dit :

"C'est entendu ! Vous allez essayer de ne pas dire du mal des autres durant deux heures". L'enfant était dans une pièce à côté. Au bout de deux heures, je suis allé le chercher. Je l'ai pris par la main et il a fait avec moi le tour de la salle ; il était guéri.»


UN RICHE MARIAGE

En 1877, il épousa Jeanne Landar, une de ses riches consultantes, qu'il avait guérie alors que ses médecins désespéraient de la sauver. Ce mariage lui apporta l'aisance matérielle et lui permit de poursuivre sa vocation sans soucis d'intendance. Au cours d'une vie entièrement consacrée aux malades et aux pauvres, Maître Philippe voyagea beaucoup. Il fut appelé en consultation par quelques grands de ce monde. Il séjourna à la cour des Tsars, soigna le Bey de Tunis, échangea une correspondance suivie avec des gens célèbres qui étaient venus le consulter et qu'il avait guéris.

Contrairement à beaucoup de grands initiés et occultistes d'alors, Maître Philippe refusait de s'éloigner de l'Église. Il ne voulait pas être considéré comme un mage, un homme chargé de "pouvoirs occultes".

De sa voix douce, il affirmait :

«Je ne suis que le simple berger, le mandataire, et tout ce que je fais, ce n'est pas moi qui le fais, c'est Celui à la volonté de qui rien ne résiste.»

Mais ses convictions profondes s'apparentaient à la philosophie martiniste, mouvement spirituel dont plusieurs de ses amis faisaient partie.


MAÎTRE PHILIPPE VOYANT

Ami intime du Dr Gérard Encausse (Papus), et de son épouse, il leur annonça la naissance d'un fils, Philippe, dont il sera d'ailleurs le parrain.
(Lire: Philippe Encausse Le Maître Philippe de Lyon - Thaumaturge et Homme de Dieu.)

En présence de Maître Philippe, le Dr Encausse fut aussi le témoin de plusieurs phénomènes de voyance étonnants.

Un jour, Philippe vint à Paris invité au baptême du fils Durville. Il avait donc pris le train depuis Lyon et, en arrivant chez les Durville, il prit le fameux magnétiseur à part et lui dit :
- Aujourd'hui, Hector, vous ne croyez à rien ; mais plus pour longtemps, la foi vous reviendra pour toujours".


AUTRES TÉMOIGNAGES

«A la porte de l'église St-Merri, où se faisait le baptême du fils Durville, il y avait un vieux mendiant, délicieux comme type, couvert de guenilles, avec une barbe à moitié rasée.

Alors Philippe va se placer à côté de lui et, comme s'il se parlait à lui-même, il dit à l'oreille du mendigot:

"J'ai 10.000 francs en or puis 5.000 francs en billets de banque".

L'autre sursauta et le regarda avec épouvante. Philippe continuant de parler lui indiqua l'endroit où était caché le magot.

Le brave mendiant se leva d'un bond et s'en fut aussitôt s'assurer que son trésor était toujours dans sa cachette."

Un type vint un jour rue de la Tête d'Or assister à une séance de Maître Philippe. Un assistant du thaumaturge lui demande :

Est-ce pour vous ?

- Pour moi? Vous me croyez donc aussi bête que tous ces gens qui sont là ? Non, je ne viens pas pour moi. Je suis tout simplement chargé de faire une commission et quant à moi, je n'ai rien à demander".

Philippe qui avait entendu sa réponse, le regarde et lui dit :

- Monsieur, voulez-vous venir un instant dans la pièce d'à côté.

Là, Philippe lui dit : - Savez-vous ce que vous faisiez le 28 juillet 1884, à trois heures du soir?... Vous étrangliez une femme. Ne craignez rien, moi seul vous ai vu, mais la police ne va pas tarder à vous découvrir. Si vous vous voulez demander pardon au Ciel tout de suite, elle ne vous trouvera pas.

Or cet homme, qui voulait faire l'esprit fort, tomba à genoux et implora le pardon du Ciel.

 

Témoignage :


PRÉDICTIONS DE MAÎTRE PHILIPPE

«Mon grand-père maternel, officier de la garde du Tsar Nicolas II, connut dans sa jeunesse un homme étrange et fascinant qu'il appelait familièrement Maître Philippe. Je me souviens, qu'enfant, j'étais fasciné par les mille prodiges qu'il nous racontait à son sujet, de simples guérisons aux plus incroyables aventures de magie.

Après la révolution de 1917, mon aïeul se réfugia en France où il se maria avec une princesse russe tombée dans la misère. Convaincu de la résurrection de sa patrie et au retour des Romanov sur le trône, il fit jurer à ses héritiers de maintenir les traditions ancestrales dans la famille, d'apprendre la langue et l'histoire russes à leurs descendants.

L'an passé, après la mort de mon père, j'héritai de la maison de famille savoyarde où vécut mon grand-père. En déballant des cartons de vieilleries au grenier, je tombai sur des livres, des papiers, des correspondances, des photographies qui m'intriguèrent.

J'eus beaucoup de peine à déchiffrer les lettres jaunies, mais ce que j'y découvris me stupéfia. Au milieu d'un échange de courrier entre Maître Philippe et mon aïeul qu'il considérait comme son disciple, je tombai sur une sorte de journal écrit de la main de mon grand-père, relatant les hauts faits de son maître spirituel.

En voici quelques extraits:

"Hier, M.P. m'avait donné rendez-vous à Fourvière. Le prêche de l'abbé F. nous sembla pauvre et terne. Il mettait en doute le pouvoir de la foi, affirmant que les miracles rapportés par la Bible ne devaient pas être pris à la lettre, mais en tant que "symboles".

A la fin de la messe M.P. demanda à parler au prêtre. Il lui dit qu'il se trompait, que Dieu exauçait toujours les prières et les voeux des âmes pures. Même de nos jours !

"Que la foudre tombe sur cette église si je peux croire à ces balivernes !" blasphéma l'impie.

Alors, regardant l'abbé droit dans les yeux, mon ami fit un geste et aussitôt un éclair fulgura dans la pénombre de la cathédrale et la foudre tomba à nos pieds, suivie d'un effrayant coup de tonnerre."

A la date du 21 septembre 1901, il notait:

"Hier, à Compiègne où loge la cour impériale, le Tsar Nicolas II et la Tsarine Alexandra ont longuement reçu M.P. qui leur fut présenté par la Grande Duchesse Militza et sa soeur.

Selon des confidences de la princesse Anastasia, M.P. aurait annoncé à Sa Majesté Impériale, la naissance d'un fils pour 1904, et au monarque une défaite militaire suivie d'une révolution. A son retour, M.P. me dit qu'il avait aussi guéri la Grande Duchesse d'un oedème pernicieux." (...)

Plus loin:

"Désirant s'attacher M.P. à demeure, Sa Majesté impériale demanda à M. Delcassé, ministre des affaires étrangères, que le gouvernement français lui octroie le diplôme officiel de médecin, pour qu'il puisse l'inviter à la cour impériale sans faire jaser les envieux.

Les lois républicaines s'opposant évidemment à cette demande incongrue, le ministre ne put accéder à cette demande. Le Tsar offusqué de la fin de non-recevoir opposée à sa requête, nomma Maître Philippe président d'une commission d'inspection sanitaire de son empire, avec rang de général!" (...)

Quelques mois plus tard:

"Invité à Tsarskoïe-Sélo, M.P. obtint par la seule prière de nombreuses guérisons spectaculaires. Sa renommée de Mage grandit lorsque, au cours d'une promenade en mer sur le yacht impérial, M.P. réussit, à la demande du Tsar, à calmer le vent qui soufflait en tempête." (...Quelques lignes biffées). "Lors d'une revue militaire à Tsarskoïe-Sélo, M.P. parvint à détourner un orage menaçant et à faire cesser la pluie. Et l'on me rapporte encore bien d'autres merveilles."

Le journal s'achève en janvier 1905 sur ces curieuses prédictions :

"Après la naissance du Tsarevitch, M.P. écrivit au Tsar Nicolas II une longue lettre en forme de testament, l'informant de sa prochaine désincarnation. Il y précisait qu'il quitterait son apparence terrestre le 2 août 1905. Il lui annonçait aussi la chute de l'Empire russe pour la prochaine décennie, le massacre des chrétiens et de toute la famille impériale. Il "voyait" un siècle d'horreurs et d'obscurantisme pour la Russie."

La missive se terminait sur cette étrange prophétie :

"Après des décennies de bouleversements sanglants et de grandes tribulations, un empire disloqué et des guerres civiles, la Russie recouvrera son souverain légitime, réincarnation et héritier de la dynastie impériale, qui lui apportera la prospérité et la paix. Je reviendrai moi-même sous les traits d'un enfant, et ceux qui doivent me reconnaître me reconnaîtront."»

Serge Alexis SPIRIDOV

CE QU'IL A DIT :

"Il vaudrait mieux prendre un poignard que de se servir de la langue pour faire du mal. Nous ne pouvons dire du mal que si la personne est présente ; mais, comme nous ne sommes pas assez courageux, nous ne le ferons pas."


"Chaque acte méritoire est, comme le reste, marqué sur notre front, et personne n'a le droit de nous juger puisque Dieu même ne juge pas. C'est nous-mêmes qui nous jugerons."


"Je vous ai donné le moyen de soulager vos frères. Si vous aviez la charité, vous obtiendriez la guérison de tous ceux qui souffrent. Quoique vous demandiez à Dieu, avec foi, humilité et confiance, vous l'obtiendrez de Lui. Dieu est amour, Il donne ce que nous lui demandons."


"Les prophètes qui ont obtenu des guérisons, et Notre Seigneur Jésus-Christ, n'opéraient pas, comme le disent et le croient certaines personnes, par le secours de quelques esprits. Notre Seigneur n'avait besoin de personne, car Il n'était pas, comme d'aucuns le croient, un "homme supérieur". Il était Dieu."
© Marc Schweizer 1990

(source : science-et-magie

 

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