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Lieux énigmatiques

Rendez-vous avec l'insolite, la France de l'imaginaire

Le puits qui parle

Un écho exceptionnel ! Dans la commune de Troo en Loire et Cher

FRANCE INSOLITE

Ce puits est aussi appelé "Puits de Jacob" ou "Puits de Jacquot".

Son eau a alimenté les habitants du "Château" jusqu'à l'installation de l'eau courante en 1972.

Si sa margelle semble dater du XVe  siècle, il est lui, beaucoup plus ancien, au moins du XIe siècle et de la fondation de la collégiale. Profond de 45 mètres, creusé dans la roche comme un fût, son fameux écho a donné lieu à des légendes dont plus célèbre est l'histoire d'une jeune femme particulièrement bavarde qui jacassait du matin au soir et parfois même en dormant.

"Son seigneur et maître en devenait malade ! Un jour, excédé, il luit dit : "Si seulement le diable venait, je lui dirais de t'emporter !"

- "M'as-tu appelé ? Me voilà !" lui répondit le diable en arrivant dans un nuage de soufre accompagné d'un grand coup de tonnerre.

- "Débarrasse-moi de cette créature, je te la donne" lui répondit l'époux sans plus réfléchir.

Le diable la saisit dans ses bras en riant et s'envola par la fenêtre ouverte, content de sa bonne fortune, car elle était jeune et jolie. Mais croyez-vous que la femme eut peur et qu'elle se tut ? Eh bien non ! Contente d'avoir trouvé un nouvel auditeur, elle se mit à parler de plus belle, de plus en plus fort, de plus en plus vite si bien que le diable étourdi, ahuri, excédé, ouvrit les bras et la laissa tomber. Comme il volait très haut, la femme en tombant fit un trou profond dont elle ne put sortir. Elle ne s'arrêta pas de parler pour autant. Seulement comme elle ne voyait plus rien ni personne, elle fut réduite à répéter inlassablement ce que les gens disaient en se penchant au bord du trou."

Il y a des siècles de cela et cela dure encore ... Essayez-donc !

 (source : troo)

Des menhirs sous la mer entre Saint-Pierre- Quiberon et Carnac (56)

FRANCE INSOLITE

 Les blocs mesurent de 1m à 1,60 m. Photos Thomas Abiven Plus de 230 menhirs ont été retrouvés ces dernières années, sous la mer, entre Saint-Pierre- Quiberon et Carnac (56). Un grand pas pour les scientifiques qui tentent de percer le secret des mégalithes du Morbihan. En 2007, lors d'une marée à très fort coefficient, un couple de touristes qui pêchait à pied avait découvert quatre haches du néolithique près de la plage de Petit-Rohu, à Saint-Pierre-Quiberon (56). Dans les mois qui avaient suivi, des prospections menées par Serge Cassen, responsable du laboratoire de Préhistoire de l'Université de Nantes, avaient établi la présence de 45 menhirs d'1,50 m de long, dans le secteur. Des pierres probablement submergées vers 6.500 ans avant Jésus-Christ.

Poursuivant ses investigations, l'équipe scientifique avait, en 2009, localisé 150 monolithes à Kerbougnec et vingt autres au Petit-Rohu, dans une zone envahie par la mer qui, il y a des millénaires, se trouvait à plus de 500m du rivage. Ces repérages, effectués au sonar, en collaboration avec Ifremer et des géologues, avaient été complétés par des plongées sur les sites. Dans des conditions assez difficiles, dues à une visibilité souvent médiocre. Le prolongement d'un grand site «Nous sommes persuadés qu'il s'agit du prolongement sous-marin du grand site néolithique du Moulin, à Saint-Pierre-Quiberon», explique Serge Cassen.

Selon le scientifique, il ne fait aucun doute que ces pierres monumentales, «très ordonnées et disposées dans des endroits stratégiques», ne présentent pas de similitudes avec le substrat minéral sur lequel elles reposent. Autres indices prouvant qu'elles ont été déplacées: des vasques d'érosion ont été détectées. Marques indiscutables prouvant qu'elles étaient autrefois au contact de l'air et des précipitations. «Un écran minéral» Sous l'eau, ces éléments ne forment pas une haie monumentale de pierres érigées. Carellesse sont couchées sous l'action du sable et des sédiments. «Seul un menhir est encore debout», poursuit l'archéologue du CNRS. Ces menhirs submergés devraient permettre, dans les années à venir, d'établir plus finement l'interprétation des sites mégalithiques qui gardent encore jalousement nombre de leurs secrets.

Mais, d'ores et déjà, Serge Cassen avance l'hypothèse que les alignements sur lesquels il a travaillé formaient des barres de stèles. «Pas des files de menhirs entre lesquelles on déambule mais un écran minéral qui barre, qui empêche ou qui filtre le mouvement. Cette mobilité est celle du déplacement des hommes, des esprits de la Sur nature ou des objets virtuels», écrit-il dans une publication, parue il y a deux ans. Nouvelles prospections Dans les mois à venir, un nouveau programme de prospection sera lancé pour établir une cartographie plus complète et plus fine des monolithes. «Dans le secteur de Kerpenhir, nous avons retrouvé une soixantaine de menhirs. Nous sommes persuadés qu'il en existe beaucoup plus...

Didier Déniel (source : letelegramme

Un rayon de soleil particulier

Un bien curieux rayon de soleil dans la cathédrale de Chartres en Eure-et-Loir 

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Nous découvrons toutefois que le monument est construit selon le nombre d'or, une proportion magique pour l'étude de l'équilibre et de l'harmonie. On y retrouve aussi bon nombre de figures géométriques provenant de plusieurs monuments de l'Antiquité (égyptiens et grecs), dont les pyramides égyptiennes et le Temple de Salomon jusqu'au Saint des Saints.

Rappelons aussi que la surface du monument est égale, très exactement, au centième de la base de la pyramide de Khéops. Et nous remarquons encore que la construction de Chartres par les Templiers est une synthèse entre la pyramide de Khéops et le cercle de pierre de Stonehenge, en Angleterre. On y retrouve toute la science des anciens Égyptiens et des Pythagoriciens.
Par exemple, la tour de gauche est de 365 pieds, ce qui correspond au nombre des jours de l'année. La tour droite, de 28 pieds plus petite, représente les 12 mois lunaires de 28 jours.

Une étrangeté à ne pas oublier : au solstice de juin, le soleil vient toujours illuminer une pierre blanche marquée d'un tenon de métal et située au milieu du chœur. Cette pièce de métal reçoit un rayon de soleil par an. Celui de Midi, le 21 juin, jour du solstice d'été. Et le vitrail qui laisse passer cet unique pinceau de lumière est celui de saint Apollinaire : le petit trou par lequel passe le rayon de soleil tous les 21 juin (sur la bordure droite).

Chaque année, des milliers de personnes se déplacent pour assister à cet étrange phénomène. En fait, les vitraux de Chartres nous apparaissent comme de prodigieux amplificateurs de lumière tout en diffusant une clarté tout à fait particulière. Un art dans la verrerie qui semble perdu depuis longtemps.

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Le labyrinthe de la cathédrale de Chartres

Bien situé, dans la nef (au seuil de ce qui était la Cathédrale de Fulbert), bien conservé, d'une réelle beauté, il est parmi tous les labyrinthes de nos cathédrales l'un des plus grands. Ce chemin se déploie sur 261,55 m et sépare la nef de la cathédrale en 3 et 4 travées. C'est un héritage médiéval rare. D'autres ont existé dans les cathédrales de Reims, de Sens, d'Arras, d'Auxerre. Aujourd'hui il en existe encore un à la cathédrale d'Amiens, à Saint-Quentin, et à Bayeux, dans la salle capitulaire. Ces labyrinthes, contrairement à celui de Knossos, ne sont pas là pour égarer ceux qui s'y engagent ! Aucune fausse route, aucune impasse. Les méandres de cette immense "marelle" conduisent de toute façon au centre du dessin.
Le labyrinthe est un chemin symbolique qui mène l'homme de la terre à Dieu; un chemin où l'homme va à la rencontre de Dieu. Le centre de cette grande figure symbolise la Cité de Dieu. La démarche du labyrinthe ne consiste pas seulement à aller jusqu'au centre mais à en repartir. Le pèlerin est invité à emprunter la ligne tracée face à lui pour monter vers le choeur de la cathédrale, vers l'orient, la lumière. Le pèlerin du XIII ème siècle parcourait ce chemin, en priant, comme s'il faisait un pèlerinage vers Jérusalem, c'est pourquoi les labyrinthes portaient le nom de "Chemin de Jérusalem".

De nos jours encore, chaque année, le jour de la Saint Jean, le labyrinthe est dégagé des chaises pour que les pèlerins pour qu'ils puissent effectuer ce parcours. (source : dossiers.secrets

Constellation de la Vierge et Cathédrales

Il est intéressant de remarquer que le nord de la France présente un ensemble de cathédrales des 12 ème et 13 ème siècles, toutes dédiées à Notre-Dame, dont la disposition rappelle celle des étoiles de la Constellation de la Vierge, telle qu’elle devait être au moment de la naissance de Jésus.

Les deux principales étoiles de la constellation de la Vierge sont SPICA (l'épi, le pain, la matière) et VINDIMIATRIX (les vendanges, le vin, le sang, le Graal). Dans l'eucharistie, le pain est le moyen, de l'existence physique, le vin, le moyen de l'existence spirituelle.

Remarquons que Spica signifie "épi de blé" et Bethléem "maison du pain".

SPICA se trouve exactement sur le chemin de l'écliptique [tracé fictif du mouvement de la course annuelle de la Terre autour du Soleil], et "marque" l'équinoxe d'automne (nuit du 21/22 septembre, St Matthieu) - juste à la limite ("cuspide") de l'entrée dans la Balance.

Si l'on prend la carte de France, et que l'on y marque les positions relatives des cathédrales d'ABBEVILLE, AMIENS, BAYEUX (=SPICA), CHARTRES, EVREUX, LE MANS, PARIS, REIMS et ROUEN, on obtient la configuration exacte de la constellation de la Vierge.

les cathédrales=la constellation de la Vierge

La cathédrale de Chartres est dirigée vers le nord-est qui est la direction de la levée du soleil au solstice d’été, le 21 juin. C’est la que la Lumière annonce un nouveau cycle, le renouveau de la Vie. La plupart des églises dans lesquelles on trouve des Vierges Noires sont orientées selon cet axe Nord-Est Sud-Ouest.
L'axe de la cathédrale de Chartres
Précession des équinoxes

Hipparque, aux environ de -130, fut le premier à estimer la précession de la Terre. En comparant ses mesures de la position de Spica, une étoile proche de l'écliptique, par rapport au point vernal avec celles effectuées par les astronomes des siècles précédents, comme Timocharis d'Alexandrie et les astronomes babyloniens et chaldéens, il montra que le point vernal s'était déplacé de 2° par rapport à Spica.  (source : t3m) 

       

Le jardin des méditations à Cossé-le-Vivien (53)

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Dans cette partie à ciel ouvert, le visiteur se trouve dans une architecture intérieure qui s’organise autour d’un bassin bordé des douze mois de l’année et en forme de croix, tel un patio ou un cloître. Le parcours s’oriente suivant le sens de rotation de la terre.

Au nord s’élève une statue haute de 6 m 50, appelée « Notre-Dame-Tout-Le-Monde », lien entre le ciel et la terre. Son socle plonge ses racines dans l’eau du bassin source de vie. A l’est la « Porte du Soleil » fait face à la « Porte de la Lune » au soleil couchant. A travers cette course du temps, l’artiste nous rappelle le cycle de la vie en quête de sagesse. Ce cheminement nous invite vers les salles d’exposition à la découverte de la diversité technique de l’artiste : peintures, céramiques…

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