Lettre ouverte au Président de la République française Le principe de précaution appliqué au phénomène ovnien
A Versailles, le 14 avril 2008
Gilles Pinon, Contre-amiral (2S)
Jacques Costagliola, Docteur en médecine
Claude Lavat, Ingénieur ESME
Francis Collot, Chirurgien
Alain Labèque, Ingénieur CNRS
Vincent Morin, MCU docteur en électronique
Rémi Saumont, Ancien directeur recherche INSERM
Préambule
On ne subit pas l'avenir, on le fait. (Georges Bernanos)
En l'absence même de toute intention hostile, l'intrusion d'une civilisation extraterrestre pourrait porter atteinte à notre environnement compris comme l'ensemble des conditions naturelles, sociales et culturelles constituant le théâtre des activités humaines.
La Charte de l'environnement, qui a valeur constitutionnelle, prévoit que lorsque la réalisation d'un dommage, bien qu'incertaine en l'état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l'environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution [ ], à la mise en oeuvre de procédures d'évaluation des risques.
Le phénomène ovnien
Des phénomènes aérospatiaux insolites se montrent régulièrement dans notre espace aérien. On les appelle communément OVNI. Le CNES (Centre national d'études spatiales) préfère leur donner le nom de PAN (phénomène aérospatial non identifié).
Avant que de chercher à leur donner une interprétation, il nous faut reconnaître une évidence toute simple : ils existent. Certes une grande partie relève de méprises, de fantasmes ou d'hallucinations, mais une part irréductible et significative semble témoigner de lois physiques inconnues et participer d'un principe intelligent.
Ils ont donné naissance à une discipline, l'ufologie, qui comprend deux activités bien distinctes : en premier lieu la collecte des données, en second leur interprétation. Par convention, nous désignerons, dans la suite de cette lettre, par le terme générique " phénomène ovnien " l'ensemble des pans qui, après examen, n'ont reçu aucune explication rationnelle au regard de nos connaissances scientifiques.
Les données
Un groupe d'études émanant du CNES, le GEIPAN (groupe d'études et d'information des phénomènes aérospatiaux non identifiés), a reçu en France la mission officielle de recueillir, d'analyser et d'archiver les données relatives aux pans. Grâce à cet organisme et au travail obstiné d'enquêteurs indépendants, nous disposons aujourd'hui de banques de données comportant plusieurs milliers d'observations. Leur étude statistique met en évidence la complexité et l'incongruité du phénomène qui recouvre des dizaines de types d'événements, allant du plus banal, simple lumière anormale dans le ciel, au plus surprenant, enregistrement radar d'objets aux performances cinématiques inexplicables. Mais elle fait aussi apparaître une cohérence interne et des caractéristiques générales, relativement stables et rarement démenties, de réalité physique et de comportement intelligent, non hostile, discret, furtif et brouillé.
L'interprétation
L'interprétation la plus répandue parmi les ufologues soutient que le phénomène ovnien est gouverné par une (ou plusieurs) intelligence non terrestre. Dans cette hypothèse, il faut accepter l'idée qu'il cache un dessein potentiellement hostile, un programme soutenu par une stratégie. Quel est ce programme ? Qui en sont les auteurs ? Quelle est leur stratégie ? Telles sont les questions que nous sommes amenés à nous poser face à une activité inconnue. Partant, l'étude du phénomène ovnien ressortit aux méthodes d'appréciation des situations complexes mettant en jeu des intelligences aux desseins équivoques et des informations rares, sporadiques et brouillées.
Des méthodes hypothéticodéductives, itératives et adaptatives
Quelles sont ces méthodes ? De conception militaire, elles sont apparues durant le dernier conflit mondial, en même temps que la recherche opérationnelle. Elles sont enseignées dans les écoles supérieures de guerre (en France, le Collège interarmées de défense) et sont employées par les états-majors des grandes puissances. Les grandes entreprises, exposées aux contraintes économico-politiques et devant affronter une concurrence où la désinformation est couramment pratiquée, les ont adoptées et adaptées à leurs besoins propres. Cela explique la présence de la métaphore et de la terminologie militaires dans le discours des dirigeants de société.
Ainsi que la recherche opérationnelle, elles ont pour objet de pallier l'insuffisance de l'intuition et du bon sens devant des situations confuses dépendant de paramètres multiples, relevant de facteurs objectifs et soumises à des événements naturels aléatoires. Mais contrairement à la recherche opérationnelle, elles tiennent compte de l'immixtion d'une intelligence extérieure douée de volonté et capable de brouillage et de comportements arbitraires apparemment irrationnels. Elles sont particulièrement pertinentes en présence de désinformation et dans des conflits asymétriques opposant des adversaires aux logiques différentes, aux éthiques divergentes et aux modes de pensée dissemblables, comme la lutte contre le terrorisme ou, le cas échéant, une intrusion extraterrestre.
De quelle sorte de raisonnement ces méthodes participent-elles ?
Elles sont de type hypothéticodéductif. Elles consistent à formuler des présuppositions, préalablement passées au crible des vraisemblances éthique, technique, économique et opérationnelle, dont sont déduites des conséquences, passées et futures, susceptibles d'être vérifiées par l'observation et le renseignement. Si elles trouvent une vérification expérimentale, elles sont validées. Sinon, elles sont soit réfutées soit révisées afin de les rendre compatibles avec l'expérience. Elles sont par construction itératives et adaptatives. Elles astreignent à une pensée formalisée et rigoureuse. Tout bien considéré, elles sont une application assez fidèle de la méthode scientifique de Karl Popper.
Elles s'opposent au processus inductif de pensée qui va du particulier au général, qui prétend à un énoncé général à partir d'un nombre limité d'observations. S'agissant de l'ufologie, la méthode inductive est inappropriée en raison d'une information fortement dépréciée. Elle a malheureusement conduit à deux écueils : d'une part au scepticisme ou au refus de toute tentative d'interprétation car les visages polymorphe et absurde que revêtent les manifestations des pans depuis soixante années ne permettent pas de justifier un énoncé général ; d'autre part, par extrapolations abusives, à l'élaboration d'interprétations hasardeuses et au développement de thèses conspirationnistes.
Une possible intrusion extraterrestre
Si nous écartons a priori l'hypothèse non scientifiquement réfutable d'une intelligence transcendant le monde sensible, il faut bien admettre que nous avons possiblement affaire à une intrusion extraterrestre, c'est-à-dire à la présence non désirée d'êtres intelligents appartenant à une ou plusieurs planètes de la Voie lactée ou d'une autre galaxie.
Pour que les méthodes hypothéticodéductives lui soient applicables, encore faut-il vérifier que ces êtres peuvent raisonnablement faire l'objet de présuppositions. La difficulté vient alors, entre leurs civilisations et la nôtre, des écarts des connaissances et des évolutions : écart certain pour ce qui est des sciences et des technologies ; écart vraisemblable des évolutions biologiques et sociales et des éthiques.
Une nouvelle forme d'incommensurabilité ?
Tout revient à la question de savoir si des êtres intelligents aux niveaux de connaissances inégaux et aux développements psychique et biologique éloignés seraient capables de se comprendre. A cette condition seulement, les présuppositions auront un sens et pourront être admises comme hypothèses heuristiques.
Une position est aujourd'hui en faveur chez certains ufologues qui prétendent, après Carl Sagan, que les différences de connaissance et d'évolution seraient en réalité des obstacles insurmontables rendant impossible notre compréhension, voire notre perception, d'une intrusion.
S'il est vrai que le fossé du langage est à jamais infranchissable entre l'homme et l'animal, il ne serait pas en revanche un empêchement dirimant entre notre civilisation et celles des autres mondes technologiquement, et peut-être psychiquement, supérieurs. En effet l'exobiologie tient pour probable que tous les êtres intelligents de l'univers sont dotés de capacités d'inférence et de gestion du temps et que leurs schémas mentaux sont, selon toute vraisemblance, analogues sinon identiques.
Il vient qu'il est légitime d'appliquer les méthodes hypothéticodéductives au phénomène ovnien et, par conséquent, de chercher à découvrir, au-delà de leurs modes de déplacement dans l'espace, les intentions à notre égard des éventuels intrus.
Présuppositions
Elles doivent porter sur la nature de ces êtres, sur leur libre ou serf arbitre, sur leur organisation sociale et politique, leur éthique collective, leurs intentions et leurs activités. La vie revêt-elle ailleurs des formes radicalement différentes ? Les êtres biologiques extraterrestres doués d'intelligence ont-ils une physiologie semblable à celle de l'homme ? Erigent-ils leurs sociétés en civilisations ? Dans l'hypothèse où certains auraient acquis la maîtrise de l'espace, de quelle organisation sociale et politique se seraient-ils dotés pour atteindre un tel niveau de connaissances ? Quelle serait leur éthique ? Reconnaîtrait-elle une vérité morale ? Quelle stratégie adopteraient-ils vis-à-vis des civilisations visitées ? Au service de quelle mission ? Obéiraient-ils à un principe de précaution ? Quelles procédures d'approche appliqueraient-ils ? Des signes de leur présence seraient-ils perceptibles ?
Désinformation et brouillage
Dès lors que l'on tient pour plausible une intrusion extraterrestre, il convient de s'interroger sur son origine, son mobile et sa dangerosité :
- Sommes-nous en présence d'une seule civilisation ou de plusieurs civilisations opérant de concert ou de manières indépendantes ?
- S'agit-il d'une simple surveillance à distance, d'une intervention ponctuelle ou d'une tentative d'influence ou de prise de contrôle ?
Il est vain d'espérer que d'une démonstration ovnienne ostensible et non brouillée surgiront un jour prochain les réponses à ces graves questions parce que le phénomène est discret, furtif et brouillé et ne semble pas disposé à se dévoiler. Elles ne viendront pas davantage d'une étude reposant sur l'induction car il est de mieux en mieux établi qu'il est depuis son origine l'objet d'opérations de travestissement et de déformation de la vérité :
- la désinformation mise en œuvre par des fabulateurs aux intérêts obscurs et par des agences gouvernementales motivées par l'enjeu stratégique et la nécessité du secret ;
- l'amplification, plus ou moins volontaire, de certains des témoins et enquêteurs ;
- le brouillage et le camouflage par les intrus eux-mêmes.
Désinformation et brouillage sont si présents qu'il devient difficile de faire la part entre la réalité et la fiction, de restituer une information fiable et crédible à partir des seuls récits des témoins.
Les méthodes hypothéticodéductives sont censées lever ces difficultés.
Un risque d'ethnocide planétaire
Quand bien même elle ne montrerait aucune intention hostile, une intrusion extraterrestre présenterait un danger de chaos pouvant conduire à un ethnocide si, par accident, elle se montrait au grand jour sans laisser aucun doute sur son origine. A défaut d'une action psychologique préalable, les hommes pourraient perdre confiance dans leur capacité de maîtriser leur avenir. L'équilibre du monde en serait bouleversé.
Cependant que le génocide est l'extermination d'un groupe ethnique ou religieux, l'ethnocide est la destruction de sa culture. Le chaos n'est pas propre aux systèmes physiques. Des évolutions chaotiques se rencontrent aussi bien dans d'autres systèmes naturels complexes, composés de plusieurs sous-systèmes interagissant fortement. Des événements extérieurs, que les économistes appellent " chocs ", pourraient jouer un rôle déterminant dans le déclenchement des involutions irréversibles. Or peut-on concevoir un choc culturel plus violent, plus déstabilisateur, que le contact impromptu avec des êtres extraterrestres qui ont mis la terre sous observation ?
Le risque d'ethnocide ne peut être négligé. Il doit être pris en considération au plus haut niveau de l'État. Là encore, seules les méthodes hypothéticodéductives sont susceptibles d'apporter une aide précieuse à la décision.
Compte tenu des réflexions d'ordre général qui précèdent et considérant
- que la France s'est dotée d'un organe officiel de collecte et d'analyse des données des pans, le GEIPAN,
- que le GEIPAN et son comité de pilotage n'ont pas reçu pour mission d'interpréter le phénomène ovnien,
- que, seraient-ils chargés de cette mission, ils ne détiendraient pour la mener à bien ni la compétence ni les moyens ni la méthode,
- que le phénomène ovnien est possiblement la manifestation de l'intrusion d'une ou de plusieurs civilisations extraterrestres,
- que, si l'intrusion n'est pas prouvée scientifiquement, il existe en sa faveur de fortes présomptions, comme l'a écrit en son nom propre dans un livre récent M. Yves Sillard, président du comité de pilotage du GEIPAN, ancien directeur général du CNES et ancien délégué général pour l'armement,
- qu'une intrusion extraterrestre procède nécessairement d'une politique respectant une éthique et implique un programme servi par une stratégie,
- qu'une stratégie relevant d'une intelligence étrangère aux motifs incertains pourrait porter atteinte à notre environnement compris comme l'ensemble des conditions naturelles, sociales et culturelles constituant le théâtre des activités humaines,
- qu'elle doit donc faire l'objet, selon une méthode appropriée, d'une étude d'évaluation des risques, notamment le risque ethnocidaire, par application du principe de précaution conformément à l'article 5 de la Charte de l'environnement,
- que la seule méthode appropriée face à une menace imprécise est la méthode d'appréciation des situations complexes mise au point par les grands états-majors,
- que le phénomène ovnien est une affaire trop grave pour être abandonnée aux seuls GEIPAN, ufologues et associations ufologiques, à la rumeur publique,
- que, pour ce que l'on en sait, aucune étude officielle portant sur l'interprétation du phénomène ovnien n'a été conduite à ce jour en France,
- qu'à la suite de la publication du rapport Condon, une telle étude a vraisemblablement été menée aux États-Unis en toute confidentialité et que ses conclusions suffiraient à expliquer la désinformation que ce pays semble avoir mise en place pour préserver sa situation dominante et, peut-être, écarter le risque ethnocidaire,
les soussignés ont l'honneur de demander à Monsieur le Président de la République de bien vouloir ordonner une étude exhaustive du phénomène ovnien en application d'une méthode hypothéticodéductive empruntée aux états-majors. Cette étude devrait réunir de hautes compétences dans les disciplines directement concernées : politique, militaire, scientifique, sociologique, philosophique et ufologique. Elle recevrait pour objet d'infirmer ou de valider l'interprétation extraterrestre et, le cas échéant, de mettre en évidence la stratégie poursuivie par l'intrusion et, si possible, ses moyens. Ainsi le gouvernement de la France serait-il en mesure de mettre sur pied, à des fins de vérification, des actions spécifiques d'investigation scientifique et de renseignement, puis de construire sa propre stratégie, enfin d'arrêter la politique nationale qu'il conviendrait d'appliquer en matière de défense, de sécurité, de recherche, de santé et de maîtrise de l'information. Il disposerait en outre d'éléments pertinents pour décider de la position à tenir sur la scène internationale et de l'information qu'il serait éventuellement nécessaire de porter à la connaissance des institutions et de l'opinion publique.
Source : feairplane
Il devient urgent et indispensable d'établir une réflexion ouverte sur le sujet, ainsi qu'une préparation du grand public à l'accepter...notre civilisation doit évoluer vers une plus grande ouverture d'esprit afin de concevoir que nous ne sommes pas seuls dans l'univers, et que nous avons des "visiteurs" depuis très longtemps... les films nous en ont donné quelques perspectives (souvent négatives il faut le dire), mais seule la prise de conscience, le dialogue et le "contact" conscient hors de toute peur, pourront nous apporter des éclaircissements sur ces "visiteurs" et leurs intentions.
LA DIVULGATION AU SUJET DE LA REALITE DES OVNIS A LIEU TOUS LES JOURS
IL SUFFIT D'OUVRIR LES YEUX ET LES OREILLES.....
Les Déclarations des hommes politiques et des personnalités :
Article source: les-ovnis.com/
Jimmy Carter Lors de sa campagne présidentielle 1977
Si je suis élu président, je ferai en sorte que toutes les informations détenues par ce pays sur les observations d’OVNI soient disponibles pour le public et les scientifiques. Je suis convaincu que les OVNI existent parce que j’en ai vu un.
Ronald W. Reagan lors de la 42ème Assemblée Générale des Nations Unies en 1987
Obsédés par les rivalités du moment, nous oublions souvent tout ce qui unit les membres de l’humanité. Peut-être avons-nous besoin de quelque menace mondiale extérieure afin de prendre conscience de ce lien. Je pense quelquefois que nos différences disparaîtraient très vite si nous devions faire face à une menace extraterrestre.
Et pourtant, je vous le demande : Une force extraterrestre n’est-elle pas déjà parmi nous ?
M. Mikhaïl Gorbachev, Président de l’URSS en 1987
Au cours de notre rencontre à Genève, le Président des Etats-Unis m’a dit que si la Terre était confrontée à une invasion d’extraterrestres, les Etats-Unis et l’Union Soviètique réuniraient leurs forces pour la repousser. Je ne discuterai pas cette hypothèse, bien que je pense qu’il est encore trop tôt pour s’inquiéter d’une telle intrusion.
Le phénomène OVNI existe vraiment, et il doit être traité sérieusement.
M. Robert Galley, Ministre de la Défense français en 1974
Je dois dire que si les auditeurs pouvaient voir par eux-mêmes la masse de rapports arrivant de la gendarmerie chargée de mener les enquêtes, que nous faisons tous suivre au Centre National des Etudes Spatiales, ils verraient alors que tout cela est assez troublant.
Je crois que l’attitude d’esprit que l’on doit adopter vis-à-vis de ces phénomènes doit demeurer ouverte, c’est-à-dire qu’elle ne consiste pas à nier à priori.
Nos ancêtres des siècles précédents ont nié des quantités de choses qui nous paraissent aujourd’hui parfaitement élémentaires, qu’il s’agisse de la piézo-électricité, de l’électricité statique, sans parler d’un certain nombre de phénomènes liés à la biologie.
En fait, tout le développement de la science consiste à ce qu’à un instant déterminé on s’aperçoive que cinquante ans auparavant on ne savait rien et qu’on ne comprenait rien à la réalité des phénomènes.
Lord Amiral Hill-Norton, chef d’état-major du ministère de la Défense de Grande-Bretagne, président du conseil militaire de l’O.T.A.N., en 1973
Le fait que des objets, observés dans notre atmosphère ou même sur la terre ferme, ne puissent être assimilés à des objets construits par l’homme ou à un quelconque phénomène physique connu de nos scientifiques, semble évident.
Un très grand nombre d’observations ont été rapportées par des personnes dont le sérieux me paraît indiscutable. On sait maintenant que nombre d’entre d’eux ont été des observateurs compétents, tels que des officiers de police ou des pilotes civils et militaires. Leurs observations ont bien souvent été confirmées par des dispositifs techniques tels le radar ou, de manière encore plus crédible, des interférences avec divers appareillages électroniques.
Général Douglas Mac Arthur, le 8 Octobre 1955
Les nations du monde devront s’unir car la prochaine guerre sera interplanétaire. Les nations de la Terre devront un jour faire front commun contre une attaque de peuples extraterrestres.
Le 12 mai 1962 : Vous affrontez maintenant un nouveau monde, un monde de changements. Nous parlons en termes étranges, de l’exploitation de l’énergie cosmique, de l’ultime conflit entre la race humaine unie et les forces sinistres d’un autre système planétaire de la galaxie.
Henry Kissinger, le 21 mai 1992
Aujourd’hui, les américains seraient outrés si les troupes des Nations Unies entraient dans Los Angeles pour rétablir l’ordre. Demain, ils leur en seront reconnaissants ! Ceci est spécialement vrai si on leur disait qu’il existe une menace extérieure, réelle ou fictive, mettant en péril notre existence même. Alors tous les peuples du monde supplieront leurs dirigeants de les délivrer de ce mal. Tout le monde craint l’inconnu. Quand les gens connaîtront ce scénario, ils abandonneront leurs droits individuels en échange de la protection de leur bien-être par les gouvernements. Il me semble évident que les gens ne sont pas prêts à entendre tout ce que savent certains de nos dirigeants.
Peut-être que nos visiteurs extraterrestres peuvent décider qui est prêt pour la vérité et qui ne l’est pas. Peut-être est-ce une question de choix individuel.
Amiral Roscoe H. Hillenkoetter, ex directeur de la C.I.A, 27 février 1960
Il est grand temps que le Congrès fasse éclater la vérité grâce à des auditions publiques. Derrière la scène, discrètement, des officiers de haut-rang de l’Armée de l’Air s’occupent des OVNI. Mais, par le secret officiel et le ridicule, on a amené les citoyens à croire que les OVNI sont des absurdités. Pour cacher les faits, l’Armée de l’Air a réduit au silence son personnel.
en 1986 : Des objets inconnus sont dirigés par une force intelligente… Il est impératif que nous apprenions d’où ils viennent et quel est leur but.
Major E. J. Ruppelt
Qu’est-ce qui constitue une preuve ?
Faut-il qu’un OVNI atterrisse à l’entrée du Pentagone, auprès des chefs d’état-major ?
Ou est-ce une preuve lorsqu’une station de radar au sol détecte des OVNI, envoie une escadrille d’interception, que les pilotes voient l’OVNI, le prennent au radar et le voient s’éloigner à une vitesse fantastique ?
Est-ce une preuve seulement quand le pilote lui tire dessus et maintient sa version devant une cour martiale ? Ceci ne constitue-t-il pas une preuve ?
M. Dick D’Amato, spécialiste de la sûreté nationale et internationale et membre du Conseil National de la Sécurité ( US ), en 1991
Une faction occulte du gouvernement, d’une puissance incroyable a tenu secrètes les informations sur les OVNI et ils ont dépensé illégalement d’énormes sommes d’argent dans cette opération.
Scott Carpenter qui a participé au programme Mercury
A aucun moment, alors qu’ils étaient dans l’espace, les astronautes n’étaient seuls : ils étaient surveillés en permanence par les OVNI.
James A. Lovell, Durant le vol Gemini 12 en 1966
Quatre objets alignés. Je savais que ce n’était pas des étoiles.
Sénateur, colonel John Glenn, le premier astronaute américain
En ces jours glorieux, j’étais très mal à l’aise lorsque l’on nous demandait de dire des choses que nous ne voulions pas et d’en démentir d’autres.
Certaines personnes nous demandaient, vous savez, étiez-vous seuls là haut ?
Nous n’avons jamais répondu la vérité, et cependant nous avons vu des choses là bas, des choses étranges, mais nous savons ce que nous avons vu là haut.
Et nous ne pouvions réellement rien dire.
Nos supérieurs avaient vraiment très peur de cela, ils avaient peur d’un truc du genre de la guerre des mondes, et de la panique générale dans les rues.
Donc, nous devions rester silencieux. Et maintenant nous voyons ces choses seulement dans nos cauchemars ou peut-être dans des films, et certaines sont très proches de la vérité.
Le Major Gordon Cooper
Pendant plusieurs jours d’affilés nous avons observé des engins métalliques en forme de soucoupes, à de très hautes altitudes au-dessus de la base, et nous avons essayé de nous approcher d’eux, mais ils étaient capables de changer de directions beaucoup plus rapidement que nos chasseurs.
Je crois vraiment que les OVNI existent et que les véritables cas inexpliqués proviennent d’une autre civilisation technologiquement avancée.
Au vue de mon expérience aéronautique et spatiale, je pense avoir une idée assez précise de ce que tout le monde sur cette planète, a sur les capacités de leurs performances, et je suis sûr qu’au moins quelques-uns de ces OVNI ne viennent pas de la Terre.
En 1985 il fit une déclaration solennelle aux Nations Unies
Je crois que ces vaisseaux extraterrestres et leurs équipages qui visitent la Terre à partir d’autres planètes sont d’une manière évidente un peu plus avancés technologiquement que nous. Je pense que nous avons besoin d’un programme coordonné de très haut niveau pour collecter et analyser scientifiquement les données de l’ensemble de la planète sur les différents types de rencontre afin de déterminer comment interagir au mieux avec nos visiteurs d’une manière amicale. Nous devrions tout d’abord leur montrer que nous avons appris à résoudre nos problèmes de manière pacifique plutôt que par la guerre, avant d’être acceptés en tant que membre à part entière de l’équipe universelle. Cette admission offrirait à notre monde de fantastiques possibilités de progrès dans tous les domaines. Il semblerait alors certain que les Nations Unies possèdent un droit acquis à traiter ce sujet de façon appropriée et rapide. Pendant des années, j’ai vécu avec un secret, le secret imposé à tous les spécialistes et les astronautes. Je peux maintenant révéler que chaque jour, aux Etats-Unis, nos radars repèrent des objets de forme et de nature inconnues. Et il y a des milliers de rapports de témoins et quantités de documents qui le prouvent, mais personne ne veut les rendre publics.
Pourquoi ? Parce que les autorités ont peur que les gens imaginent une espèce d’horribles envahisseurs.
Donc le maître mot demeure : Nous devons éviter la panique à tout prix.
Donald « Deke » Slayton a rapporté dans son livre la rencontre qu’il a faite avec un OVNI lors d’un vol en 1951
J’effectuais un vol d’essais sur un chasseur P-51 à Minneapolis quand j’ai repéré cet objet.Il était environ à 10 000 pieds en ce bel après-midi ensoleillé.
J’ai pensé que c’était un cerf-volant, puis j’ai réalisé qu’aucun cerf-volant ne pourrait voler aussi haut. Comme je me rapprochais, cela ressemblait à un ballon sonde, gris et d’un diamètre d’environ 1 mètre. Mais aussitôt que je me plaçais derrière cette sacré chose, cela ne ressemblait plus à un ballon.
Cela ressemblait à une soucoupe, un disque. Au même instant, je pris conscience qu’il s’éloignait de moi tout d’un coup – et j’étais là, volant à plus de 500 km/h. je l’ai poursuivi pendant quelques instants et puis subitement cette fichue chose a simplement ‘décollé’. Elle a grimpé avec un angle de 45° en virant et en accélérant et a tout bonnement disparu.
Deux jours plus tard, je prenais une bière avec mon commandant, et je me suis dit, ‘ bon sang, je devrais lui en parler’.
Je l’ai fait et il m’a dit d’aller aux renseignements et de leur faire un rapport.
Je l’ai fait, et je n’en ai plus jamais entendu parler.
L’astronaute James Mcdivitt
Mon observation d’OVNI a eu lieu il y a longtemps, en 1965 lors de la mission spatiale Gemini IV. Je regardais par le hublot lorsque j’ai aperçu un objet cylindrique auquel était attaché un tuyau ou une antenne.
Une photo est sortie après qui ne correspondait malheureusement pas du tout à l’objet que j’avais vu. Cela ressemblait plutôt à des tâches de lumière.
L’astronaute Edgar D. Mitchell, en 1971
Nous savons tous que les OVNI sont réels. La question est : d’où viennent-ils ? Quand j’ai été sur la Lune, il y a 26 ans, cela faisait partie de la sagesse populaire, religieuse et philosophique de croire que nous étions le centre biologique de l’univers. Peu, si tant est qu’il en reste, de gens instruits et cultivés acceptent encore cette théorie. Je suis convaincu qu’il existe d’autres formes de vie dans l’univers. La question est de savoir quel est leur degré de développement, combien de milliers d’années de plus que nous.
D’après ce que je sais aujourd’hui, d’après ce que j’ai vu et expérimenté, je pense que les preuves sont formelles et beaucoup d’entre elles sont classées top-secret par le gouvernement.
Le Cosmonaute russe, Georgiy M. Grechko
Si j’étais libre de dire ce que j’ai vu dans l’espace, le monde en serait stupéfait.
Les cosmonautes Vladimir Kovalyonok et Aleksander Ivanchenkov ont aperçu un OVNI au cours de la mission Soyouz 29 en juin 1978.
L’objet se déplace à 20-30 degrés, il passe sous notre appareil.
On dirait une balle, elle grossit de plus en plus. C’est orange foncé, elle évolue trop près de nous.
M. Pierre Clostermann, as de la seconde guerre mondiale
Les soucoupes volantes ont une origine extra-terrestre. Ni les russes ni les américains ne sont capables de construire des machines de cette sorte. Les caractéristiques de ces engins sont nettement supérieures aux possibilités actuelles de la science.
Le physicien Stephen Hawking, le 6 mars 1998
Bien sûr, il est possible que les OVNI contiennent réellement des extraterrestres comme le pensent beaucoup de gens, et que le gouvernement le cache.
Werner Von Braun, le père des V2 allemandes et des fusées américaines, en 1959
Nous sommes confrontés à des puissances de très loin supérieures à tout ce que nous supposions jusqu’ici, et qui nous sont inconnues. Je ne peux en dire plus pour le moment. Nous sommes maintenant sur le point d’entrer en contact avec ces puissances, et d’ici 6 ou 9 mois, il devrait être possible de parler plus précisément de ce sujet.
Dr Hermann Oberth, l’un des pères des fusées, en 1960
Les OVNI sont conçus et dirigés par des êtres de la plus haute intelligence, et sont propulsés par distorsion du champ gravitationnel, convertissant la gravité en énergie. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ces objets soient des sortes de vaisseaux interplanétaires. Mes collègues et moi sommes persuadés qu’ils ne sont pas originaires du système solaire, mais peut-être utilisent-ils Mars ou un autre corps céleste comme poste avancé.
Ils ne sont probablement pas originaires du système solaire, ni même peut-être de notre galaxie. Nous ne pouvons pas nous prévaloir des avancées scientifiques dans certains domaines. On nous a aidés
Source : ufoetscience
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