De nouvelles histoires incroyables
Quelques histoires troublantes et pourtant bien authentiques...
Le tableau de Reeva Steenkamp
Tuée en 2013 par son ami le célèbre athlète sud-africain Oscar Pistorius, Reeva Steenkamp aurait peut-être pu prévenir sa propre mort. Selon sa mère, alors qu’elle n’était qu’âgée de 14 ans, Reeva réalisa une toile la dépeignant en ange aux côtés d’une échelle menant au paradis. En arrière-plan, on y voit aussi un sombre personnage armé d’un fusil. Coïncidence ou prémonition, les parallèles entre son œuvre et les circonstances de sa mort sont très étranges...Source : canald
Des gendarmes témoins
(photo : francemusique)
A présent, voici le récit d'un cas de poltergeist: la maison hantée située dans la commune de la Machine.
Ce qui est très troublant , c'est que les gendarmes furent les témoins privilégiés de cet esprit frappeur.
Vingt-huit ans après, le mystère de l'esprit frappeur de La Machine (Nièvre) demeure entier
Nous sommes en novembre 1973, à La Machine où un curieux phénomène va durer près d'un mois. Un esprit frappeur, dans le mur d'une chambre, répond aux questions qui lui sont posées. Aujourd'hui, le mystère est toujours entier. Commence alors une incroyable histoire et une enquête menée par l'adjudant Bernard Guilbert, à l'époque commandant de la brigade de La Machine. Ce dernier, aujourd'hui retraité à Imphy se souvient parfaitement des faits et a accepté de commenter cette étrange affaire au quotidien "Le journal du centre" : « J'ai constaté à plusieurs reprises le phénomène et j'ai personnellement pu discuter avec l'esprit ».
L'affaire fait évidemment grand bruit à tel point que les Machinois et autres curieux, venant parfois de fort loin, se rendent en nombre dans la maison qui semble hantée.
Des scientifiques sont aussi là : « Pas mal de charlatans également », commente Bernard Guilbert. L'histoire paraît surréaliste, un esprit frappeur tape dans la cloison de la chambre d'un adolescent et il répond même à des questions précises. « On lui a demandé les arrivées du tiercé, qu'il a données d'ailleurs. Il était aussi capable de rythmer des marches militaires,et des chansons de Marie Laforêt. Il a répondu à des questions très personnelles que je lui ai posées. Bref, c'était véritablement déstabilisant. Mes gendarmes étaient, du reste, perturbés. »
« Forcément, on a mené une enquête sérieuse. On a fait des planques. On a placé des gendarmes partout, à l'étage, derrière la cloison, au sous-sol, dans le jardin. Rien, il n'y avait rien. Je suis sûr d'une chose, il n'y avait pas de trucage, pas de supercherie » raconte, péremptoire, l'adjudant Guilbert.
Phénomène surnaturel ? Rien ne sera jamais démontré. Toutefois, l'adjudant Guilbert a fait des enregistrements. C'est édifiant et c'est surtout une première dans ce genre d'investigation.
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Source:' 30 histoires paranormales', émission présentée par Karine Ferri et Pascal Fontaine
Nous sommes en Alsace au sud de Mulhouse sur une charmante route, bien droite serpentée d'arbres et des plus ordinaires. Et pourtant, ce petit tronçon d'un kilomètre à peine, la départementale 419, est le siège terrible du plus grand nombre d'accidents de toute la région. En quatre années, entre 1994 et 1998, 124 accidents de la route s'y sont déroulés et l'hécatombe continue encore. Un nombre impressionnant d'accidents et pour la plupart inexpliqués. Cette route serait-elle maudite ?
Les accidents ont toujours lieu au même endroit, non loin d'une auberge. La D419, fait régulièrement la une des journaux, une bien mauvaise célébrité qui effraie les habitants du petit village juste à côté, Carspach. Jean-Bernard Herman, cuisinier, déclare que quand il prend sa voiture et arrive sur cette route, il fait très attention. Lui et les habitants de la région craignent pour leur vie sur cette route qui est pourtant bien droite.
Il explique avoir lui-même assisté en direct à un accident, il se souvient de l'arrivée des gendarmes et des pompiers et que les discussions avaient aussi porté sur un ancien cimetière à cet endroit-là et la possibilité que les causes soient surnaturelles. Le maire de Carspach, Jean-Pierre Hartmann, confirme la crainte des Carspachois et des Carspachoises sur cette mystérieuse ligne droite responsable de beaucoup trop d'accidents.
Le maire déclare qu'ils ont amélioré la sécurité, mais que cela n'a rien changé et qu'autant de drames au même endroit inquiètent.
Pour certains, la réponse se trouve peut-être dans le sous-sol de la route.
Joseph Birckner, géobiologue, s'est aperçu qu'à cet endroit précis il y avait une anomalie des champs magnétiques terrestres. Il explique que ces anomalies peuvent entraîner chez le conducteur du stress, une perte de conscience qui pourrait expliquer que certains conducteurs ont perdu le contrôle de leur véhicule. Ces accidents auraient donc une cause souterraine, mais pourquoi ici et pas ailleurs ?
Qui y a-t-il dans le sous-sol de cette route ?
Le maire adjoint d'Altenach, Madeleine K, une commune aux alentours, explique qu'après la guerre du seizième siècle, il y avait quatre ou cinq villages dans les alentours qui ont disparu et que tous les villageois sont morts dans des conditions dramatiques. Un ancien cimetière se trouverait non loin de cette route.Pour elle, les âmes de ses villageois n'auraient peut-être pas trouvé le repos. Bien que cette route soit droite et que la sécurité ait été renforcée, les accidents de cause inexpliquée ,continuent de s'y dérouler, sans qu'aucune explication soit trouvée. Cette route serait-elle maudite comme beaucoup d'habitants commencent à le croire ?
Personne, encore aujourd'hui n'a trouvé de réponses à ce macabre tronçon de route.
Source : "30 histoires mystérieuses", émission présentée par Karine Ferri et Pascal Fontaine
Little Bastard, la voiture maudite de James Dean
En 1955, James Dean achète une des 90 exemplaires construits du modèle Porsche 550 Spyder. Il surnomme la voiture "Little Bastard". Le 30 septembre 1955, à 17h59, il se tue à son volant, sur la route de Salinas. Il avait 24 ans.
James Dean n'aurait jamais dû acheter cette voiture.
C'était certes une automobile sportive spécialement créée pour la compétition, mais James Dean avait déjà commandé une autre voiture, une Lotus Mark 10.
Hélas, la commande avait pris du retard, et il lui fallait absolument trouver un véhicule pour participer à une course dans laquelle il était engagé le lendemain. Au garage Porsche de Los Angeles, il fut emballé par un modèle Spyder 550, et l'acheta sur un coup de tête.
En se rendant à cette course, James Dean allait traverser CHOLAME, une petite ville de Californie, en direction de SALINAS.
Au même moment, un jeune étudiant, Donald TURNUPSEED, conduisant une berline Ford, arriva de la route 41 et coupa la route à l'acteur en s'engageant sur la US Highway 466 où James Dean circulait prudemment (pour une fois...). Il s’avère que cette Porsche Spyder 550 n'a pas seulement tué James Dean, mais à causé de graves dommages à d'autres personnes dans les années qui suivirent.
On l’a souvent appelée la « voiture maudite ».
Georges Barris, le préparateur qui avait personnalisé la voiture de James, rachète l'épave du véhicule 2500 $ et se fracture la jambe peu après, à cause de la chute de la voiture. Jusque là, rien d’extraordinaire…
- Par la suite, il revend le moteur et la transmission aux physiciens Troy MC HENRY et William ESCHRID. Cet achat leur sera fatal. En faisant la course l'un contre l'autre, le premier perd le contrôle de sa voiture. Il est tué sur le coup après avoir percuté un arbre. Le second sera très grièvement blessé en effectuant une sortie de route. - Georges Barris revend ensuite les pneus de la Porsche : l’acheteur se tue au volant de son propre véhicule sans aucune explication. Les pneus étaient en parfait état et ne sont pas la cause de l’accident. - Deux jeunes voleurs tentèrent de dérober l’épave. L’un d’eux s’est blessé en s’ouvrant profondément le bras, à cause d'un morceau de métal déchiqueté. Il fut sauvé de justesse. - Un autre voleur tente de dérober l’épave. Il se blesse t de la même manière que le précédent, en essayant de voler le siège du conducteur, couvert de sang. Lui aussi, fut sauvé de justesse. - Lassé, Georges Barris décide de cacher la voiture. Elle sera pourtant récupérée 4 ans plus tard par la "California Highway Patrol" pour l'exposer à titre d'exemple sur les accidents de la route.
- La première exposition est un désastre. Un incendie se déclare dans le local qui sera entièrement détruit. Toutes les voitures sont réduites à l’état de carcasses calcinées, sauf « Little Bastard » qui en sort miraculeusement indemne.
- La deuxième exposition a lieu dans un lycée. Elle entraîne une autre conséquence. La voiture tombe de son support et broie la jambe d’un étudiant qui voulait la toucher.
- Sur la route de Salinas, non loin de l’accident de James Dean, le camion qui transporte la Porsche a un accident. Le conducteur est grièvement blessé, uniquement à cause de la Porsche qui a rompu ses attaches. - « Little Bastard » avait déjà tenté de s’échapper à deux reprises. Par deux fois, elle s’est "échappée" des camions qui la transportaient, sans autre conséquence que le bris du pare-brise d’un véhicule qui avait eu le malheur de circuler sur cette même route. - Elle fut exposée pour la dernière fois en 1959.
- En 1960, elle disparut mystérieusement, tout comme le camion qui la transportait. Ni l’un ni l’autre n’ont jamais été revus…Peut être roulent-ils encore en enfer ?
Ironie du sort, passionné de vitesse et de course automobile, il est avéré que ce jour là la vedette roulait à 90 km/h lors de l'accident;deux policiers furent témoins des faits. James Dean sortait tout juste d'un tournage d'un spot publicitaire pour la sécurité routière...
Source: "30 histoires paranormales" , émission présentée par Karine Ferri et Pascal Fontaine
Rose Mary Brown, la pianiste médium
Rosemary Brown est née le 27 juillet 1916 à Stockwell, en Angleterre, dans une famille de classe moyenne. À cette époque le spiritisme est à la mode et toute sa famille est très intéressée par ce phénomène. C'est pour cette raison que Rosemary assistera dès son plus jeune âge à d'étranges apparitions orchestrées par ses grands-parents maternels qui étaient devenus des spirites convaincus. Elle acquerra alors la conviction d'une possible vie après la mort.
À l'âge de 7 ans, un vieil homme qu'elle ne connaissait pas est venu pour lui rendre visite. Il avait de longs cheveux blancs et portait une soutane noire. Il se présentait comme étant un pianiste reconnu. Il lui dit qu'il était venu spécialement pour l'informer qu'elle possèderait un jour le même don que lui. Presque aussitôt l'homme disparut.
Ce n'est que dans le courant de ses 17 ans que Rosemary connaîtra l'identité de son mystérieux visiteur, lorsque par hasard, il lui arrive dans les mains un livre sur la musique classique et qu'en le parcourant elle reconnaît sur l'une des photos le visage de son visiteur. Elle regarde alors avec attention pour connaître enfin le nom du pianiste inconnu.Enfin elle le découvrit; c'était Franz Liszt. Maintenant qu'elle connaît son nom, elle veut en apprendre plus et regarde avec attention l'article du livre : musicien hongrois, précurseur de l'impressionnisme au piano, ami de Wagner, professeur de Hans von Bülow, a rejoint l'ordre religieux des Franciscains à l'âge de 54 ans …
et …est décédé en 1886, soit … 30 ans après sa naissance !
Pourtant, aucun doute n'est possible, c'est bien lui ! Du haut de ses 17 ans, cette découverte ne la trouble pas plus que ça.
Ensuite le temps passe et bientôt elle est obligée d'abandonner sa scolarité et pour subvenir à ses besoins, elle prend alors un emploi de femme de chambre. Puis elle se marie et a bientôt deux enfants.
Malheureusement, la seconde guerre mondiale éclate, guerre maudite pendant laquelle son mari perdra la vie.
En 1945, Rosemary se rappelle le message de son visiteur et décide de s'offrir un piano. Pendant trois ans, elle fait ses gammes, inlassablement, jusqu'à ce que la lassitude la gagne. Le piano était resté silencieux depuis plus de 15 ans, quand en 1964, alors qu'elle ne peut plus travailler à cause d'une côte cassée, elle se retrouve coincée à son domicile et éprouve une subite envie de se remettre au piano. Elle écoute celle-ci, s'assoit et place ses mains sur le clavier. Presque immédiatement; une force étrange se fait ressentir et sans qu'elle les contrôle, ses mains se mettent à jouer une musique merveilleuse. Pour elle, cela ne fait aucun doute, cette force c'est Frantz Liszt qui, grâce à son intermédiaire, compose à nouveau. Mais il ne sera pas le seul à se servir de Rosemary et il sera bientôt rejoint par Johannes Brahms, Johann Sebastian Bach, Sergei Rachmaninoff, Franz Schubert, Edvard Grieg, Claude Debussy, Frédéric Chopin, Robert Schumann et Ludwig van Beethoven.
Au fil des jours et grâce à ses visiteurs, elle compose dans le style de ces grands auteurs, des oeuvres inédites ou parachève certaines compositions. Elle réussira même sans jamais n'avoir pris aucun cours de solfège à retranscrire sur papier la musique qui lui était dictée. Elle donnera ainsi naissance à plus de 1000 partitions de piano.
En 1969, Rosemary Brown signe chez Philips son premier album intitulé ''The piano Album''. Celui-ci interloquera la presse musicale européenne. La BBC sera même persuadée d'une fraude et mènera une véritable enquête. De nombreux spécialistes musicaux et scientifiques, seront amenés à effectuer des tests afin de démasquer Rosemary. Mais malgré tous leurs efforts, ils n'y parviendront pas. Pour la plupart des experts il n'y a aucune supercherie.Les morceaux composés correspondent bien au style des compositeurs qu'elle nomme comme étant leurs véritables auteurs. Plus fort encore, certains morceaux qu'elle aurait reçus de Frank Liszt ont une ressemblance frappante avec des brouillons du compositeur que l'on a découvert que plus tard. Malheureusement, sa mort qui intervient le 16 novembre 2001, alors qu'elle est âgée de 85 ans, met fin à toutes ces expériences.
Néanmoins, une chose est sûre, ce phénomène désarme encore à l'heure actuelle tous les musicologues et artistes qui se sont penchés sur son œuvre. Même William Scheller, un célèbre auteur – compositeur - interprète français qui a accepté de nous donner son avis :« J'étais intrigué. On peut réellement se demander ce qui s'est passé. Je crois qu'il ne s'agit pas de supercherie. La musique est trop difficile à écrire. Le cas de Rosemary Brown m'a confirmé dans l'idée d'une inspiration qui est au-dessus de toutes les techniques. Elle a porté témoignage. Ça veut bien dire qu'il y a quelque chose ailleurs. Moi, je veux bien qu'on me donne toutes les explications cartésiennes possible, je veux bien qu'on me parle de tout ce que l'on veut, mais personnellement je n'ai pas de réponse. »
Aujourd’hui, un CD existe dans lequel on peut écouter pas moins de 40 morceaux, qui proviendraient tous des célèbres compositeurs nommés plus haut. Certains chercheurs pensent que ces musiques pourraient faire partie d'une sorte de « connaissance universelle » de l'humanité dont quelques rares esprits auraient la clé, grâce à leur sensibilité autant que grâce à leurs talents de médiums. On peut donc se poser la question : le talent artistique est-il pure invention ou héritage venu d'ailleurs ? Cette femme était-elle réellement en contact avec ces génies d'une autre époque ? Hypothèse bouleversante certes, mais à ce jour il n'y a pas d'autre explication.
Voici le lien du site internet officiel de Rosemary Brown sur lequel on peut écouter 2 morceaux de musique extraites du CD de Rosemary et aussi voir un film de 5 minutes, tout cela, bien sûr, gratuitement. On peut également s'y procurer le CD et le film complet (film de 52 minutes consacré à Rosemary Brown, mais qui n'est pour l'instant disponible qu'en anglais ou en allemand).
(Source:romana-hamburg)
Prodige musical : Jay Greenberg
Il s'appelle Jay Greenberg (1991- ) mais il signe (provisoirement ?) ses oeuvres sous le pseudonyme de Bluejay car ainsi qu'il le dit lui-même, les geais bleus sont petits et font beaucoup de bruit. Son père est un linguiste américain et sa mère, une peintre israélienne. Ni l'un, ni l'autre ne se sentaient concernés par la musique jusqu'à ce que leur fils les interpelle par l'exercice de dons exceptionnels. Jay possède, en effet, une oreille et une mémoire auditive hors du commun qui le classent - d'après ceux qui l'ont approché - comme le prodige musical le plus étonnant que la composition musicale a connu depuis un siècle.
De tous temps, les jeunes prodiges ont fasciné. Les mathématiques en ont révélé quelques-uns :
- Blaise Pascal (1623-1662) : Traité de géométrie projective à 16 ans.
- Karl Friedrich Gauss (1777-1855) : Disquisitiones Arithmeticae à 18 ans.
- Evariste Galois (1811-1832) : Mémoire sur les solutions d'équations algébriques, à 18 ans, … .
Aujourd'hui, cette denrée se fait beaucoup plus rare pour des raisons plutôt faciles à comprendre. Il est impensable de faire œuvre innovante, en sciences, sans avoir eu le temps d'absorber - et de digérer ! - une part appréciable de la littérature existante. Ce bagage ne cessant de croître avec le temps, on conçoit qu'il soit de plus en plus difficile, pour un jeune scientifique, de créer, aussi doué soit-il : ce n'est pas tant que les génies précoces n'existent plus mais plutôt qu'ils manquent d'opportunités.
Le problème se pose sans doute différemment en musique où la perspective d'innover n'est que modestement entravée par le répertoire existant. Pourtant, sans raison explicable, cela fait près de 100 ans que la liste des Pergolèse, Mozart, Weber, Schubert, Mendelssohn, Saint-Saëns et Korngold tarde à s'allonger.
On se réjouira d'apprendre que cela est peut-être chose faite. En tous cas, l'actualité spécialisée fait grand cas du "phénomène" Jay Greenberg.
On dit de lui qu'il a touché le violoncelle dès l'âge de 3 ans, voire 2, exagèrent certains ! La précision importe fort peu, on sait combien il est tentant de tricher avec le calendrier lorsqu'un prodige paraît. Johann van Beethoven n'avait pas procédé autrement avec son fils Ludwig. Ce qui est certain, c'est que Jay est entré à la Juilliard School à l'âge de 11 ans - du jamais vu en classe de composition - et qu'il a fallu lui aménager un parcours scolaire adéquat.
Déjà à 8 ans, Jay composait sur un synthétiseur, s'inventant un système de notations apte à fixer les idées musicales qui se bousculaient dans sa tête. On ne dispose d'aucun échantillon de ces essais de prime jeunesse : ceux qui figurèrent un temps sur la toile ont été retirés sans que l'on sache si c'était sur le conseil de ses professeurs qui y voyaient encore trop de maladresses ou si le démon des droits d'auteurs était déjà passé par là.
A 12 ans, il pouvait se vanter d'avoir complété 5 symphonies complètement orchestrées : quelles qu'en soient la valeur esthétique, c'est à coup sûr un exploit ! Depuis, il a ralenti le rythme puisqu'en 2008, seule une 6ème s'est ajoutée à la liste. Les exigences posées par ses maîtres de la Julliard ne sont certainement pas étrangères à ce qui apparaît comme une mesure protectrice : dorénavant, Jay n'accepte plus "que" trois commandes par an, refusant ainsi de céder à la tentation de transcrire tout ce qui lui traverse les sens.
Les professionnels qui l'ont approché y sont allés de commentaires dithyrambiques, osant toutes les comparaisons de Mozart à Korngold. Ceux, ils sont nombreux, qui craignent de manquer le train qui démarre, forment, dès à présent, un clan de supporters convaincus :
- La maison Schirmer - excusez du peu - l'équivalent américain de Sikorski à Hambourg publie ses partitions en exclusivité.
- Joshua Bellvient de créer son Concerto pour violon (2007) à Carnegie Hall.
- Le Quatuor Juilliard (avec Darrett Adkins au second violoncelle) a enregistré son Quintette à cordes.
- Le London Symphony Orchestra dirigé par José Sérébrier a fait de même avec sa 5ème symphonie.
A l'évidence, une voie royale s'ouvre devant ce jeune musicien même si personne ne sait avec certitude où elle mènera.
Concentrons-nous sur l'unique pièce à conviction que je peux objectivement verser au dossier : un CD reprenant précisément la 5ème symphonie (2005) et le Quintette à cordes (2004). On est immédiatement frappé par le métier très sûr que le jeune artiste déploie. Sans être innovante, la musique qu'il écrit n'est jamais mièvre et je doute que quiconque l'entendant pour la première fois sans en connaître la provenance puisse la rejeter pour carences techniques. Le finale de la symphonie est particulièrement enlevé. .Le genre du Quintette à cordes est réputé difficile et là encore le musicien s'en tire avec les honneurs sans davantage sortir du moule traditionnel. Reste qu'il faut également instruire le dossier à charge. Aussi bien faite soit-elle, cette musique manque encore d'âme pour que la comparaison avec Korngold s'impose. Le lecteur qui aurait des doutes peut se reporter au billet que j'ai consacré à ce dernier ou réécouter l'extrait proposé de sa Schauspiel-Ouvertüre, opus 4, .Par ailleurs, comme Korngold - mais un siècle plus tard ! - Greenberg éprouve lui aussi quelques problèmes avec la modernité d'où cette impression gênante de "déjà entendu". Henry Purcell (1659-1695), Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), Camille Saint-Saens (1835-1921), Félix Mendelssohn (1809-1847), Erich Wolfgang Korngold (1897-1957), …, sont autant de musiciens qui ont émerveillé non seulement par leurs dons précoces mais encore par la durabilité de leur oeuvre.
Jay Greenberg les rejoindra-t-il bientôt au Panthéon musical ? On l'espère pour lui et surtout pour la musique mais il est bien trop tôt pour l'affirmer en toute certitude car il ne suffit pas de disposer de dons d'élocution hors du commun, il faut encore avoir quelque chose à dire d'irremplaçable qui parle au cœur ou à l'intellect de ses semblables.
Jay Greenberg s'est sagement remis aux études, se faisant plus discret sur l'estrade. Kandinsky Sketches est une oeuvre récente (2012) qui témoigne du besoin de parfaire sa technique.
source; 30 histoires paranormales, émission présentée par Pascal fontaine et Karine Ferri
L'affaire de Carole Compton, accusée de sorcellerie.
(photo : mindshadow)
Nous sommes en Italie en 1982, ou l'intrigante histoire de Carole Compton défraye la chronique et fait places aux rumeurs les plus folles. Cette jeune écossaise âgée de vingt ans est au centre d'une incroyable polémique qui va la mener en prison. Aussi incroyable que cela puisse paraître, elle est soupçonnée de sorcellerie.
On prétend qu'elle a le pouvoir de déclencher des feux à distance, un phénomène rare appelé pyrokinésie. En mai 1982, Carole Compton qui est tombée follement amoureuse d'un jeune homme italien, décide de venir vivre en Italie. Pendant que son petit ami fait son service militaire, elle se fait embaucher comme jeune fille au pair dans la famille Riccie à Rome. Très vite des événements étranges se déroulent dans la maison des Riccie. Des tableaux tombent après le passage de Carole, des meubles se mettent à bouger sans raison. Pendant un séjour à la montagne avec la famille Riccie, dans les Alpes italiennes, un feu ravage le chalet qu'occupe Carole Compton. Le chef des pompiers de Ortisi déclara n'avoir jamais vu un feu aussi violent de toute sa vie. L'enquête déterminera que les causes de l'incendie demeurent indéterminées, même si l'on soupçonne une défaillance électrique. La famille Riccie qui est très superstitieuse, préfère se séparer de Carole et la congédie.
À la fin juillet; Carole Compton est embauchée par une autre famille, les Tonti. Elle part avec eux sur l'île d'Elbe, chez leurs grands-parents. La grand-mère qui est très superstitieuse, se méfie très vite de Carole. Après quelques jours,un matelas de la maison prend feu sans que l'on puisse en déterminer l'origine. Des objets se déplacent et des choses étranges se passent comme chez les Riccie. La grand-mère surnomme alors Carole Compton la sorcière. Jusqu'au jour où un feu se déclare dans le lit du bébé de trois ans, Agnès dont Carole a la charge. La grand-mère persuade les parents d'appeler la police; pour elle Carole Compton est coupable et a le pouvoir de déclencher des incendies à distance. La famille porte plainte et Carole Compton est arrêtée par la police. Elle est interrogée et mise en prison pour tentative de meurtre. Dans le système juridique italien, une personne peut être emprisonnée des années sans même être inculpée. Carole Compton est menée à la prison de Livourne. Même si elle n'a pas été accusée de sorcellerie, la sorcellerie est la base des accusations portées contre elle.
Comme on peut se l'imaginer, l'affaire Carole Compton fait vite la une des journaux où on la surnomme la sorcière. Des parapsychologues se penchent sur le cas de Carole;pour certains il serait possible que Carole Compton soit victime d'un poltergeist. Pour le professeur Archie E.Roy, de l'université de Glasgow, on ne peut pas écarter la possibilité que Carole Compton soit victime de ce genre de phénomène.
En décembre 1983, après avoir passé seize mois en prison, le procès de Carole Compton a enfin lieu. Carole Compton n'avait aucun motif et n'a jamais été vue ou prise en flagrant délit durant les feux de départs. Durant son procès, elle nie fermement en être l'auteur. Pendant le procès, les experts légistes ont révélé n'avoir pas été en mesure de recréer les incendies pour en déterminer les causes.
Un expert révélera que l'un des matelas a étonnement pris feu vers le bas sans en expliquer la cause. Les experts scientifiques ont révélé qu'il n'y avait aucune preuve de l'utilisation d'une substance incendiaire. Le professeur Vitolo donna la preuve que les incendies n'avaient pas été provoqués par une flamme, mais par une chaleur intense. Carole Compton fut déclarée non coupable pour tentative de meurtre, mais pour deux autres chefs d'accusations: incendie criminel et tentative d'incendie.
Carole Compton écope de deux ans et demi de prison et est libérée après son procès en raison du temps qu'elle avait déjà passé. Elle vit aujourd'hui tranquillement dans le West Yorkshire avec son mari et sa famille et n'a plus jamais fait parler d'elle. Carole Compton était-elle une pyromane ou fut-elle victime d'un poltergeist ?
Encore aujourd'hui le cas de Carole Compton intrigue et garde tout son mystère.
Source: "30 histoires paranormales," émission présentée par Pascal Fontaine et Karine Ferri.
Un autre phénomène paranormal, unique au monde:
celui des visions hors du commun de Loîs Gibson qui serait en effet capable de réaliser des portraits-robots très ressemblants d'agresseurs qui n'ont même pas pu être vus par leurs victimes
Lois Gibson est une dessinatrice de portraits-robots née aux États-Unis. Elle doit sa notoriété au grand nombre de criminels qu'elle a permis d'arrêter en raison de son don qui semble proche de la voyance]. .
Elle fera ses études à l'université du Texas à Austin dont elle sort diplômée d'un Bachelor of Fine Arts puis elle suivra les cours de portrait-robot de l'Académie du FBI.
C'est en raison de son viol à Los Angeles par un tueur en série et à la suite duquel elle vivra une expérience de mort imminente, qu'elle développera son don pour la création des portraits-robots de criminels.
Bien décidée à mettre ses capacités au service des victimes, elle insiste pendant près de sept ans auprès de la police de Houston avant d'être finalement embauchée. Au début de l'année 2007, ses portraits-robots étaient directement à l'origine de l'identification et de l'arrestation de 1 069 criminels sur environ 3 000 cas qui lui avaient été soumis, soit un taux de réussite d'environ 30 %.
Elle a reçu de nombreuses récompenses et est enregistrée dans le Guinness des records comme étant la meilleure dessinatrice de portraits-robots au monde. Lois explique que son don serait issu de ses qualités d'écoute et de son empathie particulière pour les victimes et leur vécu.
Elle enseigne maintenant son métier à l'Université Northwestern et a rédigé en 2006 Faces of Evil (les visages du Mal) en coopération avec Deanie Francis Mills. Lois vit actuellement à Houston au Texas avec son mari et ses deux enfants. Lors de son temps libre, elle aime peindre des paysages colorés et des portraits de sa famille.
Sources: Wikipédia et un extrait de l'émission"Les 30 histoires mystérieuses" présentée par Pascal Fontaine et Karine Ferri.
Un film au titre prémonitoire
Impressions étranges ressenties par le metteur en scène George Cukor.
George Cukor, qui avait déjà fait tourner Marilyn Monroe dans' Le Milliardaire' deux ans plus tôt et qui avait à cette occasion vécu une mauvaise expérience, n'accepta qu'à contre-cœur de réaliser le film, avant même de commencer la première prise.
Interviewé par la télévision, peu de temps après le décès de Marilyn Monroe, il avait ressenti une impression étrange, était-ce un mauvais présage, que non seulement il ne souhaitait pas réaliser ce film mais encore que des événements inattendus allaient se produire mais il ne savaient pas lesquels.
Effectivement, le film fut inachevé et tourna au fiasco:. Cukor trouvait les dialogues fades; les absences répétées de l'actrice l'irritèrent. Puis survint la mort de l'actrice.
Autre sujet plus connu:
La mort mystérieuse de l'actrice
Marilyn Monroe meurt dans la nuit du 4 au 5 août 1962. Près de cinq heures se sont écoulées entre l'heure estimée du décès et le coup de téléphone des Greenson, aux côtés de Mrs. Murray et du docteur Engelberg, à la police.
Téléphoner à la police cinq heures après le décès de l'actrice parut suspect aux yeux des enquêteurs. D'habitude, le réflexe fut de téléphoner aussitôt aux services d'urgence.
Après enquête, le médecin légiste de Los Angeles notera sur son dossier : ' Suicide probable.' Sa mort ne sera jamais élucidée. Dès 1962, la thèse de l'homicide étant évoquée, incriminant le FBI ou la CIA.
Source: reportage diffusé sur la chaîne Antenne 2