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 Mystères humains

Survivants de l'impossible

La miraculée céleste

Shayna Richardson,, un saut de 3300 m !

Aux Etats-Unis, une américaine de l'Arkansas s'est offerte une belle frayeur lors d'un saut en parachute. Elle s'en est sortie miraculeusement vivante. C'est il y a 4 mois que Shayna Richardson, âgée de 21 ans, a effectué son premier saut solo en chute libre. C'est après avoir sauté de l'avion qu'elle s'est aperçue que le parachute principal ne voulait pas s'ouvrir...

Shayna Richchardson : "J'ai entendu un claquement et j'ai commencé à tournoyer. Je ne savais pas pourquoi ni ce que je devais faire pour le fixer, pour l'arrêter."

Elle a coupé son parachute principal pour déployer celui de secours, mais il ne s'est pas ouvert complètement. Shayna Richardson a finalement chuté à une vitesse de 80 kilomètres heure et a attérri sur le ventre dans un parc de stationnement. Elle s'en est sortie gravement blessée, mais toujours en vie.

Au cours de l'opération à l'hôpital, les docteurs se sont aperçu qu'elle était enceinte. Heureusement pour elle et l'enfant, le foetus n'a pas été touché. Actuellement, Shayna est en bon état de santé et attend avec patience la naissance de son bébé en juin prochain. Rédacteur: Baiyun Origine:CCTV

 

Rahul, un bébé pas ordinaire ! 

Rahul, un bambin indien âgé de trois mois, se serait enflammé pour la quatrième fois depuis sa naissance. Les médecins du Kilpauk Medical College, dans la ville de Chennai, évoquent l'hypothèse que des gaz sécrétés par la peau de l'enfant seraient la cause de cet étrange phénomène.

L'incroyable histoire de Rahul, le bébé indien victime d'auto-combustion Publié par Virginie Guichaoua, le 13 août 2013 (2)TopFlop C’est un véritable mystère qui entoure ces jours-ci le cas du petit Rahul, un bébé d’origine indienne, qui connaît depuis sa naissance le malheur de prendre feu de manière spontanée. Un phénomène plutôt rare qui relèverait cependant d’avantage de la médecine que de la sorcellerie. 

Âgé d’à peine trois mois, Rahul, un bambin né dans la ville de Villupuram en Inde, connaît déjà une existence des plus mouvementées en subissant un phénomène aussi rare qu’effrayant. En effet, depuis sa naissance, il se serait déjà enflammé près de quatre fois de manière subite et spontanée sans que pour le moment les médecins parviennent réellement à déterminer l’origine de la combustion.

Un bébé qui a pris feu la première fois au bout de 9 jours C’est seulement neuf jours après la naissance de l’enfant que Rajeswari, la mère du petit Rahul, aperçoit pour la première fois son fils en train de brûler vif dans son lit. Après ce premier incident aussi soudain qu’inattendu, les combustions spontanées se sont renouvelées trois fois chez le petit garçon aujourd’hui hospitalisé pour ces raisons. "Les gens croient que je lui ai mis le feu délibérément", déplore Rajeswari qui s’est entretenue à propos de cette histoire avec la chaine d'information IBN Live. Accusés de maltraiter leur enfant, les parents du petit Rahul, qui n’ont reçu que très peu de soutien de la part de leur entourage, comptent aujourd’hui d’avantage sur les médecins pour les aider à comprendre ce cas étrange.
 

Hospitalisé au Kilpauk Medical College à Chennai en Inde, Rahul reçoit depuis son arrivée de nombreux soins pour l’aider à guérir de ses brûlures. Ce dernier fait également l’objet de toutes les attentions de la part du corps médical pour comprendre le phénomène dont il est l’objet. "Il a été scientifiquement prouvé que la transformation des nutriments des aliments en énergie utilisable par le corps pouvait engendrer ce genre de cas", explique le Dr. R. Narayana Babu, à la tête du service pédiatrique du Kilpauk Medical College, qui voit dans le cas de Rahul peut-être une défaillance d'ordre organique. Selon le médecin, ce phénomène pourrait résulter de mini-explosions des mitochondries (organites de la cellule humaine servant à transformer les nutriments), ce qui entraînerait alors une réaction en chaîne de micro-embrasements. 200 cas similaires recensés dans le monde depuis les trois derniers siècles Si le cas du jeune Rahul reste pour le moment encore non élucidé, le phénomène dont celui-ci souffre ne demeure cependant pas un cas si isolé. Depuis 300 ans on aurait en effet recensé près de 200 combustions inexpliquées telles que celles du petit Rahul.

Comme le cas de cette jeune fille qui en 1938 aurait pris feu de la même manière dans une salle de bal à Chelmsford en Angleterre, ou encore celui de la Comtesse Cornelia Band en Italie, le premier cas rapporté, qui après un dîner aurait été retrouvée en cendres dans sa chambre.

(source : gentside)
 

 1849 : La « jeune fille électrique » de Guillonville

Quels évènements pouvaient rompre, voire bouleverser le quotidien de nos ancêtres ?

Mariages, baptêmes, assemblées villageoises, assassinat, incendie ou encore histoire de mœurs… Mais c’est une autre affaire qui met le petit village de Guillonville et le canton d’Orgères-en Beauce en émoi les deux premiers mois de l’année 1849. D’étranges phénomènes attirent les savants, les prêtres, les journalistes, jettent le trouble dans la population et alimentent la controverse : Adolphine Benoît, jeune domestique des meuniers Dolléans, a la faculté d’attirer et de repousser les objets. L’intérêt est d’autant plus grand que trois ans plus tôt, une jeune fille de l’Orne, Angélique Cottin, avait manifesté les mêmes dérangements .

Voici la description du docteur Larcher de Sancheville qui a examiné la jeune Adolphine Benoît « Cette jeune fille électrique, âgée de quatorze ans, domestique de ferme, d’une intelligence bornée, serait douée d’une force d’attraction très extraordinaire, à l’endroit des meubles ou autres objets qui l’entourent. La première fois qu’on reconnut les effets de cette singulière faculté, la petite paysanne était en train de bercer un des deux enfants de ses maîtres ; tout à coup les deux portes d’une armoire fermée à clé s’ouvrent toutes seules, et le linge qu’elle contenait est jeté à travers la chambre, comme lancé par une main invisible. Au même instant une pelisse qu’on avait posée sur le lit voisin, enveloppe le berceau et se fixe sur elle assez fortement pour qu’on ait de la peine à l’enlever. »

Les manifestations extraordinaires ne cessent plus et se multiplient même « au grand dommage de l’électrique servante ; tantôt en effet, c’est un collier de cheval qui vient se placer sur ses épaules, tantôt des corbeilles de pain qui lui tombent sur la tête ; tantôt encore un sac vide qui la coiffe et la recouvre en entier et se colle à son corps sans qu’on puisse lui arracher. Est-elle dans une chambre, les meubles de danser et de changer de place. D’autre fois, un peloton de fil va se loger dans son dos, et toutes sortes d’objets, bouts de chandelle, morceaux de viande et (ceci devient plus grave) boucles d’oreille de sa maîtresse, se retrouvent dans ses poches et toujours à ce qu’on raconte par la seule influence de son pouvoir d’attraction et par la vertu de l’électro-magnétisme ».

Un témoin du village rapporte sa version des faits dans le journal local, l’Abeille, d’après des « témoins oculaires et dignes de foi ». Tout commence, selon lui, la suite de vol de foin en décembre 1848 chez le meunier Dolléans où la jeune fille est employée. La justice procède à des perquisitions chez un domestique soupçonné. Sans résultat. Deux jours plus tard, un incendie criminel, heureusement maîtrisé, est imputé au même domestique sous la foi du témoignage de notre jeune domestique. Deux jours après l’arrestation et la condamnation du jeune homme pour un mois de prison, commence une série de faits surnaturels : les cadenas mis aux portes disparaissent en une nuit comme par enchantement. Ne sachant plus à quel saint se vouer, la femme Dolléans demande à sa servante de« réciter à genoux les sept psaumes de la pénitence, espérant trouver dans la prière un secours contre sa peur. A peine la jeune fille s’est-elle agenouillée, qu’elle s’écrie : qui donc me tire par ma robe ? Et le cadenas disparu apparait pendu dans son dos. Grand émoi et nouvelle épouvante dans la maison. » La jeune servante est ensuite sujette aux manifestations dépeintes par le docteur Larcher citées plus haut.

Que faire ? Envoyer « la jeune fille électrique » au repos à l’hospice de Patay pendant cinq jours. Elle y retrouve une vie normale et réglée. Mais dés son retour chez ses maîtres, les prodiges reprennent et redoublent de mystère : les lois de l’apesanteur sont même défiées puisque des planches appuyées sur une seule de leur extrémité se tiennent en équilibre.

Les sceptiques qui subodorent une supercherie demandent une surveillance de tous les instants. Il leur faut voir de près. La mission est confiée à la sœur de la maîtresse Dolléans, « femme plein de sagacité et de bon sens ». Durant 15 jours, elle exerce une surveillance de jour comme de nuit. « Hé bien ! Il a été impossible de découvrir à mademoiselle Dolléans la moindre tromperie dans cette jeune fille. Les faits se reproduisaient chaque jour avec une intensité croissante. »

Lassés, les maîtres renvoient la jeune fille chez ses parents à Péronville et cette « pauvre enfant recouvra aussitôt la tranquillité ». Tout rentra alors dans l’ordre jusqu’au mercredi des Cendres où la petite fille des maîtres âgée de deux mois est à son tour l’objet de faits surnaturels : son bonnet s’envole subitement de sa tête, des ustensiles de cuisine se précipitent sur elle, les médailles et même le crucifix attachés à son cou disparaissent par magie. Notre témoin conclut : « tout le monde crie au maléfice, au sortilège ». Les journalistes de l’Abeille se rendent sur place et les témoignages recueillis « d’hommes sages, témoins oculaires, des prêtres, des médecins »corroborent celui de leur correspondant. Si chacun s’accorde avec quelques variantes - sur ces manifestations étranges, les désaccords sont grands quant à leur origine. Comment expliquer ces faits ?

SURVIVANTS de l'impossible

Pour le l’Abeille et le clergé, la jeune fille est possédée par le Malin. Il faut donc exorciser. Le curé de Cormainville raconte : « voici ce que j’ai fait : sans soupçonner ni attaquer personne, après m’être bien assuré par moi-même que les faits étaient réels, j’ai conduit des témoins en nombre suffisant et très dignes de foi à nos supérieurs ecclésiastiques de Chartres qui bien convaincus de la vérité des faits et sans en être nullement étonnés m’ont excité à faire les exorcismes et c’est ce que j’ai fait suivant en tout point ce qui est dans le rituel et le jour même l’obsession a disparu entièrement à la grande joie des pauvres fermiers qui desséchaient de chagrin et de peine. Tout ce qu’il y avait dans le journal l’Abeille était vrai et mille autres faits de ce genre ». L’abbé Lecanu, docteur en théologie du clergé de Paris, en fit une preuve de l’action diabolique dans son ouvrage « l’histoire de Satan », publié en 1861.

Que disent les scientifiques ? A propos du cas similaire de la petite Angélique Cottin en 1846, Louis Figuier estimait qu’elle était prise d’un « état électrique qui existe naturellement chez certains poissons et qui peut se montrer passagèrement chez l’homme à l’état pathologique ». Les émanations électriques qui se déploient à partir du corps sont alors une théorie en vogue. Figuier relate donc le cas d’Adolphine Benoit sans remettre en cause ses états convulsifs et ses conséquences. Quant au docteur Henri Roger, agrégé de la faculté de médecine de Paris, il reprend les informations du docteur de Sancheville dans le journal Le Constitutionnel et à l’instar de la commission médicale qui avait observé Angélique Cottin, se montre circonspect sur la réalité des faits.

Troisième explication : la supercherie, de vrais tours de magie… La commission Arago qui examina la fille Cottin avait conclu que les mouvements brusques des objets s’expliquaient par « des manœuvres habiles et cachées des pieds et de mains ». C’est aussi la thèse du chartrain Morin, un temps sous-préfet de Nogent le Rotrou et bon connaisseur des superstitions populaires. Après enquête, il jugea que la domestique aidée d’un complice avait dupé un entourage bien crédule dont l’esprit était formaté pour accepter l’idée de manifestations démoniaques. C’est que le Malin était réputé pouvoir s’incarner dans des jeunes filles en proie aux troubles de la puberté, mais aussi dans les feux-follets (ou flambarts) ou encore dans les loups-garous, croyances encore bien vivantes en ce milieu du XIXesiècle.

Et qui, le temps de cette affaire dans ce petit village, se conjuguent – ou s’affrontent, c’est selon – avec les progrès de la science et la foi catholique. 

(source : histoire-genealogie)

Les naufragés des Andes 

Le 12 octobre 1972, un avion Fairchild F227 de l’armée de l’air uruguayenne décolle de Montevideo pour Santiago du Chili. L’avion est affrété par une équipe de rugby de Carrasco, Les Christians Brother’s. Il s’agit pour ces adolescents de jouer un match amical et, accompagnés par quelques parents et amis, de passer un week-end sympathique sur les rives du Pacifique. Il y a quarante-cinq personnes à son bord.
Le 13 octobre à 15h30, le pilote transmet à la tour de contrôle de Santiago sa position et son altitude, mais quand, une minute plus tard, la tour tente de communiquer avec l’appareil, elle n’obtient aucune réponse.

Le Chili, l’Argentine et l’Uruguay mettent tous leurs moyens en commun pour retrouver l’avion mais il y a sur les Andes des chutes de neige exceptionnelles et la carlingue est peinte en blanc. Bien peu de chances donc, qu’on ne retrouve jamais l’avion et encore moins de chances que l’un des quarante-cinq passagers ait pu survivre à l’accident...
On apprendra plus tard que quelques jours après le crash, une avalanche survenue en pleine nuit fera encore d’autres victimes. Le dixième jour après la catastrophe, les recherches sont abandonnées. Les rescapés apprennent la nouvelle grâce à une radio qui fonctionne encore. Il ne leur reste plus rien à manger. Leur seul moyen de survivre, se nourrir de chair humaine, celle de leurs amis morts.

Dix semaines plus tard, un berger chilien surveillant son troupeau dans une vallée située sur les contreforts des Andes aperçoit la silhouette de deux hommes de l’autre côté d’un torrent. Ils gesticulent dans tous les sens, puis tombent à genoux, les bras grands ouverts. Le berger, les prenant pour des touristes, voire pour des terroristes, s’en va. Le lendemain, il revient pourtant au même endroit et voit que les silhouettes sont toujours là. Au bord de la rivière, le bruit de l’eau est tellement fort qu’il est impossible pour les trois hommes de s’entendre. Le berger jette alors par dessus le torrent un morceau de papier et un stylo enveloppés dans un mouchoir. Les deux hommes, barbus, en haillons, lui écrivent : "Nous venons d’un avion tombé dans la montagne. Il y a encore 14 compagnons en vie là haut… Où sommes-nous ?"

Soixante-douze jours après l’accident, Fernando Parrado, 20 ans, et Roberto Canessa, 19 ans, viennent de parcourir 70 kilomètres dans la montagne, traversant les trois-quarts de la cordillère des Andes à pieds et franchissant des sommets de plus de 4.000 mètres sans autre équipement que des chaussures de rugby. Soixante-douze jours cauchemardesques, où chacun a perdu une mère, une sœur, un ami. Au total, seize rescapés.
Dans les rédactions du monde entier, on parle des "survivants du siècle" et, peut-être parce que leur sauvetage a eu lieu deux jours avant Noël, du "miracle des Andes".

Quatre jours après leur sauvetage, dans une conférence de presse surchauffée, les survivants prennent les devants : "Le jour est arrivé où nous n’avions plus rien à manger, et nous nous sommes dit que si le Christ, pendant la Cène, avait offert son corps et son sang à ses apôtres, il nous montrait le chemin en nous indiquant que nous devions faire de même, prendre son corps et son sang, incarné dans nos amis morts dans l’accident. Et voilà, ça a été une communion intime pour chacun de nous. C’est ce qui nous a aidé à survivre." Un de nos plus grands tabous venait d’être transgressé, et assumé publiquement.

Ce documentaire exceptionnel revient sur l'incroyable aventure des "survivants" des Andes, qui ont bouleversé le monde entier en transgressant l'un des plus grands tabous de l'humanité, celui de manger de la chair humaine.
Devant la caméra de Gonzalo Arijón, ils ont accepté de faire revivre en eux le souvenir intact de ces soixante-douze jours dans la montagne, à 4 000 mètres d'altitude : la joie du départ, le crash, les morts, les blessés, l'attente, les secours qui ne viennent pas, le découragement, la faim qui s'installe, la terrible décision de se nourrir des corps de leurs amis morts, l'avalanche en pleine nuit qui enlève encore huit vies, la lutte pour ne pas se laisser mourir, tandis que le monde continue à tourner sans eux...


L’une des histoires de survie les plus extraordinaires de tous les temps, Naufragés des Andes a reçu le prix Joris Ivens 2007, l’un des prix les plus prestigieux du monde documentaire, dans le cadre du Festival International du Film Documentaire d’Amsterdam et a eté selectionné au Festival de Sundance 2008.
(arte.tv/fr/naufrages-des-andes)

(source : inexplique-endebat)





 

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