DRONES OU OVNIS ?
Le survol des centrales nucléaires françaises pose une question cruciale sur la sécurité
de l'espace aérien national, quels sont ces engins qui les survolent ?
Les "drovnis" à la une
23 janvier 2015
Le 21 janvier 2015, l'édition Sud Ouest publie en gros titre un article confirmant la présence d'OVNIs au dessus des centrales nucléaires (voir un lien vers l'article en fin).
En effet, au cours de la présentation officielle des résultats 2014 et des perspectives de la centrale nucléaire du Blayais, son directeur Monsieur Pascal Pezzani est revenu sur l'affaire des survols par "des drônes":
«[....]Ici, on n'a pas vu de drône. On a vu un ovni et il n'y a eu aucun impact sur la sûreté de nos sites. Notre position est claire, lorsqu'il y a survol du site nous portons plainte et on communique.[....]»
Il est intéressant de constater devant ce témoignage que certains hauts fonctionnaires n'ont pas peur des répercussions que de telles déclarations peuvent entraîner pour leur carrière et font preuve d'une loyauté citoyenne. Son témoignage vient conforter les hypothèses émises par plusieurs d'entre nous dès fin septembre 2014.
Il est intéressant de signaler qu'outre les 32 survols au dessus de centrales nucléaires, de sites d'AREVA ou du CEA qui se sont produits durant l'automne 2014, 30 autres observations supplémentaires ont été faites début janvier 2015 sans jamais obtenir confirmation qu'il s'agit effectivement de drones.
On peut regretter le refus d'enquêter sur ces affaires, exprimé par l'organisme officiellement chargé de la question ovni: le GEIPAN.
Source : feairplane
Citoyenneté galactique...Humains et présences "exogènes"...
Le livre
Un extrait: Humains et extraterrestre... la rencontre Citoyenneté galactique Il y a nous, les humains, apparemment isolés sur notre petite planète et puis il y a « les autres », les extraterrestres. De ces « autres », l'ufologie et les parasciences en général nous parlent incessamment, relatant quantité de contacts qui ne sauraient être ramenés à une simple illusion. Tandis que les traces de cette coprésence se cumulent numériquement par l'image, le son ainsi que des témoignages venus des quatre coins du monde, nos institutions se calfeutrent dans le déni, donnant ainsi l'impression d'être dépassées par les faits et incapables de gérer ces données au bénéfice des humains peuplant la Cité. Cette proxémie avec les « autres » introduit dans nos vies un paramètre extragéographique impactant l'idée que nous nous faisons de la citoyenneté, générant la notion nouvelle d'exocitoyenneté. L'ufologie non seulement répond à cet appel, mais contient les prémisses de cette mutation cosmique. De toutes les parasciences, c'est elle qui nous parle le mieux du nouveau paradigme en train d'émerger, celui-là même que les gouvernants tentent précisément d'occulter. En donnant à penser autrement le monde, celui de ses origines autant que celui de son devenir, en remettant en question ce qu'est le réel, les ufologues nous rappellent que les certitudes sont fragiles et que toutes nos institutions : politiques, scientifiques, religieuses, ne produisent jamais que des vérités éphémères, parfois frelatées, et qu'il faudra à un moment ou à un autre totalement revisiter.
Source : feairplane
"Ovnis et conscience", une nouvelle réflexion sur la question...
Le livre
Deux grandes énigmes de la science, la Conscience et les OVNIS, se rencontrent dans cet ouvrage collectif rédigé par des auteurs de premier plan qui, pour la première fois, entrecroisent leurs discours. Des scientifiques issus des sciences dures (physique) et des sciences humaines (psychologie, ethnologie), un philosophe des sciences, des ufologues-enquêteurs et des témoins analysent le phénomène OVNI à la lumière de ces deux énigmes et à partir de leurs domaines de compétences respectifs. Leurs analyses nous apprennent que celles-ci se pénètrent l'une l'autre et s'influencent réciproquement : dans de nombreux cas les OVNIS modifient la conscience des témoins qui voient s'élargir leurs capacités de perception. En retour, la conscience, ainsi modifiée, paraît plus apte à entrer en contact avec des formes d'intelligences évoluées et inconnues qu'il nous faut appeler des consciences exogènes. Que nous enseigne cette réciprocité ? De quelle manière nous permet-elle de jeter une lumière nouvelle sur le mystère des OVNIS ? La réponse à cette question s'appuie sur les avancées les plus récentes de la physique qui voit s'ouvrir à elle un nouveau paradigme : celui de l'information. A travers les promesses de la physique de l'information, un nouveau cadre théorique s'offre à l'ufologie qui lui donne les moyens de faire le lien entre la conscience et les OVNIS et de penser ainsi leur singulière réciprocité. Initiative sans précédent, cet ouvrage propose d'investir ce nouveau cadre qui interroge la nature de ce que nous appelons la matière, entreprise que seule une approche multidisciplinaire autorise. La cohérence de ses différentes contributions esquisse ainsi l'émergence d'une nouvelle ufologie, dont les répercussions vont bien au-delà de sa problématique pour suggérer une nouvelle conception de la Réalité. Une véritable révolution !
Source : ovniconscience
DRONES et NUCLÉAIRE
Un texte de Claude LAVAT
17 novembre 2014
Dicton du jour:
Il faut aller “au devant du phénomène” et ne pas rester béat,
comme les vaches regardant les trains passer !
(réf.: premier paragraphe de "ovniologie et société française")
Les “engins non identifiés” qui survolent nos centrales (expression textuelle d’un directeur d’EDF le 31/10/14, sur les TV); donc je retiens que ce n’est pas un ovniologue, comme moi, à l’esprit mal tourné par définition, qui a lancé l’hypothèse OVNI; c’était pratiquement un appel au secours que lançait ce directeur !
En conséquence, je propose à je ne sais qui, excepté au GEIPAN qui attend une demande tamponnée en 3 exemplaires pour se bouger, le schéma de ce qui pourrait être une enquête sincère & scientifique.
Voici:
1/ Qui ont été les observateurs premiers des “engins non identifiés”?
2/ Quel a été le cheminement de l’information jusqu’à nous-mêmes?
3/ Quels sont les domaines physiques impactés: visuel, auditif, électromagnétique, thermique, psychologique, autres?
4/ A-t-on observé des perturbations aux niveaux nucléaire, électrique-électronique (systèmes de gestion technique et sureté-sécurité)? (réf: Minot et vallée de l’Hudson en 90)
5/ Si l’on obtient une réponse positive à l’une des questions précédentes, quels ont été les niveaux d’énergie reçus, nécessaires et suffisants pour induire les effets constatés?
6/ Les centrales concernées présentaient-elles des caractéristiques communes dans leurs histoires: valeurs du MTBF, particularités dans leur obsolescence, leur espérance de vie, les projets de démantèlement éventuels etc… etc…
Voilà de la belle Science telle que je la conçois et du travail devant inspirer tout organisme officiel ou autre.
Question subsidiaire: qui relèvera le défi?
Raisons de se placer dans l'hypothèse d'une démonstration exogène
A - élimination des autres possibilités:
a) celle des drones manipulés par des radios modélistes facétieux: pourquoi souvent la nuit? L'étendue, la persistance de la vague avec très souvent des opérations simultanées sur plusieurs centrales et notamment le CEA de Saclay et Marcoule ostensiblement protégés par les forces de police, nous amène à éliminer cette hypothèse.
b) du coté Greenpeace ou autre groupement antinucléaire: auto-élimination par un responsable de ce mouvement avec des arguments incontournables De leur propre aveu ils font ce genre de démonstration a des fins publicitaires et a grand bruit dans les médias.
c) l'hypothèse d'une action par une nation ou un groupe lié à l'industrie pétrolière ou similaire: ces lobbies disposent d'éléments plus directs et sans équivoque pour défendre leurs intérêts.
d) l'hypothèse de chantage/pression politique exercé par une autre nation: réponse identique à l'hypothèse précédente.
Nous sommes donc contraints de retenir une cause exogène qui serait, par définition, extraterrestre au sens large du concept.
B - les causes possibles à la lumière de ce que nous apprend l'histoire du phénomène. Références:
- Minot
- Vallée de l'Hudson en 1989
- Plateau d'Albion
- et bien d'autres en URSS puis Russie.
C'est donc bien le nucléaire civil et le nucléaire militaire qui sont concernés.
C - Pour qui les messages? Essentiellement pour les autorités politiques et industrielles ayant le nucléaire entre leur mains (réf: principe de Panurge que je décris dans mon livre pages 151 et suivantes)*
D - évolution de la stratégie de nos visiteurs
On peut remarquer que progressivement le degré d'ostentation de démonstration vis a vis du public en général est en augmentation (5 novembre 90, la vague belge 89/90) faisant ainsi apparaitre un court circuit des autorités politiques annonçant peut-être une stratégie de "révélation" progressive a la population devant l'incapacité des systèmes politiques à préparer, informer, former les populations dont ils ont, parait-il, la responsabilité.
Après décantation et centrifugation de ce qui précède, voilà ce qu'il en ressort après filtrage et évacuation des déchets.
Avant de prétendre définir une exopolitique, ne faut-il pas auparavant définir une "exosociologie" (ref: page 236 et suivantes de mon livre)*
Conclusion provisoire: qui va ramer avec moi sur le sable. Il y a encore beaucoup de place sur le radeau de la "Science d'en Bas", la "Science d'en Haut" s'étant déjà sabordée par son dogmatisme.
Claude Lavat
Source : feairplane
VOIR ICI LES LETTRES ADRESSEES AUX INSTANCES OFFICIELLES
MAJ le 29/01/2015 - OVNIS DIRECT
Le gouvernement français est en état d'alerte, depuis octobre 2014, en raison d’une importante quantité d’ovnis répertoriés au-dessus de certaines centrales nucléaires.
«Face à ce phénomène nouveau, les forces de l’ordre tâtonnent, cherchent la parade», confiait récemment à l’AFP le criminologue et spécialiste de la sûreté aérienne, Christophe Naudin.
Des drones ont survolé, en début de semaine, le site militaire de l'Ile-Longue, dans le Finistère. Cette base opérationnelle de la marine nationale abrite notamment les quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, éléments de la force de dissuasion nucléaire française.
Depuis début octobre, 17 sites nucléaires ont été survolés par des drones, certains à plusieurs reprises.
La France compte au total 19 centrales nucléaires en activité, soit 58 réacteurs tous exploités par EDF. Leur survol est interdit dans un périmètre de cinq kilomètres et de mille mètres d’altitude autour des sites. De plus, l’espace aérien au-dessus des centrales nucléaires est surveillé par l’armée de l’air dans le cadre d’un protocole avec EDF. Ces derniers n’ont jusqu’à présent livré aucune vidéo à propos de ces survols d’engins.
La centrale de Creys-Malville, en Isère, a été la première survolée, le 5 octobre. Ce site a été survolé un mois plus tard, le 3 novembre.
Cattenom (Moselle) les 11 octobre et 10 novembre.
Le Blayais (Gironde) le 13 octobre.
Chooz (Ardennes) le 19 octobre.
Gravelines (Nord) 19 octobre.
Le site du Bugey (Ain) a été survolé quatre fois entre le 19 octobre et le 6 novembre.
La centrale de Nogent-sur-Seine (Aube) a été la première à être survolée en 2015 : deux drones ont été aperçus au-dessus de ce site qui avait déjà été visité le 19 octobre.
Flamanville (Manche) le 31 octobre.
Penly (Seine-Maritime) les 31 octobre et 13 novembre.
Golfech (Tarn-et-Garonne) les 31 octobre et 12 novembre.
Saint-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher) le 31 octobre.
Dampierre-en- Burly (Loiret) les 31 octobre et 2 novembre.
Fessenheim (Haut-Rhin) le 31 octobre.
Saint-Alban (Isère) le 5 novembre.
Marcoule (Gard) les 6 et 18 novembre.
S’ils demeurent certains du fait que des drones sont à l’origine du survol de ces centrales, pourquoi ne diffusent-ils pas les images capturées ? Leur objectif officiel ne serait-il pas finalement de ne retrouver que les auteurs ? En quoi la diffusion d’une vidéo aurait pu compromettre l’enquête ?
Les autorités ont longtemps soupçonné une action coordonnée menée par un groupe inconnu.
Le 31 octobre, cinq associations anti-nucléaires (Comité pour la Sauvegarde de Fessenheim, Stop Fessenheim, Stop Transports Halte au nucléaire, le Collectif les Citoyens Vigilants de Fessenheim et Alsace Nature) ont indiqué ne pas être responsables de ces intrusions de drones.
2012 - Observatoire solaire de la Nasa - Ovni se rechargeant au Soleil dans l'espace
Greenpeace a même accusé le gouvernement français de minimiser les dangers que peuvent représenter ces engins inconnus.
Le dernier incident date du 3 janvier 2015 et s’est produit au-dessus de la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine (au sud-est de Paris), où deux gardes de sécurité ont observé "deux objets volants."
Rappelons par exemple que des centrales, distantes de plusieurs centaines de kilomètres, ont été survolées de manière presque simultanée vendredi 31 octobre : les centrales de Penly (Seine-Maritime), Flamanville (Manche), Saint-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher), Dampierre-en-Burly (Loiret) et Fessenheim (Haut-Rhin).
À la fin décembre, un objet a survolé une centrale nucléaire belge, située précisément à Doel (à environ 10 miles d'Anvers).
Le site d’information Spiegel Online affirme qu’elle avait été fermée quelques mois du fait d’un sabotage sur lequel aucun détail n’avait été fourni.
Récemment, trois jeunes hommes avaient été arrêtés dans le centre de la France. Il s’agissait finalement de passionnés qui testaient des "modèles", différents des engins sophistiqués qui semblent être à l’origine des incursions.
« Ce ne sont pas des enfants qui envoient ces drones au-dessus des centrales », assurait il y a peu au Figaro un haut gradé de la gendarmerie. « Ils pourraient en avoir survolé une. Mais pas cinq ou six dans un temps aussi rapproché ».
Comme l'affirme sciences et avenir, il faut savoir que des dispositifs techniques basés sur la détection de signature acoustique du vrombissement de ces machines existent. C'est ce que propose la société française Drone Detector, ou encore le dispositif américain "Droneshield".
"Notre équipement de base peut repérer un drone électrique de type DJI Phantom à une distance de 150 mètres. Avec un micro parabolique longue portée, on peut le repérer à 1 km de distance" a expliqué le responsable technique de cette société.
Mardi 20 janvier, lors de la présentation des résultats 2014 et des perspectives de la centrale nucléaire du Blayais, le directeur Pascal Pezzani est revenu brièvement sur l'affaire des drones.
Suite à la question de SUD OUEST à un élu sur l'affaire des drones, le directeur a rétorqué : « Ici, on n'a pas vu de drone. On a vu un ovni et il n'y a eu aucun impact sur la sûreté de nos sites. Notre position est claire, lorsqu'il y a survol du site nous portons plainte et on communique. »
Une interview glaçante de l’ingénieur en génie nucléaire Mr Bruno Comby, réalisée en décembre 2014 sur BFMTV, évoque la possibilité d'un attentat terroriste : « ces 'soi-disant' drones non identifiés par les autorités survoleraient les centrales nucléaires pour les cartographier en vue d'exécuter un attentat non pas sur les réacteurs des centrales, mais sur les transformateurs ; ce qui provoquerait un crash électrique aux conséquences désastreuses sur l'économie… »
Existe-t-il un rapport historique entre les ovnis et le nucléaire au point d’alarmer tous les ufologues à la moindre observation étrange relatée à proximité des centrales nucléaires ou installations sensibles ?
Il est important de noter que des militaires de l'US Air Force et de la Royal Air Force ont affirmé, depuis plus de 60 ans, que des ovnis survolent des bases militaires pour saboter les missiles nucléaires. Découvrez le compte rendu d’une conférence en date du 27 septembre 2010 au "National Press Club" de Washington, au sujet des témoins militaires d’ovni sur des sites nucléaires qui témoignent.Beaucoup de spécialistes sur la question des Ovnis se rejoignent sur le rapport entre les ovnis et les installations militaires ou nucléaires. Ces lieux stratégiques et sensibles seraient surveillés. Cela s'est notamment intensifié depuis que l'homme a découvert l'atome dans les années 40.
Voici un excellent article de Fabrive Bonvin intitulé "Ovnis et Atome" et consacré à ce sujet.
Dans les cas de survols de sites sensibles par des ovnis, il est rare que des habitants des alentours témoignent à ce sujet du fait que ces manœuvres soient extrêmement bien localisées.
Ces manœuvres, extrêmement bien coordonnées, n’ont-elles pas pour objectif de nous faire prendre conscience du danger que court notre environnement terrestre ? Ou peut-être nous sensibiliser quant au niveau de sécurité de nos centrales ?
Source : ovnis-direct
Depuis quelques mois, la majorité des centrales nucléaires françaises ont été survolées par des drones, dans des opérations coordonnées. Ces engins volants de plus en plus utilisés pour la guerre sont-ils vraiment une menace pour la sécurité nucléaire de la France ?
Rappelons que la France est le deuxième pays producteur d'énergie nucléaire au monde, derrière les Etats-Unis : 75 % de notre électricité est produite par 58 réacteurs nucléaires répartis sur 19 centrales. Ce qui en fait une source d'énergie incontournable mais aussi particulièrement vulnérable pour la sécurité énergétique du pays.
Or, début le début du mois d'octobre 2014, 17 sites nucléaires ont déjà été survolés par des drones très perfectionnés, et ce régulièrement. Ainsi, le premier survol « d'un aéronef assimilable à un drone » a été détecté le 5 octobre au-dessus de la centrale en déconstruction de Creys-Malville, dans l'Isère.
Bien sûr, l'espace aérien des centrales nucléaires est formellement réglementé : le survol d'une centrale nucléaire dans un périmètre de 5 kilomètres et en dessous de 1000 mètres d'altitude est strictement interdit. Le risque terroriste exige en effet une protection importante de l'espace aérien des centrales, surveillé par l'armée de l'air dans le cadre d'un protocole avec EDF.
Officiellement, ces mystérieux survols, dont les motivations demeurent indéterminées, seraient sans conséquences : les drones évoqués par les témoins « sont des mini-drones », « en vente dans le commerce », a précisé le porte-parole de l'armée de l'Air, le colonel Jean-Pascal Breton colonel, qui, vu la taille de ces engins, indique qu'« il n'y a pas de menace avérée contre les installations en elles-mêmes ».
Et pourtant : l'armée à déployé des radars ANGD ainsi qu'une centaine 100 militaires à Cattenom le 12 novembre 2014, non loin de l'usine de retraitement de La Hague et de la centrale nucléaire de Flamanville, rapporte le journal Le Figaro. De plus, le 8 novembre 2014, le quotidien La Dépêche indiquait que deux hélicoptères Gazelle du 5e Régiment d’Hélicoptères de Combat (RHC) avaient été déployés près de la centrale nucléaire de Golfech (82), laquelle venait, comme d’autres installations de ce type, d'être survolée à deux reprises par un mystérieux drone.
EDF se veut également rassurante : « Nous n'avons aucune crainte vis-à-vis d'un drone survolant nos installations. Ces objets ne sont pas susceptibles d'endommager quoi que ce soit par leur chute ou tout objet qu'ils lâcheraient. On est en deçà de ce qui est prévu dans le dimensionnement de nos installations ». Ce qui n'a pas empêché le fournisseur d'énergie de porter plainte pour chaque survol constaté.
Au début, Greenpeace a été soupçonné de défier EDF, comme l'association écologiste le fait régulièrement pour montrer l'insuffisances des mesures de sécurité des centrales nucléaires françaises. En vain, Greenpeace n'est pas impliquée dans ces survols et a démenti « rapidement, toute implication. Parce que pour chacune de nos actions, nous agissons à visage découvert et revendiquons nos actes. »
Cependant, il semble qu'il y ait de bonnes raisons de s'inquiéter. Ce qui explique le rapport commandé par Greenpeace et qui restera confidentiel pour des raisons de sécurité, indique LCP.(...)
Source : notre-planete
DES DRONES SURVOLENT LA CAPITALE
Affaire résolue ?
La gendarmerie des transports aériens a ouvert une enquête. Ils seraient cinq peut être six à avoir survolé certains lieux stratégiques dans la nuit de lundi à mardi notamment les abords de l’ambassade des Etats-Unis, la place de la Concorde et une partie des Champs-Élysées et la Tour Eiffel.
En plein plan Vigipirate et alors que la capitale française est quadrillée par de très nombreuses forces de l’ordre, l’affaire suscite la polémique.
“Pour l’instant, ce que l’on voit depuis que ces vols de drones ont commencé, fin d’octobre au-dessus de centrales nucléaires, c’est qu’il n’y a pas de jet d’objets. Ces drones ne s‘écrasent pas non plus au sol. Donc manifestement ces drones sont utilisés par des personnes qui savent s’en servir, sans qu’on puisse déterminer pour autant s’il s’agit de professionnels ou de pures geeks ; ça pourrait même être des adolescents qui seraient vraiment experts dans le maniement de ces petits engins qu’on trouve dans le commerce”, explique Jean-Marc Tanguy, journaliste spécialisé dans les questions militaires.
Les survols du territoire français par des drones ne cessent de se multiplier depuis ces derniers mois. Outre six centrales nucléaires, le site de l‘île Longue en rade de Brest où sont basés les sous-marins nucléaires français et l‘Élysée ont également été concernés.
Des survols dont le but et les auteurs restent donc, pour l’heure, bien mystérieux. Parmi les hypothèses, une hypothétique agence de tourisme venue d’Asie qui souhaiterait filmer une publicité.
Source : euronews
Alors qu'ils faisaient voler un drone pour les besoins d'un reportage, trois journalistes de la chaîne Al-Jazeera ont été interpellés à Paris. L'un d'entre eux passera devant les tribunaux.
Depuis plusieurs jours, des informations font état de survols d'une partie de la capitale par des drones. L'un d'entre eux a été identifié mercredi. Selon l'AFP, il s'agissait de trois journalistes de la chaîne Al-Jazeera, deux Britanniques et un Belge. Ces hommes utilisaient ce matériel dans le bois de Boulogne dans le cadre d'un reportage.
L'un d'entre eux (le pilote) a plaidé coupable. Selon cette procédure, récurrente dans ce type d'affaires, la justice va rapidement proposer une peine au prévenu. S'il l'accepte, il devra s'y plier mais aucune autre poursuite ne pourra être initiée. A défaut, l'affaire sera renvoyée en correctionnelle.
Toujours est-il que le journaliste qui pilotait le drone devrait être présenté la semaine prochaine devant un magistrat. Quant aux autorités, elles rappellent que, sans autorisation, le survol de la capitale est interdit, y compris par des drones. La police indique également qu'elle poursuit ses enquêtes quant aux autres vols enregistrés les nuits précédentes
Source : clubic
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