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Mystères humains 

MYSTÈRES ÉGYPTIENS 

"SUIS LA CLÉ QUE JE LAISSE DERRIÈRE MOI ; CHERCHE ET LA PORTE DE LA VIE SERA TIENNE. CHERCHE-MOI DANS MA PYRAMIDE, PROFONDÉMENT DANS LE PASSAGE QUI SE TERMINE SUR UN MUR, SERS-TOI DE LA CLÉ DE SEPT…"

Tables d’Emeraude de Thoth, Table 4  

Que s'est -il réellement passé dans la pyramide de Khephren ?   

     Il s'est peut-être passé quelque chose de plus incroyable encore que ce qui est suggéré par Maurice Chatelain et Peter Tompkins. En menant longuement sur place une enquête opiniâtre et approfondie, enquête rendue particulièrement difficile par le nombre d'années écoulées et l'épaisseur du secret instauré depuis, on découvre qu'en avril 1968, en pleine période d'analyse des rayons cosmiques, une importante anomalie mit en émoi les chercheurs... Sur place, l'équipe de l'Université du Caire jugea l'anomalie assez importante pour envoyer un câble super-codé au professeur Alvarez, l'exhortant à traverser les mers afin de les rejoindre de toute urgence. Ce câble était si codé que le professeur avoua bien plus tard à un journaliste amical :" qu'il n'avait même pas compris ce qu'on essayait de lui dire jusqu'au moment où il arriva au Caire pour jauger de la situation !... "

Mystères Egyptiens
Question encore :

Pourquoi super-coder un télégramme s'il s'agissait du soupçon d'une simple découverte archéologique ?

Et s'il y avait juste des questions d'ordre technique à poser au Professeur, pourquoi ne pas le faire par téléphone tout simplement ?

       Quel était donc le véritable enjeu de tout ceci ?
     On apprit bien plus tard en quoi consistait l'anomalie : en fait, les résultats d'analyse qui venaient d'être obtenus attestaient bien de l'existence d'une chambre cachée à l'intérieur de Khephren. Cependant, à en croire les calculs, cette chambre était si vaste que la pyramide aurait dû s'effondrer dessus...!      
     De deux choses l'une : soit tous les calculs étaient faux ( or les premiers enregistrements ont démontré que non, l'ordinateur avait réussi à donner les mesures précises de la géométrie de la pyramide, et l'exact position des capteurs ), soit ils étaient justes, et dans ce cas, incompréhensibles ! Or, qui dit incompréhensible, dit inadmissible pour la science et les scientifiques.

             Ainsi, pour couper court à toute publicité et à toute polémique ( car ils venaient peut être justement de découvrir ce qu'ils cherchaient ), il fallait échafauder le plus rapidement possible une explication plausible de ces résultats afin de parer aux fuites toujours possibles. Et comme vous pouvez le constater à présent, il y eu effectivement des fuite. 

   

                                   
LE MUR DE BÉTON


     Depuis plus de cinq ans , c'est à dire depuis 2002, nous assistons à l'édification d'un très long mur de béton encerclant totalement le vaste site des pyramides de Gisa ( 8 km2 . Ce mur atteignant parfois 7 M 30 de hauteur, avec des fondations qui descendent par endroits jusqu'à 2 m de profondeur, représente un travail de titan. 

MYSTERES EGYPTIENS MYSTERES EGYPTIENS     

Non seulement ce mur défigure le site mais il impose une dépense de moyens et d'énergie considérable. En effet, outre les tonnes de béton nécessaire à sa construction, il a fallu planter une double ossature entrecroisée, soit des kms de barreaux de fer, à l'intérieur même du mur. Ceci afin de le faire tenir dans le sable contre le vent violent qui souffle parfois sur le plateau. Sachez aussi que pour parvenir à creuser de façon efficace, il fallait préalablement humidifier le sable. C'est ainsi que les seules fondations ont nécessité l'usage de tonne d'eau. Une eau dont on sait pourtant combien elle est précieuse dans la région.  

      Or, ce qu'il est capital de comprendre ici, c'est que ce mur ferme totalement l'accès au site depuis l'extérieur. Ainsi, lorsque cette édification sera terminée, vous ne pourrez plus jamais vous promener librement dans l'espace du site, ni le parcourir à cheval, ou à chameau, comme c'est encore possible en ce moment.
(note perso : ils ont dû trouver quelque chose de très important pour protéger ce site avec un tel ouvrage ) 

( REVUE TOP SECRET N° 4 hors série Chronique des Secrets de Gisa )

MYSTERES EGYPTIENS

  MYSTERES EGYPTIENS

UN PROBLÈME DE DATATION

 

 L’affaire de l’étrange plaque de fer trouvée dans la Grande Pyramide en 1837.

     Le vendredi 26 mai 1837, J.R.Hill, membre de l’équipe du célèbre Colonel anglais Howard Vyse, chargé de nettoyer le conduit Sud de la chambre du roi, fait une découverte sans précédent sur la façade extérieure Sud de la pyramide. Cette découverte se situe au début de la bouche de ce conduit. Plus exactement, l’objet qu’il découvre est profondément et fortement scellé à l’intérieur d’un joint interne de la maçonnerie. Pour arriver à l’extraire Hill doit utiliser de la poudre à fusil pendant plusieurs jours ( et non pas de la dynamite comme beaucoup d’auteur l’ont écrit, puisqu’en 1837 la dynamite n’existait pas encore, Nobel, son inventeur, n’ayant alors que 4 ans ). J.R.Hill fait exploser les 2/3 des pierres formant l’entrée du conduit. Ce faisant, il défigure pour toujours la façade Sud de la Grande Pyramide en lui infligeant une grande entaille verticale au 102 ème niveau.       

MYSTERES EGYPTIENS

Une plaque qui dérange         

 Hill a donc enfin réussi à extraire la plaque tant convoitée. C’est une plaque de fer plate de 30.5 cm de long sur 8,6 cm de large, avec une épaisseur variable d’un maximum de 4 cm. Le poids de la plaque étant d’environ 750 g.

     On ne sait toujours pas à quoi elle servait. Certains ont avancé en s’appuyant sur sa nature fragmentaire, que c’était peut-être une fermeture du conduit même si celle-ci a une taille plus grande (30,5 x 23,3 ). Mais dans ce cas pourquoi avoir profondément cimenté dans la maçonnerie cet objet et pourquoi ne pas en avoir trouvé d’autres dans les autres conduits ?     

 Vyse déclara au monde qu’il venait de trouver avec son équipe :  « la plus ancienne pièce de fer forgé jamais trouvée ».

     Les ingénieurs Perring et Mash signèrent des expertises et certificats d’ authenticité comme quoi la plque avait été retiré du plus profond de la maçonnerie avec beaucoup de difficulté et d’explosif ( ! ) et qu’aucune ouverture, fissure ou passage n’avaient été trouvés en connexion avec la plaque et que donc, le fer n’avait pu être placé là après la construction mais bel et bien pendant la construction. Vyse a envoyé l’objet avec les expertises au British Museum. (Référence et emplacement actuel : Egyptian Department, n° 2433, 3 rd Egyptian Room, case K, 29).     

 Beaucoup de silence et même des accusations de faux accueillirent cette découverte. Pour les détracteurs les moins méchants, il ne pouvait s’agir que de fer météoritique ( on a trouvé de rares morceaux d’acier météoritique martelés dans des objets précieux des premières dynasties ).  

Problème de datation 

     Pour vous éclairer, sachez que l’usage général du fer n’arriva pas en Égypte avant environ 1300 avant J-C et qu’il n’arriva dans le Sud de l’Europe que vers 1100 avant J-C ( selon H.R Hall, rapport 1903 ) Or, le fait que cet objet puisse dater de l’époque de la pyramide voudrait dire que cette plaque daterait d’environ 3500 avant J-C ( datation « Orthodoxe actuelle de la pyramide »). Ce qui veut  tout simplement  dire que soit la datation de la pyramide est fausse, soit que l’utilisation du fer en métallurgie était beaucoup plus ancienne en Égypte, soit les deux !…     

 On comprend alors pourquoi cet objet embarrasse tout le monde. Il met carrément en jeu la datation officielle de la Grande Pyramide.  

    Or, nous allons vite comprendre que cette trouvaille est fondamentale et présente toutes les garanties d’authenticité. Le très sérieux, brillant et respecté archéologue anglais Flinders Petrie allait écrire au sujet de cette plaque en 1883 que non seulement les reçus du British Museum étaient extrêmement précis, mais qu’il y avait sur la rouille du fer, la trace d’un nummulite prouvant ainsi que la plaque avait bien été enterrée extrêmement longtemps derrière des blocs de calcaire nummulitique et était certainement très ancienne. Petrie ajouta qu’il n’y avait aucun doute sur le fait que cette pièce était authentique et utilisée par les maçons pendant la construction de la Grande Pyramide.

MYSTERES EGYPTIENS

 La guerre des experts 

     Ce fut la guerre entre les différents experts, mais l’assertion dogmatique de l’égyptologie «  classique » comme quoi tout fer provenant de l’Ancien Empire, de par sa très grande rareté, ne pouvait être que d’origine météoritique (donc non travaillé en métallurgie complexe), ne pouvait pas tenir éternellement. Rappelons d’abord que si le minerai de fer est fréquent sur terre, il est beaucoup plus difficile à travailler que le cuivre et l’étain et sa métallurgie est beaucoup plus compliquée que le bronze. En effet, pour qu’il fonde, il lui faut une température de 1535° Centigrade. Mais pour pouvoir le forger, une température de 1100° à 1150°, suffit ( le cuivre lui fond à 1083° C et si on lui ajoute de l’étain il fond à 900°, et on obtient ainsi du bronze ). Or, si on ne peut pas faire de datation au carbone 14 pour le fer, il y a un moyen assez simple de savoir s’il est d’origine météoritique ou non, c’est de savoir s’il contient du nickel. Tout fer de provenance météoritique contient un taux de nickel variant de 4% à 26%. Le nickel est très rare dans le minerai de fer terrien, même si on peut en trouver quelque infimes traces.

 Les écrits de Manhéthon

     Pour attester ou non de l’authenticité de la plaque de fer, peut-être aurait-il sufi en effet à certains égyptologues de se pencher sur le corpus d’écrits précieux que les Anciens Égyptiens…

( note perso : le nom égyptien n’est pas celui que l’on donnait aux habitants de l’Égypte mais nom que l’on a donné aux astrologues depuis des siècles.)

…nous ont légués. Je pense aux écrits de Manhéthon ( man-n- thoth ), grand prêtre de Héliopolis…

 ( note perso : Thot, Hermès pour les grecs , avait un sanctuaire à Hermopolis Magna autrement dit la «  grande ville d’Hermès », mais qui en réalité s’appelait en langue Egyptienne « Schmun » or schmun veut dire huit et Thot était désigné comme le seigneur du nombre huit ; Dieu de la lune de l’ancienne Égypte, Dieu intellectuel de l’Égypte, patron des Scribes, le Grand Magicien qui connaît les incantations et devient de ce fait : le Guérisseur )

…au troisième siècle avant J-C, cité par Plutarque. Manthéthon a écrit entre autre une histoire de l’Égypte en 30 volumes, laquelle brûla dans la bibliothèque d’Alexandrie en 47 av. J-C. Il nous reste cependant quelques textes de cet historien antique et c’est à lui que nous devons par exemple la répartition dynastique encore en vigueur aujourd’hui. Il est toutefois un fait beaucoup moins connu concernant ses œuvres : Manthéthon a en effet écrit que les 8 Pharaons Memphite de la 4eme Dynastie étaient tous « d’une race différente ». Il a dit aussi que les anciens égyptiens connaissaient très tôt la différence entre le fer ferromagnétique qu’ils nommaient «  Mehit-ba », fer « nord-sud », « os d’Osiris », et le fer non-ferromagnétique, d’origine météoritique qu’ils nommaient : « os de Seth »…

( note perso : pourquoi ne l’auraient-ils pas tout simplement ramené d’une planète lointaine d’où ils venaient puisqu’il est dit qu’ils étaient d’une race différente. Et puis il y a assez de preuves convaincantes pour dire qu’il n’y a pas eu sur terre que l’espèce humaine. )

…Le fer météoritique en provenance du ciel était un fer qui venait du domaine sombre de Seth, « des cieux de nuit », et il était donc mis en opposition au culte solaire. Il est

impressionnant de voir, en se référant aux précision de Manthéthon, que les anciens égyptiens connaissaient aussi parfaitement la différence entre le pôle Nord géographique défini par l’axe de rotation de la terre et le pôle Nord magnétique, décalé de l’autre d’un millier de km, et fluctuant. Dane.

( Texte repris dans la revue Top secret : hors série n°4 Chronique des Secrets de GIZA )

source : tyron29

 Avec l'aimable autorisation de Dane

  
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