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Spiritualité et bien être

Le Watsu et le lâcher prise

Le Watsu est la technique de Shiatsu adaptée pour l’eau. C'est une thérapie tout en douceur, et nourrissante, qui est pratiquée dans de l'eau chaude,à la température du corps, combinant mouvements, étirements et des bercements .

  Le Watsu a été développé par Harold Dull au début des années 80 dans la source thermale de Harbin en Californie du nord, et depuis, avec enthousiasme, a été reçu depuis dans le monde entier.

Tout comme le Shiatsu, le Watsu est l’accompagnement de la respiration par le thérapeute. Il consiste aussi en des mouvements doux et des étirements qui détendent les muscles, soulagent les courbatures et relâchent les tissus ligamentaires. Il crée un espace où les participants peuvent en toute sécurité découvrir des états de conscience différents de l'habitude et se découvrir dans leur profondeur.

   Le Watsu est un magnifique lâcher-prise ; notre nature profonde commence à s’ouvrir dans toute sa richesse. Le Watsu permet d’équilibrer les méridiens à travers tout le corps et d’ouvrir les chakras, unifiant le système énergétique du corps à celui de l’univers.

Les effets du Watsu sont uniques et varient d’une personne à l’autre. Etre dans l’eau chaude apaise l’esprit et procure un sentiment de bien-être et de paix. Flotter, presque sans pesanteur, amène une sensation de légèreté et transforme la perception du temps et de l’espace.

La connexion entre l’eau et l’origine de la vie est incontestable. Tout ce qui ramène à l’unité a une force de guérison incomparable. Le Watsu est une belle occasion pour se découvrir et plonger dans un état de conscience inhabituel.

 -Georges Künzler-

 

 Watsu ou Water shiatsu (Shiatsu aquatique) est une forme avant gardiste et incroyablement dynamique de travail corporel aquatique qui commença en 1980 quand Harold Dull commença a appliquer le principe de Zen Shiatsu d en  faisant flotter des gens dans la piscine de Harbin Hot Spring, dans le nord de la Californie. Pendant les années qui suivirent avec l’aide d’étudiants, d’ enseignants, de professionnel de branches variées et un nombre incalculable de cours dans les Spas, cliniques dans le monde entier, le Watsu a évolué en ce que beaucoup pense être le développement de travail corporel la plus importante de notre époque. De plus en plus de Spa trouvent que leurs clientèle est attirée par se soin tant pour la réduction du stress que par son potentiel de développement personnel.

Le watsu peut avoir un effet à tous les niveaux de l’être. IL peut aider a relâcher des traumatismes qu’ on été gardé pendant des années. C’est une thérapie de lien émotionnelle qui a le potentiel de guérir de profonde blessures de séparation.

Etre soutenu au niveau du coeur et connecté avec sa respiration, ceci peut aider le coeur à relâcher des émotions que le mental à ressasser ou réprimer pendant des années, et les laisser disparaître dans la fluidité.

Harold Dull Créateur du Watsu -  texte traduit par Georges Künzler 

Source : homepage 

 

LE LACHER-PRISE

Il faut, paraît-il « lâcher prise ». C’est en tout cas ce que tout un chacun peut lire ou entendre répéter dès qu’il est question d’une approche spirituelle de l’existence.
Si cette expression a fait florès au point de devenir un cliché du développement personnel, ce qu’elle recouvre n’en reste pas moins confus. Elle est prétexte à bien des malentendus. Qu’avons-nous, au juste, à « lâcher » ?

Quelle est donc cette « prise » qu’il conviendrait de desserrer ? Cette attitude est-elle compatible avec un positionnement responsable ? Si oui, comment passer du concept à la pratique ? Les enseignements de sagesse traditionnels s’articulent tous autour de cette question. Nous pouvons donc nous tourner vers eux et y chercher des réponses, qu’il nous appartient ensuite de faire nôtres.

Entretien avec l'écrivain Gilles Farcet.
 Avant de prétendre "lâcher", encore faut-il savoir ce que nous "tenons" ?
Au commencement de toute "prise" se trouve l’ego, une conviction, un ressenti dont tout découle. Moi, Pierre ou Paul, j’existe indépendamment du tout, séparé, seul face à l’autre, c’est-à-dire tout le reste, tout ce qui n’est pas "moi" et qui, étant "autre", n’obéit pas toujours à ma loi. L’identification à ce très cher moi se paie au prix fort : me ressentant séparé, je vis à la fois dans la peur et dans une illusion de toute-puissance. "Seul contre tous", "Après moi le déluge", telles sont en somme les deux croyances sur lesquelles se dresse l’ego. Lâcher-prise, c’est abandonner une illusion, celle de la séparation.

Ce lâcher-prise ne sous-entend en rien une négation de l’individualité. Pierre reste Pierre, Paul demeure Paul. Simplement, la partie se reconnaît comme expression du tout, la vague se sait forme du grand océan et, du même coup, reconnaît les autres vagues comme autant d’expressions de ce qu’elle-même est au plus profond. Par un apparent paradoxe, l’autre à la fois disparaît – nul ne peut plus m’être essentiellement étranger – et se trouve comme jamais reconnu dans sa différence existentielle. Le moi séparé cesse d’être l’étalon, la mesure de toute chose. Il n’y a plus de moi pour exiger de l’autre qu’il se conforme à mes critères. Le lâcher-prise se produit dès lors que le moi accepte de l’autre, de tout autre, qu’il soit autre.
 Voilà pour la métaphysique, qu’en est-il de la pratique au quotidien ?
Le sens du moi séparé se maintient instant après instant par le refus plus ou moins conscient de l’autre (c’est-à-dire de ce qui est – "Moi, je ne veux pas qu’il pleuve ce matin", "Moi, je ne veux pas que ma femme fasse cette tête", "Moi, je refuse que ce qui est soit et je prétends mettre autre chose à la place" –), refus qui s’accompagne de la prétention sous-jacente à tout contrôler. Le fait même que "moi, je ne veuille pas" implique la conviction qu’il pourrait en être autrement parce que tel est mon souverain désir. Nous refaisons sans cesse le monde à grands coups de "si", de "quand" , au nom de ce qui "devrait être", "aurait pu être", "pourrait éventuellement être", et nos pensées vagabondent dans le passé ou le futur. Il est bien rare que nous soyons vraiment " ici et maintenant " – alors même que nous ne pouvons en fait être ailleurs qu’ici et à un autre moment que maintenant. Quoi que mon mental prétende, je me trouve là où sont mes pieds. Si je pense au passé ou au futur, c’est toujours maintenant. Passé, futur, ailleurs n’existent qu’en tant que pensées surgissant ici et maintenant...

Source : psychologies 

          

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